JEFF KOONS,
LA RÉTROSPECTIVE
Centre Pompidou

75191 Paris cedex 04
téléphone 00 33 (0)1 44 78 12 33
www.centrepompidou.fr
26 NOVEMBRE 2014 - 27 AVRIL 2015

Le Centre Pompidou présente à partir du 26 novembre prochain, la première rétrospective complète consacrée à Jeff Koons en Europe. Cette exposition sans précédent permet de prendre toute la mesure d’une oeuvre qui aura marqué depuis trente-cinq ans le paysage artistique et culturel contemporain.
Si Jeff Koons a fait l’objet de maintes expositions, présentant tantôt des ensembles précis de son travail, tantôt des sculptures spécifiques dans des environnements historiques donnés, aucune exposition n’a rassemblé son oeuvre en un parcours exhaustif et chronologique, couvrant l’entièreté
de sa production. Quelque cent sculptures et peintures composent cette rétrospective qui suit
tous les jalons de la carrière de l’artiste.

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 Balloon Dog (Magenta), 1994 - 2000
[Ballon en forme de chien (magenta)]
Acier inoxydable au poli miroir, vernis transparent
1 des 5 versions uniques
Pinault collection - © Jeff Koons
crédit photographique : © Jeff Koons

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FACE A L'OEUVRE
 
1964-2014 : 50 ans de la Fondation Maeght


« Oui mon cher Joan, nous réaliserons une oeuvre unique au monde »
Correspondance d’Aimé Maeght à Joan Miró, 29 août 1959

En 2014, la Fondation Maeght donne rendez-vous à tous les amateurs d’art pour célébrer son cinquantième anniversaire. Cinquante années de passion partagée avec les artistes et les publics du monde entier, au service de la création.

 Pour leur grande exposition d’été 2014, Adrien Maeght, président du conseil d’administration, et Olivier Kaeppelin, directeur de la Fondation Maeght, ont choisi de rendre hommage aux oeuvres, dans cet esprit de face à face singulier, favorisé par l’architecture épurée et lumineuse de la Fondation Maeght.

François Fiedler, A trois termes I, II et III, 1959. Photo Claude Germain Archives Fondation Maeght. © Adagp Paris 2014.

 François Fiedler, A trois termes I, II et III, 1959.
Photo Claude Germain
Archives Fondation Maeght. © Adagp Paris 2014.

  « La Fondation Maeght a toujours refusé les a priori sur les oeuvres. Elle est d’abord au service des artistes et de l’art, dans une passion partagée avec le public ; c’est ce qui la rend si unique. Je crois qu’Aimé Maeght nous a appris que l’expérience importante était ce moment précis où s’ouvrent, pour chacun d’entre nous, un espace, un temps, une surprise qui contribuent à inventer la pluralité des mondes » explique Olivier Kaeppelin.

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Abstract Expressionism Main Galleries
24 September 2016 – 2 January 2017

Royal Academy of Arts,
Burlington House, Piccadilly,
London W1J 0BD
www.royalacademy.org.uk
020 7300 8090


The Royal Academy of Arts presents the first major exhibition of Abstract Expressionism to be held in the UK in almost six decades. With over 150 paintings, sculptures and photographs from public and private collections across the world, this ambitious exhibition encompasses masterpieces by the most acclaimed American artists associated with the movement – among them, Willem de Kooning, Arshile Gorky, Phillip Guston, Franz Kline, Joan Mitchell, Robert Motherwell, Barnett Newman, Jackson Pollock, Mark Rothko, Aaron Siskind, David Smith and Clyfford Still, as well as lesser-known but no less vital artists.

The selection aims to re-evaluate Abstract Expressionism, recognising that though the subject is often perceived to be unified, in reality it was a highly complex, fluid and many-sided phenomenon. Likewise, it revises the notion of Abstract Expressionism as based solely in New York City by addressing such figures on the West Coast as Sam Francis, Mark Tobey and Minor White.

Clyfford Still, PH-950, 1950. Oil on canvas, 233.7 x 177.8 cm. Clyfford Still Museum, Denver © City and County of Denver / DACS 2016. Photo courtesy the Clyfford Still Museum, Denver, CO;

Clyfford Still, PH-950, 1950. Oil on canvas, 233.7 x 177.8 cm. Clyfford Still Museum, Denver © City and County of Denver / DACS 2016. Photo courtesy the Clyfford Still Museum, Denver, CO;

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Agnès Varda deux expositions à Cannes 
PLAGES, CABANES ET COQUILLAGES
8 juillet – 20 novembre 2022
Le Centre d’art La Malmaison, Cannes

8 juillet – 18 septembre 2022
La Villa Domergue, Cannes

Cet été, la Mairie de Cannes présente dans deux espaces de son Pôle d’Art Contemporain une exposition consacrée à celle qui fut tour à tour cinéaste, photographe et plasticienne :
Agnès Varda.
Du 8 juillet au 20 novembre 2022 au Centre d’art la Malmaison et du 8 juillet au 18 septembre à la Villa Domergue, Rosalie Varda, directrice artistique et co-commissaire de l’exposition avec Hanna Baudet, directrice du Pôle d’Art Contemporain de Cannes, met à l’honneur l’univers d’Agnès Varda, dans la ville même qui l’a célébrée pour sa filmographie foisonnante, à travers une exposition estivale autour de la mer, de la plage et des cabanes, thèmes récurrents dans son travail de cinéaste et d’artiste plasticienne.
Agnès Varda sur le tournage du film Les Créatures (1965). Photographie : Marilù Parolini © ciné-tamaris
Agnès Varda sur le tournage du film Les Créatures (1965). Photographie : Marilù Parolini © ciné-tamaris
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Rétrospective du 19 octobre 2018 au 24 février 2019
Musée Guggenheim Bilbao
Avenida Abandoibarra, 2
48009 Bilbao
Téléphone :   +34 944 35 90 00  (horaire bureaux)   
+34 944 35 90 80  (horaire d’ouverture Musée)  
http://www.guggenheim-bilbao.es/ 
https://www.guggenheim-bilbao.eus/fr/  en français
Email: informacion(at)guggenheim-bilbao.es  

Apporter le soutien d’IBERDROLA à l’exceptionnelle exposition Alberto Giacometti. Rétrospective que le Musée Guggenheim Bilbao consacre à l’un des plus grands sculpteurs de l’histoire et un des artistes majeurs du XXe siècle est pour nous l’objet d’une très grande fierté.

Nous invitons donc le public à venir découvrir dans les salles du Musée un parcours illustrant 40 ans de la carrière de l’artiste au travers d’une sélection de 200 pièces —sculptures, peintures et oeuvres sur papier—, lesquelles viennent rendre hommage à l’esprit créateur de Giacometti et à témoigner de son inextinguible quête de vérité.

Cette rétrospective rend fidèlement compte des évolutions constantes de l’artiste, depuis ses premiers travaux influencés par le cubisme et le surréalisme – au fort contenu symbolique et d’une facture très abstraite – jusqu’à ses célèbres figures stylisées qui se distinguent par leur matière brute et leurs échelles multiples.

Alberto Giacometti s’est toujours démarqué par la profondeur de sa démarche et de sa réflexion. Il a cultivé l’amitié de nombreux intellectuels et écrivains comme Simone de Beauvoir — dont l’effigie est ici présente à travers deux bustes —, Jean Genet — dont on retrouve un portrait à l’huile dans l’exposition — ou encore Jean-Paul Sartre – qui définissait Giacometti comme l’artiste “existentialiste” par excellence –.

Alberto Giacometti Homme qui marche I, 1960 Bronze 180,5 x 27,0 x 97,0 cm Fondation Giacometti, Paris © Succession Alberto Giacometti ,VEGAP, Bilbao, 2018

Alberto Giacometti
Homme qui marche I, 1960
Bronze
180,5 x 27,0 x 97,0 cm
Fondation Giacometti, Paris
© Succession Alberto Giacometti ,VEGAP, Bilbao, 2018

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ALBERTO GIACOMETTI
Tate Modern
Bankside, London SE1 9TG,
Royaume-Uni

http://www.tate.org.uk/visit/tate-modern

10 May – 10 September 2017

Supported by the Alberto Giacometti Supporters Circle, Tate Patrons and Tate Americas Foundation Tate Modern, Eyal Ofer Galleries


This summer Tate Modern will present the UK’s first major retrospectiveof Alberto Giacometti (1901-1966) for 20 years. Celebrated as a sculptor, painter and draughtsman, Giacometti’s distinctive elongated figures are some of the most instantly recognisable works of modern art. This exhibition will reassert Giacometti’s place alongside the likes of Matisse, Picasso and Degas as one of the great painter-sculptors of the 20th century. Through unparalleled access to the extraordinary collection and archive of the Fondation Alberto et Annette Giacometti, Paris, Tate Modern’s ambitious and wide-ranging exhibition will bring together over 250 works. It will include rarely seen plasters and drawings which have never been exhibited before and will showcase the full evolution of Giacometti’s career across five decades, from early works such as Head of a Woman [Flora Mayo] 1926 to iconic bronze sculptures such as Walking Man I 1960.

Born in Switzerland in 1901, Giacometti moved to Paris in the 1920s where he became engaged with cubism and latterly joined the Surrealist Group in 1931. Celebrated works such as Woman with her Throat Cut 1932 will reveal Giacometti’s engagement with surrealism as well as his powerful explorations of brutality and sadism. A wide range of the artist’s large scale sculptures will also be showcased alongside his drawings and books. Other works like Untitled (mask) 1934 will demonstrate his engagement with the decorative arts, while Man (Apollo) 1929 and The Chariot 1950 will show his preoccupation with Egyptian and African art. The exhibition will reveal how Giacometti, perhaps more than any other artist of his day, fused the ancient and the modern and broke down barriers between the decorative and the fine arts.

Alberto Giacometti Man Pointing 1947 Bronze 178 x 95 x 52 cm Tate, Purchased 1949 © Alberto Giacometti Estate, ACS/DACS, 2017

Alberto Giacometti Man Pointing 1947
Bronze 178 x 95 x 52 cm
Tate, Purchased 1949
© Alberto Giacometti Estate, ACS/DACS, 2017

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Alexander Calder & Fischli/Weiss
Fondation Beyeler,
Beyeler Museum AG,
Baselstrasse 77,
CH-4125 Riehen
www.fondationbeyeler.ch
29 mai – 4 septembre 2016


La Fondation Beyeler présente du 29 mai au 4 septembre 2016 une vaste exposition consacrée à l'artiste américain Alexander Calder et aux artistes suisses Peter Fischli et David Weiss, qui ont travaillé en association sous le nom de Fischli/Weiss. Après la grande réussite de la présentation de la « Calder Gallery I-III » (2012-2015) et de notre collaboration avec la Calder Foundation, l'exposition « Alexander Calder & Fischli/Weiss » offre un accès nouveau et singulier à la création de Calder.

Alexander Calder & Fischli/Weiss Fondation Beyeler

Alexander Calder, Apple Monster, 1938, Calder Foundation, New York donation d'Alexander S.C. Rower à la mémoire de Mary Calder Rower, 2015, © 2016 Calder Foundation, New York / ProLitteris, Zurich; Photo: Calder Foundation, New York / Art Resource, New York
Peter Fischli David Weiss, Die Gesetzlosen, 1984, © Peter Fischli David Weiss; Photo: Jason Klimatsas / Fischli Weiss Archiv, Zurich

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alexandre calder tatae londonTate Modern
Bankside,
London SE1 9TG, United Kingdom
Call +44 (0)20 7887 8888
Tate London

11 November 2015 – 3 April 2016  
Tate Modern, Level 3
Supported by Terra Foundation for American Art with additional support from the Performing Sculpture Supporters Circle
Open daily from 10.00 – 18.00 and until 22.00 on Friday and Saturday
For public information call +44 (0)20 7887 8888, visit tate.org.uk, follow @Tate #Calder

Tate Modern presents the UK’s largest ever exhibition of Alexander Calder (1898-1976). Calder was one of the truly ground-breaking artists of the 20th century and, as a pioneer of kinetic sculpture, played an essential role in shaping the history of modernism. Alexander Calder: Performing Sculpture brings together approximately 100 works to reveal how Calder turned sculpture from a static object into a continually changing work to be experienced in real time.

Alexander Calder initially trained as an engineer before attending painting courses at the Arts Students League in New York. He travelled to Paris in the 1920s where he developed his wire sculptures and by 1931 had invented the mobile, a term first coined by Marcel Duchamp to describe Calder’s motorised objects. The exhibition traces the evolution of his distinct vocabulary – from his initial years captivating the artistic bohemia of inter-war Paris, to his later life spent between the towns of Roxbury in Connecticut and Sachéin France.

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Dans le cadre du 50e anniversaire de la Fondation Maeght
Alexander Calder
24 mai – 7 septembre 2014
Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain
Galerie contemporaine
Place Yves Klein – Nice
+ 00 33 (0) 497 13 42 01
www.mamac-nice.org  
Ouvert tous les jours de 10h00 à 18h00 sauf le lundi - entrée libre

« Pourquoi l'art devrait-il être statique ? En regardant une oeuvre abstraite, qu'il s'agisse d'une sculpture ou d'une peinture, nous voyons un ensemble excitant de plans, de sphères, de noyaux sans aucune signification. Il est peut-être parfait mais il est toujours immobile. L'étape suivante en sculpture est le mouvement. » Alexander Calder (1932)

Alexandre Calder  Spirales et cerceaux 1969
Lithographie originale sur chiffon de Mandeure
75 ex. signés et numérotés – Maeght éditeur, Paris 75 x 109,5 cm
Collection Fondation Marguerite et Aimé Maeght, Saint–Paul
© Photo Archives Fondation Maeght, Saint–Paul ©Adagp, Paris, 2014
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ANNE ET PATRICK POIRIER LA CHAMBRE D’ORPHEE

MUSEE JEAN COCTEAU
COLLECTION SEVERIN WUNDERMAN
,
2, quai Monléon 06500 Menton
www.museecocteaumenton.fr
+33 4 89 81 52 50
14 JUIN > 16 NOV 2015
VERNISSAGE PRESSE : SAMEDI 13 JUIN 2015, 15-18 HEURES
VERNISSAGE OFFICIEL : SAMEDI 13 JUIN 2015, 18-20 HEURES

Anne et Patrick Poirier, Valise, 1968, documents publicitaires touristiques de voyages méditerranéens /Italie, carton, papier, 30 x 40 cm (fermée)

La chambre d’Orphée est le titre choisi à dessein par Anne et Patrick Poirier, en écho aux liens subtils unissant leur oeuvre et celle de Jean Cocteau que l’exposition met en lumière.

Ils sont tous trois fins connaisseurs des mythes qui n’ont cessé de nourrir leur imaginaire et passionnés par les méandres de la psyché.

Leur créativité puise aussi bien dans leur histoire personnelle que dans celle du monde, en particulier méditerranéen. Heurtebise, Cégeste, Orphée, Eurydice, Gradiva, Norbert Hanold, Freud sont les figures tutélaires de leurs pérégrinations introspectives dont l’incarnation prend les formes les plus diverses : poésie, théâtre, cinéma et dessin pour Cocteau ; sculpture, installation, peinture, photographie, écriture, vidéo pour Anne et Patrick Poirier.
Anne et Patrick Poirier, Valise, 1968,
documents publicitaires touristiques de voyages méditerranéens
/Italie, carton, papier, 30 x 40 cm (fermée).
© A et P Poirier, courtesy Galerie Mitterrand, photo : Jean-Christophe Lett
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Anonymats d’aujourd’hui
Petite grammaire photographique de la vie urbaine
Du 27 janvier au 1er mai 2016
MUSEE DE L'ELYSEE LAUSANNE
18, avenue de l’Elysée
CH - 1014 Lausanne
T + 41 21 316 99 11
F + 41 21 316 99 12
www.elysee.ch

Quelle place la ville contemporaine donne-t-elle à l’individu ? Il est d’usage de dire que les métropoles actuelles sont anonymes, brassant des masses humaines dans lesquelles le citadin se noie.
L’isolement dans la masse qu’implique l’anonymat urbain n’est pourtant pas uniforme. Facteur d’exclusion lorsque la cité ne souhaite pas reconnaître l’individu – trop pauvre ou trop différent –, il offre également à des millions de gens la liberté de vivre en bonne harmonie les uns à côté des autres.

hans wilschut 

© Hans Wilschut, Network, de la série «Hermetic City», 2015

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Arlette Ginioux
Rétrospective 9 août 2014 - 1er février 2015
Musée Despiau-Wlérick
Place Marguerite de Navarre
Mont de Marsan

www.montdemarsan.fr

Installé dans l’ancien donjon Lacataye, le musée Despiau-Wlérick de Mont
de Marsan possède des collections exceptionnelles de sculpture moderne. Il
accueille régulièrement des expositions monographiques de sculpture. Dans ce cadre, la rétrospective Arlette Ginioux a été programmée, en partenariat étroit avec la galerie Malaquais (Paris). Elle rassemblera 58 sculptures et 135 dessins et peintures.
Héritière de Camille Claudel et Germaine Richier, Arlette Ginioux, comme ses aînées, se réfère à l’humain et aux sentiments sincères. Son écriture stylistique se situe entre tradition et modernité, à l’instar de Robert  Couturier, qui admirait son oeuvre.

 

Image
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ART PRIZE PALLAVICINI

Venerdì 9 settembre 2022 ore 11.00 Palazzo Pallavicini, nel salone delle feste, inaugura la stagione autunnale con l'apertura al pubblico e la conferenza stampa della prima edizione del Premio APP

ART PRIZE PALLAVICINI a cura di Claudia Andreotta e Francesca Bogliolo in collaborazione con Pallavicini srl.

La mostra

App in questa prima edizione ha ricevuto moltissime candidature di Artisti provenienti da tutto il mondo, tra i quali si sono contraddistinti gli Artisti vincitori che esporranno le proprie opere dal 9 al 18 settembre.

Il tema

"la vita intesa nella sua dimensione intima e collettiva, in relazione allo spazio e al tempo"

L'esperienza delle avanguardie storiche in Europa non solo ha trasformato completamente i linguaggi espressivi, ma ha anche abbattuto in modo definitivo la rigida distinzione tra l'arte intesa come puro fenomeno estetico, cristallizzato in canoni ideali, e la vita. Da quel momento, infatti, qualsiasi corrente artistica si pone non solo come innovatrice nel contesto di accademie e musei, ma come portatrice di una volontà di intervento globale: non si "riveste" il reale con uno "stile", ma si procede secondo una Weltanschauung (concezione della vita) che da visione diventa metodo per rifondare l'urbanistica, l'industria, l'istruzione, la moda, persino l'alimentazione, qualunque aspetto della società. L'estetica si unisce all'etica, l'arte alla vita.

Poiché il dibattito artistico odierno è ancora innegabilmente debitore della rivoluzione delle avanguardie, il tema proposto dalla prima edizione del premio APP Art Prize Pallavicini risulta ancora di stringente attualità, tanto da aver richiamato numerosi artisti italiani e internazionali: la Vita e come l'Arte la influenzi e ne sia influenzata con l'invito a  misurare la vita intesa nella sua dimensione intima e collettiva, in relazione allo spazio e al tempo, nelle sue diverse forme ed espressioni, dove quello che conta è il percorso dell'opera e dell'Artista che l'ha concepita. In un caleidoscopio di soluzioni linguistiche (dalla nitida narrativa alle strutture aniconiche, all'iperrealismo) e tecniche (pittura, arazzo, fotografia, assemblaggio...) le opere selezionate  affrontano ogni possibile aspetto del vivere, rappresentando  l'uomo e i  suoi stati d'animo (dolore, inquietudine, serenità...), il suo guardare alla realtà con ironia, con senso di attesa  o con la volontà di andare anche oltre tramite un anelito spirituale; per molti artisti  la vita trascorre attraverso gli oggetti del quotidiano,  che da banali strumenti d'uso si fanno portatori della lirica dell'esistere. Ricorre frequentemente anche la ricerca sul rapporto consapevole con la natura e con l'ambiente, sull'intervento in essi dell'uomo (dalle armonie dell'architettura, all'invadenza dell'industria e della tecnologia), sulla città come luogo privilegiato dell'aggregazione. Non manca tuttavia l'eterno incanto per le bellezze naturali, ritratte nella loro delicata opulenza e indagate sia nelle microscopiche evoluzioni formali della loro costituzione chimico-matematica sia nell'incalcolabile grandezza dell'universo. Un infinito che l'uomo ha tentato di imbrigliare con la geometria, di trasformare con l'ingegneria, di armonizzare con la musica (tutte discipline variamente raffigurate): ma il reale evolve costantemente e l'unico modo per fermare in un attimo infinitesimale questo inarrestabile fluire è l'arte con la sua essenza di doppia riflessione dinamica. Non si tratta solo infatti di un pensiero temporaneo dell'artista fissato in un'opera, ma di tutto il flusso di idee, interrogativi, scoperte che essa può generare nell'osservatore, dell'incontro tra l'arte e la vita e di come (citando nuovamente il testo del bando del premio) l'Arte la influenzi e ne sia influenzata.

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Bombas Gens 20_07_2021 foto Eva Ripoll 016Artist Thomas Hirschhorn starts his critical workshop Energy = Yes! Quality = No!” at Bombas Gens Centre dArt

From October the 27th to November the 21st, everyone, not only art enthusiasts, are welcome to participate in the critical workshop attending one of the two daily sessions conducted from Wednesday to Sunday.

The workshop, open to the public and free of charge, is a work of art in itself and it will constitute a unique and unrepeatable experience.

Under the artistic direction of Sandra Guimarães, it is the first project from the series Presence and Productionthat the artist does in Spain.

Valencia, 28th October 2021. After visiting more than 50 organisations with social, cultural, educational and neighbourhood-oriented purpose throughout three Fieldworks, and inviting the residents of the city of Valencia to participate, artist Thomas Hirschhorn will start his critical workshop “Energy = Yes! Quality = No!” at Bombas Gens Centre d’Art. It will take place from October the 27th to November the 21st, from Wednesdays to Sundays, having the chance of choose between two daily sessions in the morning and in the evening. 

Curated by Sandra Guimarães, it is the first project from the series Presence and Production that the artist does in Spain. In this action, considered as a universal and inclusive artwork, each one of the participants will contribute to the workshop individually with a work made by them (a text, a song, a sculpture, a drawing, etc). Apart from this main requirement, the attendees will have to commit themselves to participate actively throughout the 3 hours that the session will last. This way, each one will be able to create something and be ready to be judged and trust their criterion. Each participant’s contribution is discussed collectively and equally. The work will be judged through questions and debates such as “Is there implication?”, “Is it an event?”, “Are there encounters?”, “Does it create a new term in the arts?”. The critical workshop will have a translator, therefore, all the sessions will be conducted both in English and Spanish.

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Hans Hartung, T 1987-H3, T 1987-H4, 10 mars 1987 (1)
Hans Hartung, T 1987-H3, T 1987-H4, 10 mars 1987 (1) 

Au cœur de l'abstraction
Collection de la Fondation Gandur pour l'Art

Exposition du 2 juillet au 20 novembre 2022

Riche d'une collection de plus de 13 000 œuvres, la Fondation Maeght est toujours curieuse et honorée de présenter d'autres collections, parfois peu accessibles au public, comme elle l'a régulièrement fait par le passé. En cet été 2022, elle dévoile du 2 juillet au 20 novembre près de 120 œuvres de la Fondation Gandur pour l'Art (Genève) et propose une immersion passionnante dans l'abstraction des années 1950 à 1980.

Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, alors que nombre d'artistes européens exilés aux États-Unis reprennent le chemin de la France, Paris redevient une place forte de la création et reprend sa place de capitale culturelle mondiale. Une soif de liberté vissée au corps ainsi qu'un besoin impérieux de repenser la peinture après les années de guerre, des artistes du monde entier retrouvent leurs ateliers abandonnés durant l'occupation allemande et participent à une période d'effervescence créatrice, qu'elle soit artistique, littéraire ou cinématographique. Si les brèches ouvertes par les avant-gardes de la première moitié du XXe siècle restent un ferment important après-guerre, l'art abstrait se renouvelle, de l'expression la plus gestuelle aux questionnements sur la matière, les supports et les techniques.

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Bacon – Giacometti

29 avril – 2 septembre 2018
Fondation BEYELER
Baselstrasse 101
4125 Basel
Suisse
https://www.fondationbeyeler.ch/fr/ 

Avec Alberto Giacometti et Francis Bacon, la Fondation Beyeler présente à partir du 29 avril 2018 deux protagonistes d’exception de l’art moderne, tant amis que rivaux, dont la vision a fortement influencé l’art de la deuxième moitié du 20ème siècle à aujourd’hui. C’est la toute première fois qu’un musée consacre une exposition conjointe à ces deux artistes, éclairant leurs rapports et leurs relations. Aussi différentes que leurs oeuvres puissent sembler à première vue, ce face-à-face inattendu fait apparaître des correspondances surprenantes. L’exposition comprend des oeuvres célèbres des deux artistes, complétées par des oeuvres rarement exposées. A noter plus particulièrement, une série de plâtres originaux en provenance de la succession de Giacometti jamais encore dévoilés au grand public, ainsi que quatre grands triptyques de Bacon. Une salle multimédia propose des aperçus spectaculaires des ateliers des deux artistes. L’exposition est organisée par la Fondation Beyeler en collaboration avec la Fondation Giacometti, Paris.

Le peintre britannique et le sculpteur suisse se sont rencontrés au début des années 1960 au travers d’une amie commune, l’artiste Isabel Rawsthorne. En 1965, leur relation était déjà telle que Bacon avait rendu visite à Giacometti à la Tate Gallery à Londres lorsque ce dernier y installait son exposition. Une série de clichés du photographe anglais Graham Keen documente cette rencontre, montrant les deux artistes en intense conversation. Plus d’un demi-siècle plus tard, les deux artistes sont réunis à la Fondation Beyeler et ce double portrait photographique ouvre l’exposition.

Alberto Giacometti und Francis Bacon, 1965 Tirage gélatino-argentique © Graham Keen

Alberto Giacometti und Francis Bacon, 1965 Tirage gélatino-argentique © Graham Keen

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La galerie Eva Vautier vous invite à l'exposition hors les murs de Ben Vautier

Est-ce que tout est art ?  Ben Vautier         

Galerie Eva vautier
2 rue vernier
06000 Nice
France
Du mardi au samedi de 14h à 19h
et sur rendez-vous
contact: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
tel: 09.80.84.96.73
http://www.eva-vautier.com

ist alles Kunst ?

Le Musée Tinguely , Bâle - Suisse
21 octobre 2015 - 22 janvier 2016
Le Musée Tinguely lui consacre sa première grande rétrospective en Suisse. Outre un retour sur ses 20 premières années artistiques, Ben installe lui-même au Musée Tinguely plus de 30 espaces traitant différents thèmes sociétaux, artistiques et politiques par rapport auxquels il prend ouvertement position. L'exposition montre  en tout plus de 400 oeuvres de cet artiste qui reste inlassablement actif.

ben kunst

Ben ist alles Kunst ?

Courtesy Galerie Eva Vautier

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Ben Vautier Fondation Linda et Guy Pieters Saint Tropez

 

L'ART EST UN VIRUS - Exposition Ben Vautier du 4 juin - 11 octobre 2020

Fondation Linda et Guy Pieters
28 Boulevard Vasserot
(Places des Lices)
83990 Saint-Tropez
+32 484 133 468
https://www.fondationlgp.com/fr
info(at)fondationlgp.com

Ben, de son vrai nom Benjamin Vautier, est un artiste français d’origine suisse, né le 18 juillet 1935, à Naples (Italie), de mère irlandaise et occitane, et de père suisse francophone. Il est le petit-fils de Marc Louis Benjamin Vautier, peintre suisse du XIXe siècle. Il vit ses cinq premières années à Naples. Après la déclaration de guerre, en 1939, Ben et sa mère vont multiplier les voyages : Suisse, Turquie, Égypte, Italie…, pour enfin s’installer à Nice en 1949. Il étudie à l’école du Parc-Impérial et à la pension du collège Stanislas. Sa mère lui trouve un travail à la librairie Le Nain bleu en tant que garçon de course, puis lui achète une librairie-papeterie.

À la fin des années 1950, il la vend pour ouvrir une petite boutique, dont il transforme la façade en accumulant quantité d’objets et dans laquelle il vend des disques d’occasion. Rapidement, sa boutique devient un lieu de rencontres et d’expositions où se retrouvent les principaux membres de ce qui deviendra l’école de Nice : César, Arman, Martial Raysse, etc. Proche d’Yves Klein et séduit par le Nouveau Réalisme, il est convaincu que « l’art doit être nouveau et apporter un choc ».

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Exposition Berenice ABBOTT - Topographies
19 octobre 2018 – 27 janvier 2019

Vernissage > Jeudi 18 octobre 2018 à 19 heures

En présence de Robert Roux, Conseiller municipal délégué au Cinéma, aux Arts dans l’Espace Public, au Pôle de Culture Contemporaine « Le 109 », Subdélégué aux Musées et aux Musiques Actuelles, représentant Christian Estrosi, Maire de Nice, Président de la Métropole Nice Côte d’Azur, Président délégué de la Région SUD-Provence-Alpes-Côte d’Azur

Musée de la Photographie Charles Nègre
1, Place Pierre Gautier – Nice
Du 19 octobre 2018 au 27 janvier 2019, la Ville de Nice vous invite à découvrir l’exposition « Berenice ABBOTT – Topographies » au Musée de la Photographie Charles Nègre. Le vernissage de l’exposition se tiendra le jeudi 18 octobre à 19heures.

L’œuvre de Berenice Abbott (Springfield, USA, 1898 - Monson, USA, 1991) a été décisive et déterminante dans l’Histoire de la Photographie puisqu’elle contribuera à définir une nouvelle conception de ce langage. Autonome parce que délestée de toute référence à la peinture, elle existe alors strictement de et par ses propres spécificités intrinsèques.

Venue à Paris au début des années 1920, formée par Man Ray (Philadelphie, USA, 1890 - Paris, 1976) avant d’ouvrir son propre studio, Berenice Abbott entame avec succès une carrière de portraitiste. Connue, dans les cénacles de l’avant-garde de Paris et New York, des années 20 et 30, pour être une fervente militante en faveur de la reconnaissance de la photographie documentaire comme un art, elle n’aura de cesse de questionner dans son travail, les aspects de réalisme et modernisme. Son œuvre phare et manifeste, représentative de ces préceptes et engagements sera Changing New York (1935 – 1939), vaste entreprise « d’interprétation documentaire » des mutations architecturales auxquelles sera soumise New York dans les années 1930.

Par ailleurs, la figure de Berenice Abbott apparaît à nouveau dans l’Histoire de la Photographie indissociable, et réciproquement d’ailleurs, de celle d’Eugène Atget (Libourne, France, 1857 – Paris, 1927) dont elle aura activement contribué à la reconnaissance de l’œuvre en Europe et aux États-Unis.

Atget, photographe français, rendra compte dès 1890 d’un Paris qui disparaît après la mise en place des grands chantiers Haussmanniens dès la deuxième moitié du XIXe siècle, visant à faire de Paris une ville moderne à l’image de Londres. Atget restera une figure emblématique et de référence pour Berenice Abbott. Son œuvre, qui la précède en est l’amorce, celle d’Abbott, sa résonance.

Dans son ensemble et de manière panoramique, l’œuvre de Berenice Abbott revêt des aspects protéiformes. Il n’en demeure pas moins que les déplacements de ses problématiques et intérêts tout au long de sa carrière depuis la photographie de portrait, puis d’architecture et enfin scientifique, s’effectuent avec logique et cohésion. Elle s’attachera à examiner le langage photographique à travers un prisme, lui donnant une autre dimension et profondeur.

Avec une présentation d’une centaine de photographies et documents, le Musée de la Photographie Charles Nègre offre aux visiteurs un aperçu de l'œuvre de cette artiste majeure.
Cette exposition est réalisée en collaboration avec diChroma Photography, Madrid 

Flatiron Building, Madison Square, New York, 1938 ©Berenice Abbott/ Getty Images Courtesy of Howard Greenberg Gallery New York

Flatiron Building, Madison Square, New York, 1938
©Berenice Abbott/ Getty Images.
Courtesy of Howard Greenberg Gallery, New York

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Bernard Buffet Rétrospective
14 octobre 2016 - 26 février 2017

Musée d’Art moderne de la Ville de Paris
11 Avenue du Président Wilson
75116 Paris
Tel. 01 53 67 40 00
www.mam.paris.fr

Le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris organise une rétrospective de l’oeuvre de Bernard Buffet (1928 - 1999), considéré comme l’un des peintres français les plus célèbres du XXème siècle, mais également l’un des plus discutés. À travers une sélection d’une centaine de peintures, l’exposition propose une relecture d’une oeuvre qui a été en réalité très peu vue.

Parce que le Musée d’Art moderne est le seul musée public possédant une collection importante d’oeuvres de l’artiste (entrée en 1953 par l’important legs Girardin et en 2012 par la donation Ida et Maurice Garnier), il était légitime de réaliser ce projet qui remonte aux premiers contacts pris avec son marchand historique Maurice Garnier (1920 - 2014), il y a près de dix ans, mais que la dimension restée longtemps polémique de l’oeuvre de Bernard Buffet avait retardé.

Aujourd’hui, avec la distance du temps, de nombreux artistes, professionnels et amateurs, reconsidèrent l’oeuvre, ce qu’elle pouvait avoir de déroutant s’étant en partie atténué. En balayant l’ensemble de l’oeuvre dans un parcours rétrospectif, mais très sélectif en raison de la grande productivité de l’artiste, l’exposition montrera la qualité et la variété insoupçonnées de ce qui restera peut-être comme une des oeuvres picturales les plus fascinantes du siècle dernier et dont l’influence sera peut-être une des plus considérables.

Bernard Buffet Autoportrait sur fond noir, 1956 129,3 x 96,8 cm, huile sur toile Collection Pierre Bergé © dominique Cohas

Bernard Buffet
Autoportrait sur fond noir, 1956
129,3 x 96,8 cm, huile sur toile
Collection Pierre Bergé
© dominique Cohas

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BERNARD LORJOU
La Couleur comme un CRI par Junko Shibanuma
Présidente de l’Association Bernard Lorjou

2 Décembre au 12 Février 2017
Château de Tours
Avenue André Malraux
37000 TOURS

Sous ce titre bien expressif, la Ville de Tours organise, en collaboration avec l’Association Bernard Lorjou, une grande rétrospective de Bernard Lorjou dans son Château du 25, avenue André Malraux. Elle aura lieu du 2 décembre 2016 au 12 février 2017 en réunissant une cinquantaine de peintures, quinze dessins et douze portraits photographiques de l’artiste. Belle occasion de découvrir et redécouvrir l’œuvre de cet artiste qui fascine le public à la fois par ses thèmes et par son art haut en couleur.
Né le 9 septembre 1908 à Blois, Bernard Lorjou est un enfant de la douce Vallée de la Loire où les rois de France ont bâti leurs châteaux. Son tempérament est, cependant, loin d’être l’image de cette douceur. C’est un enfant impossible, cancre et bagarreur ;  seule la classe du dessin saura le maintenir en place. A la sortie de l’école communale, ses parents, bien que de condition modeste, le laissent tenter l’examen de l’Ecole des Arts décoratifs de Paris. C’est un échec. Il commence alors, seul, son apprentissage de peintre, dans le Paris des années 20, gagnant sa vie, après plusieurs mois de galère, comme dessinateur chez le soyeux Ducharne. Il y rencontre la femme de sa vie, Yvonne Mottet qui partage avec lui l’aspiration à devenir un grand peintre. Ils entament alors, tous les deux, un long processus d’apprentissage, jusqu’en 1931 où, en visite au Musée du Prado de Madrid, Lorjou est totalement subjugué par la peinture de Goya dont il se réclamera durant toute sa vie.

Bernard Lorjou Pigeons de Montmartre - 1983 Huile et acrylique sur toile 162 x 130 cm

Bernard Lorjou
Pigeons de Montmartre - 1983
Huile et acrylique sur toile 162 x 130 cm 

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Bernard SABRI expose dans ART CAPITAL au Grand Palais

Bernard Sabri exposera au Grand Palais, Salon des Indépendants, dans le cadre d'ART CAPITAL, sous le parrainage du ministère de la Culture :
Vernissage le 11 février / Exposition du 12 au 16 février 2020.

Bernard est un artiste de la photographie numérique. Il explore la photographie par des techniques modernes afin de faire partager ses émotions de l'univers de l'art numérique, où le virtuel et le réel fusionnent, à travers d'œuvres exprimant sa profonde sensibilité à cette récente forme de l’art contemporain.

À travers 4 de ses photocompositions, Bernard s'est engagé dans la lutte contre le réchauffement climatique et œuvre, à sa manière, pour une transition vers une société bas-carbone. Il est persuadé que malgré les promesses des États lors de la COP21, qui a marqué le début d'une nouvelle ère, c’est l’engagement de la société civile, des citoyens, des collectivités et des entreprises qui jouera un rôle majeur qui permettra ainsi d’enclencher le «virage climatique».

La finalité de son travail est de « vous » faire partager, par ses œuvres, ses émotions de l'univers de l'art numérique.

Voir LE MUSEE PRIVE BERNARD SABRI

Image: Vue extérieure de la Fondation Beyeler ; Photo: Mark Niedermann

Communiqué de presse, 22 janvier 2021

Bilan 2020 et perspective 2021 de la Fondation Beyeler:
«Ne jamais subir une crise sans en saisir les opportunités»

Comme pour la plupart des institutions culturelles, l’année 2020 aura été difficile pour la Fondation Beyeler. Le bilan est bien inférieur aux attentes mais aussi nettement supérieur aux craintes. La programmation et le nombre de visiteurs·ses ont été massivement impactés par les fermetures obligatoires du musée, les interdictions de manifestations publiques, les restrictions de voyage et de déplacement et autres mesures administratives rendues nécessaires par la pandémie du coronavirus.
Deux grandes expositions et des centaines d’événements, de visites guidées et d’ateliers ont dû être repoussés ou annulés. Malgré tout, les équipes du musée sont parvenues à proposer sur place et en ligne un programme varié et alléchant. En tant que musée d’art le plus visité de Suisse, malgré ce contexte difficile la Fondation Beyeler a accueilli 291’604 visiteurs·ses en 2020. Les propositions de médiation artistique en ligne ont généré un intérêt record, avec plus d’un million de visites sur le site web et des taux de croissance à deux chiffres sur les réseaux sociaux. Dans l’ensemble, la Fondation Beyeler a relativement bien surmonté cette année de crise, entre autres grâce au succès de l’exposition «Edward Hopper», à la programmation en ligne et à l’investissement artistique du parc du musée.
L’ensemble des 203 collaborateurs·rices ont pu continuer à travailler malgré des épisodes temporaires de chômage partiel.

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Photo RautertLa Fundació Per Amor a l’Art será protagonista en el Círculo de Bellas Artes con White Nights, Timm Rautert, Crazy Horse / Tod Papageorge, Studio 54 de la Colección Per Amor a l’Art.

París y Nueva York, retratadas por Timm Rautert y Tod Papageorge respectivamente. PHotoESPAÑA y Bombas Gens Centre d’Art presentan dos series fotográficas que muestran la vida nocturna durante la década de los setenta en estas dos grandes ciudades. La exposición está comisariada por Sandra Guimarães, Vicent Todolí y Julia Castelló.

Timm Rautert fotografió el cabaret parisino Crazy Horse en 1976 por encargo de la revista alemana ZEITmagazin. Si bien el encargo consistía en retratar del fundador del cabaret, finalmente se publicaron las fotografías que Rautert había hecho a las bailarinas en el camerino durante su visita.

En 1977, un año después de que Rautert fotografiara el Crazy Horse, abrió en Nueva York el mítico club nocturno Studio 54. A pesar de su efímera vida, su fama se disparó a nivel internacional por la cantidad de rostros conocidos que lo frecuentaban, llegando a convertirse en símbolo de la inmoralidad y el libertinaje. Tod Papageorge consiguió acceder a la fiesta de Nochevieja de 1977 para retratar algo más que la ostentación y el glamour, tomando como referencia las imágenes de la vida nocturna parisina de Brassaï en la década de los años 30.

Ambos trabajos funcionan como reportajes periodísticos. El lenguaje documental y testimonial de las fotografías experimenta con la carga de la imagen y la información que puede llegar a ofrecer la fotografía. Sus obras reflejan una búsqueda estética propia del momento y plantean un cuestionamiento de la autenticidad o “verdad” del lenguaje fotográfico como reflejo de la realidad.

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CARMELO ARDEN QUIN CENTRO CULTURAL LA MONEDAGiovedi 6 luglio 2023, alle ore 19,00,

nella Hall Central - Sala Andes - Nivel -3 

del CENTRO CULTURAL LA MONEDA, 

plaza de la Ciudadania 26, Santiago del Cile

(metrò La Moneda), 

sarà inaugurata la mostra MADI: 

CARMELO ARDEN QUIN 

en la trama del Arte Constructivo

L'esposizione, a cura di Maria Cristina Rossi, dottoressa, professoressa 

e studiosa dell'arte latino-americana, è organizzata dal 

MUSEO NACIONAL de BELLAS ARTES dell'ARGENTINA di Buenos Aires

in collaborazione con il CENTRO CULTURAL de LA MONEDA di Santiago del Cile.

La mostra sarà preceduta alle ore 12,00 nella SALA DELLE DECINE /Nivel-2 da un DIALOGO

tra la storica dell'arte MAGDALENA DARDEL e la professoressa MARIA CRISTINA ROSSI sul tema:

CARMELO ARDEN QUIN E LA RELAZIONE CON IL CILE: l'ARTE COSTRUTTIVA e la POESIA.

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Domenica 20 novembre 2022, 
al MUSEO NACIONAL de BELLAS ARTES, 
Av. Del Libertador, 1473 – Buenos Aires - Argentina 
si concluderà la grande esposizione
"CARMELO ARDEN QUIN
en LA TRAMA DEL ARTE CONSTRUCTIVO"
arden quin4h

La mostra, a cura della Prof.ssa Cristina Rossi, e con il patrocinio del Ministero della Cultura Argentina è stata presentata con 100 opere di Arden Quin, messe in dialogo con 63 opere realizzate dai seguenti artisti :

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Ernst Beyeler, 1993. Photo: Kurt Wyss, BâleCommuniqué de presse, 16 juillet 2021
Centenaire de la naissance d’Ernst Beyeler

Le 16 juillet 1921 naissait Ernst Beyeler, fondateur de la Fondation Beyeler. En tant qu’un des galeristes les plus influents de son temps, il a constitué avec son épouse Hildy l’une des plus importantes collections d’art moderne au monde, hébergée depuis 1997 à la Fondation Beyeler dont le bâtiment a été conçu par l’architecte italien Renzo Piano. En tant que co-fondateur d’Art Basel, Ernst Beyeler a fortement contribué au rayonnement culturel international de la ville de Bâle.

Ernst Beyeler est né le 16 juillet 1921 à Bâle. Pendant sa formation commerciale et ses études d’économie et d’histoire de l’art à l’Université de Bâle, il travaille pour le magasin de livres rares et anciens « La Librairie du Château d’Art » d’Oskar Schloss à Bâle, qu’il reprend en 1945 et rebaptise « Galerie Beyeler » en 1952.
Dans les années qui suivent, Ernst Beyeler y organise de nombreuses expositions qui lui valent une renommée croissante à l’international. Des amitiés étroites se nouent avec des artistes tels Pablo Picasso, Alberto Giacometti, Jean Dubuffet, Francis Bacon, Jean Tinguely, Robert Rauschenberg et Bridget Riley.
Dans les années 1980, deux expositions de sculptures qu’organise Ernst Beyeler sous le titre « La sculpture au 20ème siècle » marquent particulièrement les esprits – en 1980 il réunit environ 200 oeuvres d’Auguste Rodin à Richard Serra au Wenkenpark à Riehen et en 1984 220 oeuvres d’Antoine Bourdelle à Joseph Beuys au Merian-Park à Bâle.

Plus de cinquante années durant, Ernst et Hildy Beyeler constituent l’une des plus importantes collections d’art moderne. Aujourd’hui, la collection de la Fondation Beyeler compte plus de 400 oeuvres d’art moderne et contemporain. Elle s’étend de l’impressionnisme et post-impressionnisme, avec des oeuvres de Paul Cézanne, Vincent van Gogh et Claude Monet, en passant par le cubisme, avec Pablo Picasso (qui occupe une place centrale dans la Collection Beyeler) et Georges Braque, à des groupes d’oeuvres majeurs de Joan Miró, Piet Mondrian, Henri Matisse, Alberto Giacometti et Paul Klee. L’expressionnisme américain est fortement représenté avec des oeuvres de Mark Rothko et Barnett Newman. Depuis, l’envergure et la réputation de la collection ne cessent de croître grâce à de nouvelles acquisitions d’artistes de premier plan comme Louise Bourgeois, Marlene Dumas, Jenny Holzer, Roni Horn, Gerhard Richter, Philippe Parreno ou Wolfgang Tillmans. La qualité exceptionnelle de la collection est actuellement donnée à voir dans la présentation « Natureculture », et ce jusqu’au 21 septembre.

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Saloua Raouda Choucair, Fractional Module, détail, 1947-1951 Courtesy Galerie Saleh Barakat © Saloua Raouda ChoucairFoundation Photo © DRElles font l'abstraction
http://www.centrepompidou.fr  
Du 19 mai au 23 août 2021

Commissaire générale :
Christine Macel, conservatrice, cheffe du service création contemporaine et prospective,
Commissaire associée pour la photographie :
Karolina Lewandowska, directrice du musée de Varsovie, Pologne

L’exposition « Elles font l’abstraction » présentée au Centre Pompidou de la réouverture jusqu'au 23 août 2021, propose une relecture inédite de l’histoire de l’abstraction depuis ses origines jusqu’aux années 1980, articulant les apports spécifiques de près de cent dix « artistes femmes ». La commissaire générale Christine Macel et la commissaire associée pour la photographie, Karolina Lewandowska, revisitent cette histoire, tout en mettant en évidence le processus d’invisibilisation qui a marqué le travail des «artistes femmes», à travers un parcours chronologique mêlant arts plastiques, danse, photographie, film et arts décoratifs. Les artistes y sont présentées, selon les termes choisis pour le titre, comme actrices et cocréatrices à part entière du modernisme et de ses suites.

L’exposition présente les tournants décisifs qui ont marqué l’histoire de l’abstraction tout en remettant en cause ses canons esthétiques, sans pour autant en redéfinir un. Il s’agit aussi de dépasser l’idée d’une histoire de l’art conçue comme une succession de pratiques pionnières. En redonnant une place aux « artistes femmes » au sein de cette histoire, l’exposition en démontre la complexité et la diversité. Elle opère tout d’abord une incursion inédite dans le 19e siècle avec la redécouverte de l’oeuvre de Georgiana Houghton datant des années 1860, bouleversant la chronologie des origines de l’abstraction à partir de ses racines spiritualistes. Elle valorise ensuite des figures phares par de mini-monographies mettant en avant des artistes peu montrées en Europe ou injustement éclipsées. Une attention toute particulière est donnée aux contextes spécifiques qui ont entouré, favorisé ou au contraire limité la reconnaissance des « artistes femmes » – des contextes à la fois éducationnels,
sociaux, institutionnels. L’exposition révèle ainsi le processus d’invisibilisation de ces artistes tout en rendant compte de leurs positions, avec leurs complexités et leurs paradoxes.
Beaucoup, comme Sonia Delaunay-Terk, se sont situées au-delà du genre, quand d’autres comme Judy Chicago, ont revendiqué un art « féminin ».

Reférence Image : Saloua Raouda Choucair,
Fractional Module, détail, 1947-1951
Courtesy Galerie Saleh Barakat
© Saloua Raouda ChoucairFoundation
Photo © DR

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Jim DINE - Paris : Reconnaissance
du 14 févr. au 23 avr. 2018
Centre Pompidou
Rue Saint-Martin
75004 Paris

www.centrepompidou.fr 

Artiste et poète américain de renommée mondiale, Jim Dine, né en 1935, rejoint New York en 1958. Il délaisse alors le happening pour la peinture, ses sujets mêlant expressionnisme abstrait et pop, sans se réclamer du mouvement. À l’occasion de l’importante donation faite par l’artiste au Musée national d’art moderne, le Centre Pompidou consacre une exposition inédite à son œuvre.
À travers la peinture et la sculpture sous toutes leurs formes, développant une iconographie puissamment personnelle, l’artiste fait entendre depuis soixante ans sa voix singulière.

Jeudi 15 mars à 19h : House of Words, lecture performance par Jim Dine dans le cadre du cycle In Vivo (Cinéma 2)

Commissaire : Mnam/Cci, Bernard Blistène, Annalisa Rimmaudo
[ in Code Couleur, n°30, janvier-avril 2018, pp. 32-33 ]

Jim DINE A Child in Winter Sings, 2011-2012 Diptyque, Acrylique et sable sur bois 244 x 244 cm  Collection Centre Pompidou Musée National d'Art Moderne Photo Copyright Kerry Ryan McFate Copyright ADAGP, Paris 2018

Jim DINE A Child in Winter Sings, 2011-2012
Diptyque, Acrylique et sable sur bois
244 x 244 cm
Collection Centre Pompidou
Musée National d'Art Moderne
Photo Copyright Kerry Ryan McFate
Copyright ADAGP, Paris 2018

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CÉSAR LA RÉTROSPECTIVE 13 DÉCEMBRE 2017 – 26 MARS 2018 GALERIE 1, NIVEAU 6

La rétrospective de l’oeuvre de César présentée par le Centre Pompidou coïncide avec le vingtième anniversaire de la mort de l’artiste. Illustre dès l’âge de 25 ans, César a vécu plus de cinquante années de création. Il est la dernière figure majeure du Nouveau Réalisme dont l’oeuvre n’a pas encore fait l’objet d’une rétrospective au Centre Pompidou. À travers une centaine d’oeuvres présentées dans la plus vaste de ses galeries d’expositions, le Centre Pompidou propose de découvrir, dans toute son intégrité et sa richesse, le parcours de l’un des plus grands sculpteurs de son temps. Avec les oeuvres majeures les plus célèbres, comme à travers certains cycles plus méconnus, cette rétrospective présente un ensemble inédit à ce jour.

Né à Marseille en 1921, César commence un apprentissage qui le conduit à Paris à l'École nationale supérieure des Beaux-arts. À Paris, il croise entre autres, Alberto Giacometti, Germaine Richier, Pablo Picasso et se mêle à la scène artistique d'alors, côtoyant les artistes de Saint-Germain-des-Prés et de Montparnasse. Très tôt, il se fait remarquer par une technique qui lui est propre et lui apporte la célébrité : ce sont les « Fers soudés », les figures humaines et autres « Vénus » ainsi que le bestiaire qu'il invente, peuplé d'insectes et d'animaux de toutes sortes qui l'amènent à sa première exposition personnelle, galerie Lucien Durand en 1954. Bientôt célèbre, son oeuvre est exposée de Londres à New York.

CESAR Blu Francia 490 1998 Compression d’automobile, tôle peinte 170 × 84 × 80 cm Collection particulière © SBJ / Adagp, Paris 2017 Photo © ASP Alex Soto Photo

CESAR Blu Francia 490, 1998
Compression d’automobile, tôle peinte
170 × 84 × 80 cm
Collection particulière
© SBJ / Adagp, Paris 2017
Photo © ASP Alex Soto Photo

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Charlotte Pringuey-Cessac. Bruit originaire
6 décembre 2019 - 17 mai 2020
MAMAC
Place Yves Klein
06364 Nice cedex 4
Tous les jours sauf le lundi de 11h à 18h
http://www.mamac-nice.org/

Bruit originaire est une invitation à un voyage dans le temps, des premières traces d’occupation humaine à Nice il y a 400 000 ans et du témoignage des pierres taillées laissées par cette communauté, aux expériences menées aujourd’hui par l’artiste Charlotte Pringuey-Cessac pour convoquer la mémoire vibrante de ces vies passées.

La préhistoire, les outils et méthodologies de l’archéologie constituent une source pour son travail, une matière à partir de laquelle elle tisse des expériences et des récits, s’autorisant des vagabondages entre la science et la licence poétique, la trace laissée par l’histoire et sa réinvention contemporaine.

Pensée comme un parcours, son exposition à Nice se déploie du musée de Préhistoire de Terra Amata, épicentre de l’activité de ces premiers hommes, au MAMAC, en passant par la colline du château où, en 2013, fut découverte une sépulture peuplée de restes funéraires datant des XIIe et XIIIe siècles.

Charlotte Pringuey-Cessac, Ligne, 2019 Dessin mural in situ au charbon de bois Dimensions variables © Photo simone Simon/Charlotte Pringuey-Cessac
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Charlotte Salomon Vie ? ou Théâtre ?
5 février au 24 mai 2016

Vernissage >> Jeudi 4 février 2016 à 19 heures
En présence de Christian Estrosi, Député-Maire de Nice et Président de la Métropole Nice Côte d’Azur
& David Foenkinos, écrivain, auteur du roman Charlotte, Prix Renaudot 2014, Prix Goncourt des lycéens 2014
Musée Masséna
65, rue de France - Nice

En 2016, la Ville de Nice commémorera les Années Noires 1940-1944 avec un riche programme de cérémonies, d’hommages, de rencontres avec David Foenkinos et Serge Klarsfeld notamment, un colloque, des projections et une exposition d’une grande force historique et d’une puissance artistique indéniable.

Cette exposition intitulée Charlotte Salomon Vie ? ou Théâtre ?, réalisée en lien avec le  Jewish Historical Museum d’Amsterdam, propose de découvrir des originaux, gouaches, dessins, pastels et archives inédits de Charlotte Salomon. Proposée au Musée Masséna du 5 février au 24 mai 2016, elle sera inaugurée par Christian Estrosi, Député-Maire de Nice et Président de la Métropole Nice Côte d’Azur et  David Foenkinos, écrivain, auteur du roman Charlotte, le jeudi 4 février 2016  à 19 heures.

Un rendez-vous tant attendu
L’œuvre de Charlotte Salomon est restée globalement méconnue en France, malgré deux expositions organisées à Paris, au Centre Georges Pompidou en 1992 et au Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme en 2006. L’année 2014 a marqué un tournant avec la publication du roman Charlotte de David Foenkinos. 2015 a vu la première publication d’une édition intégrale de Vie ? ou Théâtre ? grâce à un éditeur français, Le Tripode.

Charlotte Salomon Musée Masséna Nice
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Christo et Jeanne-Claude Paris ! - 01 Juillet - 19 Octobre 2020

The Centre Pompidou
75191 Paris cedex 04 / T. 00 33 (0)1 44 78 12 33
Metro: Hôtel de Ville, Rambuteau / RER: Châtelet-Les-Halles

Gallery 2, Level 6

Christo & Jeanne-Claude, Paris!, a major exhibition from March 18 to June 15, 2020 in Gallery 2 of the Centre Pompidou, retraces artists Christo and Jeanne-Claude’s years in Paris together, from 1958 to 1964, and the story of The Pont-Neuf Wrapped, Paris, 1975-1985. This exhibition will also be a prelude to L’Arc de Triomphe, Wrapped (Project for Paris, Place de l’Étoile – Charles de Gaulle) which will be on view from September 19 to October 4, 2020 (see page 5).

The seven years Christo lived in Paris were essential to the development of his work as an artist. Christo broke free from the boundaries of the painting, as he began wrapping everyday objects and creating temporary artworks in public spaces. He also began conceiving works of art in monumental dimension, envisioning numerous temporary projects for the city.

Mur provisoire de tonneaux métalliques –  Le Rideau de fer, rue Visconti, Paris, 27 juin 1962  [Temporary Wall of Oil Barrels – The Iron Curtain,  Rue Visconti, Paris, 27 June 1962] © Christo 1962 Photo © Jean-Dominique Lajoux

Mur provisoire de tonneaux métalliques –
Le Rideau de fer, rue Visconti, Paris, 27 juin 1962
[Temporary Wall of Oil Barrels – The Iron Curtain,
Rue Visconti, Paris, 27 June 1962]
© Christo 1962 Photo © Jean-Dominique Lajoux

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Fondation Louis Vuitton
8 Avenue du Mahatma Gandhi,
75116 Paris
https://www.fondationlouisvuitton.fr/fr.html

I. Une rétrospective (1975 – 2020)
II. Crossing views, regards sur un nouveau choix d’oeuvres de La Collection

1er avril – 31 août 2020

I. Une rétrospective (1975– 2020)

Du 1er avril au 31 août 2020, la Fondation présente, sur plus de 1500 m2, la première exposition de Cindy Sherman en France depuis 14 ans : 170 oeuvres - de 1975 à 2020 - soit plus de 300 images articulées par séries parmi lesquelles, Untitled film stills, Rear Screen Projections, Fashion, History Portraits, Disasters, Headshots, Clowns, Society Portraits, Murals, Flappers et une nouvelle série présentant des figures masculines et des couples. Dans une scénographie conçue en étroite collaboration avec Cindy Sherman, cette présentation embrasse l’ensemble de sa carrière, tout en mettant l’accent sur ses travaux réalisés depuis le début des années 2010 jusqu’à un ensemble d’oeuvres très récentes et inédites. La dernière exposition de Cindy Sherman en Europe a eu lieu à la National Portrait Gallery à Londres de juin à septembre 2019.

Cindy Sherman, Untitled #582, 2016 Impression par sublimation thermique sur métal, 137.2 x 178.4 cm Courtesy de l'artiste et Metro Pictures, New York © 2019 Cindy Sherman
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Prochaine exposition : « Est-ce ainsi que les hommes vivent ? » Collection de la Fondation Maeght

16 décembre 2017 - 11 mars 2018

Riche d’une collection figurant parmi les plus importantes d’Europe, la Fondation Maeght réunit un ensemble extraordinaire d’œuvres d’art moderne et contemporain. Après les expositions « 50 artistes, une collection », « Face à l’œuvre » et « Espace, Espaces ! », la Fondation Maeght 1, cet hiver, en proposera une nouvelle lecture, enrichissant, à la suite des artistes A.R. Penck et Eduardo Arroyo, la question de l’humanité et de ses représentations. Son titre « Est-ce ainsi que les hommes vivent ? » est emprunté aux fameux vers de Louis Aragon, mis en musique par Léo Ferré, « … Est-ce ainsi que les hommes vivent Et leurs baisers au loin les suivent … » 2. Plus de 100 œuvres – peintures, sculptures, dessins ou estampes – seront présentées du 16 décembre 2017 au 11 mars 2018 dans un nouvel accrochage d’œuvres construit autour de la dimension humaniste de la collection. Il s’agit donc de l’existence et de l’être humain, de ce que les anglais appellent le « human being », avec ses contradictions, ses combats, ses espérances.

1 Par ailleurs, la collection de la Fondation Maeght a fait l’objet de présentations extramuros, notamment avec les expositions « Les Messagers » et « Vivantes natures » au Château de Biron et « La passion de créer » à l’Art Pavilion de Zagreb.

2 in Louis Aragon, Le Roman inachevé. Collection Poésie / Gallimard. éd. 1966. p. 73. Première édition en 1956.

Marc CHAGALL, L'Opéra, 1954. Lithographie originale en couleurs sur Arches, 39 cm x 28,5 cm. © Adagp, Paris 2017-2018 CHAGALL ®. Photo Archives Fondation Maeght.
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COLLECTORS
DU TABLEAU A L’OBJET
Présentation de la collection du MAMAC

sur les trois étages du musée et dans la galerie contemporaine

21 février – 10 mai 2015
Inauguré en présence de Maître Gérard Baudoux, Adjoint au Maire de Nice, délégué aux musées
et à l’art moderne et contemporain & de l’artiste

Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain (MAMAC)
Place Yves Klein - Nice
www.mamac-nice.org
Le Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain de Nice célèbre ses 25 ans cette année et propose à cette occasion de revenir à un de ses fondamentaux : sa collection. Du 21 février au 10 mai 2015, le MAMAC propose ainsi, COLLECTORS, une exposition qui présente un éventail de plus de 200 œuvres majeures représentant un quart de sa collection permanente.

Ce projet exploite la totalité de l’espace du MAMAC, soit plus de 3.500 m² sur trois niveaux, et prend le parti d’une seule et grande exposition qui explore quelques-uns des grands thèmes de l’art des années 1960 à nos jours.

À l’image d’une politique d’acquisition menée depuis trente ans, l’exposition développe l’axe France/États-Unis, les abstractions des années 1960 et 1970, françaises et américaines, la création azuréenne et les grandes personnalités internationales croisées au gré de rencontres ou d’expositions réalisées pour le musée.

 Collectors Mamac Nice

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Lors de la conférence de presse au sujet de la nouvelle étape dans la reconversion du site des anciens Abattoirs de Nice, Christian Estrosi, Député-Maire de Nice, Président de la Métropole Nice Côte d'Azur, a présenté les travaux d'aménagement engagés pour permettre l'installation des plasticiens et des compagnies d'art vivant, hébergés jusqu'à présent dans la halle SPADA (le collectif de l'ENTREPONT - représenté par Frédéric ALEMANI - et 29 plasticiens - représenté par Florent MATTEI) sur le site des anciens Abattoirs de Nice.
 

 

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Du mercredi 17 octobre 2018 au lundi 25 février 2019
Centre Georges-Pompidou
Place Georges-Pompidou 75004 Paris 4e
Métro : Rambuteau (11)
RER : Chatelet - Les Halles (A/B/D)
Réservation : 01.44.78.12.33
Site web : www.centrepompidou.fr

Le Centre Pompidou propose une traversée inédite et un panorama complet de l’un des mouvements fondateurs de l’histoire de l’art moderne : le cubisme (1907-1917).
Première exposition consacrée au cubisme en France depuis 1953, le projet trouve son originalité dans la volonté de renouveler et d’élargir à d’autres artistes la vision traditionnellement concentrée sur ses deux inventeurs, Georges Braque et Pablo Picasso. Ces pionniers, bientôt suivis par Fernand Léger et Juan Gris, réservaient leurs créations expérimentales et novatrices à la très confidentielle galerie d’un jeune marchand alors inconnu, Daniel-Henry Kahnweiler, quand des artistes tels Albert Gleizes, Jean Metzinger, Francis Picabia, Marcel Duchamp, Robert et Sonia Delaunay assuraient à l’époque la diffusion du mouvement auprès de la critique et du public en participant aux Salons parisiens. L’exposition met ainsi en valeur la richesse, l’inventivité et le foisonnement de ce mouvement qui ne se limite pas uniquement à la géométrisation des formes et au rejet de la représentation classique mais dont les recherches radicales et l’énergie créatrice de ses membres sont aux sources de l’art moderne.

Riche de 300 oeuvres et de documents significatifs du rayonnement du cubisme, l'exposition est articulée chronologiquement en quatorze chapitres. S'en détachent des chefs-d’oeuvre, comme le Portrait de Gertrude Stein (1906) ou ceux d'Ambroise Vollard (1909) et Daniel-Henry Kahnweiler (1910) par Picasso ainsi que des ensembles de peintures et de sculptures jamais réunies. Le parcours de l'exposition vise à mettre en valeur l’évolution à rebondissements du cubisme en remontant aux sources primitivistes et à la fascination des cubistes pour Gauguin et Cézanne. Il reflète la progression formelle du mouvement, d’une première étape cézannienne - illustrée par la présence de l’exceptionnelle nature morte de Picasso Pains et compotier sur une table (1909) - vers une transcription analytique hermétique (1910-1912) puis transformée en version plus synthétique (1913-1917), qui marque ainsi le retour de la représentation et de la couleur.

Juan Gris Le Petit Déjeuner, octobre 1915 Huile et fusain sur toile, 92 x 73 cm Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris © Centre Pompidou, MNAM-CCI/ Philippe Migeat/Dist. RMN-GP
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Images: (1) David Hockney, A Year in Normandie (detail), composite iPad painting, © David Hockney  (2) Tapisserie de Bayeux, XIème siècle © Bayeux MuseumArtist David Hockney presents “his” Normandy at the Bayeux Tapestry Museum
Exhibition - A Year in Normandie

From 22 September 2022 to 23 April 2023
(Winter closure in January 2023)

When British artist David Hockney arrived in Normandy in 2019, he became fascinated by the unfolding scenes of the Bayeux Tapestry, and resolved to draw from this inspiration in order to create a large scale narrative, depicting the cycle of seasons. As the world stood still during the successive lockdowns, Hockney depicted in the manner of the Impressionists the effects of light in the Norman skies and the arrival of spring around him. Confined in his typical half-timbered house of the Pays d’Auge, he captured the blossoming of nature and painted its variations with bright and colourful hues using the digital brushes of his IPad – a technology he has been using for the past twelve decade.

An exhibition of David Hockney’s famous work “A Year in Normandie” will begin at the Bayeux Tapestry Museum this autumn. The original work, recently presented in the main gallery of the Musée de l’Orangerie in Paris, takes the form of a 90 meter long frieze celebrating the arrival of spring in the Normandy countryside. Painted on an IPad, it was greatly inspired by the thousand-year-old narrative embroidery. From September, the Bayeux exhibition will bring Hockney’s frieze and its muse together in an unprecedented face-à-face, in the form of half scale reproductions of the monumental works shown on the second floor of the museum.

This dialogue between the famous embroidery (11th century) and David Hockney’s imposing frieze will allow visitors to immerse themselves in the two narratives simultaneously. Visitors will thus be able to observe and compare the stylised representations of trees in the Tapestry with the fruit trees in the artist’s orchard. “If you look closely, the two masterpieces, with admittedly very different artistic techniques, immortalise a specific moment in time. Both freeze-frame a conquest: that of a Norman Duke in England in the 11th century for one, and that of nature in Normandy and its constant renewal regardless of human turmoil for the other,” explains Antoine Verney, curator of the Museums of Bayeux.

Images: (1) David Hockney, A Year in Normandie (detail), composite iPad painting, © David Hockney (2) Tapisserie de Bayeux, XIème siècle © Bayeux Museum

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Le Centre Pompidou en collaboration avec la Tate Britain de Londres et le Metropolitan Museum de New York présente la plus complète exposition rétrospective consacrée à l’œuvre de David Hockney.
David Hockney
Expositions
21 juin 2017 - 23 octobre 2017
de 11h à 21h ou de 11h à 23h
Centre Pompidou, Paris
https://www.centrepompidou.fr/

L’exposition célèbre les 80 ans de l’artiste. Avec plus de cent soixante peintures, photographies, gravures, installation vidéo, dessins, ouvrages... incluant les tableaux les plus célèbres de l’artiste tels les piscines, les double portraits ou encore les paysages monumentaux.., l’exposition restitue l’intégralité du parcours artistique de David Hockney jusqu’à ses œuvres les plus récentes.

L’exposition s’attache particulièrement à l’intérêt de l’artiste pour les outils techniques de reproduction et de production moderne des images. Animé par un désir constant de large diffusion de son art, Hockney a, tour à tour, adopté la photographie, le fax, l’ordinateur, les imprimantes et plus récemment l’I Pad : « la création artistique est un acte de partage ».

L’exposition s’ouvre avec les œuvres de jeunesse, réalisées par Hockney à l’école d’art de sa ville natale de Bradford. Images d’une Angleterre industrieuse, elles témoignent de l’empreinte sur le jeune peintre du réalisme âpre, prôné par ses professeurs adeptes du réalisme social du mouvement du Kitchen sink. De l’école d’art de Bradford au Royal College of Art de Londres, Hockney découvre, assimile la traduction anglaise de l’expressionisme abstrait élaborée par Alan Davie. De l’œuvre de Jean Dubuffet, il retient une stylistique (celle du graffiti, de l’art naïf..;) qui satisfait son projet de produire un art éloquent et socialement, universellement accessible. Chez Francis Bacon, il puise l’audace d’une expression qui aborde explicitement la question de l’homosexualité. Sa découverte de l’œuvre de Picasso achève de le persuader qu’un artiste ne saurait se limiter à un style donné. Il intitule une de ses premières expositions : Démonstration de versatilité.

 

David Hockney Exposition Centre Pompidou
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Edward Hopper, The Lee Shore, 1941, huile sur toile, 71,7 x 109,2 cm, The Middleton Family Collection; © Heirs of Josephine Hopper / 2019, ProLitteris, Zurich; Photo: © 2019. Photo Art Resource/Scala, Florence
Edward Hopper, The Lee Shore, 1941, huile sur toile, 71,7 x 109,2 cm, The Middleton Family Collection;
© Heirs of Josephine Hopper / 2019, ProLitteris, Zurich; Photo: © 2019. Photo Art Resource/Scala, Florence

Plus que quelques jours: l'exposition «Edward Hopper» à la Fondation Beyeler prend fin le 20 septembre 2020

L'exposition «Edward Hopper», grand succès public à la Fondation Beyeler à Riehen/Bâle, touche à sa fin. Plus de 200'000 visiteurs·ses ont pu voir les œuvres de cet artiste américain majeur, auquel la crise du coronavirus a conféré une actualité inattendue – dans la presse et sur les réseaux sociaux, Hopper s'est vu qualifié fréquemment de «peintre du moment». Ses paysages emblématiques des années 1909 à 1965 sont à voir à la Fondation Beyeler jusqu'au 20 septembre 2020. Pour la dernière soirée de cette exposition plébiscitée par le public, la Fondation Beyeler prévoit dimanche 20 septembre un horaire d'ouverture étendu à 21h, un bar à boissons et de la musique live dans le Pavillon du Berower Park.

Edward Hopper (1882–1967) compte parmi les artistes majeurs du 20ème siècle. Connu en Europe principalement pour ses peintures à l'huile de scènes de la vie urbaine, dont certaines ont acquis une popularité exceptionnelle, jusqu'à présent ses paysages avaient reçu moins d'attention. Étonnamment, aucune exposition importante n'avait encore été consacrée au regard porté par Hopper sur le paysage américain. C'est par ailleurs la première fois qu'une exposition est consacrée à Edward Hopper en Suisse alémanique. Initialement programmée jusqu'au 17 mai et prolongée jusqu'au 20 septembre, la vaste exposition de la Fondation Beyeler présente des peintures de paysage emblématiques de Hopper ainsi qu'une sélection d'aquarelles et de dessins.

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Pablo Picasso (1881-1973). Susanna and the Elders. Nice, summer 1955. Fundación Almine y Bernard Ruiz-Picasso para el Arte, Madrid. On temporary loan to the Museo Picasso Málaga © FABA photo: Hugard & Vanoverschelde Photography © Sucesión Pablo Picasso, VEGAP, Madrid, 2020
Pablo Picasso (1881-1973). Susanna and the Elders. Nice, summer 1955. Fundación Almine y Bernard Ruiz-Picasso para el Arte,
Madrid. On temporary loan to the Museo Picasso Málaga © FABA photo: Hugard & Vanoverschelde Photography
© Sucesión Pablo Picasso, VEGAP, Madrid, 2020
 

MUSEO PICASSO MÁLAGA
Palacio de Buenavista C/ San Agustín, 8
29015 Málaga, Spain

https://www.museopicassomalaga.org/en

By periodically refreshing, and thus revising, its permanent collection, Museo Picasso Málaga is in a way following in the footsteps of Picasso himself, who innovated constantly with his art throughout his life. With its thematic and chronological layout, this new exhibition narrative in the Palacio de Buenavista will enable visitors to acquire a deeper knowledge of Pablo Picasso’s artistic career by grouping his works together in a way that helps them to understand his artistic processes. This is the sixth transformation of the exhibition rooms of the Palacio de Buenavista since the museum first opened in 2003, thanks to the negotiations that took place to ratify the agreement between the Consejería de Cultura y Patrimonio de la Junta de Andalucía and Fundación Almine y Bernard Ruiz-Picasso para el Arte (FABA), which has been renewed for three more years, during which time a total of 162 works by Picasso will be added to the 233 works MPM holds in its own collection.

The new layout of the exhibition rooms owes its unique features to an innovative scenographic layout in the museum spaces. There are 44 paintings, 49 drawings, 40 graphic works, 10 sculptures, 17 ceramics, 1 tapestry and 1 linocut plate. With the 233 works belonging to Museo Picasso Málaga and these 162 from Fundación Almine y Bernard Ruiz-Picasso para el Arte (FABA), the collection will hold almost four hundred works by Pablo Picasso, dating from between 1894 and 1972, of which 120 will be on display in the Palacio de Buenavista. These works build a story that begins with Picasso’s formative years and continues through the most representative periods of the artist’s career.

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SFMOMA PRESENTS DIANE ARBUS: IN THE BEGINNING IN THE NEW PRITZKER
CENTER FOR PHOTOGRAPHY JANUARY 21–APRIL 30, 2017

San Francisco Museum of Modern Art
151 Third Street
San Francisco, CA 94103

https://www.sfmoma.org/

SAN FRANCISCO, CA (October 27, 2016)—The San Francisco Museum of Modern Art (SFMOMA) will present the West Coast debut of the acclaimed exhibition diane arbus: in the beginning, on view January 21 through April 30, 2017. Organized by The Metropolitan Museum of Art, diane arbus: in the
beginning considers the first seven years of the photographer’s career, from 1956 to 1962. Bringing together over 100 photographs from this formative period, many on display for the first time, the exhibition offers fresh insights into the distinctive vision of this iconic American photographer. The exhibition will be on view in the museum’s new Pritzker Center for Photography, made possible by the Lisa and John Pritzker Family Fund. SFMOMA is the only American venue other than The Metropolitan Museum of Art to present this exhibition.

A lifelong New Yorker, Diane Arbus (1923–1971) found the city and its citizens an endlessly rich subject for her art. Working in Times Square, the Lower East Side and Coney Island, she made some of the most powerful portraits of the 20th century, training her lens on the pedestrians and performers she
encountered there. This exhibition highlights her early and enduring interest in the subject matter that would come to define her as an artist. It also reveals the artist’s evolution from a 35mm format to the now instantly recognizable and widely imitated look of the square format she adopted in 1962.

Diane Arbus, Stripper with bare breasts sitting in her dressing room, Atlantic City, N.J © The Estate of Diane Arbus, LLC. All rights reserved.

Diane Arbus, Stripper with bare breasts sitting in her dressing room, Atlantic City, N.J
© The Estate of Diane Arbus, LLC. All rights reserved.

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Altesse ; Majesté ;

Messieurs les Présidents ;

Mesdames et Messieurs les Ministres ;

Mesdames et Messieurs.

Au moment d'inaugurer le Louvre Abu Dhabi aux côtés de mon ami le Prince héritier Mohamed BIN ZAYED, que je remercie très chaleureusement pour son invitation, une phrase me revient qui semble définir ce qui nous unit aujourd'hui. Cette phrase n’est ni de votre culture ni tout à fait de la mienne, c'est la phrase prononcée par le personnage d'un roman russe, un personnage de Dostoïevski qui dit « la beauté sauvera le monde ». Et il serait naturel que je vous parle de culture, d'éducation, de civilisation mais un mot s'impose d'abord à nous ce soir qui sommes réunis, c'est précisément celui de beauté.

Elle est le cœur et le fondement de la culture. Elle est la raison d'être de l'Education. Elle connaît plusieurs formes, plusieurs expressions, elle s'est parfois alliée au bon de manière indéfectible. Elle est une recherche permanente, une poursuite. Elle a ceci de commun que nous la reconnaissons quand nous la voyons. Elle nous frappe en plein cœur quand nous la croisons.

Alors aujourd'hui ce qui nous réunit ici, ce qui, quelles que soient les vicissitudes du temps présent qui est le nôtre et quel que soit l'ampleur de nos défis, ce qui me rend optimiste, c'est que nous sommes au milieu de cette beauté qui sauvera le monde.

Aujourd’hui en ces lieux, c'est elle qui nous accueille. D'abord parce que Jean NOUVEL et son équipe ont conçu ici un lieu qui va rayonner vers le monde entier. Cette ville-musée abritée par un dôme monumental qui multiplie les jeux de lumière, cette ville qui est aussi une île où l'eau miroite et se reflète, ce musée composé de petites maisons rappelant les villages émiriens ; tout cela, cet entrelacs du dedans et du dehors, du lieu clos et toujours ouvert ; tout cela constitue un ensemble où l'œil à chaque détour s'émerveille parce que cette complexité infinie, ce chef d'œuvre d'architecture réveillent des émotions profondes, parce qu'il y a là quelque chose qui rappelle les édifices sacrés du monde entier. Vous avez construit, cher Jean NOUVEL, un temple pour la beauté, ici.

Ce lieu si sophistiqué et si simple à la fois accueille des œuvres d'exception. C'est le génie de l'humanité qui converge ici à travers ses plus grands artistes ; et pour un pays comme la France - je dois vous l'avouer - cher Prince héritier, cher ami, pour un pays comme la France se séparer - même sous forme de prêt - de quelques une de ses plus belles œuvres ne va pas de soi. C'est une forme de torture, et vous l'avez compris tout au long du périple que nous venons de partager, pour les conservateurs qui ont contribué à ce projet, pour les ministres, et je dois bien le dire aussi, pour le président.

Photo du Président de la République Emmanuel Macron

Photo du Président de la République Emmanuel Macron
Courtesy Présidence de la République
Source site http://www.elysee.fr

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Dora Maar
Tate Modern
Bankside
London SE1 9TG
https://www.tate.org.uk/
20 November 2019 – 15 March 2020
Open daily 10.00 – 18.00 and until 22.00 on Friday and Saturday
For public information call +44(0)20 7887 8888, visit tate.org.uk or follow @Tate #DoraMaar

Tate Modern presents the first UK retrospective of the work of Dora Maar (1907–97) whose provocative photographs and photomontages became celebrated icons of surrealism. Featuring over 200 works from a career spanning more than six decades, this exhibition shows how Maar’s eye for the unusual also translated to her commercial commissions, social documentary photographs, and paintings – key aspects of her practice which have, until now, remained little known.

Born Henriette Théodora Markovitch, Dora Maar grew up between Argentina and Paris and studied decorative arts and painting before switching her focus to photography. In doing so, Maar became part of a generation of women who seized the new professional opportunities offered by advertising and the illustrated press. Tate Modern’s exhibition opens with the most important examples of these commissioned works. Around 1931, Maar set up a studio with film set designer Pierre Kéfer specialising in portraiture, fashion photography and advertising. Works such as The years lie in wait for you c.1935 – believed to be an advertising project for face cream that Maar made by overlaying two negatives – reveal Maar’s innovative approach to constructing images through staging, photomontage and collage. Striking nude studies such as that of famed model Assia Granatouroff also reveal how women photographers like Maar were beginning to infiltrate relatively taboo genres such as erotica and nude photography.

Dora Maar, 1907-1997 The years lie in wait for you c. 1935 Photograph, gelatin silver print on paper 355 × 254 mm The William Talbott Hillman Collection© ADAGP, Paris and DACS, London 2019

Dora Maar, 1907-1997
The years lie in wait for you c. 1935
Photograph, gelatin silver print on paper 355 × 254 mm
The William Talbott Hillman Collection
© ADAGP, Paris and DACS, London 2019

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Exhibition Dates: November 15, 2017–February 4, 2018
Exhibition Location:The Met Breuer, Floor 3
The Met Fifth Avenue
1000 Fifth Avenue
New York, NY 10028
Phone: 212-535-7710
https://www.metmuseum.org/

Although Norwegian artist Edvard Munch (1863–1944) attained notoriety early in his career for his haunting depictions of human anxiety and alienation that reflected modern experience, he believed that his artistic breakthrough occurred around 1913 at the age of 50.Throughout his career, Munch regularly revisited subjects from his earlier years, exploring them with renewed inspiration and intensity. Self Portrait: Between the Clock and the Bed (1940–43) was one of his final such works and it serves as a lens to reassess Munch's oeuvre. Opening November 15 at The Met Breuer, the exhibition Edvard Munch: Between the Clock and the Bed will feature 43 of the artist's compositions created over a span of six decades, including 16 self-portraits and works that have never before been seen in the United States.
The exhibition is made possible by Leonard A. Lauder.

It is supported by an Indemnity from the Federal Council on the Arts and the Humanities.

It is organized by The Metropolitan Museum of Art, New York; the San Francisco Museum of Modern Art; and The Munch Museum, Oslo.

Edvard Munch. Self-Portrait between the Clock and the Bed (detail), 1940-43. Oil on canvas. Munch Museum, Oslo © 2017 Artists Rights Society (ARS), New York. Photo © Munch Museum

Edvard Munch. Self-Portrait between the Clock and the Bed (detail), 1940-43.
Oil on canvas. Munch Museum, Oslo © 2017
Artists Rights Society (ARS), New York.
Photo © Munch Museum

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La Fondation Beyeler rouvre ses portes le lundi 11 mai 2020.

Les expositions «Edward Hopper» et «Voir le silence – Images de quiétude» sont prolongées jusqu'au 26 juillet, l'exposition «Goya» est reportée.

À partir du lundi 11 mai, la Fondation Beyeler sera à nouveau ouverte tous les jours. Les visiteurs pourront y retrouver l'exposition consacrée au grand artiste américain Edward Hopper ainsi que la présentation de la collection «Voir le silence – Images de quiétude». Avec la crise du coronavirus, les deux expositions ont soudainement et dramatiquement gagné en actualité. En raison de l'intérêt du public, elles sont prolongées jusqu'au 26 juillet 2020. Les billets peuvent être réservés en ligne à partir du jeudi 7 mai sur www.fondationbeyeler.ch . La Fondation Beyeler a élaboré un plan de protection complet pour ses visiteurs et ses collaborateurs afin de mettre en œuvre de manière optimale les mesures de l'ordonnance COVID-19 de la Confédération. Ainsi, le nombre de visiteurs sera limité au moyen de billets en ligne à créneau horaire déterminé et la circulation des visiteurs dans le parc et dans le musée est réaménagée, avec des points distincts d'entrée et de sortie. Tous les événements sont annulés jusqu'à nouvel ordre, Les visites guidées se tiendront sous forme réduite en dehors des horaires d'ouverture. La grande exposition «Goya», dont l'ouverture était prévue le 15 mai, est reportée. Une nouvelle date sera communiquée en juin.

 

Edward Hopper, Cape Cod Morning, 1950, huile sur toile, 86,7 x 102,3 cm, Smithsonian American Art Museum, Gift of the Sara Roby Foundation; © Heirs of Josephine Hopper / 2019, ProLitteris, Zurich; Photo: Smithsonian American Art Museum, Gene Young

Edward Hopper, Cape Cod Morning, 1950,
huile sur toile, 86,7 x 102,3 cm,
Smithsonian American Art Museum,
Gift of the Sara Roby Foundation;
© Heirs of Josephine Hopper / 2019, ProLitteris, Zurich;
Photo: Smithsonian American Art Museum, Gene Young
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MUSÉE MENDJISKY
ÉCOLES DE PARIS
Présente
15 Square de Vergennes - Paris XV
Contact presse : 01 47 07 98 31
info(at)fmep.fr
www.fmep.fr
ÉMILE SAVITRY
Un photographe de Montparnasse
8 juin - 5 octobre 2016

Réunies pour la première fois dans un seul lieu, deux expositions de photographies d’Émile Savitry (1903-1967), l’une monographique, l’autre thématique sont présentées au Musée Mendjisky-
Écoles de Paris du 8 juin au 5 octobre 2016. Elles dévoilent les différentes facettes de l’oeuvre de ce photographe au regard de peintre, proche des surréalistes, ami de Brassaï et de Prévert, amateur de jazz qui suivit toute sa vie une route buissonnière.

Emile Savitry Nu de l'Académie de la Grande Chaumière à Montparnasse, Paris, 1950-1951

Photo Emile Savitry Nu de l'Académie de la Grande Chaumière
à Montparnasse, Paris, 1950-1951
Courtesy Sophie Malexis
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Émile Verhaeren (1855-1916)
Poète et Passeur d’Art
MUSEE DES AVELINES
Du 15 octobre 2015au 6 mars 2016
60, rue Gounod - Saint-Cloud
Site du Musée des Avelines Saint-Cloud

Du 15 octobre 2015 au 6 mars 2016, le musée des Avelines consacre une exposition à Émile Verhaeren (1855–1916) afin de redécouvrir, à l’approche du centenaire de sa mort, ce critique d’art, ami des artistes et poète flamand d’expression française qui vécut les seize dernières années de sa vie à Saint Cloud.

L’ exposition a pour ambition de mettre en lumière cette personnalité qui fut l’un des acteurs les plus importants de la vie artistique au tournant des XIXe et XXe siècles.
Figure majeure de la scène artistique et littéraire, il fit connaître en Belgique de nombreux artistes postimpressionistes français comme Eugène Carrière, Henri-Edmond Cross, Paul Signac, Georges Seurat, Odilon Redon et Auguste Rodin. Son cercle littéraire se compose, lui, de figures comme André Gide, Stéphane Mallarmé, Rainer Maria Rilke, Paul Verlaine ou encore Stefan Zweig avec qui il entretint de passionnantes correspondances.

affiche exposition Emile Verhaeren Musée des Avelines Saint-Cloud

Émile Verhaeren en redingote rouge, Georges Tribout (1884-1962)
Huile sur toile, 1907. Coll. Musée Émile Verhaeren, Sint-Amands, Belgique
© Musée Verhaeren, Sint-Amands

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Ernest Pignon-Ernest
Du mur au livre de l’éphémère à l’éternité
1er octobre 2016 – 8 janvier 2017

Bibliothèque Louis Nucéra
2, place Yves Klein – Nice
Mardi-mercredi  10h-19h -  Jeudi-vendredi  14h-19h
Samedi 10h-18h
Dimanche 14h-18h
entrée libre
Au moment où l’exposition de l’église abbatiale de Saint-Pons s’achève, la bibliothèque Louis Nucéra prend le relais, selon le souhait de l’artiste maintes fois exprimé, en célébrant tout un pan de l’œuvre d’Ernest Pignon-Ernest,  sa collaboration avec les hommes et femmes de lettres. En effet, loin de se limiter à la fréquentation des milieux artistiques, Ernest Pignon-Ernest, depuis sa jeunesse, aime fréquenter écrivains, poètes, romanciers, philosophes et penseurs : plus d’une cinquantaine de ces auteurs, ses amis pour la plupart, l’ont honoré dans Face aux murs : Ernest Pignon-Ernest paru chez Delpire en 2010. C’est ce long et intense compagnonnage que la bibliothèque se propose de révéler au public.

Par une exposition rassemblant la série des 19 portraits de poètes dont les reproductions orneront le livre d’André Velter, Ceux de la poésie vécue, des ouvrages de bibliophilie ainsi que les livres de et sur l’artiste, en particulier  ceux illustrant tous ses combats depuis les années 70 et dont Ernest Pignon-Ernest a composé la couverture.

Ernest Pignon Ernest Bibliothèque Louis Nucéra Nice
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VERNISSAGE de l'exposition
Ernest Pignon-Ernest
Par Christian Estrosi, Président de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur, Président de la Métropole Nice Côte d'Azur
& Philippe Pradal, Maire de Nice

En présence de l'artiste
Vendredi 24 juin 2016 à 19h00
MAMAC
Place Yves Klein - Nice

Vernissage de l'exposition à l'église Abbatiale de Saint-Pons le lundi 27 juin 2016 à 17h00

La Ville de Nice accueille cet été une grande exposition rétrospective d'Ernest Pignon-Ernest au MAMAC. L'artiste investira également l'église abbatiale de Saint-Pons avec la présentation des "Extases". Initiateur de l'art urbain en France, Ernest Pignon-Ernest est né à Nice en 1942.

Du plateau d'Albion à Certaldo, de Charleville à Paris, de Naples à Alger, de Nice à Soweto, du Chili à la Palestine, depuis 1966, Ernest Pignon-Ernest change les rues du monde en oeuvre d'art éphémère. Il a ainsi préfiguré nombre d'expériences artistiques qui sollicitent l'espace public. Considéré comme le précurseur de l'art urbain, il est aujourd'hui une figure incontournable et populaire de la scène artistique. Unique par sa tenue éthique et esthétique, son parcours quelque soit les thèmes abordés, a réussi le rare prodige de concilier un engagement sans concession ni reniement avec une expression artistique d'une extrême exigence, au point que certaines de ses images, notamment les fusillés de la Commune, ou son Rimbaud vagabond reproduit à des milliers d'exemplaires, sont devenues de véritables icônes des temps modernes.

 

Ernest Pignon-Ernest, Parcours Jean Genet, port de Brest, juin 2006 - sérigraphie en situation  © ADAGP, Paris, 2016 Courtesy MAMAC NICE

Ernest Pignon-Ernest, Parcours Jean Genet,
port de Brest, juin 2006 - sérigraphie en situation
© ADAGP, Paris, 2016 Courtesy MAMAC NICE

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© Ben Vautier, être libre – droits réservés
© Ben Vautier, être libre – droits réservés

galerie eva vautier
Hors les murs

Être libre BEN
Domaine Départemental de Chamarande
Derniers jours
Exposition jusqu'au 11 octobre 2020

Commissariat de l'exposition Eva Vautier

Pour le Domaine départemental de Chamarande, Ben rassemble plus de 400 œuvres, issues pour la plupart de sa collection personnelle, mais aussi de collections particulières.
L'exposition « Être libre » révèle les multiples facettes d'un artiste iconoclaste et provocateur qui récuse la pensée unique depuis plus de 50 ans. Elle permet de découvrir son œuvre dans toute sa complexité et ses contradictions, son ampleur joyeuse et son foisonnement, qui traversent tous les champs de l'art et de la vie.
Une partie historique présente une sélection d'œuvres significatives des années 1958 à 1978.

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Alors que les éditions Skira publient un catalogue raisonné de l’oeuvre gravé d’Antoni Clavé, la Bibliothèque nationale de France expose,
du 9 janvier au 25 février 2018, un ensemble d’estampes de l’artiste, témoins de la grande richesse technique et stylistique de son oeuvre.
Peintre-graveur majeur du XXe siècle, Antoni Clavé trouve dans l’estampe une pratique complémentaire indispensable à sa peinture.
La publication de Skira ainsi que l’exposition de la Bibliothèque nationale de France invitent le public à découvrir ou redécouvrir cet artiste singulier qui occupe une place à part dans l’histoire de l’art français, espagnol et catalan de la seconde moitié du XXe siècle.

Organisée à l’occasion de la donation de 92 estampes consentie par les petits-enfants de l’artiste, l’exposition que propose la Bibliothèque nationale de France offre un panorama de l’oeuvre gravé d’Antoni Clavé. Une cinquantaine d’oeuvres de 1955 à 1995 retracent quarante ans d’un parcours d’une grande richesse technique et stylistique. Lithographies, eaux-fortes, aquatintes, gravures au carborundum, gaufrages, collages et kraft lithographié permettent d’appréhender une facette de l’oeuvre de ce créateur inclassable.

 

Affiche Antoni Clave BnF
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Exposition Balthus
2 septembre 2018 – 1er janvier 2019

FONDATION BEYELER
Baselstrasse 101
CH-4125 Riehen/Basel
Tél. +41 61 645 97 00
Fax +41 61 645 97 19
https://www.fondationbeyeler.ch/fr/ 
E-Mail: info(at)fondationbeyeler.ch

Avec l’exposition Balthus, la Fondation Beyeler présente l’un des derniers grands maîtres de l’art du 20ème siècle, également l’un des artistes les plus singuliers et les plus controversés de l’art moderne.
Cette présentation d’envergure, dont la planification a débuté en milieu d’année 2016, prend pour point de départ l’oeuvre majeure Passage du Commerce-Saint-André (1952–1954), qui se trouve à la Fondation Beyeler depuis de nombreuses années en tant que prêt permanent d’une importante collection privée Suisse.

Dans son travail aux facettes et aux lectures multiples, vénéré par certains et rejeté par d’autres, Balthus, de son vrai nom Balthasar Klossowski de Rola (1908–2001), trace une voie artistique alternative, voire opposée aux courants des avant-gardes modernes et des représentations que l’on peut s’en faire. Dans cette voie solitaire, le peintre excentrique se réfère à un large éventail de prédécesseurs et de traditions artistiques allant de Piero della Francesca à Poussin, Füssli, Courbet et Cézanne. Mais un examen plus attentif révèle aussi les impulsions de certains courants artistiques modernes, notamment la Nouvelle Objectivité ou le Surréalisme, qui offrent un contexte aux stratégies parfois provocatrices de mise en scène picturale de Balthus et aux dimensions abyssales et insondables de son art. Sa distanciation fondamentale du modernisme, démarche que l’on peut presque qualifier de postmoderne, mène pourtant Balthus à développer une forme toute personnelle d’avant-garde, qui apparaît d’autant plus pertinente aujourd’hui.
Balthus s’affirme en effet comme l’artiste de la contradiction et du trouble, dont les oeuvres à la fois sereines et fébriles font se rencontrer des contraires qui mêlent de manière unique la réalité et le rêve, l’érotisme et la candeur, l’objectivité et le mystère, le familier et l’étrange. Dans ce jeu de contrastes, Balthus combine des motifs de la tradition artistique à des éléments empruntés aux illustrations populaires de livres pour enfants du 19ème siècle. Ses tableaux sont empreints d’ironie tant implicite qu’explicite, réfléchissant et s’interrogeant par là sur les possibilités et les impossibilités figuratives et esthétiques de l’art du 20ème siècle et au-delà. Les paradoxes s’étendent aussi à la personne de Balthus, qui dans un geste de modestie tenait à être considéré comme un « artisan » tout en adoptant la posture et le statut de l’aristocrate intellectuel cultivant des liens étroits avec de grands philosophes, écrivains, gens de théâtre et cinéastes de son temps. Sa longue vie, qui a coïncidé avec la quasi-totalité du 20ème siècle, a ainsi oscillé constamment entre ascèse et mondanité.

BALTHUS, THÉRÈSE, 1938  Huile sur carton sur bois, 100.3 x 81.3 cm The Metropolitan Museum of Art, New York, Légué par Mr. et Mrs. Allan D. Emil, en l’honneur de William S. Lieberman, 1987 © Balthus, Photo: The Metropolitan Museum of Art/Art Resource/Scala, Florence

BALTHUS, THÉRÈSE, 1938
Huile sur carton sur bois, 100.3 x 81.3 cm
The Metropolitan Museum of Art, New York, Légué par Mr. et Mrs. Allan D. Emil, en l’honneur de William S. Lieberman, 1987
© Balthus, Photo: The Metropolitan Museum of Art/Art Resource/Scala, Florence 

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Bernard DAMIANO et Didier SALA s'exposent à l'UDP de Saint-Emilion
du 1er novembre au 26 décembre 2017
Union de Producteurs de Saint-Emilion
BP 27 - 33330 SAINT-EMILION - FRANCE
http://www.udpse.com/ 
Tél : 05 57 24 70 71 - Fax : 05 57 24 65 18
Email : contact(at)udpse.com

Claude PÉRUSAT revient pour cette fin d’année nous proposer une très belle exposition de l’Artiste-peintre expressionniste Bernard DAMIANO. Déjà venu à l’UDP de Saint-Emilion, le marchand d’art et collectionneur libournais ne sera pas seul à exposer des œuvres: Didier SALA apportera sa touche de poésie en présentant ses bois flottés récupérés au fil des marées… Il faut savoir que pour cette magistrale exposition Bruno-Paul Barreau Marchand d'Art et Expert à Bordeaux ainsi que Claude Pérusat ont réussi à convaincre les collectionneurs de bien vouloir prêter les oeuvres de leur collection pour cette exposition. Comme le fait remarquer Patrick Reynolds, la région bordelaise terre du vin est devenue grâce au travail d'Alain Juppé une terre d'art et de culture.

BERNARD DAMIANO, peintre-expressionniste italien
Sa peinture est de la lave en fusion, un débordement de couleurs, d’ombres et de lumières. L’expressionnisme dramatique qui en émane puise ses sources dans les tourments d’une passion de tous les instants, la passion de peindre sans faillir.
Didier SALA, sculpteur sur bois flottés bordelais
Pour l’occasion, découvrez également les œuvres originales en bois flottés de Didier SALA. Travaillés suivant l’inspiration et la sensibilité de l’artiste, ces bois uniques sont travaillés pour donner une âme à ces œuvres singulières. Parfois petites, parfois très grandes, les œuvres de Didier SALA invitent à l’évasion…

Une exposition à découvrir jusqu’au 26 décembre. Didier SALA présentera lui-même son œuvre à l’occasion du vernissage qui se tiendra à la Galerie du Caveau, le JEUDI 9 NOVEMBRE à 18h30. L’héritage de Bernard DAMIANO sera, quant à lui, raconté par son grand ami, Claude PERUSAT.

Exposition Bernard Damiano Union de Producteurs de Saint-Emilion
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EXPOSITION BETTINA RHEIMS
DU 28/01/2016 AU 27/03/2016
Maison Européenne de la Photographie
5/7 rue de Fourcy, 75004 Paris
01 44 78 75 00 – www.mep-fr.org
M° Saint-Paul (ligne 1) ou Pont-Marie (ligne 7)
Ouvert du mercredi au dimanche de 11h à 20h
Fermé lundi, mardi et jours fériés

Bettina Rheims et la Maison Européenne de la Photographie entretiennent depuis toujours des liens intimes. Alors, quel meilleur endroit que celui dont elle a investi les espaces encore en friche, en 1990, pour exposer sa série Modern Lovers et où elle a semé le trouble en 2000 avec I.N.R.I., pour présenter aujourd’hui, pour la première fois à Paris, un itinéraire à travers quarante ans de photographie ?

Des premières images aux travaux personnels les plus récents, l’exposition, pensée comme un cheminement, mêle les séries légendaires, les photographies iconiques de Bettina Rheims et certains travaux plus confidentiels ou qui n’ont encore jamais été montrés en France.
Ni thématique ni chronologique, ce parcours sensible s’attache à mettre lumière les obsessions de Bettina Rheims autour de son sujet de prédilection : la femme, dans tous ses états. La féminité, questionnée, exposée, magnifiée est le fil rouge qui parcourt les trois étages de la Maison Européenne de la Photographie, ménageant des effets de surprise et des mises en parallèle inattendues entre les 180 images présentées.

Bettina Rheims Elizabeth Berkley in a coucou’s nest, February 1996, Los Angeles

Elizabeth Berkley in a coucou’s nest,
February 1996, Los Angeles
© Bettina Rheims

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Dagyde Photographies et épingles - Eric Vassal d'après double indemnity 1944Maison des Arts
11 rue de Bagneux
92320 Châtillon
01 40 84 97 11
maisondesarts(at)chatillon92.fr

Exposition
Du 13 janvier au 26 mars 2023
À découvrir de 14h à 18h,
tous les jours sauf le lundi

Eric Vassal
Storyboard

Depuis la fin des années 90, le travail d’Eric Vassal s’est développé à travers un échange constant entre la sculpture, la peinture, l’estampe, la photographie et la vidéo. Ces différents médiums lui permettent de traiter d’un sujet constant : le lien que l’œuvre d’art entretient avec l’histoire de l’art et le patrimoine.

Cinéphile de la première heure, Eric Vassal présentera à la Maison des Arts de Châtillon une exposition de photographies plasticiennes autour du septième art.

La série « Agnosis » revisite le patrimoine cinématographique en mettant en évidence une vision structuraliste du discours image / langage. Cette série traite du langage d’un point de vue esthétique et sémantique. 

Pour les œuvres de la série « Dagyde », Eric Vassal a recours à des captures d’écran de scènes de cinéma. Ces extraits Eric Vassald’œuvres sont réécrites par un travail direct sur la photographie. Des épingles sont plantées afin de mettre en évidence certains éléments de la scène. La photographie passe alors de deux dimensions à trois dimensions, procédé inverse du cinéma. 

Enfin, Eric Vassal présentera une récente série d'œuvres intitulée « Story-board » à travers laquelle l’artiste interroge la notion de temps en déstructurant des scènes cinématographiques.

Ref image : Dagyde Photographies et épingles - Eric Vassal d'après double indemnity 1944

Série "Dagyde" d'après Attack of the 50 ft woman (1958) -  Photographie et épingles

https://www.maisondesarts-chatillon.fr/

Exposition ouverte au public du mardi au dimanche, de 14h à 18h
du 13 janvier au 26 mars 2023
Entrée libre 

Accès: métro ligne 13 - arrêt "Châtillon/Montrouge" puis bus n°388 arrêt "Mairie de Châtillon"

Exposition Gaston La Touche,
Les fantaisies d’un peintre
de la Belle Époque
du 16 octobre 2014 au 1er mars 2015

Musée des Avelines
Musée d’art et d’histoire de Saint-Cloud
60, rue Gounod - 92210 Saint-Cloud
www.musee-saintcloud.fr

Du 16 octobre 2014 au 1er mars 2015, le musée des Avelines présente une exposition inédite consacrée à l’artiste clodoaldien Gaston La Touche (1854 - 1913), peintre de la Belle Époque.
L'entracte, Collection particulière courtesy APA Fine Art, © DRL'entracte, Collection particulière
courtesy APA Fine Art, © DR
Les peintures de Gaston La Touche (1854 - 1913), aux sujets choisis avec goût, souvent aimables, sont d’une incroyable diversité. L’exposition, qui regroupe 90 œuvres de Gaston La Touche, provenant de collections publiques et privées françaises et européennes, propose un parcours raffiné et sélectif dans la production de cet artiste de La Belle Époque.
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Exposition
Guy Bourdin
Zoom
18 octobre 2019 – 26 janvier 2020

Vernissage > Jeudi 17 octobre 2019 à 19 heures

En présence de Gérard Baudoux, Adjoint au Maire de Nice délégué aux Musées, à l’Art moderne et contemporain, au Développement du mécénat et financements culturels, représentant Christian Estrosi, Maire de Nice, Président de la Métropole Nice Côte d’Azur, Président délégué de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur & de Samuel Bourdin, fils de Guy Bourdin

Musée de la Photographie Charles Nègre
1, Place Pierre Gautier – Nice

Du 18 octobre 2019 au 26 janvier 2020, la Ville de Nice vous invite à découvrir l’exposition « Guy Bourdin. Zoom » au Musée de la Photographie Charles Nègre. Le vernissage de l’exposition se tiendra le jeudi 17 octobre 2019 à 19 heures.

Guy Bourdin (1928-1991) est un photographe de mode et de publicité français. Cet autodidacte est né et a vécu à Paris où il a exercé son art des années 1950 à la fin des années 1980. Pendant plus de trente ans, il a repoussé les frontières de la photographie de mode contemporaine et son œuvre est toujours une source d’inspiration et de fascination. Il a consacré sa vie à une quête artistique qui s’est également exprimée à travers la peinture, les films et l’écriture. Créateur avant-gardiste, il fut sans aucun doute l’un des photographes de mode les plus influents du vingtième siècle. Fascinante et révolutionnaire, son œuvre continue d’inspirer ses contemporains et fait l’objet d’un véritable culte.

Guy Bourdin Vogue Paris, Mai 1970 © The Guy Bourdin Estate 2019 Courtesy Art and Commerce
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logo chatillonKevin Lucbert
De l'autre côté du miroir
Exposition Du 5 avril au 25 juin 2024
Maison des Arts
11 rue de Bagneux
92320 Châtillon
01 40 84 97 11
Maisondesarts(at)chatillon92.fr
https://www.maisondesarts-chatillon.fr/
Entrée libre, du mardi au dimanche de 14h à 18h
Kevin Lucbert De l'autre côté du miroir

 

Né en 1985 à Paris. Vit et travaille entre Berlin et Paris.

Kevin Lucbert est diplômé en 2008 de l'Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris. Lors de ses études il se lie d'amitié avec Yann Bagot et Nathanaël Mikles. Ensemble ils créent le collectif artistique Ensaders et participent régulièrement à des performances, expositions et conduit des workshops de dessin. En parallèle il travaille pour The New York Times, Télérama, Les Échos, le groupe de presse Mondadori ou encore Starbucks, Hermès ou BIC, qui a récemment acquis quelques un de ses dessins pour leur collection d'art contemporain. En 2018, les œuvres de la collection BIC sont exposées au 104 à Paris, parmi lesquelles, celles de Lucbert.

Inspiré par de multiples sources, Maurits Cornelis Escher, Alfred Kubin, Philippe Mohlitz ou Les Cités Obscures de Schuitten et Peeters, Lucbert a développé une création unique dans laquelle il explore un monde parallèle, un univers absurde qui lui est propre. Dans sa série Blue Lines réalisée au stylo BIC bleu, il explore des paysages surréalistes et des compositions frontales et imaginaires. Ses œuvres traduisent un monde spatial et rêveur.

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Le Pinceau ivre Lassaâd Metoui
11 avril - 30 septembre 2018
Institut du monde arabe
1, rue des Fossés-Saint-Bernard
Place Mohammed V
75236 Paris Cedex 05
www.imarabe.org 

Du 11 avril au 30 septembre prochain, l’Institut du monde arabe donne carte blanche à l’artiste franco-tunisien, Lassaâd Metoui. Formé très jeune à la calligraphie, Lassaâd Metoui est devenu dans cette discipline traditionnelle un artiste majeur, tout en faisant évoluer son art de plasticien vers une modernité qui transcende les cultures. Il s’inspire tout autant de la peinture occidentale (de Matisse à Paul Klee ou à Soulages) que de l’art d’Extrême-Orient, notamment japonais.

Riche de 135 oeuvres, l’exposition « Le Pinceau ivre » proposée par l’Institut du monde arabeoffre au visiteur un magnifique parcours dans l’oeuvre actuelle de Lassaâd Metoui. Ce beau panorama distribué en 4 séquences (« L’oeil écoute », « La Genese des formes », « La Passion de l’esthétisme », « L’Aventure du geste »), est significatif d’un art toujours empli d’allégresse, animé d’une sorte d’« ivresse poétique », curieux et admiratif des maîtres tant occidentaux qu’arabo-musulmans et tant d’hier que d’aujourd’hui.

Le travail de Lassaâd Metoui a une place légitime dans les espaces du musée, à la fois par la pratique que l’artiste a d’une calligraphie sans cesse repensée, et par le lien qu’il entretient avec le langage, grâce à sa complicité avec le linguiste et lexicographe Alain Rey.

Lassaâd Metoui, Accessible, 2014, Papier kozo, encre  japonaise, pigments naturels, 140x74 cm © Emmanuel Denort

Lassaâd Metoui, Accessible, 2014, Papier kozo, encre
japonaise, pigments naturels, 140x74 cm © Emmanuel Denort

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24 octobre 2019 - 24 février 2020
Léonard de Vinci
https://www.louvre.fr/
À l’occasion des 500 ans de la mort de Léonard de Vinci en France, le musée du Louvre conçoit et organise une grande rétrospective consacrée à l’ensemble de sa carrière de peintre.
L’exposition entend montrer combien Léonard a placé la peinture au-dessus de toute activité, et la manière dont son enquête sur le monde – il l’appelait « science de la peinture », fut l’instrument d’un art, dont l’ambition n’était autre que de donner la vie à ses tableaux.
Autour de sa propre collection de 5 tableaux, la plus importante au monde – la Joconde restera toutefois exposée dans le parcours des collections permanentes – et de ses 22 dessins, le Louvre rassemblera près de 140 oeuvres (peintures, dessins, manuscrits, sculptures, objets d’art) issues des plus prestigieuses institutions européennes et américaines : la Royal Collection, le British Museum, la National Gallery de Londres, la Pinacothèque vaticane, la Bibliothèque Ambrosienne de Milan, la Galleria Nazionale de Parme, les Gallerie dell’Accademia de Venise, le Metropolitan Museum de New York, l’Institut de France, …

La célébrité extraordinaire de cet infatigable curieux, perçu très tôt comme l’incarnation du génie et du savoir universels, l’aura presque surréaliste de la Joconde et la littérature considérable qui s’est accumulée de son époque à nos jours offrent une image confuse et fragmentaire du rapport de Léonard à la peinture.
Aboutissement de plus de dix années d’un travail ayant vu notamment l’examen scientifique renouvelé des tableaux du Louvre et la restauration de trois d’entre eux (la Sainte Anne, la Belle Ferronnière et le Saint Jean Baptiste), permettant de mieux comprendre sa pratique artistique et sa technique picturale, l’exposition s’efforce également de clarifier la biographie de Léonard sur la base d’une reprise de l’ensemble de la documentation historique. Elle rompt avec l’approche canonique de la vie du maître florentin selon six périodes chronologiques rythmées par ses déplacements géographiques, en faveur de quelques clés qui en ouvrent l’univers.
Émerge ainsi le portrait d’un homme et d’un artiste d’une extraordinaire liberté.

Leonard de Vinci exposition Musée du Louvre
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LINO VENTURA UNE GUEULE DE CINÉMA
sous le parrainage de Jean Dujardin
Du 12 octobre 2017 au 21 janvier 2018

Commissaire d’exposition : Emmanuelle Le Bail, Directrice du musée des Avelines, du Patrimoine culturel et des
Archives municipales
Commissariat scientifique : Nicolas Cabos, Auteur et professeur de cinéma
Assistés d’Anaïs Eveno, chargée d’études documentaires et de Maëlys Delvolvé, chargée d’exposition

Musée des Avelines - Musée d’Art et d’Histoire de Saint-Cloud
Jardin des Avelines - 60, rue Gounod - 92210 Saint-Cloud
www.musee-saintcloud.fr 

QUELQUES MOTS D'INTRODUCTION...

Le musée des Avelines, musée d'art et d'histoire de la ville de Saint-Cloud, est heureux d'annoncer l'exposition Lino Ventura - Une gueule de cinéma du 12 octobre 2017 au 21 janvier 2018.

Le comédien, né le 14 juillet 1919 en Italie, a vécu près de trois décennies à Saint-Cloud et c'est dans cette ville qu'il est décédé le 22 octobre 1987 ; il était donc tout naturel que le musée des Avelines lui rende un hommage appuyé à l'occasion du trentième anniversaire de sa disparition.

Affiches, photographies, documents d'archives, témoignages, musiques de films, objets, scénarios, projections d'extraits... composent le parcours de l'exposition évoquant la carrière de ce monstre sacré du cinéma français.

Différentes salles du musée sont consacrées à ses amitiés avec des comédiens (Gabin notamment), et les réalisateurs avec lesquels il a tourné, de Becker à Verneuil, de Miller à Lelouch, de Pinoteau à Melville, de Malle à Lautner, de Deray à Hossein, ou encore de Sautet à La Patellière... passant ainsi du polar à la comédie pure, du film d'aventures au drame.

Est ainsi retracée la carrière de Lino Ventura, acteur populaire et pudique, qui a joué dans plus de 70 films, dont nombre de chefs d'oeuvre et d'immenses succès publics.

Photo prise sur le tournage d'Adieu poulet, 1975 Saint-Cloud, Musée des Avelines © Étienne George

LINO VENTURA UNE GUEULE DE CINÉMA
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vernissage patrix1Michel Patrix,

Une joyeuse liberté de peindre

« Pour des artistes tels que Michel Patrix, l'art est une aventure. C'est aussi une expérience vivante. Son activité est désintéressée. Elle se situe sciemment en marge des postulats de l'École de Paris. Elle traduit une volonté de choix qui s'écarte de la norme et une vocation qui échappe totalement à l'emprise de la mode. C'est une activité personnelle et individuelle qui côtoie l'anarchie. Elle n'est concevable que dans un pays libre qui se targue d'ignorer les contraintes esthétiques. Comme la plupart des peintres de sa génération, Michel Patrix subit (ou a subi) la puissante attraction du cubisme, mais il a adopté devant les découvertes de ses prédécesseurs une attitude nouvelle et indisciplinée. » Waldemar George  Michel Patrix, Éditions de la Galerie Paul Raffray, 1959.

« J'admirais le talent de Michel Patrix, et nous étions nombreux à penser qu'il était le plus doué de nous tous… Il m'épatait beaucoup par sa verve, son éclat, et c'est vrai qu'il était habité par la peinture. »  Robert Wogensky - Lettre à Annie Aubrun-Patrix, 6 janvier 1991, extrait des archives de Madame Aubrun-Patrix

« Celui qui vécut la peinture comme une aventure compta parmi les jeunes espoirs de l'École de Paris figurative, tout en gardant une totale liberté ancrée dans une vocation qui échappe à l'emprise de toute mode. »  Lydia Harambourg - L'École de Paris, 1945-1965 - Dictionnaire des peintres, Éditions Ides et Calendes 1993.

Michel Patrix fut défendu par les marchands importants de son temps, Emmanuel David en France et Paul Rosenberg à New York. D’après Emmanuel David[1] qui se reproche d’avoir par inexpérience fait échouer l’opportunité, il aurait d’ailleurs été préféré à Bernard Buffet par Rosenberg. Prix du Salon de la Critique en 50, Prix Opera du Musée des Art décoratifs et Prix de la Ville d’Oran au prix de la jeune peinture en 1949, distingué par la critique dès 43, il est l’ainé du groupe de l’Echelle. Groupe de l’Echelle qu’Eric Mercier[2] présente comme l’emblème d’un mouvement réagissant aux traumatismes de guerre par l’hédonisme et la joie de vivre dans son catalogue de l’exposition « jeune peinture des années 50 » au musée de Clermont Ferrand.

Son énergique amour de la liberté et sa volonté délibérée d’incarner sa création, « ma vie et ma peinture sont une seule et même chose, quand le peintre est malade, sa peinture se couche » note-t’il dans son carnet de bord, et son esprit alerte, curieux des avancées scientifiques, philosophiques et sociologiques de son temps a fait de son parcours un phénomène délibérément à part, tout en donnant naissance à une écriture picturale unique.

Cette exposition présente son parcours depuis son enfance jusqu’à son décès à Gonneville-sur-Scie en 1973 où lui même, son épouse et de jeunes artisans ont établi le Centre de créativité qui porte son nom avec l’objectif de « promouvoir et diffuser la créativité par l’art ».   

Ceux qui souhaitent une introduction à cette exposition peuvent s’arrêter là et se reporter aux pages fort bien documentées  de Wikipédia  et du Musée privé.[1]  En regard de l’évolution de notre culture contemporaine, le parcours de l’artiste que fut mon père, indissociable de son époque, de ses amitiés, de ses amours, de ses espérances, de ses tourments, me parait mériter une attention plus soutenue.

Cette exposition sera donc l’occasion de publier un témoignage plus complet.

Bruxelles, le 18 Mai 2021

Blaise Patrix

[1]  cliquez sur les liens : https://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Patrix/ et

https://www.le-musee-prive.com/207-biographies-artistes-contemporains/670-biographie-michel-patrix.html/

[1] cité par Patrick Reynolds

[2]  Années 1950, l’alternative figurative Editions un,deux…quatre, 2007

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Du 4 octobre 2016 au 5 février 2017

Du mardi au vendredi : 10h30 – 18h
Samedis, dimanches et Jours fériés (sauf les lundis) : 9h30 -18h00.

Musée National Picasso
5 rue de Thorigny
75003 Paris
http://www.museepicassoparis.fr/
Du mardi au vendredi : 10h30 – 18h
Samedis, dimanches et Jours fériés (sauf les lundis) : 9h30 -18h00.

Picasso-giacometti
DiaLogue entre Deux maîtres

Du 4 octobre 2016 au 5 février 2017, le Musée Picasso présente la toute première exposition consacrée à l'oeuvre de deux des plus grands artistes du XXe siècle : Pablo Picasso (1881-1973) et Alberto Giacometti (1901-1966).

Grâce à un prêt exceptionnel de la Fondation Giacometti, cette exposition inédite, qui occupera le rez-de-chaussée et le premier étage de l'hôtel Salé, réunit plus de 200 oeuvres des deux maîtres provenant des riches collections du Musée Picasso et de la Fondation Giacometti, ainsi que des prêts de collections françaises et étrangères.

Un important travail de recherche, mené en commun dans les fonds d'archives du Musée Picasso et de la Fondation Giacometti, a permis de révéler des documents inédits, esquisses, carnets et annotations significatives. Ceux-ci éclairent les relations méconnues entre les deux artistes, relations à la fois amicales et formelles, et l'intérêt mutuel qu'ils se sont porté à des moments clefs de leurs carrières, en dépit de vingt ans de différence d'âge.

Dotés de tempéraments différents, mais caractérisés tous deux par une grande liberté d'esprit et d'invention, Picasso et Giacometti partagent une fascination pour le lien entre Éros et Thanatos, comme pour le déplacement des limites de la représentation. De leur rencontre au début des années 1930 à leurs dialogues nourris dans l'après-guerre autour des querelles du retour au réalisme, les deux artistes n'ont cessé d'échanger sur leur création. Comme l'exposition le révèle, de nombreuses similitudes formelles et thématiques rapprochent leurs oeuvres de la période surréaliste. À partir de la fin des années 1930, tous deux vont transformer leur pratique et partager des questionnements sur l'art et sa relation au réel, auxquels le peintre-sculpteur et le sculpteur-peintre répondent par des solutions formelles différentes.

Exposition Picasso Giacometti Musée Picasso Paris

Crédits photos de couverture Dora Maar, Portrait d'Alberto Giacometti, 1936 © Succession Giacometti (Fondation Giacometti + ADAGP) Paris, 2016.

Dora Maar, Portrait de Picasso, Paris, studio du 29, rue d'Astorg
(appuyé à un mur), vers 1936, Paris © Centre Pompidou,
MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / image Centre Pompidou,
MNAM-CCI © ADAGP ©Succession Picasso 2016

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Pierre Soulages, « peintre du noir et de la lumière » est une figure majeure de la peinture non figurative, reconnue comme telle depuis ses débuts, au lendemain de la seconde guerre mondiale.
Né le 24 décembre 1919 à Rodez (Aveyron), Pierre Soulages, qui continue de peindre aujourd’hui à un rythme soutenu, fêtera son centième anniversaire en décembre prochain. À cette occasion, le musée du Louvre lui consacre une exposition exceptionnelle dans le prestigieux Salon Carré, situé entre la galerie d’Apollon et la Grande Galerie et qui abritait jadis le Salon des Académies.
Cette exposition – hommage prend le parti de rendre compte du parcours chronologique de l’oeuvre de 1946 à aujourd’hui, en représentant par un choix resserré, les huit décennies pendant lesquelles Soulages a développé ses recherches. La rare longévité de la carrière de l’artiste est ainsi illustrée par un choix d’oeuvres majeures provenant principalement des plus grands musées français et étrangers. Ne négligeant aucune période et mettant l’accent sur les polyptyques outrenoir, l’exposition permettra également de découvrir de très grandes peintures réalisées ces derniers mois, signe de la vitalité remarquable de ce peintre qui poursuit ses recherches sans discontinuer.

Pierre Soulages. Portrait de l’artiste, 2 octobre 2017_Collection Raphaël Gaillarde © Collection Raphaël Gaillarde, dist. RMN-Grand Palais/Raphaël Gaillarde © RMN-Grand Palais - Gestion droit d'auteur pour Raphaël Gaillarde © ADAGP, Paris 2019 pour Pierre Soulages

Pierre Soulages. Portrait de l’artiste, 2 octobre 2017_Collection Raphaël Gaillarde © Collection Raphaël Gaillarde, dist. RMN-Grand Palais/Raphaël Gaillarde © RMN-Grand Palais - Gestion droit d'auteur pour Raphaël Gaillarde © ADAGP, Paris 2019 pour Pierre Soulages

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Patrocinado por la Dirección de Asuntos Culturales del Ministerio de Relaciones Exteriores de Chile

l’ambassadrice du Chili en France Madame Marcia Covarrubias a l’honneur de vous annoncer l'exposition «in-corpore» sculptures en bois de la sculptrice Pilar Ovalle du 10 octobre au 13 octobre 2017 - Cette exposition est réservée aux invités de l'ambassade : pour y assister merci de faire une demande auprès de :

Olga Martins
Assistante de l'Ambassadrice/Asistente de la Embajadora
Ambassade du Chili / Embajada de Chile
2, avenue de la Motte-Picquet
75007 Paris
Tél: +33 (0)1 44 18 59 39 - Fax: +33 (0)1 44 18 59 61
Mail: omartins(at)minrel.gob.cl

Pilar Ovalle est née en 1970 à Santiago, textures, noeuds et formes naturelles travaille depuis plus de 25 ans le bois, à une géométrie et signifiants qui
principalement de bois de récupération rapportent dans un contexte de forêts et des lacs la Patagonie dans modernité aux paysages et traditions un langage constructiviste en combinant ancestrales des peuples originaires.
Dans mon travail j’utilise le bois principalement, provenant des restes de processus industriels et de bois flotté recueillis, avec lesquels je construis le volume à partir de son noyau central jusqu’aux bords de son image finale.

Le processus de l’oeuvre, qui m’est essentiel, est révélé à l’observateur moyennant une trame formelle qui se génère dans les assemblages et les unions et qui font partie essentielle de la grammaire de mon travail.
Cette modalité de langage constructif est une des bases du discours visuel: chaque emboitage, accouplement, brochage et union sont à la base du lexique d’une trame matérielle, qui comme manifestation, signifie réparation, mémoire, traces d’autres tensions propres à l’être.

Depuis mes débuts, je m’intéresse à la possibilité de recueillir et de rassembler différentes typologies dans un même matériau, le bois, de l’explorer et parcourir ses limites et de manoeuvrer face aux solutions créatives possibles pour pouvoir continuer à l’aborder d’une façon nouvelle, si possible chaque fois. C’est un jeu auto-imposé, un dialogue dans lequel la maîtrise fait face à la difficulté et à la curiosité pour pouvoir continuer à créer.

Pendant les trois dernières années, j’ai incorporé, d’où le titre de l’exposition “in-corpore”, le corps humain comme conteneur d’information dans la sculpture pour représenter de manière explicite les exercices et les emboitages de transformation ainsi que le questionnement spirituel comme fondement de la quête d’individuation de l’être.

EXPOSITION PILAR OVALLE AMBASSADE DU CHILI
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FAHRELNISSA ZEID
Tate Modern
Bankside, London SE1 9TG,
Royaume-Uni

http://www.tate.org.uk/visit/tate-modern

13 June – 8 October 2017

For public information call +44(0)20 7887 8888, visit www.tate.org.uk

Sponsored by Deutsche Bank. Supported by the Fahrelnissa Zeid Exhibition Supporters Group
Open daily 10.00 – 18.00 and until 22.00 on Friday and Saturday

Be mesmerised by the kaleidoscopic paintings of the international female artist, Fahrelnissa Zeid

Trained in both Paris and Istanbul, Fahrelnissa Zeid was an important figure in the Turkish avant-garde d group in the early 1940s and the École de Paris (School of Paris) in the 1950s. Her vibrant abstract paintings are a synthesis of Islamic, Byzantine, Arab and Persian influences fused with European approaches to abstraction. Many of her abstract works are monumental and demand attention.

Zeid’s reputation as an artist was cemented in the 1950s when she was living between London and Paris and exhibiting extensively internationally. The artist also began experimenting with painting on turkey and chicken bones, which she later cast in polyester resin panels evocative of stained-glass windows. In the later years of her life she unexpectedly returned to figurative painting, creating stylised portraits of her friends and family.

Indulge in Zeid’s obsession with line and dazzling colour in this exhibition. Rediscover one of the greatest female artists of the 20th century in this first major retrospective.​

Fahrelnissa Zeid Resolved Problems 1948 Istanbul Museum of Modern Art Collection, Eczacıbaşı Group Donation (Istanbul, Turkey)  © Raad bin Zeid © Istanbul Museum of Modern Art

Fahrelnissa Zeid Resolved Problems 1948
Istanbul Museum of Modern Art Collection,
Eczacıbaşı Group Donation (Istanbul, Turkey)  
© Raad bin Zeid © Istanbul Museum of Modern Art

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Fantaisies brésiliennes
10 juin - 3 octobre 2016
Musée International d’Art Naïf Anatole Jakovsky
Château Sainte-Hélène
23 avenue de Fabron - Nice
04 93 71 78 33
Ouvert tous les jours sauf le mardi de 10h à 18h

Inauguration de cette exposition en présence de Maître Gérard Baudoux, Adjoint au Maire de Nice, délégué aux musées et à l’art moderne et contemporain représentant Christian Estrosi, Président de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, Maire de Nice,
Jacques Ardiès représentant le Ministère de la Culture de Sao Paulo
André de Montigny, Consul Honoraire du Brésil à Monaco

En partenariat avec le Ministère de la Culture de Sao Paulo, la Ville de Nice accueille, du 10 juin au 3 octobre 2016, au Musée International d’Art Naïf Anatole Jakovsky, « Fantaisies brésiliennes », une exposition témoignant de l’originalité de l’Art Naïf brésilien issu d’un savant mélange ethnique, d’un syncrétisme religieux, d’un besoin impérieux de braver la dureté de la vie et de lui substituer les couleurs de l’espoir.

anatole jakovsky1979

Légende et crédit de la photo
Crisaldo Morais  - Les Equilibristes  - 100 x 70 cm – 1979 – c.p

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FEMMES ANNÉES 50
AU FIL DE L’ABSTRACTION, PEINTURE ET SCULPTURE.
MUSÉE SOULAGES
Jardin du Foirail, Avenue Victor Hugo, 12000 Rodez
https://musee-soulages-rodez.fr/
14 DÉCEMBRE - 10 MAI 2020

Du 14 décembre au 10 mai 2020, le musée Soulages consacrera une exposition à la création abstraite des femmes dans les années 50 à Paris : Femmes années 50. Au fil de l’abstraction, peinture et sculpture.

Déjà aux Etats-Unis se tenait en 1951 l’exposition fondatrice « Ninth Street Show », une manifestation d’avant-garde dans laquelle figurait 4 femmes : Joan Mitchell, Grace Hartigan, Elaine de Kooning et Helen Frankenthaler. Dans L’autre moitié de l’avant-garde 1910/1940, éditions des femmes, publication doublée d’une exposition en 1980 en Italie, Lea Vergine parle de découvrir la « moitié suicidée du génie créateur de ce siècle ». En 2009, le Centre Pompidou offrait une importante exposition d’artistes femmes, «Elles» qui réunissait plus de 3 millions de visiteurs.

Genevieve Claisse - Slalom 1960 162x130 cm (Courtesy Galerie Denise René)

Genevieve Claisse - Slalom 1960 162x130 cm
(Courtesy Galerie Denise René)

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Reconstruire le réel
Fernand Léger
20 juin 2014 - 22 septembre 2014
Musée des beaux-arts de Nantes
10, rue Georges-Clemenceau
BP 80214
44003 Nantes CEDEX 1

Téléphone : 00 33 (0)2 51 17 45 00
 
Coproduction avec le musée national Fernand Léger de Biot et Réunion des musées nationaux. Exposition reconnue d'intérêt national

Considéré comme un peintre « réaliste » en phase avec les éléments de la vie moderne, Fernand Léger propose, des années 20 au milieu des années 40, des associations d’objets déroutantes, jouant de ruptures d’échelle, de mises en espace d’objets flottants, de motifs biomorphiques. S’il reste fidèle au « réalisme de conception » qu’il définit comme celui de la ligne, de la forme et de la couleur, Léger semble aussi attentif aux recherches plastiques des Surréalistes.

 Fernand Léger, La joconde aux clés, 1930 Courtesy Musee des Beaux Arts de Nantes

Fernand Léger, La joconde aux clés, 1930
Courtesy Musee des Beaux Arts de Nantes 

Ami de Man Ray et de Duchamp, il retrouve, lors de son exil aux Etats-Unis, Masson, Tanguy, Matta, Breton, Ernst et affiche son amitié avec le milieu surréaliste, notamment lors de l’exposition  Artists in exile en 1942 à New-York.

Issue d’une collaboration entre le musée des beaux-arts de Nantes et le musée national Fernand Léger de Biot, et  la réunion des musées nationaux -  Grand-Palais.

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FONDATION BEYELER EXPOSITION CLOSE-UP  

CLOSE-UP

Berthe Morisot, Mary Cassatt, Paula Modersohn-Becker, Lotte Laserstein, Frida Kahlo,
Alice Neel, Marlene Dumas, Cindy Sherman, Elizabeth Peyton

19 septembre 2021 – 2 janvier 2022

L’exposition présentera des œuvres de neuf femmes artistes dont l’œuvre occupe une position éminente dans l’histoire de l’art moderne depuis 1870 jusqu’à aujourd’hui. C’est l’époque où, pour la première fois, il devint possible à des femmes en Europe et en Amérique de développer une activité artistique professionnelle sur une large base.

Au centre de l’exposition figurent des artistes qui ont en commun leur intérêt pour la représentation d’êtres humains, le portrait dans ses différentes déclinaisons et l’autoportrait. La Française Berthe Morisot et l’Américaine Mary Cassatt, toutes deux actives dans les années 1870 et 1880 à Paris, qui était alors la capitale de la création artistique la plus avancée; l’Allemande Paula Modersohn-Becker de 1900 à 1907 entre la petite ville provinciale de Worpswede, dans le Nord de l’Allemagne, et la métropole parisienne; l’Allemande Lotte Laserstein de 1925 à 1933 dans le Berlin de la République de Weimar; la Mexicaine Frida Kahlo depuis la fin des années 1920 jusque vers 1950, à Mexico City, pendant la période mouvementée de la consolidation de la révolution mexicaine; l’Américaine Alice Neel depuis la fin des années 1920 jusqu’au début des années 1980, d’abord à Cuba, puis à Manhattan, de Greenwich Village au Upper West Side en passant par Spanish Harlem; Marlene Dumas, née en Afrique du Sud, qui a grandi au Cap au plus fort de l'Apartheid, et vit depuis 1976 à Amsterdam; en même temps l’Américaine Cindy Sherman à New York, pôle occidental d’une nouvelle génération d’artistes contemporains; et enfin l’Américaine Elizabeth Peyton depuis les années 1990, entre New York et l’Europe de l’Ouest.

 
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mondrian beyeler

Communiqué de presse 23 septembre 2020
Le Piet Mondrian Conservation Project (2019–2021)

Une initiative de la Fondation Beyeler, avec le soutien de La Prairie

Dans le cadre d’un projet de conservation d’envergure d’une durée de trois ans (2019–2021), la Fondation Beyeler se penche sur sept tableaux de Piet Mondrian (1872–1944). Le projet porte sur l’étude et la conservation de ces oeuvres appartenant à la Collection Beyeler, trois d’entre elles datant des débuts de l’artiste et quatre de réalisation plus tardive. Avec le soutien de La Prairie, dans les mois à venir les quatre oeuvres tardives emblématiques de l’artiste seront étudiées et analysées de manière approfondie. Jusque fin 2021, les visiteurs·ses intéressé·e·s peuvent observer le travail des restaurateurs·rices d’art. La Fondation Beyeler prévoit une importante exposition Piet Mondrian en 2022.

La Fondation Beyeler possède l’une des plus importantes collections de tableaux de Piet Mondrian de Suisse, allant d’oeuvres majeures des débuts de l’artiste néerlandais à des classiques plus tardifs. Ces sept chefs-d’oeuvre de Mondrian ont donné l’impulsion pour le lancement d’un projet de recherche et de conservation d’une durée de trois ans (2019–2021). Si chaque tableau est pris en compte à titre individuel et indépendant, l’objectif est de considérer les sept oeuvres de Mondrian de la Collection Beyeler comme un groupe cohérent en termes de composition et de présentation. Le Piet Mondrian Conservation Project comporte trois axes de recherche principaux qui sont brièvement présentés dans ce qui suit.

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Paul Klee – La dimension abstraite
1er octobre 2017 – 21 janvier 2018
Fondation Beyeler,
Beyeler Museum AG,
Baselstrasse 77, CH-4125 Riehen
www.fondationbeyeler.ch 

Du 1er octobre 2017 jusqu’au 21 janvier 2018, la Fondation Beyeler présentera une exposition complète sur l’artiste Paul Klee, l’un des peintres les plus importants du XXe siècle. Pour la première fois dans le cadre d’une exposition sera mise en lumière la relation de l’artiste à l’abstraction, exploit majeur de la peinture moderne.

Comme bien d’autres artistes européens, Paul Klee releva le défi de l’abstraction. Sa riche production compte de magnifiques exemples de renoncement à la figuration jusqu’à l’élaboration d’univers iconographiques abstraits, aussi bien dans ses travaux de jeunesse que ses oeuvres tardives. Nature, architecture, musique et signes graphiques sont, chez lui, des thèmes majeurs et récurrents. À travers les 110 oeuvres issues de 12 pays, l’exposition se concentre sur cet aspect du travail de Klee, jusqu’alors ignoré.

L’exposition rétrospective présente divers groupes d’oeuvres chronologiques à partir de 1912, permettant de suivre les étapes déterminantes du développement de l’artiste: l’exposition se déploie sur sept salles et s’ouvre sur les débuts de Klee en tant que peintre dans les années 1910 à Munich puis sur son célèbre voyage à Tunis en 1914, aborde ensuite le thème de la Première Guerre mondiale et s’intéresse à la décennie du Bauhaus de 1921 à 1931 avec ses célèbres compositions en damiers, aquarelles en couches ainsi que des oeuvres qui font référence à l’abstraction géométrique, thème dominant des années 1930. Les peintures réalisées suite aux voyages en Italie et en Égypte à la fin des années 1920 et au début des années 1930 préfigurent les signes picturaux présents dans les travaux tardifs du peintre ainsi que ses conceptions picturales qui mèneront à l’art de l’après-guerre.

Paul Klee Park bei Lu, 1938, 129 Parc près de Lu Huile et peinture à la colle sur papier journal sur jute, 100 x 70 cm Centre Paul Klee, Berne, Courtesy Fondation Beyeler

Paul Klee Park bei Lu, 1938, 129
Parc près de Lu
Huile et peinture à la colle
sur papier journal sur jute,
100 x 70 cm
Centre Paul Klee, Berne,
Courtesy Fondation Beyeler
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PICASSO. Artiste et modèle – Derniers tableaux
19 février – 1er mai 2023

Pablo Picasso  Le peintre et son modèle, 28.3.1963  Huile sur toile, 130 x 162 cm  Nahmad Collection  © Succession Picasso/2023, ProLitteris, ZurichDans le cadre des commémorations internationales du 50ème anniversaire de la disparition de Pablo Picasso (1881–1973), la Fondation Beyeler présente du 19 février au 1er mai 2023 une sélection concentrée de dix toiles tardives de l’artiste en provenance de la Collection Beyeler, de l’Anthax Collection Marx et d’autres collections privées.

Au cours de la dernière décennie de sa vie, alors qu’il est déjà âgé de plus de 80 ans, l’artiste espagnol poursuit de manière hautement productive son oeuvre audacieux. Avec une énergie irrépressible, au cours de cette ultime période il produit souvent plusieurs oeuvres par jour, faisant preuve d’une saisissante puissance créatrice, comme s’il cherchait à combattre l’âge et la diminution attenante de ses capacités de création artistiques et corporelles. Parmi les nombreux travaux des années 1960 et du début des années 1970 figure un important groupe d’oeuvres dans lesquelles Picasso se consacre au sujet de l’artiste et du modèle. Dans ces oeuvres hautement expressives, il explore d’une part l’image (de soi) de l’artiste et d’autre part l’acte et le processus de création.

Oscillant entre autoportrait, cliché et caricature, certains des tableaux donnent à voir l’artiste en chemise rayée, convoquant ainsi aussi l’image déjà élevée au rang de mythe de Picasso. Cependant, comme une forme de contre-image à son apparence personnelle, il représente souvent l’artiste sous les traits d’un homme barbu. Par ailleurs, Picasso présente le plus souvent l’artiste peignant directement devant le modèle, à l’encontre de sa propre pratique de travail – il peignait toujours de mémoire. Dans cette constellation, le modèle féminin nu, dont la représentation oscille également entre idéalisation et caricature, est exposé au regard de l’artiste. Avec ces oeuvres, la question reste ainsi ouverte de savoir dans quelle mesure Picasso exalte ou ironise sa fixation sur le nu féminin et l’appropriation visuelle du corps féminin. Son impressionnante série d’images du peintre et de son modèle soulève ainsi aussi des questions concernant le traitement personnel et artistique du corps féminin par l’homme et la possibilité de représenter ce corps dans le contexte actuel.

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Knapp 2 ½  Jahre nachdem die Marke von fünf Millionen Besuchern geknackt wurde, meldet die Fondation Beyeler schon die nächste Rekordzahl. Noch in den letzten Tagen der Ausstellung „Marlene Dumas“, die noch bis 6. September läuft, bereitet sich das Museum darauf vor, seinen 6 Millionsten Besucher zu begrüssen. Wie immer mit einem besonderen Preis: Diesmal geht es nach Sankt Petersburg, denn ab 4. Oktober steht die Fondation Beyeler mit „Auf der Suche nach 0,10 – Die letzte futuristische Ausstellung der Malerei“ und „Black Sun“ ganz im Zeichen der Abstraktion und der Russischen Avantgarde. Dabei wird mit dem berühmten Schwarzen Quadrat von Kasimir Malewitsch die rätselhafte „Ikone“ der modernen Kunst präsentiert.

 

Noch im Sommer hatte sich die Fondation Beyeler über 370‘000 Besucherinnen und Besucher der Ausstellung „Paul Gauguin“ gefreut. Noch während der Laufzeit der Retrospektive „Marlene Dumas“, die am nächsten Wochenende zu Ende geht, wird das meistbesuchte Kunstmuseum der Schweiz die Zahl von 6 Millionen Besucherinnen und Besuchern erreichen. Der/dem glücklichen sechsmillionsten BesucherIn winkt ein schöner Preis: eine Reise nach Sankt Petersburg, der Wiege der abstrakten Kunst und des Schwarzen Quadrats.

 

 

 30Bildlegende: Kasimir Malewitsch, Suprematismus: Gegenstandslose Komposition, 1915,
Öl auf Leinwand, 80 x 80 cm, Kunstmuseum Jekaterinburg, mit Unterstützung des Staatlichen Museums
und Ausstellungszentrums ROSIZO

Der Geburtsstätte der nichtgegenständlichen Kunst ist die nächste Ausstellung gewidmet. Mit „Auf der Suche nach 0,10 – Die letzte futuristische Ausstellung der Malerei“ erweist das Museum der revolutionären Ausstellung, die genau vor 100 Jahren in Sankt Petersburg stattfand, eine Hommage. Bis heute hat „0,10“ ihre mythische Aura und vor allem ihre Bedeutung für die folgenden Künstlergenerationen beibehalten. Die darin präsentierte nichtgegenständliche Kunst schlug wie ein Paukenschlag ein, mit seinem berühmten Schwarzen Quadrat sicherte sich Kasimir Malewitsch seinen Platz in der internationalen Kunstgeschichte. Vladimir Tatlin installierte erstmals sein berühmtes Eck-Konterrelief, das die Skulptur vom Sockel holte und recycelte Materialien salonfähig machte. Nur etwa ein Drittel der ursprünglichen 154 Arbeiten sowie 2 Fotos der Ausstellung, Originalposter und Exemplare des unbebilderten Katalogs überlebten jene bewegte Zeit.

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Over The River, Project for Arkansas River, State of Colorado - 1998 - 38 x 165 cm & 106,6 x 165 cm - collage in 2 partsOver The River, Project for Arkansas River, State of Colorado - 1998 - 38 x 165 cm & 106,6 x 165 cm - collage in 2 parts

Linda et Guy Pieters ont le plaisir de vous convier à l'exposition Christo and Jeanne-Claude
du 5 septembre au 5 novembre 2023
Fondation Linda et Guy Pieters
Place des Lices - 28 Boulevard Vasserot – 83990 Saint-Tropez
www.fondationlgp.com  - info(at)fondationlgp.com
+33 4 22 84 01 89
Ouvert tous les jours
de 10h à 13h30 et de 14h30 à 18h
Fermé dimanche et lundi

A l'occasion d'une exposition d'oeuvres préparatoires de l'artiste Christo dans la galerie Guy Pieters dans les années 2010, Patrick Reynolds, Directeur du Musée Privé, et Sébastien Lecca, plasticien et performer, ont eu l'opportunité de poser quelques questions à l'un des artistes les plus monumentaux et influents de notre époque.
Compte-rendu en images...https://www.dailymotion.com/video/xg2c4y 

Une interview réalisée et préparée par André-Charles Idier / andrecharles.idier(at)gmail.com

Remerciements à Christo, Guy Pieters et Isabelle Lelievre.

logo fondation pieters h

Brigitte Bardot par Jacques HéripretLinda et Guy Pieters ont le plaisir de vous annoncer l'exposition

JACQUES HÉRIPRET
B.B. ET BREL DANS MON OBJECTIF

dimanche 4 septembre de 11h à 14h
5 septembre – 18 septembre 2022

Fondation Linda et Guy Pieters
Place des Lices - 28 Boulevard Vasserot – 83990 Saint-Tropez
www.fondationlgp.com  - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
+33 4 22 84 01 89

Ouvert tous les jours
de 10h à 13h30 et de 14h30 à 18h
Fermé lundi et mardi

Brigitte Bardot Photo de Jacques Héripret

 

LE MUSEE PRIVE

Tél: (33) 09 75 80 13 23
Port.: 06 08 06 46 45

 
Patrick Reynolds
 

 Patrick Reynolds
Directeur de publication

 

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