Agnès Varda deux expositions à Cannes 8 juillet – 18 septembre 2022 Agnès Varda. Du 8 juillet au 20 novembre 2022 au Centre d’art la Malmaison et du 8 juillet au 18 septembre à la Villa Domergue, Rosalie Varda, directrice artistique et co-commissaire de l’exposition avec Hanna Baudet, directrice du Pôle d’Art Contemporain de Cannes, met à l’honneur l’univers d’Agnès Varda, dans la ville même qui l’a célébrée pour sa filmographie foisonnante, à travers une exposition estivale autour de la mer, de la plage et des cabanes, thèmes récurrents dans son travail de cinéaste et d’artiste plasticienne. |
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Agnès Varda sur le tournage du film Les Créatures (1965). Photographie : Marilù Parolini © ciné-tamaris |
Le Musée Prive - Art Magazine
Au cœur de l'abstraction Fondation Maeght
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Hans Hartung, T 1987-H3, T 1987-H4, 10 mars 1987 (1) |
Au cœur de l'abstraction Exposition du 2 juillet au 20 novembre 2022 Riche d'une collection de plus de 13 000 œuvres, la Fondation Maeght est toujours curieuse et honorée de présenter d'autres collections, parfois peu accessibles au public, comme elle l'a régulièrement fait par le passé. En cet été 2022, elle dévoile du 2 juillet au 20 novembre près de 120 œuvres de la Fondation Gandur pour l'Art (Genève) et propose une immersion passionnante dans l'abstraction des années 1950 à 1980. Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, alors que nombre d'artistes européens exilés aux États-Unis reprennent le chemin de la France, Paris redevient une place forte de la création et reprend sa place de capitale culturelle mondiale. Une soif de liberté vissée au corps ainsi qu'un besoin impérieux de repenser la peinture après les années de guerre, des artistes du monde entier retrouvent leurs ateliers abandonnés durant l'occupation allemande et participent à une période d'effervescence créatrice, qu'elle soit artistique, littéraire ou cinématographique. Si les brèches ouvertes par les avant-gardes de la première moitié du XXe siècle restent un ferment important après-guerre, l'art abstrait se renouvelle, de l'expression la plus gestuelle aux questionnements sur la matière, les supports et les techniques. |
MHAB-Musée d'Histoire et d'Art de Bormes
Une magnifique bâtisse en pierres de Bormes qui abrite une collection d'oeuvres de qualité et des expositions évènementielles Installé depuis 1985 dans une magnifique bâtisse du 17ème siècle au cœur du village medieval, le musée Arts & Histoire créé en 1926 par le peintre Emmanuel-Charles Bénézit est aujourd’hui géré par le service culturel de la municipalité et bénéficie du label Musées de France. Le musée abrite une très belle collection de peintures et sculptures des 19ème et 20ème siècles parmi lesquelles les œuvres de Bénézit, Cross, Van Rysselberghe, Peské, Rivière… Des expositions temporaires de peintures, sculptures et photos y sont organisées d’avril à octobre. Le musée participe chaque année à la Nuit Européenne des Musées. Conçu en pierre du pays, l’édifice inscrit à l’inventaire des sites se distingue par son impressionnant plafond à caissons. Appartenant auparavant à l’Avocat Général de la Molle, il était devenu en 1754 la Maison commune qui abritait en même temps l’école de garçons, les séances du Conseil municipal, la prison et le tribunal avant de devenir maison particulière au début du 19ème siècle. Le bâtiment a été rénové avec la participation de l’association « Sauvegarde du Vieux-Bormes » créée par le peintre Georges-Henri Pescadère. Le 22 octobre 2022, le MHAB - Musée d’Histoire et d’Art de Bormes Les Mimosas a rouvert ses portes et dévoilé sa nouvelle expérience unique et spectaculaire en réalité augmentée qui vous plongera dans 2400 ans d’histoire de la ville et dans les collections de Bormes les Mimosas ! Au MHAB-Musée d'Histoire et d'Art de Bormes les Mimosas, la réalité augmentée est mise au service de l'Histoire. Pour la première fois, un musée de France propose une exposition permanente entièrement conçue autour de ses collections et de la réalité augmentée. Garant d'une collection d'art datant de la fin du XIXe à nos jours et d'un fonds historique local, le musée de Bormes propose un voyage immersif au cœur des 2400 ans d'histoire de la ville. À l'aide de la tablette HistoPad, voyagez à travers les époques et découvrez les reconstitutions au réalisme saisissant, réalisées par l'entreprise Histovery. L'Histopad, tablette tactile, est remis à chaque visiteur dès l'entrée pour parcourir l'exposition permanente, présentée dans les niveaux supérieurs du musée. Chaque station est une véritable fenêtre sur un événement passé et est mis en parallèle de notre collection. A ne pas manquer également, les expositions temporaires du musée, son jardin intimiste et sa terrasse panoramique ! Horaires: - Le MHAB est ouvert toute l'année : www.musee-bormes.com - HORAIRES D'HIVER (du 1er octobre au 30 avril) : du mercredi au dimanche de 11h à 18h. Vacances scolaires toutes zones : du mardi au dimanche de 10h à 18h. - HORAIRES D'ÉTÉ (du 1er mai au 30 septembre) : du mardi au dimanche de 10h à 19h. - Le musée est ouvert durant les jours fériés, même ceux tombant un lundi ou mardi (sauf le 1er janvier, le 1er mai et le 25 décembre) |
Inauguration de la Fondation Hartung-Bergman le 7 mai 2022
Ruth Gurvich Aux lisières Exposition Maison des Arts Châtillon
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Nadège AZZAZ, La Maire de Châtillon Maison des Arts Par un savant truchement de nos sens, Ruth Gurvich entreprend à chacune de ses pièces d’interroger notre rapport aux objets et à la culture. On entre dans l’une de ses expositions comme dans un lieu connu et habité d’éléments maintes fois observés, admirés. A y regarder de plus près, un hiatus surgit : cette tasse que l’on pensait en porcelaine fine n’est que papier, cette moulure florale que l’on croyait entourer le grand miroir du salon longe le sol pour mieux rejoindre le jardin. Née en Argentine dans une famille russo-polonaise, Ruth Gurvich commence des études d’architecture pour ensuite se tourner vers les beaux-arts, qui la conduiront jusqu’à Paris. Précision, netteté et géométrie sont mis au service d’une réflexion sur la tradition et la permanence des choses. L’étude des arts appliqués en est le prétexte. |
La Fondation Gandur pour l'Art
Jean Claude Gandur « Issu d'une famille sensible à l’art, j’ai eu la chance de le côtoyer depuis l’enfance et ainsi de me familiariser aux cultures européennes, orientales ou sud-américaines. La démarche, suivie tout au long de ma vie, et celle désormais de la Fondation, est nourrie par trois motivations : le goût de l’art, l’envie de développer des collections et le désir de les partager. Y a-t-il plus belle perspective que celle de soumettre ses choix à l’appréciation des autres, de permettre à tous de voir et d’admirer des œuvres uniques, réunies dans une quête esthétique et intellectuelle constante ? |
L’âme primitive s’expose au Musée Zadkine Par Martine Manfré Itzinger
NIKI DE SAINT PHALLE Fondation Linda et Guy Pieters
![]() NIKI DE SAINT PHALLE 18 décembre 2021 - 6 mars 2022 Fondation Linda et Guy Pieters Place des Lices - 28 Boulevard Vasserot – 83990 Saint-Tropez www.fondationlgp.com - Fondation Linda et Guy Pieters <info(at)fondationlgp.com> +33 4 22 84 01 89 ouvert tous les jours de 11h à 17h dimanche de 11h à 13h30 fermé le dimanche après-midi et lundi |
Jeff Koons Puppy Guggenheim Bilbao Museoa
Artist Thomas Hirschhorn Bombas Gens Centre d’Art
Le Centre des monuments nationaux présente Monument jeu d'enfant
Gustave Caillebotte FONDATION PIERRE GIANADDA MARTIGNY SUISSE
Lucian Freud Tate Liverpool
Journées Juridiques du Patrimoine
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Pour cette 21ème édition, les Journées Juridiques du Patrimoine reviennent le 15 novembre 2021 à la Maison du Barreau.Reconnue formation continue obligatoire (FCO), la journée se déroule en deux temps, afin de réaliser une rétrospective de l'année juridique écoulée avant de se concentrer sur un thème précis. Sur chaque sujet interviennent successivement parlementaires, avocats, élus, représentants des administrations et des grandes associations concernées, tout en favorisant des échanges avec la salle. Les conférences du matin seront consacrées à l'actualité législative récente qui touche au patrimoine et au paysage. Seront notamment discutés la loi Climat et résilience et le projet de loi 3DS. De plus, le sujet des éoliennes sera approfondi. Cette année encore, nous organiserons la 5ème édition du prix Pierre-Laurent Frier. Le prix, remis en fin de matinée, vise à récompenser les meilleurs mémoires des étudiants de Master 2 en droit du patrimoine matériel et immatériel, culturel et paysager, évalués par un jury composé d'universitaires. Quant au thème de l'après-midi, nos intervenants essaieront de répondre à la question suivante : « le droit pénal au secours du patrimoine et de l'environnement ? » afin de préciser la manière dont le droit pénal peut être utilisé pour faire respecter le droit du patrimoine et de l'environnement. Nous évoquerons également la question centrale du volontarisme du maire en amont et en aval de la sanction. |
Centenaire de la naissance d’Ernst Beyeler
FONDATION BEYELER EXPOSITION CLOSE-UP
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CLOSE-UP Berthe Morisot, Mary Cassatt, Paula Modersohn-Becker, Lotte Laserstein, Frida Kahlo, 19 septembre 2021 – 2 janvier 2022 L’exposition présentera des œuvres de neuf femmes artistes dont l’œuvre occupe une position éminente dans l’histoire de l’art moderne depuis 1870 jusqu’à aujourd’hui. C’est l’époque où, pour la première fois, il devint possible à des femmes en Europe et en Amérique de développer une activité artistique professionnelle sur une large base. Au centre de l’exposition figurent des artistes qui ont en commun leur intérêt pour la représentation d’êtres humains, le portrait dans ses différentes déclinaisons et l’autoportrait. La Française Berthe Morisot et l’Américaine Mary Cassatt, toutes deux actives dans les années 1870 et 1880 à Paris, qui était alors la capitale de la création artistique la plus avancée; l’Allemande Paula Modersohn-Becker de 1900 à 1907 entre la petite ville provinciale de Worpswede, dans le Nord de l’Allemagne, et la métropole parisienne; l’Allemande Lotte Laserstein de 1925 à 1933 dans le Berlin de la République de Weimar; la Mexicaine Frida Kahlo depuis la fin des années 1920 jusque vers 1950, à Mexico City, pendant la période mouvementée de la consolidation de la révolution mexicaine; l’Américaine Alice Neel depuis la fin des années 1920 jusqu’au début des années 1980, d’abord à Cuba, puis à Manhattan, de Greenwich Village au Upper West Side en passant par Spanish Harlem; Marlene Dumas, née en Afrique du Sud, qui a grandi au Cap au plus fort de l'Apartheid, et vit depuis 1976 à Amsterdam; en même temps l’Américaine Cindy Sherman à New York, pôle occidental d’une nouvelle génération d’artistes contemporains; et enfin l’Américaine Elizabeth Peyton depuis les années 1990, entre New York et l’Europe de l’Ouest. |
Centre Pompidou Elles font l'abstraction
Commissaire générale : L’exposition « Elles font l’abstraction » présentée au Centre Pompidou de la réouverture jusqu'au 23 août 2021, propose une relecture inédite de l’histoire de l’abstraction depuis ses origines jusqu’aux années 1980, articulant les apports spécifiques de près de cent dix « artistes femmes ». La commissaire générale Christine Macel et la commissaire associée pour la photographie, Karolina Lewandowska, revisitent cette histoire, tout en mettant en évidence le processus d’invisibilisation qui a marqué le travail des «artistes femmes», à travers un parcours chronologique mêlant arts plastiques, danse, photographie, film et arts décoratifs. Les artistes y sont présentées, selon les termes choisis pour le titre, comme actrices et cocréatrices à part entière du modernisme et de ses suites. L’exposition présente les tournants décisifs qui ont marqué l’histoire de l’abstraction tout en remettant en cause ses canons esthétiques, sans pour autant en redéfinir un. Il s’agit aussi de dépasser l’idée d’une histoire de l’art conçue comme une succession de pratiques pionnières. En redonnant une place aux « artistes femmes » au sein de cette histoire, l’exposition en démontre la complexité et la diversité. Elle opère tout d’abord une incursion inédite dans le 19e siècle avec la redécouverte de l’oeuvre de Georgiana Houghton datant des années 1860, bouleversant la chronologie des origines de l’abstraction à partir de ses racines spiritualistes. Elle valorise ensuite des figures phares par de mini-monographies mettant en avant des artistes peu montrées en Europe ou injustement éclipsées. Une attention toute particulière est donnée aux contextes spécifiques qui ont entouré, favorisé ou au contraire limité la reconnaissance des « artistes femmes » – des contextes à la fois éducationnels, Reférence Image : Saloua Raouda Choucair, |
La Bourse de Commerce Le nouveau musée de la Collection Pinault
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Un nouveau lieu pour faire vivre et partager la collection Nouveau musée parmi le réseau de lieux et d’initiatives développés depuis 2006 par François Pinault, la Bourse de Commerce — Pinault Collection propose un point de vue sur la collection d’œuvres contemporaines qu’il rassemble depuis plus de cinquante ans, à travers un programme d’expositions et d’événements. « À la faveur de l’ouverture d’un nouveau lieu de présentation de ma collection à la Bourse de Commerce, au cœur de Paris, une nouvelle étape est franchie dans la mise en œuvre de mon projet culturel : partager ma passion pour l’art de mon temps avec le plus grand nombre. » François Pinault |