Jack Polart : fragiles verticales par Jean-Paul Gavard-Perret
Dans les photographies de Jack Polart la lumière courbe l’articulé, le transporte vers une certaine idée de la transparence. L’averse des les verticales et horizontales zébrées donnent aux poitrines et aux jambes et jusqu’aux gorges qu’on dit chaudes un caractère particulier. Elles nous séparent d’elles comme de New-York. Il y a tout un cloaque des formes. Comme à la surface de l'eau en coule un miroitement perpétuel de reflets, de traces indicibles.