Carlos Tavares Stellantis
Carlos Tavares est actuellement le Directeur général et le Directeur exécutif de Stellantis. Sous sa direction, Stellantis s’est fixé comme ambition d’offrir à tous des solutions de mobilité propres, sûres, et abordables tout en se transformant rapidement en une « tech company de mobilité ». Pour atteindre cet objectif, l’entreprise s’appuie sur la mise en œuvre rapide et efficace de son ambitieux plan stratégique Dare Forward 2030, qui permettra à Stellantis de devenir le premier constructeur automobile à atteindre la neutralité carbone d’ici 2038. Avant de diriger Stellantis, créée en janvier 2021, Carlos Tavares était Président du Directoire de Groupe PSA depuis mars 2014, après avoir rejoint le Directoire de PSA en janvier 2014. Auparavant, de 2011 à 2013, il a été Directeur Général délégué aux opérations de Renault. Il a également occupé le poste de Vice-Président Exécutif, Président du Comité de Gestion Amériques et Président de Nissan Amérique du Nord en 2009, après avoir rejoint Nissan en 2004. Carlos Tavares a commencé sa carrière en 1981 au sein du Groupe Renault, où il a assumé diverses fonctions. Carlos Tavares est actuellement coprésident du Conseil Consultatif du « Freedom of Mobility Forum » dont l’objectif est de favoriser une approche à 360°, fondée sur des faits visant à préserver la liberté de mouvement face au changement climatique. Jusqu’en décembre 2022, il était membre du conseil d’administration de l’Association Européenne des Constructeurs d’Automobiles (ACEA) et a occupé la fonction de Président de l’association en 2018 et 2019. Il a également siégé aux conseils d’administration d’Airbus S.E. de 2016 à 2022, et de TotalEnergies de 2017 à 2020. Carlos Tavares est un pilote automobile amateur et passionné avec plus de 500 courses à son actif. Né au Portugal, Carlos Tavares est diplômé de l’École Centrale Paris (France). (Mise à jour : janvier 2023) Carlos Tavares Chief Executive Officer Directeur Exécutif |
Hommage à Georges Pompidou
2 avril 2024 - Il fut la modernité sans ingratitude, la tradition sans immobilité et la fidélité sans dogmatisme. Il avait la calme sérénité de ces hommes autant pétris de classicisme que passionnés de progrès, et l’imperturbable conviction que la France est cette alliance intime de l’enracinement et de l’épopée. Il y a cinquante ans, le président Georges Pompidou nous quittait, au terme d’une longue et cruelle maladie qu’il avait affrontée avec un incomparable courage. Héritier d’une famille française, les Pompidou, passés de la paysannerie à l’enseignement, et héritier d’une terre française, le Cantal, tissé de monts et de villages, il s’était élevé jusqu’à la magistrature suprême dans le sillage du plus grand des Français. Successeur du général de Gaulle, après en avoir été le proche collaborateur puis le Premier ministre, Georges Pompidou consolida la plus grande œuvre de ce dernier – la Cinquième République – et il nous la légua intacte. Durant cinq ans, il fut le président d’une France optimiste, résolument tournée vers l’expansion économique et la croissance industrielle. La France du Concorde ou du TGV, ou encore la France du développement nucléaire, c’est la France de Georges Pompidou. C’est aussi une France aussi bien attentive à son sérieux budgétaire, gage de liberté et de souveraineté, qu’à l’importance de sa cohésion sociale, notamment préservée grâce à un sens véritable du dialogue avec les Français. C’est enfin une France qui continue de parler au monde, et que le monde continue d’écouter. |
JEAN-MICHEL BASQUIAT OU LIONEL SOURISSEAU FAITES VOTRE CHOIX
This wonderful example of Jean-Michel Basquiat’s iconic “skull painting” stylings achieved $85 million at a Phillips sale of works from the collection of the billionaire entrepreneur Yusaku Maezawa this past May. The work, which had previously been sold at Christie’s in 2016 for $57.2 million, beat that number to become the third highest price ever achieved by a work from the legendary Neo-Expressionist artist. Ce merveilleux exemple des styles emblématiques de «peinture de crâne» de Jean-Michel Basquiat a atteint 85 millions de dollars lors d'une vente Phillips d'œuvres de la collection de l'entrepreneur milliardaire Yusaku Maezawa en mai dernier. L'œuvre, qui avait déjà été vendue chez Christie's en 2016 pour 57,2 millions de dollars, a battu ce chiffre pour devenir le troisième prix le plus élevé jamais atteint par une œuvre du légendaire artiste néo-expressionniste. |
Lionel SOURISSEAU acrylique sur toile 97 x 130 cm signée en bas à droite If this Basquiat painting was sold for $85 million at Phillips, a painting of the quality and creativity of the artist Lionel SOURISSEAU painting should be worth at a minimum price of 50,000 €- We can think that because of the talent of this artist that his rating will be high because important international galleries will be interested in him. Do not hesitate to contact us if you would like to know more. |
Exposition d'art Espace culturel Mompezat Paris janvier 2024
Alfredo Benites Union européenne France aujourd'hui
" L'économiste international Alfredo Benites, expose las posturas géopolitiques de l'Union européenne et de France dans la restructuration de l'ordre mondial aujourd'hui" |
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Voir également :
ALFREDO BENITES LES FONDAMENTAUX DE LA DÉMOCRATIE ET LA DÉMOCRATIE PARTICIPATIVE |
Année Zéro Revue Littéraire dirigée par Yann Moix
Rachida Dati Ministre de la Culture
Passation de pouvoir entre Rima ABDUL MALAK et Rachida DATI - Ministère de la Culture Rachida Dati est une des femmes politiques les plus brillantes avec un parcours exceptionnel. Nicolas Sarkosy qui savait détecter pour son gouvernement les hommes et les femmes de qualité, de grande intelligence, d’énergie, et d’imagination l'avait nommée garde des Sceaux et ministre de la Justice au sein des gouvernements Fillon I et II. Patrick REYNOLDS |
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YANN MOIX PARIS
31/08/2022 Quatrième et dernier opus de sa tétralogie "Au pays de l'enfance immobile" après Orléans, Reims et Verdun. « La province fournit Paris en combustibles : je décidai donc de m’y brûler, et pas simplement les ailes. Je n’avais pas d’ailes de toute façon. Je n’avais rien, à part cent francs en poche et la chance, grâce à un gardien de nuit complaisant, de pouvoir dormir dans les travées de la bibliothèque du centre Beaubourg, parmi les livres. Du coup j’ai lu. A l’aube, je quittais les lieux, allant traîner mes drôles de guêtres dans les rues. Je n’avais aucune connaissance, pas vraiment d’amis, zéro petite amie. Je n’avais que moi, la solitude qui pesait sur moi, et ce ciel grand cendre au-dessus de ma tête. Je me nourrissais de grec-frites. J’ai fini par rencontrer des gens. Roger Knobelspiess, ex-lieutenant de Mesrine, m’a prêté un minuscule gourbi. J’ai vécu dans un squat. J’allais bien, je ne me plaignais jamais : j’étais heureux car je savais que vingt-cinq ans était un âge inventé pour cette misère marrante, cette mélancolie spéciale, cette errance pathétique. Je me regardais en train d’être ce que je voulais devenir, ou plutôt, je m’observais en train de devenir ce que je voulais être. Paris, c’était l’édition : j’allais donc tout donner pour faire mon trou, me faire un nom, devenir célèbre – ou finir dans le caniveau, sous la pluie battante, m’enrhumer, et mourir. J’ai surjoué tout ça, avec un zest de romantisme béat, assez content de ma condition, fier de n’être rien et de vouloir beaucoup. J’ai tapé à des portes. Des gens ont été méchants. J’ai insisté. D’autres ont été gentils. Paris est une galerie de leurs portraits, mâtinée d’épisodes de galériens. J’ai beaucoup arpenté, beaucoup marché, beaucoup espéré, énormément souffert mais je dois dire que jamais je ne me suis ennuyé. Des instants de tragédie ? Il y en eut ; des scènes de comédie : plus encore. Vous allez me suivre ici en train de réussir et de rater, en train de séduire et d’échouer, en train de m’introduire dans cocktails et de m’y faire éjecter, en train de gagner un peu d’argent et d’en perdre beaucoup, en train de me faire quelques amis et de me fâcher avec eux, en train de rire souvent et de pleurer parfois. En train, surtout, d’oublier en moi le provincial, ce qui est toujours une erreur et mène droit au ridicule. Un Rastignac de plus parmi les pots d’échappements. Des débuts dans la vie ? Non : un commencement dans la carrière. Sauf que je n’ai jamais fait carrière dans quoi que ce soit. Voilà en tout cas, chers amis, comment tout a commencé. » Yann MOIX |
Livre de Alain Borjon Quelques Photos
Nous avons le plaisir de vous présenter le 5ème livre numérique de Alain BORJON : « Quelques photos » Ce livre est un retour arrière à travers de nombreux instants privilégiés, des émotions et des petites histoires inscrites dans chaque regard, chaque expression ou situation. Chaque portrait représente un instant offert. Pour voir le livre : https://www.flipsnack.com/alainborjon/quelques-photos/full-view.html Pour voir les autres livres : https://www.linstantphoto.com/livre-num%C3%A9rique Mon site: https://www.linstantphoto.com/ Mon dernier livre: Quelques photos: https://www.flipsnack.com/alainborjon/quelques-photos/full-view.html BIOGRAPHIE Photographe amateur depuis plusieurs années je ne fais que des photos de portrait J’apprécie cet échange, cette confiance, voire cette complicité qui se crée entre la personne photographiée et le photographe. |
MERRY CHRISTMAS AND A HEALTHY AND HAPPY NEW YEAR 2024
THANK YOU TO THE 850.000 VISITORS EACH MONTH FOR YOUR SUPPORT AND INTEREST MERCI AUX 850.000 VISITEURS CHAQUE MOIS POUR VOTRE SOUTIEN ET VOTRE INTÉRÊT WISHING EVERYONE A HEALTHY AND HAPPY NEW YEAR 2024 - MAY EVERY DAY FILL YOU WITH PLEASURE BONNE ANNEE 2024 - BONNE SANTE BONHEUR SUCCES - QUE CHAQUE JOUR VOUS COMBLE DE PLAISIR |
Jean Ekiert Nativité huile sur toile 73 x 60 cm signée en bas à gauche et datée 1954 Collection Privée PHR - BIOGRAPHIE DE JEAN EKIERT ECOLE DE PARIS |