Le Musée Prive - Art Magazine

Crédits : MICHAEL HALSBAND — Andy Warhol & Jean-Michel Basquiat #143 New York City, July 10 1985 (détail) — © Michael Halsband, 2023À la Fondation LOUIS VUITTON
BASQUIAT X WARHOL, À QUATRE MAINS
Du 5 avril au 28 août 2023

En 2018, La Fondation Louis Vuitton présentait l’exposition « Jean-Michel Basquiat » qui remporta un succès considérable, avec près de 700 000 visiteurs.
En 2023, du 5 avril au 28 août, la Fondation poursuit son exploration de l’oeuvre de Jean-Michel Basquiat, révélant cette fois sa collaboration avec Andy Warhol.

De 1984 à 1985, Jean-Michel Basquiat (1960-1988) et Andy Warhol (1928-1987) réalisent environ 160 toiles ensemble, « à quatre mains », dont certaines parmi les plus grandes de leurs carrières respectives. Témoin de leur amitié et de cette production commune, Keith Haring (1958-1990) parlera d’une « conversation advenant par la peinture, à la place des mots », et de deux esprits fusionnant pour en créer un « troisième, séparé et unique ».

La Fondation Louis Vuitton présente « Basquiat x Warhol, à quatre mains », l’exposition la plus importante jamais consacrée à cette oeuvre singulière. Sous le commissariat de Dieter Buchhart et Anna Karina Hofbauer, en association avec Olivier Michelon, conservateur à la Fondation Louis Vuitton, l’exposition regroupera plus de trois cent oeuvres et documents dont quatre-vingts toiles signées conjointement.

Seront aussi exposées des oeuvres individuelles de chaque artiste, ainsi qu’un ensemble de travaux d’autres personnalités (Michael Halsband, Keith Haring, Jenny Holzer, Kenny Scharf...), afin de restituer la scène artistique du Downtown new-yorkais des années 1980. A noter que des photographies, dont la célèbre série aux gants de boxe réalisée par Michael Halsband pour le poster de l’exposition de Jean-Michel Basquiat et Andy Warhol en 1985 dans la Galerie Tony Shafrazi, enrichiront le parcours.

L’exposition s’ouvre sur une série de portraits croisés, Basquiat par Warhol, Warhol par Basquiat. Elle se poursuit avec les premières collaborations. Initiées par le galeriste des deux artistes, Bruno Bischofberger, ces oeuvres profitent de la participation du peintre italien Francesco Clemente (né en 1952). Après cette quinzaine d’oeuvres à trois, Basquiat et Warhol poursuivent leur collaboration avec enthousiasme et complicité, à un rythme presque quotidien. L’énergie et la force de leurs échanges incessants conduiront les visiteurs tout au long du parcours dans la totalité des galeries de la Fondation rythmé par des oeuvres capitales telles que Ten Punching Bags (Last Supper) ou la toile de 10 mètres African Mask.

Basquiat admire Warhol comme un aîné, un personnage clé du monde de l’art, initiateur d’un langage inédit et d’un rapport original à la culture populaire. En retour, Warhol trouve avec Basquiat un intérêt renouvelé pour la peinture. Avec lui, il se remet à peindre manuellement, à très grande échelle. Les sujets de Warhol (titres de presse, logos de General Electric, de la Paramount, des Jeux Olympiques) servent de structure à de véritables séries qui scandent le parcours.

« Andy commençait la plupart des peintures. Il mettait quelque chose de très reconnaissable, le logo d’une marque, et d’une certaine façon je le défigurais. Ensuite, j’essayais de le faire revenir, je voulais qu’il peigne encore », expliquait Basquiat. « Je dessine d’abord, et ensuite je peins comme Jean-Michel. Je pense que les peintures que nous faisons ensemble sont meilleures quand on ne sait pas qui a fait quoi », estimait Warhol.

L’exposition montre ces allers-retours, un dialogue de styles et de formes qui traite aussi de sujets cruciaux comme l’insertion de la communauté africaine-américaine dans le récit états-unien, un pays dont Warhol a été un des grands fabricants d’icônes.

Crédits : MICHAEL HALSBAND — Andy Warhol & Jean-Michel Basquiat #143 New York City, July 10 1985 (détail) — © Michael Halsband, 2023

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PICASSO. Artiste et modèle – Derniers tableaux
19 février – 1er mai 2023

Pablo Picasso  Le peintre et son modèle, 28.3.1963  Huile sur toile, 130 x 162 cm  Nahmad Collection  © Succession Picasso/2023, ProLitteris, ZurichDans le cadre des commémorations internationales du 50ème anniversaire de la disparition de Pablo Picasso (1881–1973), la Fondation Beyeler présente du 19 février au 1er mai 2023 une sélection concentrée de dix toiles tardives de l’artiste en provenance de la Collection Beyeler, de l’Anthax Collection Marx et d’autres collections privées.

Au cours de la dernière décennie de sa vie, alors qu’il est déjà âgé de plus de 80 ans, l’artiste espagnol poursuit de manière hautement productive son oeuvre audacieux. Avec une énergie irrépressible, au cours de cette ultime période il produit souvent plusieurs oeuvres par jour, faisant preuve d’une saisissante puissance créatrice, comme s’il cherchait à combattre l’âge et la diminution attenante de ses capacités de création artistiques et corporelles. Parmi les nombreux travaux des années 1960 et du début des années 1970 figure un important groupe d’oeuvres dans lesquelles Picasso se consacre au sujet de l’artiste et du modèle. Dans ces oeuvres hautement expressives, il explore d’une part l’image (de soi) de l’artiste et d’autre part l’acte et le processus de création.

Oscillant entre autoportrait, cliché et caricature, certains des tableaux donnent à voir l’artiste en chemise rayée, convoquant ainsi aussi l’image déjà élevée au rang de mythe de Picasso. Cependant, comme une forme de contre-image à son apparence personnelle, il représente souvent l’artiste sous les traits d’un homme barbu. Par ailleurs, Picasso présente le plus souvent l’artiste peignant directement devant le modèle, à l’encontre de sa propre pratique de travail – il peignait toujours de mémoire. Dans cette constellation, le modèle féminin nu, dont la représentation oscille également entre idéalisation et caricature, est exposé au regard de l’artiste. Avec ces oeuvres, la question reste ainsi ouverte de savoir dans quelle mesure Picasso exalte ou ironise sa fixation sur le nu féminin et l’appropriation visuelle du corps féminin. Son impressionnante série d’images du peintre et de son modèle soulève ainsi aussi des questions concernant le traitement personnel et artistique du corps féminin par l’homme et la possibilité de représenter ce corps dans le contexte actuel.

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logo fondation maeght
Jean Paul Riopelle, Tyuk, 1971, Acrylique sur lithographies marouflées sur toile, collection privée

Jean Paul Riopelle, Tyuk, 1971, Acrylique sur lithographies marouflées sur toile, collection privée

Exposition du 1er juillet au 5 novembre 2023
Dans le cadre de « Riopelle 100 »,
année du centenaire de la naissance de l'artiste
Commissaire invitée : Yseult Riopelle

À l'été 2023, la Fondation Marguerite et Aimé Maeght proposera une exposition monographique consacrée à Jean Paul Riopelle (1923-2002), artiste canadien qui a profondément marqué l'histoire de l'art. Du 1er juillet au 5 novembre 2023, l'exposition « Jean Paul Riopelle - Parfums d'ateliers » explorera l'Œuvre de l'artiste comme il n'a jamais été vu grâce au commissariat de sa fille, Yseult Riopelle, et à de nombreux prêts exclusifs publics et privés.

Quand il arrive à Paris en 1947, Riopelle découvre le travail d'artistes internationaux tous avides comme lui de liberté et d'expérimentation. Rapidement, ses œuvres sont exposées à Paris, Londres, New York, Ottawa, Montréal et Québec. En 1962, Riopelle représente le Canada à la Biennale de Venise et reçoit un des trois prix de l'UNESCO. Dès lors, sa renommée internationale est immense pour un artiste aussi jeune. Pendant quarante ans, entre ses ateliers au Québec, à Paris, Vétheuil, Meudon, Saint-Cyr-en-Arthies, ou dans le Sud de la France et son retour au Canada en 1990, Riopelle, toujours débordant d'idées et ouvert à toutes les techniques, s'avérera un artiste unique.

Après deux expositions monographiques consacrées à Riopelle en 1970 et 1990, la Fondation Maeght propose avec « Jean Paul Riopelle - Parfums d'ateliers » une approche nouvelle, un voyage au cœur des œuvres de l'artiste, réalisées au sein des différents ateliers qu'il occupa des deux côtés de l'Atlantique. L'exposition présentera ainsi plus de 180 œuvres de Riopelle, des travaux phares aussi bien qu'inédits, proposant un cheminement à travers les techniques utilisées par l'artiste.

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 John Levee one of the most important artists of abstract expressionism Photo Patrick H. Reynolds

John Levee un des Principaux artistes de l'expressionnisme abstrait

Source WIKIPEDIA  https://fr.wikipedia.org/wiki/Expressionnisme_abstrait

Peintres

Sculpteurs

Photographes

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En vente exceptionnel ensemble de dessins de Bertrand MOGNIAT DUCLOS (1903-1987) peintre de l'Ecole de Paris

Lien vers la Biographie de Bertrand MOGNIAT DUCLOS

Né à SEDAN dans les Ardennes le 24 Août 1903, il a passé ses premières années à Claix où sa famille possédait une très belle demeure, décédé à PARIS en 1987.

Son atelier se trouvait à Montparnasse au 72 rue Notre Dame des Champs PARIS VIème.

Selon la classification retenue dans le livre "LES COMTEMPORAINS" par René HUYGHE ( Ecrivain, Académicien, conservateur du Musée du Louvre, Conservateur du Musée de Washington) en 1949 aux Editions Pierre TISNE, l’œuvre de MOGNIAT DUCLOS s'inscrit au point de rencontre de l'expressionnisme du début du siècle avec la nouvelle génération LE FAUCONNIER, GROMAIRE et LA PATELLIERE et du retour au Réel illustré par: BOUCHE, DUNOYER DE SEGONZAC, BOUSSAINGAULT, WAROQUIER, DUFRESNE CERIA, COUBINE, MOREAU et FOUJITA. et de la Nouvelle Subjectivité où l'on retrouve LA PATELLIERE, GROMAIRE, LE FAUCONNIER avec GOERG, CHAGALL, LURCAT.

Mogniat-Duclos (1903-1987) dessin 45,5 x 28,5 cm signé du cachet en bas au centre

Mogniat-Duclos (1903-1987) dessin 45,5 x 28,5 cm
signé du cachet en bas au centre
PRIX : 60 EUR  - Comment acheter 

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Vue d’installation de l’exposition “Rétrospective Joan Mitchell” © The Estate of Joan Mitchell © Fondation Louis Vuitton / Marc Domage

Vue d’installation de l’exposition “Rétrospective Joan Mitchell”
© The Estate of Joan Mitchell
© Fondation Louis Vuitton / Marc Domage

Vue d’installation de l’exposition “Le dialogue Claude Monet – Joan Mitchell” © The Estate of Joan Mitchell © Fondation Louis Vuitton / Marc Domage

Vue d’installation de l’exposition “Le dialogue Claude Monet – Joan Mitchell”
© The Estate of Joan Mitchell
© Fondation Louis Vuitton / Marc Domage

 

Claude Monet, La maison de l’artiste vue du jardin aux roses, 1922-1924 Huile sur toile, 81 x 92 cm Musée Marmottan Monet, Paris

MONET - MITCHELL
Du 5 octobre 2022 au 27 février 2023
L’exposition « Monet - Mitchell » constitue l’événement de l’automne 2022 à la Fondation Louis Vuitton.
Pour la première fois, l’exposition « Monet -Mitchell » met en scène un dialogue sensible entre les œuvres de deux artistes exceptionnels, Claude Monet (1840-1926) avec les Nymphéas et Joan Mitchell (1925-1992), qui marquèrent de leur empreinte non seulement leur temps mais des générations de peintres.
L’exposition « Monet - Mitchell » est complétée d’une rétrospective sur Joan Mitchell qui permettra la découverte de son œuvre par le public français et européen.
« Monet - Mitchell » et la « Rétrospective Joan Mitchell » donnent à voir leurs sensations singulières face au paysage et à la nature, exprimées dans des formats souvent immersifs.
Le dernier Monet, celui des Nymphéas, restitue à l’atelier désormais, la persistance visuelle de motifs longuement observés devant les nymphéas de Giverny ; Joan Mitchell qui s’installe définitivement à Vétheuil en 1968, explore ses « feelings » - perceptions vives par-delà l’espace et le temps - à travers le filtre de ses mémoires croisées.

Joan Mitchell, Two Pianos, 1980 Huile sur toile, 279,4 × 360,7 cm Collection particulière © The Estate of Joan Mitchell  Photo : © Patrice Schmidt DIALOGUE MONET - MITCHELL
Galerie 4 à Galerie 11
Cet automne 2022, la Fondation Louis Vuitton, a le privilège d’annoncer le partenariat avec le Musée Marmottan Monet pour l’exposition « Monet - Mitchell », consacrée au dialogue entre la dernière période de Claude Monet (1914-1926), les Nymphéas, et l’œuvre de l’artiste américaine Joan Mitchell. Unique par son ampleur et sa force poétique, l’exposition « Monet - Mitchell » est présentée à la Fondation Louis Vuitton du 5 octobre 2022 au 27 février 2023 dans sept galeries, du rez-de-chaussée à tous les niveaux supérieurs, en écho à une rétrospective, permettant de découvrir l’œuvre de Joan Mitchell, présentée, quant à elle, en rez-de-bassin, dans la partie basse du bâtiment
de Les Nymphéas de Claude Monet trouvent une consécration dès les années 1950 aux États-Unis, où ils sont perçus comme précurseurs de l’abstraction par les peintres de l’Expressionnisme abstrait.
Après André Masson, Clément Greenberg, le célèbre critique américain, prend position pour défendre leur modernité : « Le principe que [Monet] a finalement trouvé (...) est plus large : il ne résidait pas dans la nature comme il pensait, mais dans l’essence même de l’art, dans sa faculté d’ « abstraction »1. Dans ce contexte du « Monet Revival », Mitchell participe en 1957 et 1958 à des expositions consacrées à la notion d’ « impressionnisme abstrait », terme inventé par son amie Elaine de Kooning. Le rapprochement des deux artistes est affermi par l’installation de Joan Mitchell en 1968, à Vétheuil, dans une propriété, proche de celle où vécut Monet de 1878 à 1881. L’artiste a toutefois revendiqué une totale indépendance artistique.

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Patrick Reynolds devant un tableau de John Levee Dans les années 80 j’ai été responsable des grands comptes sur Paris où j’ai lancé la marque des Parfums Van Cleef et Arpels  puis pendant plusieurs années directeur des ventes sur l’Angleterre pour ce merveilleux Parfum qui appartenait à SANOFI à cette époque et qui a connu un succès mondial grâce à son positionnement élitiste. FIRST de Van Cleef et Arpels a connu très vite un succès grâce à l’exigence extrême de qualité du groupe SANOFI pour lequel j'ai conservé toute mon admiration, et au positionnement élitiste de la distribution choisie par les dirigeants de l’époque. SANOFI est pour moi l'incarnation de la créativité, de l'inovation et de la culture.

SANOFI à cette époque était également propriétaire de Roger et Gallet, les Parfums Molyneux, des produits de beauté Stendhal

Quand j’ai créé la société LE MUSEE PRIVE puis le magazine en ligne https://www.le-musee-prive.com/  j’ai appliqué les mêmes méthodes élitistes que Van Cleef et Arpels pour le choix des artistes, des galeries, des musées et des commissaires-priseurs et tous les intervenants du monde de l’art.

Aujourd’hui le site https://www.le-musee-prive.com/ compte 1.400.000 visiteurs au minimum par mois dont 53 % d’américains (certains jours 100.000 personnes visitent le site) –

J’ai 76 ans, le temps est venu pour moi de trouver une importante entreprise ou une personnalité du monde des affaires à laquelle mes associés et moi cèderions une partie du capital de la société afin de créer une équipe pour passer à l’échelon supérieur. Il faut assurer la pérennité de notre magazine car tous les articles publiés restent sur le site créant ainsi une magnifique histoire de l’art en mouvement. Dans 100 ans on regardera les articles que nous publions aujourd'hui, mon ambition est de rendre LE MUSEE PRIVE immortel grâce à un nouveau partenaire ayant la même philosophie que nous. Par notre ouverture à un grand groupe nous allons créer une des plus belles aventures humaines du XXIème siècle qui pourrait générer beaucoup de bonheur.

Nous recherchons une régie Publicitaire afin de confier la recherche d’annonceurs publicitaires afin de générer des revenus.

Une des missions de l’équipe sera la publication d’articles payants pour les intervenants du marché de l’art.

Le Musée Privé est un magazine d’art en ligne véritable Musée en ligne accrédité par les plus grands Musées du monde entier  qui figurent dans la rubrique MUSEES  et les plus grandes Galeries internationales et françaises

Rubrique GALERIES EXPOS

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Je vous remercie de votre attention

Patrick Reynolds

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Edgar Stoebel portrait de l'artiste par Patrick Reynolds vers 1983

 

 

 

 

 

 

 

Edgar Stoëbel ( de son vrai nom Teboul Ichoua René ) est né à Frendah  près d’Oran en Algérie le 21 décembre 1909 décédé à Paris en décembre 2001 -  Stoëbel étant son nom d’artiste.

Très jeune il a été attiré par la musique et les arts graphiques, ces deux formes d’art ont été tout au long de sa vie étroitement liées et ont donné à son art cette dimension musicaliste et rythmée.

« Au fond c’est grâce à mon père que je suis devenu peintre, il a vécu intérieurement ses rêves, à Noël je trouvais dans la cheminée une boite de pastels, je me rappelle que vers l’âge de 10 ans je faisais des dessins et des copies de dessins, un jour j’ai fait un petit dessin représentant une femme nue, et ma mère curieuse de voir ce que je faisais s’est approchée de moi et quand elle a vu mon dessin elle a été choquée que je puisse faire un tel dessin à mon jeune âge et elle m’a tapé. La femme aura toujours été pour moi une source d’inspiration, elle est toujours présente dans mes œuvres. »

Stoebel Pianiste de JazzEdgar Stoëbel Le Pianiste de Jazz Figura-synthèse

« Mon père aimait la musique, il voulait constituer avec ses enfants un orchestre, il voulait que moi je fasse du violon, mon frère aîné du piano et un autre devait se consacrer au violoncelle. Je suis né avec la musique qui a bouleversé ma vie et l’art graphique. »

A Oran il crée un petit conservatoire avec 17 musiciens, une association de musiciens, et dirige un orchestre en tant que chef d’orchestre, mais il sent très vite qu’il ne progressera pas s’il ne part pas à PARIS.
Afin de travailler la musique il arrive à PARIS en 1931 et travaille avec le professeur  Léon Eugène MOREAU Grand Prix de Rome qui lui apprend l’harmonie, le contrepoint, la fugue et le piano jusqu’en 1939 déclaration de la guerre, mobilisé, il rejoint son corps d’infanterie où il est réformé temporairement au Conseil de Réforme.

A la suite de cela et de la montée du nazisme il repart en Algérie en 1940, où il  peindra et dessinera, puis dirigera un orchestre jusqu’en 1942.

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Bruce aux papillonsStatut juridique de l’animal : Vers la reconnaissance du caractère d’Etre sensible des animaux domestiques et sauvages !

Le sculpteur Alberto Giacometti déclarait : " Dans un incendie, entre un Rembrandt et un chat, je sauverais le chat". Le sculpteur signifiait ainsi que l'on ne peut pas comparer un animal qui est un être sensible au même titre qu'un être humain et un tableau qui n'est qu'un objet sans vie.

Le 28 janvier 2015, l'Assemblée nationale a voté un amendement permettant de clarifier le statut de l'animal domestique. Ceci représente une avancée considérable dans l'histoire de la pensée humaine, un petit pas vers la sagesse, mais une grande idée philosophique. Les portes du ciel s'ouvriraient-elles vers plus d'humanisme, l'homme et son pouvoir de nuisance infini mettrait-il en exergue la valeur suprème LE RESPECT DE LA VIE HUMAINE ET ANIMALE.

Alors que l'amendement Glavany, qui accorde le statut «d'êtres vivants doués de sensibilité» aux animaux domestiques, avait été rejeté le 22 janvier par le Sénat, Les députés l'ont définitivement adopté dans le cadre du vote du projet de loi sur la modernisation et la simplification du droit.

Le 15 avril 2014, les médias faisaient largement écho de l’amendement "Glavany", adopté en 1ère lecture par l’Assemblée Nationale lors du vote sur le Projet de loi relatif à la "modernisation et à la simplification du droit et des procédures dans les domaines de la justice et des affaires intérieures".

Le 30 octobre 2014, en deuxième lecture, les députés reconnaissaient aux animaux la qualité "d'êtres vivants doués de sensibilité", alors que jusqu'à maintenant le Code civil les considèrait comme "des biens meubles". Le 03 juin, Le groupe d’études sur la protection des animaux présentait, à l'Assemblée Nationale, une Proposition de loi plus ambitieuse.

Patrick Reynolds

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La Biographie d'Anna-Eva Bergman, « Vies lumineuses » écrite par Thomas Schlesser, directeur de la Fondation Hartung-Bergman et professeur à l'École polytechnique, paraît ce jeudi 10 novembre aux Éditions Gallimard. 

Anna-Eva Bergman - Vies lumineuse  par Thomas Schlesser Éditions GallimardElle a longtemps échappé aux radars de l'histoire de l'art. On découvre aujourd'hui avec Anna-Eva Bergman (1909-1987) une peintre d'importance majeure qui a investi dans son œuvre une ambition sacrée, presque mystique. Sa vie, racontée pour la première fois grâce à une enquête au cœur de ses archives, est hors norme : une enfance norvégienne sous le signe de la peur ; une jeunesse bohème et aventureuse à travers l'Europe ; une carrière d'illus- tratrice ; des démêlés avec l'Allemagne nazie ; une lutte acharnée avec une santé défaillante ; trois mariages, dont deux avec le même homme – Hans Hartung – à vingt-huit ans de distance ; une fin tragique dans la splendeur de sa villa d'Antibes.

Mais, surtout, Anna-Eva Bergman, c'est une vie dédiée à la création, loin des modes. Elle est aujourd'hui l'objet d'un engouement spectaculaire et sa cote s'envole. Il n'en a pas toujours été ainsi. Insuffisamment reconnue dans son pays d'origine, défendue par quelques rares alliés en France et en Europe, elle fera une très honorable carrière, certes, mais en sourdine, souvent dans l'ombre. Elle a beau croiser la route de Kandinsky, Soulages ou Rothko, elle demeure marginale. Caractérisés par l'emploi de feuilles d'or et d'argent et le rythme de la ligne, ses tableaux sont des évocations hiératiques et simpli- fiées, radicales, des grandes forces structurantes de l'univers – les éléments, les minéraux, le temps... Elle a laissé une quantité considérable de documents (la plupart en norvégien) qui permettent de comprendre enfin cette femme, dans la complexité de son être, le drame de son existence et la magnificence de son œuvre.

Thomas Schlesser est directeur de la Fondation Hartung-Bergman et professeur à l'École polytechnique.

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Maison de ventes aux enchères AGUTTES

De fabuleuses collections de peintures en vente chez Aguttes

Maison de ventes aux enchères AGUTTESLes plus belles collections de peintures en vente vous donnent rendez-vous chez Aguttes, l'un des grands noms de la vente aux enchères en France

De la nature morte hollandaise à une huile sur panneau Art Nouveau en passant par des collections de peintures en vente et des objets d'arts décoratifs, ce sont de véritables merveilles qui sont mises sur le devant de la scène chez Aguttes. Cette maison de renom, installée à Paris, Lyon, Aix-en-Provence, Neuilly-sur-Seine et Bruxelles se positionne à la quatrième place des maisons de vente aux enchères dans l'Hexagone en termes de chiffre d'affaires et de prestige. Depuis près de cinquante ans, Aguttes a fait ses preuves, tant pour la diversité incroyable de ses ventes que pour ses enchères animées, ses estimations, son sens de la découverte et ses services personnalisés

Aguttes, un spécialiste de premier plan sur le marché

Peinture de collection Maison de ventes aux enchères AGUTTES
Il suffit de feuilleter le catalogue de la maison ou de parcourir ses ventes à venir pour réaliser la richesse des œuvres qui y défilent régulièrement. Ses activités vont bien au-delà de la vente de collections de peintures. Naviguez dans le catalogue pour prendre la mesure de la quantité et de la richesse des collections mises aux enchères ! La qualité de cette sélection démontre d'ailleurs un savoir faire indéniable et une passion sans limite pour les arts et les beaux objets en général. Vous pourrez par exemple acquérir :
  • des tableaux dessins anciens,
  • des dessins par un artiste contemporain,
  • une œuvre de street art,
  • une huile sur toile de l'époque baroque,
  • un manuscrit ancien,
  • un tableau d'un peintre russe,
  • des perles et bijoux,
  • des médailles,
  • des œuvres sur papier,
  • des toiles de maître,
  • des estampes par des peintres d'Asie,
  • une sculpture d'art moderne et contemporain,
  • des dessins anciens.
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PIERRE SOULAGESPIERRE SOULAGES Peinture 162 x 114 cm, 17 avril 1972 Oil on canvas 162 x 114 cm | 63.8 x 44.9 in

"One day I was painting, black had invaded the entire surface of the canvas, without shapes, without contrasts, without transparencies.
In this extreme I saw in a way the negation of black.
My instrument was no longer black, but this secret light coming from black."

Pierre Soulages

We are deeply saddened to announce the passing of the artist Pierre Soulages. He was 102 years old, and leaves an immense legacy. Our condolences to his wife, Colette, who accompanied him for so many years. One of the greatest painters of our time, but mostly a soul in search of the absolute, through his relentless work on the depth and luminosity of the color black. This passion had seized him, as a child, in front of the prehistoric steles of the Museum of Rodez, where he was born. Or even, in Conques, the 11th century abbey, as a child, where years later he would create incredible stained glass windows (1992 - 1994). It was at that moment that the certainty of art and his vocation to paint had come to him. The architecture of the abbey of Sainte-Foy impressed him, just like a vision. Painting, engraving, lithography, he declined on all mediums his obsession with black, digging deep in what had marked his childhood. "The things that were fraternal to me, the earth, the old wood, the stones, the wet iron, all these rough things certainly marked me. I have always preferred them to pure and lifeless materials."

Light and darkness, rough and smooth, matte and shiny: Soulages was the painter of contrast, which found its incarnation in abstraction and his Outrenoir - beyond black, to light.
"Soulages was one of the most innovative painters of the 20th century, a remarkable artist and extraordinary person. He will be missed but his work will undoubtedly live on."

- Gilles Dyan, Opera Gallery Founder and Chairman
https://www.operagallery.com/

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Lochka1989 116x89 cm Nativité Naissance

"Peindre pour ne plus penser me plaît penser pour peindre n'est qu'une singerie de la grande marée de l'esprit" Francis Picabia

En 1977 je quittais Paris pour Venise parce que je voulais peindre !! J'avais faim de beauté, soif de couleurs et un besoin sensuel d'un corps à corps qui était devenu impossible dans un Paris coupeur de cheveux en quatre enivré de discours figé dans les avant gardes du début du siècle ( le XXème...), Prostré dans le blanc du carré blanc sur fond blanc académisant les ready-made castrant toute velléité d' expression  en ringardisant la figure...bref ne plus penser l'art mais m'immerger dedans.

Venise est musique  Venise rend tout possible car elle rend tout beau en le nimbant d'eau !

Lorsque je peins je ne sais pas où je vais où mon pinceau me conduira, je le privilégie à l'écriture  car il me donne la possibilité de rendre immédiatement visible toute une histoire dont le déroulement linéaire nuirait au côté " brut" " mystérieux" de l'expérience.

Là une histoire de maternité à venir une naissance attendue une gestation vécue avec l'inévitable anticipation  mentale et ce sentiment qui s'est confirmé d'une manière tellement violente  d'être un vecteur traversé par la vie un pont de chair et de sang .

Picabia disait aussi qu'on n'est pas responsable de ses actes  car on n'en mesure la portée  qu'une fois qu'ils sont accomplis...

Aussi la maternité ne saurait se dire toute car c'est l'expérience de la vie dans son mystère et dans sa magie.

Enfant, enfant à venir , la vie que je viens tout juste de sentir battre en moi comme je la pressens déjà avoir hâte de partir.

À peine passée par l'expérience de la chair s'envoler s'élever se fondre et disparaître dans le cycle sans cesse renouvelé de la vie .attentif à la belle harmonie de son incessant bruissement.

Le triple visage de la mère penché  vers l'enfant lui-même démultiplié  et tendant vers le départ l'envol de l'oiseau à l'envers  en haut à gauche  ( à gauche car le tableau me regarde)

Le second visage semble méditatif le front appuyé sur la main et le troisième est brisé il est créateur traversé par l'inspiration le souffle divin.

Parler d'une toile comment le pourrais-je sans que le tableau y perdre car enfin je peins ce que je ne saurais dire aussi bien  avec des mots  le langage ( le mien car je ne saurais hélas écrire comme Céline) induit une durée ou plutôt un déroulement  un sens alors qu'une peinture permet à toute la pensée  en entier de se donner à voir d'un coup d'œil  ensuite chacun y cheminant suivant sa propre sensibilité la circulation y est libre tout est donné à voir !!

Je peins par curiosité pour voir où cela me mène c'est pour moi un acte quasiment religieux par lequel c'est en m' abstrayant  le plus possible  que quelque chose vient sur la toile  qu'une histoire des histoires  prennent forme  des figures bien sûr en tension et que je souhaite comme en suspension .

Ici ( et j'étais enceinte ...est ce important ?) Écriture de femme , interrogation certes asexuée car il s'agit bien de peinture mais néanmoins cette interrogation  qui porte sur le corps  le corps béance par laquelle la vie le mystère la magie se perpétue...

Quoi d'autre que l'éternelle ment renouvelé miracle de la vie ?

Un battement de cil de la naissance à la mort une dynamique constante un flux un mouvement où nous courons d'une forme à l'autre toujours imparfaite toujours en mouvement  dans un souffle qui nous meut nous transforme ne nous laisse jamais tranquille sauf à s'y abandonner et accepter dans la joie ce qui nous est donné comme un miracle fugace et magnifique fait de chair de sang et de souffle.

Lolochka

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David Hockney, August 2021, Landscape with Shadows, Twelve iPad paintings comprising a single work, printed on paper, mounted on Dibond, Edition of 25, 108.2 x 205 cm (42.5 x 80.75 Inches), © David Hockney
David Hockney, August 2021, Landscape with Shadows, Twelve iPad paintings
comprising a single work, printed on paper, mounted on Dibond,
Edition of 25, 108.2 x 205 cm (42.5 x 80.75 Inches), © David Hockney

David Hockney
20 Flowers and Some Bigger Pictures
November 3 – December 22, 2022
Galerie Lelong & Co.13 rue de Téhéran and 38 avenue Matignon
Paris, France
Opening on November 3 from 6pm Vernissage le 3 novembre à partir de 18h

"I think it's what we need today.
New looking fresh pictures of a very beautiful world."
David Hockney

Five of the world's leading galleries are coming together to present 20 Flowers and Some Bigger Pictures, an unprecedented international exhibition by David Hockney. The global exhibition will be jointly presented this fall and winter across five cities: Annely Juda Fine Art in London; Galerie Lelong & Co. in Paris; GRAY in Chicago; L.A. Louver in Los Angeles; and Pace in New York.

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Plus de 65 000 visiteurs cet été à la Fondation Maeght et encore un mois d'exposition pour « Au cœur de l'abstraction » 

Depuis son ouverture au public le 2 juillet, l'exposition « Au cœur de l'abstraction » présentant plus de 100 œuvres majeures issues de la Fondation Gandur pour l'art et proposant une immersion passionnante dans l'abstraction des années 1950 à 1980 rencontre un vif succès, à la hauteur de cette collection extraordinaire. L'exposition, présentée jusqu'au 23 octobre, a déjà attiré plus de 65 000 visiteurs en trois mois : une fréquentation conséquente et diversifiée venue également découvrir la programmation estivale proposée par la Fondation Maeght ainsi que le nouveau restaurant Sous les pins, repris en juin par Les Agitateurs, au coeur des jardins de la Fondation.

Vue de l'exposition Au cœur de l'abstraction - Collection de la Fondation Gandur pour l'art © Roland Michaud
Vue de l'exposition Au cœur de l'abstraction - Collection de la Fondation Gandur pour l'art © Roland Michaud

Riche d'une collection de plus de 13 000 œuvres, la Fondation Maeght est toujours curieuse et honorée de présenter d'autres collections, parfois peu accessibles au public, comme elle l'a régulièrement fait par le passé. Depuis le 2 juillet et jusqu'au 23 octobre, elle présente ainsi plus de 100 œuvres issues de la Fondation Gandur pour l'art et propose une immersion passionnante dans l'abstraction des années 1950 à 1980. Sous le commissariat de Yan Schubert, conservateur de la Fondation Gandur pour l'art, l'exposition retrace les différentes formes que revêt l'abstraction au sortir de la Seconde Guerre mondiale, alors que Paris redevient une place forte de la création et reprend sa place de capitale culturelle mondiale. Les œuvres de Hans Hartung, de Martin Barré, de Simon Hantaï ou de Pierre Soulages montrent ainsi l'évolution de l'art non-figuratif sur quatre décennies. Dans un parcours thématique et chronologique, l'exposition propose notamment de découvrir l'abstraction lyrique et gestuelle de Georges Mathieu, l'expressionnisme abstrait de Sam Francis ou Joan Mitchell, l'abstraction géométrique de Victor Vasarely, les œuvres cinétiques d'Alexander Calder et de Jean Tinguely, jusqu'à la remise en question de la peinture par le groupe Supports/Surfaces. Les œuvres des années 1980 témoignent par ailleurs du renouvellement que connaît l'art abstrait à cette époque, poursuivant les expérimentations intenses des années précédentes.

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Stems Gallery & Strouk gallery are pleased to present
ALLISON ZUCKERMAN

"A Taste of Mille-Feuilles"
21.10.22 - 12.11.22
Opening October 20th 2022 from 5 to 8 pm
2, Avenue Matignon 75008 PARIS FRANCE

Zuckerman Strouk1m
Artist, Allison Zuckermann in her studio, with artworks from "A Taste of Mille-Feuilles" show

Allison Zuckerman's large scale canvases take a selection of female- orientated images from art history and, through the application of oil and acrylic paint, crystal rhinestones, and embedded archival CMYK ink, fuse them together in collage. Her work juxtaposes colourful pop imagery with a historical aesthetic. Through this marriage of epochs Zuckerman seeks to reclaim female figures from a male-dominated art historical canon, and does so with palpable excitement, humour and love.

Allison Zuckerman (b. 1990 Harrisburg, PA) lives and works in New York, NY.

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Images: (1) David Hockney, A Year in Normandie (detail), composite iPad painting, © David Hockney  (2) Tapisserie de Bayeux, XIème siècle © Bayeux MuseumArtist David Hockney presents “his” Normandy at the Bayeux Tapestry Museum
Exhibition - A Year in Normandie

From 22 September 2022 to 23 April 2023
(Winter closure in January 2023)

When British artist David Hockney arrived in Normandy in 2019, he became fascinated by the unfolding scenes of the Bayeux Tapestry, and resolved to draw from this inspiration in order to create a large scale narrative, depicting the cycle of seasons. As the world stood still during the successive lockdowns, Hockney depicted in the manner of the Impressionists the effects of light in the Norman skies and the arrival of spring around him. Confined in his typical half-timbered house of the Pays d’Auge, he captured the blossoming of nature and painted its variations with bright and colourful hues using the digital brushes of his IPad – a technology he has been using for the past twelve decade.

An exhibition of David Hockney’s famous work “A Year in Normandie” will begin at the Bayeux Tapestry Museum this autumn. The original work, recently presented in the main gallery of the Musée de l’Orangerie in Paris, takes the form of a 90 meter long frieze celebrating the arrival of spring in the Normandy countryside. Painted on an IPad, it was greatly inspired by the thousand-year-old narrative embroidery. From September, the Bayeux exhibition will bring Hockney’s frieze and its muse together in an unprecedented face-à-face, in the form of half scale reproductions of the monumental works shown on the second floor of the museum.

This dialogue between the famous embroidery (11th century) and David Hockney’s imposing frieze will allow visitors to immerse themselves in the two narratives simultaneously. Visitors will thus be able to observe and compare the stylised representations of trees in the Tapestry with the fruit trees in the artist’s orchard. “If you look closely, the two masterpieces, with admittedly very different artistic techniques, immortalise a specific moment in time. Both freeze-frame a conquest: that of a Norman Duke in England in the 11th century for one, and that of nature in Normandy and its constant renewal regardless of human turmoil for the other,” explains Antoine Verney, curator of the Museums of Bayeux.

Images: (1) David Hockney, A Year in Normandie (detail), composite iPad painting, © David Hockney (2) Tapisserie de Bayeux, XIème siècle © Bayeux Museum

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