Affiche Gustave Caillebotte FONDATION PIERRE GIANADDA MARTIGNY SUISSEGustave Caillebotte,
impressionniste et moderne
18 juin 2021 – 21 novembre 2021
Tous les jours de 9h00 à 19h00

L’exposition à laquelle nous invitent la Fondation Pierre Gianadda et Daniel Marchesseau, commissaire, a été reportée d’un an en raison de la pandémie qui nous a tous frappés. Elle sera présentée du 18 juin au 21 novembre 2021.

La Fondation Pierre Gianadda consacre sa grande exposition d’été au peintre trop mal connu, Gustave Caillebotte (1848-1894). Organisée avec Daniel Marchesseau, conservateur général honoraire du
Patrimoine, elle clôt le cycle consacré à l’impressionnisme commencé à Martigny en 1993 sous la direction du professeur Ronald Pickvance (1930-2017) avec Edgar Degas.

Cet hommage à Gustave Caillebotte, en forme de rétrospective, réunit quelque 90 toiles peintes entre 1870 et 1894 : un ensemble rare révélé au public grâce aux prêts essentiels consentis par plusieurs
musée européens : le Musée d’Orsay, Paris, le musée Marmottan Monet, Paris, le musée des Beaux-Arts, Rennes, le musée des Beaux-Arts, Rouen, le Petit Palais, Genève, la Fondation de l’Hermitage, Lausanne, le musée Van Gogh, Amsterdam, et le Museum Barberini, Potsdam ainsi que d’importantes collections privées européennes. Cette sélection souligne l’audace et la dualité picturale de l’impressionniste parisien le plus secret, disparu prématurément à l’âge de 45 ans en laissant un corpus d’oeuvres de moins de cinq cents toiles.

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Lucian Freud, Girl with a White Dog 1950-1 © TateLucian Freud: Real Lives
Tate Liverpool
24 July 2021 – 16 January 2022
Supported by Tate Liverpool Patrons

This summer, Tate Liverpool will stage a significant presentation of Lucian Freud (1922 - 2011) artworks, the first in the North West in over thirty years. Widely considered a master of modern portraiture, Freud was an artist who continued to expand his exploration of paint throughout his career. This focused exhibition will feature some of the artist’s most iconic paintings and etchings as well as photographs that provide an intimate glimpse into Freud’s life. Lucian Freud: Real Lives concentrates on the artist’s sitters who were often friends and family, creating clusters of portraits of those he captured over time, and thereby illuminating Freud’s technical virtuosity and stylistic development.

Deeply private and guarded, it is through his work that we get to know Freud the man, and this exhibition tracks the personal and artistic changes he went through, revealing the different people that came in and out of his life over a prolific career spanning more than 60 years.

Freud painted unapologetic and frank celebrations of the human form, with a focus on physicality that had rarely been seen before. The exhibition will include some of his most celebrated works, including portraits of sitters such as performance artist Leigh Bowery, his first wife Kitty Garman, his friend and long-time studio assistant, the painter David Dawson, and his mother, Lucie Freud. Freud’s representations of people either in all the vulnerability of nakedness or in a transfixing, almost intrusive proximity, emphasise the subject’s humanity and he is now regarded as one of Britain’s great realist painters. The show also provides a rare opportunity to bring together all of the Freud works held within the Tate collection, including Girl with a Kitten 1947 and Girl with a White Dog 1950–1.

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les Journées Juridiques du Patrimoine
les Journées Juridiques du Patrimoine
Pour cette 21ème édition, les Journées Juridiques du Patrimoine reviennent le 15 novembre 2021 à la Maison du Barreau.

Reconnue formation continue obligatoire (FCO), la journée se déroule en deux temps, afin de réaliser une rétrospective de l'année juridique écoulée avant de se concentrer sur un thème précis. Sur chaque sujet interviennent successivement parlementaires, avocats, élus, représentants des administrations et des grandes associations concernées, tout en favorisant des échanges avec la salle.

Les conférences du matin seront consacrées à l'actualité législative récente qui touche au patrimoine et au paysage. Seront notamment discutés la loi Climat et résilience et le projet de loi 3DS. De plus, le sujet des éoliennes sera approfondi.

Cette année encore, nous organiserons la 5ème édition du prix Pierre-Laurent Frier. Le prix, remis en fin de matinée, vise à récompenser les meilleurs mémoires des étudiants de Master 2 en droit du patrimoine matériel et immatériel, culturel et paysager, évalués par un jury composé d'universitaires.

Quant au thème de l'après-midi, nos intervenants essaieront de répondre à la question suivante : « le droit pénal au secours du patrimoine et de l'environnement ? » afin de préciser la manière dont le droit pénal peut être utilisé pour faire respecter le droit du patrimoine et de l'environnement. Nous évoquerons également la question centrale du volontarisme du maire en amont et en aval de la sanction.

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Ernst Beyeler, 1993. Photo: Kurt Wyss, BâleCommuniqué de presse, 16 juillet 2021
Centenaire de la naissance d’Ernst Beyeler

Le 16 juillet 1921 naissait Ernst Beyeler, fondateur de la Fondation Beyeler. En tant qu’un des galeristes les plus influents de son temps, il a constitué avec son épouse Hildy l’une des plus importantes collections d’art moderne au monde, hébergée depuis 1997 à la Fondation Beyeler dont le bâtiment a été conçu par l’architecte italien Renzo Piano. En tant que co-fondateur d’Art Basel, Ernst Beyeler a fortement contribué au rayonnement culturel international de la ville de Bâle.

Ernst Beyeler est né le 16 juillet 1921 à Bâle. Pendant sa formation commerciale et ses études d’économie et d’histoire de l’art à l’Université de Bâle, il travaille pour le magasin de livres rares et anciens « La Librairie du Château d’Art » d’Oskar Schloss à Bâle, qu’il reprend en 1945 et rebaptise « Galerie Beyeler » en 1952.
Dans les années qui suivent, Ernst Beyeler y organise de nombreuses expositions qui lui valent une renommée croissante à l’international. Des amitiés étroites se nouent avec des artistes tels Pablo Picasso, Alberto Giacometti, Jean Dubuffet, Francis Bacon, Jean Tinguely, Robert Rauschenberg et Bridget Riley.
Dans les années 1980, deux expositions de sculptures qu’organise Ernst Beyeler sous le titre « La sculpture au 20ème siècle » marquent particulièrement les esprits – en 1980 il réunit environ 200 oeuvres d’Auguste Rodin à Richard Serra au Wenkenpark à Riehen et en 1984 220 oeuvres d’Antoine Bourdelle à Joseph Beuys au Merian-Park à Bâle.

Plus de cinquante années durant, Ernst et Hildy Beyeler constituent l’une des plus importantes collections d’art moderne. Aujourd’hui, la collection de la Fondation Beyeler compte plus de 400 oeuvres d’art moderne et contemporain. Elle s’étend de l’impressionnisme et post-impressionnisme, avec des oeuvres de Paul Cézanne, Vincent van Gogh et Claude Monet, en passant par le cubisme, avec Pablo Picasso (qui occupe une place centrale dans la Collection Beyeler) et Georges Braque, à des groupes d’oeuvres majeurs de Joan Miró, Piet Mondrian, Henri Matisse, Alberto Giacometti et Paul Klee. L’expressionnisme américain est fortement représenté avec des oeuvres de Mark Rothko et Barnett Newman. Depuis, l’envergure et la réputation de la collection ne cessent de croître grâce à de nouvelles acquisitions d’artistes de premier plan comme Louise Bourgeois, Marlene Dumas, Jenny Holzer, Roni Horn, Gerhard Richter, Philippe Parreno ou Wolfgang Tillmans. La qualité exceptionnelle de la collection est actuellement donnée à voir dans la présentation « Natureculture », et ce jusqu’au 21 septembre.

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FONDATION BEYELER EXPOSITION CLOSE-UP  

CLOSE-UP

Berthe Morisot, Mary Cassatt, Paula Modersohn-Becker, Lotte Laserstein, Frida Kahlo,
Alice Neel, Marlene Dumas, Cindy Sherman, Elizabeth Peyton

19 septembre 2021 – 2 janvier 2022

L’exposition présentera des œuvres de neuf femmes artistes dont l’œuvre occupe une position éminente dans l’histoire de l’art moderne depuis 1870 jusqu’à aujourd’hui. C’est l’époque où, pour la première fois, il devint possible à des femmes en Europe et en Amérique de développer une activité artistique professionnelle sur une large base.

Au centre de l’exposition figurent des artistes qui ont en commun leur intérêt pour la représentation d’êtres humains, le portrait dans ses différentes déclinaisons et l’autoportrait. La Française Berthe Morisot et l’Américaine Mary Cassatt, toutes deux actives dans les années 1870 et 1880 à Paris, qui était alors la capitale de la création artistique la plus avancée; l’Allemande Paula Modersohn-Becker de 1900 à 1907 entre la petite ville provinciale de Worpswede, dans le Nord de l’Allemagne, et la métropole parisienne; l’Allemande Lotte Laserstein de 1925 à 1933 dans le Berlin de la République de Weimar; la Mexicaine Frida Kahlo depuis la fin des années 1920 jusque vers 1950, à Mexico City, pendant la période mouvementée de la consolidation de la révolution mexicaine; l’Américaine Alice Neel depuis la fin des années 1920 jusqu’au début des années 1980, d’abord à Cuba, puis à Manhattan, de Greenwich Village au Upper West Side en passant par Spanish Harlem; Marlene Dumas, née en Afrique du Sud, qui a grandi au Cap au plus fort de l'Apartheid, et vit depuis 1976 à Amsterdam; en même temps l’Américaine Cindy Sherman à New York, pôle occidental d’une nouvelle génération d’artistes contemporains; et enfin l’Américaine Elizabeth Peyton depuis les années 1990, entre New York et l’Europe de l’Ouest.

 
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Saloua Raouda Choucair, Fractional Module, détail, 1947-1951 Courtesy Galerie Saleh Barakat © Saloua Raouda ChoucairFoundation Photo © DRElles font l'abstraction
http://www.centrepompidou.fr  
Du 19 mai au 23 août 2021

Commissaire générale :
Christine Macel, conservatrice, cheffe du service création contemporaine et prospective,
Commissaire associée pour la photographie :
Karolina Lewandowska, directrice du musée de Varsovie, Pologne

L’exposition « Elles font l’abstraction » présentée au Centre Pompidou de la réouverture jusqu'au 23 août 2021, propose une relecture inédite de l’histoire de l’abstraction depuis ses origines jusqu’aux années 1980, articulant les apports spécifiques de près de cent dix « artistes femmes ». La commissaire générale Christine Macel et la commissaire associée pour la photographie, Karolina Lewandowska, revisitent cette histoire, tout en mettant en évidence le processus d’invisibilisation qui a marqué le travail des «artistes femmes», à travers un parcours chronologique mêlant arts plastiques, danse, photographie, film et arts décoratifs. Les artistes y sont présentées, selon les termes choisis pour le titre, comme actrices et cocréatrices à part entière du modernisme et de ses suites.

L’exposition présente les tournants décisifs qui ont marqué l’histoire de l’abstraction tout en remettant en cause ses canons esthétiques, sans pour autant en redéfinir un. Il s’agit aussi de dépasser l’idée d’une histoire de l’art conçue comme une succession de pratiques pionnières. En redonnant une place aux « artistes femmes » au sein de cette histoire, l’exposition en démontre la complexité et la diversité. Elle opère tout d’abord une incursion inédite dans le 19e siècle avec la redécouverte de l’oeuvre de Georgiana Houghton datant des années 1860, bouleversant la chronologie des origines de l’abstraction à partir de ses racines spiritualistes. Elle valorise ensuite des figures phares par de mini-monographies mettant en avant des artistes peu montrées en Europe ou injustement éclipsées. Une attention toute particulière est donnée aux contextes spécifiques qui ont entouré, favorisé ou au contraire limité la reconnaissance des « artistes femmes » – des contextes à la fois éducationnels,
sociaux, institutionnels. L’exposition révèle ainsi le processus d’invisibilisation de ces artistes tout en rendant compte de leurs positions, avec leurs complexités et leurs paradoxes.
Beaucoup, comme Sonia Delaunay-Terk, se sont situées au-delà du genre, quand d’autres comme Judy Chicago, ont revendiqué un art « féminin ».

Reférence Image : Saloua Raouda Choucair,
Fractional Module, détail, 1947-1951
Courtesy Galerie Saleh Barakat
© Saloua Raouda ChoucairFoundation
Photo © DR

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 © Tadao Ando Architect & Associates, Niney et Marca Architectes, agence Pierre-Antoine Gatier. Photo Maxime Tetard

Un nouveau lieu pour faire vivre et partager la collection

Nouveau musée parmi le réseau de lieux et d’initiatives développés depuis 2006 par François Pinault, la Bourse de Commerce — Pinault Collection propose un point de vue sur la collection d’œuvres contemporaines qu’il rassemble depuis plus de cinquante ans, à travers un programme d’expositions et d’événements.

« À la faveur de l’ouverture d’un nouveau lieu de présentation de ma collection à la Bourse de Commerce, au cœur de Paris, une nouvelle étape est franchie dans la mise en œuvre de mon projet culturel : partager ma passion pour l’art de mon temps avec le plus grand nombre. » François Pinault

https://www.pinaultcollection.com/fr/boursedecommerce

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Alberto Giacometti
1. Alberto Giacometti, Portrait de Marguerite Maeght, 1961. Huile sur toile, 130 x 96,5 cm. Collection Adrien Maeght, Saint-Paul-de-Vence © Succession Giacometti (Fondation Giacometti, Paris et ADAGP, Paris) 2021
2. Alberto Giacometti, Le Chien, 1951. Bronze, 47 x 100 x 15 cm. Collection Fondation Maeght, Saint-Paul-de-Vence © Succession Giacometti (Fondation Giacometti, Paris et ADAGP, Paris) 2021

GIOVANNI, AUGUSTO, ALBERTO, DIEGO ET BRUNO

Exposition du 3 juillet au 14 novembre 2021

Du 3 juillet au 14 novembre 2021, la Fondation Maeght propose une première mondiale en réunissant les cinq artistes de l'exceptionnelle famille Giacometti originaire du village suisse de Stampa : Giovanni, Augusto, Alberto, Diego et Bruno Giacometti, cinq artistes aux parcours différents mais entremêlés. Sous le commissariat de Peter Knapp, l'exposition « Les Giacometti : une famille de créateurs » invite à découvrir les talents et les influences artistiques de chacun dans leurs domaines de prédilection : peinture, sculpture, design et architecture.

« Évidemment, tout le monde connaît Alberto
mais moi j'avais envie d'exposer pour la première fois
les cinq artistes de cette famille créative.
En les exposant tous ensemble, j'espère
faire connaître les prénoms des quatre autres. »
Peter Knapp

Cette exposition originale permet de découvrir à travers plus de 300 œuvres l'importance de cette famille dans le tournant de la modernité de la première moitié du XXe siècle. Autour d'Alberto Giacometti, le plus connu de la famille pour ses sculptures emblématiques, les visiteurs pourront découvrir le travail de son père Giovanni, dont les peintures recèlent une puissance chromatique extraordinaire et qui compte, avec Ferdinand Hodler, Cuno Amiet et Félix Vallotton, parmi les peintres phares de la modernité suisse. L'exposition met également en lumière l'œuvre d'Augusto, cousin d'Alberto, précurseur de l'art non figuratif, qui amorce avec ses premiers pastels réalisés à Paris au début du XXe un langage personnel abstrait et coloré ; l'œuvre de ses deux frères, Diego son cadet, l'autre « paire de mains » et modèle de prédilection d'Alberto, qui s'illustra notoirement dans la création de pièces d'arts décoratifs et Bruno, le plus jeune, qui exerça le métier d'architecte et dont la vaste production en fit un représentant majeur de la modernité d'après-guerre en Suisse. La relation intime que chacun d'eux entretient avec leur village natal, Stampa, dans le canton des Grisons en Suisse, devenu aujourd'hui un lieu incontournable de l'histoire de l'art moderne, est mise en exergue tout au long de l'exposition.

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Photo RautertLa Fundació Per Amor a l’Art será protagonista en el Círculo de Bellas Artes con White Nights, Timm Rautert, Crazy Horse / Tod Papageorge, Studio 54 de la Colección Per Amor a l’Art.

París y Nueva York, retratadas por Timm Rautert y Tod Papageorge respectivamente. PHotoESPAÑA y Bombas Gens Centre d’Art presentan dos series fotográficas que muestran la vida nocturna durante la década de los setenta en estas dos grandes ciudades. La exposición está comisariada por Sandra Guimarães, Vicent Todolí y Julia Castelló.

Timm Rautert fotografió el cabaret parisino Crazy Horse en 1976 por encargo de la revista alemana ZEITmagazin. Si bien el encargo consistía en retratar del fundador del cabaret, finalmente se publicaron las fotografías que Rautert había hecho a las bailarinas en el camerino durante su visita.

En 1977, un año después de que Rautert fotografiara el Crazy Horse, abrió en Nueva York el mítico club nocturno Studio 54. A pesar de su efímera vida, su fama se disparó a nivel internacional por la cantidad de rostros conocidos que lo frecuentaban, llegando a convertirse en símbolo de la inmoralidad y el libertinaje. Tod Papageorge consiguió acceder a la fiesta de Nochevieja de 1977 para retratar algo más que la ostentación y el glamour, tomando como referencia las imágenes de la vida nocturna parisina de Brassaï en la década de los años 30.

Ambos trabajos funcionan como reportajes periodísticos. El lenguaje documental y testimonial de las fotografías experimenta con la carga de la imagen y la información que puede llegar a ofrecer la fotografía. Sus obras reflejan una búsqueda estética propia del momento y plantean un cuestionamiento de la autenticidad o “verdad” del lenguaje fotográfico como reflejo de la realidad.

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vernissage patrix1Michel Patrix,

Une joyeuse liberté de peindre

« Pour des artistes tels que Michel Patrix, l'art est une aventure. C'est aussi une expérience vivante. Son activité est désintéressée. Elle se situe sciemment en marge des postulats de l'École de Paris. Elle traduit une volonté de choix qui s'écarte de la norme et une vocation qui échappe totalement à l'emprise de la mode. C'est une activité personnelle et individuelle qui côtoie l'anarchie. Elle n'est concevable que dans un pays libre qui se targue d'ignorer les contraintes esthétiques. Comme la plupart des peintres de sa génération, Michel Patrix subit (ou a subi) la puissante attraction du cubisme, mais il a adopté devant les découvertes de ses prédécesseurs une attitude nouvelle et indisciplinée. » Waldemar George  Michel Patrix, Éditions de la Galerie Paul Raffray, 1959.

« J'admirais le talent de Michel Patrix, et nous étions nombreux à penser qu'il était le plus doué de nous tous… Il m'épatait beaucoup par sa verve, son éclat, et c'est vrai qu'il était habité par la peinture. »  Robert Wogensky - Lettre à Annie Aubrun-Patrix, 6 janvier 1991, extrait des archives de Madame Aubrun-Patrix

« Celui qui vécut la peinture comme une aventure compta parmi les jeunes espoirs de l'École de Paris figurative, tout en gardant une totale liberté ancrée dans une vocation qui échappe à l'emprise de toute mode. »  Lydia Harambourg - L'École de Paris, 1945-1965 - Dictionnaire des peintres, Éditions Ides et Calendes 1993.

Michel Patrix fut défendu par les marchands importants de son temps, Emmanuel David en France et Paul Rosenberg à New York. D’après Emmanuel David[1] qui se reproche d’avoir par inexpérience fait échouer l’opportunité, il aurait d’ailleurs été préféré à Bernard Buffet par Rosenberg. Prix du Salon de la Critique en 50, Prix Opera du Musée des Art décoratifs et Prix de la Ville d’Oran au prix de la jeune peinture en 1949, distingué par la critique dès 43, il est l’ainé du groupe de l’Echelle. Groupe de l’Echelle qu’Eric Mercier[2] présente comme l’emblème d’un mouvement réagissant aux traumatismes de guerre par l’hédonisme et la joie de vivre dans son catalogue de l’exposition « jeune peinture des années 50 » au musée de Clermont Ferrand.

Son énergique amour de la liberté et sa volonté délibérée d’incarner sa création, « ma vie et ma peinture sont une seule et même chose, quand le peintre est malade, sa peinture se couche » note-t’il dans son carnet de bord, et son esprit alerte, curieux des avancées scientifiques, philosophiques et sociologiques de son temps a fait de son parcours un phénomène délibérément à part, tout en donnant naissance à une écriture picturale unique.

Cette exposition présente son parcours depuis son enfance jusqu’à son décès à Gonneville-sur-Scie en 1973 où lui même, son épouse et de jeunes artisans ont établi le Centre de créativité qui porte son nom avec l’objectif de « promouvoir et diffuser la créativité par l’art ».   

Ceux qui souhaitent une introduction à cette exposition peuvent s’arrêter là et se reporter aux pages fort bien documentées  de Wikipédia  et du Musée privé.[1]  En regard de l’évolution de notre culture contemporaine, le parcours de l’artiste que fut mon père, indissociable de son époque, de ses amitiés, de ses amours, de ses espérances, de ses tourments, me parait mériter une attention plus soutenue.

Cette exposition sera donc l’occasion de publier un témoignage plus complet.

Bruxelles, le 18 Mai 2021

Blaise Patrix

[1]  cliquez sur les liens : https://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Patrix/ et

https://www.le-musee-prive.com/207-biographies-artistes-contemporains/670-biographie-michel-patrix.html/

[1] cité par Patrick Reynolds

[2]  Années 1950, l’alternative figurative Editions un,deux…quatre, 2007

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La Fundació Per Amor a l’Art  Inma Femenía, Vicent Todolí, Sandra Guimaraes y Susana Lloret
La Fundació Per Amor a l’Art Inma Femenía, Vicent Todolí, Sandra Guimaraes y Susana Lloret
  • · La artista valenciana ha donado los ocho esbozos que representan las distintas partes de la muestra que hizo para este centro de arte

Valéncia a 2 de marzo de 2021.- Inma Femenía produjo ex profeso la exposición “Infraleve” para el centro de arte Bombas Gens de la Fundació Per Amor a l’Art (FPAA). Tras su clausura el pasado 31 de enero, la FPAA ha adquirido la obra Transversal, para cerrar el círculo de su acción de mecenazgo: impulsar, exponer, adquirir. Femenía, por su parte, ha donado a la colección los ocho esbozos, que se presentan en forma de cuadro y que representan las distintas partes de la exposic̶ión: Transversal, Liminal, Hold, Black Mirror y Mehr Licht!. Ambas obras pasan a formar parte de la Colección Per Amor a L’Art. Esta colección privada de fotografía y arte contemporáneo está compuesta por más de 2.250 obras  de unos 220 autores, tanto nacionales como internacionales. La colección de la Fundació Per Amor a l’Art recibió en 2018 el premio “A” de coleccionismo de la Fundación ARCO.

Transversal (2020) es una instalación hecha con PVC, un material que -debido a su ausencia de color es susceptible de hacer tangibles sus intervenciones y resaltar la forma en que las propiedades luz-materia se relacionan ante una mirada condicionada por lo digital. Esta nueva adquisición se suma a otras ya presentes de la artista en la Colección Per Amor a L’Art y, en palabras de la propia artista: “es una gran satisfacción personal, pues me gusta pensar que en un futuro podrá volver a verse en el lugar que fue concebida o en otros espacios de interés debido a su carácter flexible”.

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Illustration : Sabrina Ratté pour Transmoderna

Communiqué de presse, le 26 mars 2021
Nouvelle date : 7 avril

En collaboration avec l’équipe de Transmoderna, la Fondation Beyeler accueillera Dixon, l’un des plus grands noms de la scène électronique, pour une session de mix unique lors de laquelle le DJ streamera en réalité virtuelle dans les locaux du musée. Cet ambitieux projet audiovisuel sera diffusé le 7 avril à 20 heures en partenariat avec la plateforme musicale Beatport et de Denon DJ.

Dixon a choisi comme point de départ de cette expérience virtuelle l’architecture ainsi que le parc du musée, qui ont été, à cette fin, modélisés en 3D. Il prendra la forme d’un avatar aux traits hyperréalistes et mixera un set exclusif d’une heure. Tout spécialement pour cette performance,
Transmoderna a sélectionné une série d’oeuvres issues de la collection de la Fondation qui apparaîtront aux côtés de l’avatar dans les salles d’exposition pendant le set – il s’agit, entre autres, de photographies de Wolfgang Tillmans, de sculptures de Auguste Rodin et de peintures de Paul Klee. Des travaux d’artistes numériques renommés viendront, en outre, s’ajouter à ces oeuvres d’art. Pour la réalisation de ce projet, Transmoderna a collaboré pour la première fois avec Sofia Crespo, artiste neuronale, Sabrina Ratté, artiste multimédia, et Feileacan McCormick, artiste génératif. Pendant la session de mix, les oeuvres d’art ainsi que l’architecture du bâtiment seront modifiés grâce aux effets spéciaux assistés par intelligence artificielle et se transformeront en une oeuvre d’art totale hyperréaliste.

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Exposition Libres et égales de Sylvia GalmotNice, le vendredi 5 mars 2021
Journée internationale des droits des femmes
Vernissage de l’exposition « Libres et égales » de Sylvia Galmot sur invitation

En présence de Christian Estrosi, Maire de Nice,
Président de la Métropole Nice Côte d’Azur, Président délégué de la Région Provence Alpes Côte d’Azur
De Maty Diouf, adjointe déléguée à la lutte contre les discriminations et aux droits des femmes & De Sylvia Galmot et des 11 niçoises mises à l’honneur dans l’exposition

Lundi 8 mars 2021 à 11 heures
Promenade des Anglais - Nice
Pergolas, au niveau du Palais de la Méditerranée

L’égalité des femmes et des hommes est un droit fondamental, valeur essentielle de toute société démocratique. Cependant, trop d’injustices demeurent encore aujourd’hui. Christian Estrosi a engagé la Ville de Nice dans cette bataille contre les discriminations en général et contre les inégalités homme-femme en particulier afin de faire évoluer les mentalités et relever ce défi sociétal.
A l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, placée sous l'égide de l'ONU depuis 1977 et reconnue en France en 1982, la Ville de Nice et la Métropole Nice Côte d’Azur mettent à l’honneur l’exposition « Libres et égales » de la photographe Sylvia Galmot.

Le thème de cette exposition fait écho à la thématique choisi par l’ONU en 2020 pour la journée internationale des droits des femmes : « Je suis de la génération Egalité : Levez-vous pour les droits des femmes ». L’exposition, composée de 28 portraits de femmes venant d’horizons différents, a été présentée en mars dernier sur les grilles de la cour d'appel à Paris.

A Nice, l’exposition met en lumière 28 portraits de femmes : 11 portraits de niçoises engagées localement pour les droits des femmes et 17 portraits de parisiennes issus de la précédente exposition.

Sportives, avocates, journalistes, présidentes de réseaux associatifs, femmes de lettres, actrices, philosophes …Certaines sont célèbres, d’autres plus anonymes mais toutes sont engagées dans le combat pour les libertés et la dignité des femmes. La vocation de l’exposition « Libres et Egales » est de transmettre un message de solidarité et d’espoir pour toutes.

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kandinsky bertin

L’artiste sonore Antoine Bertin poursuit ses expérimentations en ligne et à Paris au Centre Pompidou pour l’hommage “Dans l’intimité de Kandinsky”, en attendant sa résidence à la Diagonale Paris Saclay avec Laboratoire d’Ecologie, Systématique et Evolution (ESE) du CNRS, où il mettra en musique le travail d’archéologie moléculaire du directeur de recherche Juergen Kroymann au mois de septembre prochain.

Dans le cadre de l’hommage à Kandinsky du 10 février au 31 décembre 2021 “Dans l’intimité de Kandinsky” au Centre Pompidou, Antoine Bertin et le musicien électronique NSDOS imaginent les possibles interactions entre l’oeuvre de génie abstrait et les disques qu’il écoutait en travaillant. Si son incidence sur l’art abstrait est relativement connu du grand public, l’homme derrière la toile l’est moins. Grâce à la numérisation en haute définition de milliers d’œuvrres et documents d’archives rares (toiles, croquis, esquisses, photographies personnelles, correspondances), cette expérience numérique permet de réunir ses chefs-d’œuvre emblématiques mais aussi de partager ses voyages, découvrir les rencontres qui ont marqué sa vie ou encore approfondir notre connaissance de son don de synesthésie – un phénomène neurologique touchant sa perception sensorielle lui permettant d’associer sons, couleurs et formes. Autant d’éléments fondamentaux pour la compréhension de son œuvre.

Cet hommage comporte trois parties. Une monographie en ligne réunit œuvres, photographies, palettes, pinceaux et autres objets lui ayant appartenu. Une « Pocket Gallery » permet de découvrir en réalité augmentée depuis son smartphone ou sa tablette une exposition virtuelle présentant les chefs d’œuvre de Kandinsky. Et “Play a Kandinsky”, cette expérimentation interactive inédite d’Antoine Bertin et NSDOS dont l’ambition est de réinterpréter à l’aune des technologies modernes le don de synesthésie de Kandinsky, en mêlant machine learning et création originale des deux artistes en partenariat avec Google Arts.

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Babs Haenen. Spring Dunes, 1988. Porcelain, 15 1/8 in. (38.4 cm). The Metropolitan Museum of Art, New York, Gift of Robert A. Ellison Jr., in celebration of the Museum's 150th Anniversary, 2020 (2020.296.35). Courtesy Hostler Burrows, New York. Photography by Robert A. Ellison Jr

Exhibition of Magnificent Modern and Contemporary Ceramics Celebrates Gift from
Robert A. Ellison Jr. to The Met
February 22–August 29, 2021 - https://www.metmuseum.org/

Shapes from Out of Nowhere: Ceramics from the Robert A. Ellison Jr. Collection celebrates an extraordinary gift to The Met of 125 modern and contemporary ceramics from Robert A. Ellison Jr., given to the Museum in honor of its 150th anniversary. The exhibition will present a selection of over 75 works from this unparalleled collection that charts the evolution of abstraction in clay from the second half of the 20th century through the present.
The exhibition is made possible by The Modern Circle.
Max Hollein, Marina Kellen French Director of The Met, commented, "For decades, Bob Ellison has transformed The Met's collection with extraordinary gifts of ceramics, a legacy of expertise and generosity made all the more remarkable with this most recent gift. We are deeply grateful to Bob for these outstanding works of art, which represent a diverse array of styles by both well-known and underrepresented artists alike from the last century. It will be an honor to share these objects of great beauty and innovation with our audiences."
"Museums are in many ways collections of collections that have been assembled with the keen eye of passionate individuals. Bob Ellison is one of these brilliant collectors," said Sheena Wagstaff, The Met's Leonard A. Lauder Chairman of Modern and Contemporary Art. "With this donation of marvelously imaginative works by a range of artists—many influenced by the eccentric Mississippian and accidental modernist George Ohr—The Met is now proud to own deep holdings of unique contemporary abstract forms in clay."

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Fondation Maeght

La Fondation Maeght est heureuse de pouvoir à nouveau accueillir ses visiteurs dans ses espaces extérieurs : jardins de scultpures, cour Giacometti, labyrinthe Miró. La préfecture des Alpes Maritimes a en effet autorisé cette ouverture dans le strict respect des consignes de sécurité sanitaire. La librairie, où le visiteur pourra trouver catalogues, affiches, foulards et oeuvres originales, est également autorisée à ouvrir. En attendant l'ouverture des salles d'exposition, le visiteur pourra se promener dans un lieu unique et intemporel où art, architecture et nature dialoguent dans une parfaite harmonie et découvrir des oeuvres d'Alexander Calder, Alberto Giacometti, Joan Miró, Marc Chagall, Jean Arp, Eduardo Chillida, Raoul Ubac, Pierre Tal-Coat, Erik Dietman, Barbara Hepworth, Jean Paul Riopelle, Eugène Dodeigne.

Informations pratiques

Fondation Maeght
623 Chemin des Gardettes
06570 Saint-Paul-de-Vence

https://www.fondation-maeght.com/

Horaires :
Tous les jours : 11h-17h

Tarifs pour les jardins :
Tarif plein : 7 €
Tarif réduit : 5 € (enfants de 10 à 18 ans, étudiants, presse, guides conférenciers)
Gratuit : enfants de moins de 10 ans, personnes en situation de handicap et membres de la Société des Amis

Image: Vue extérieure de la Fondation Beyeler ; Photo: Mark Niedermann

Communiqué de presse, 22 janvier 2021

Bilan 2020 et perspective 2021 de la Fondation Beyeler:
«Ne jamais subir une crise sans en saisir les opportunités»

Comme pour la plupart des institutions culturelles, l’année 2020 aura été difficile pour la Fondation Beyeler. Le bilan est bien inférieur aux attentes mais aussi nettement supérieur aux craintes. La programmation et le nombre de visiteurs·ses ont été massivement impactés par les fermetures obligatoires du musée, les interdictions de manifestations publiques, les restrictions de voyage et de déplacement et autres mesures administratives rendues nécessaires par la pandémie du coronavirus.
Deux grandes expositions et des centaines d’événements, de visites guidées et d’ateliers ont dû être repoussés ou annulés. Malgré tout, les équipes du musée sont parvenues à proposer sur place et en ligne un programme varié et alléchant. En tant que musée d’art le plus visité de Suisse, malgré ce contexte difficile la Fondation Beyeler a accueilli 291’604 visiteurs·ses en 2020. Les propositions de médiation artistique en ligne ont généré un intérêt record, avec plus d’un million de visites sur le site web et des taux de croissance à deux chiffres sur les réseaux sociaux. Dans l’ensemble, la Fondation Beyeler a relativement bien surmonté cette année de crise, entre autres grâce au succès de l’exposition «Edward Hopper», à la programmation en ligne et à l’investissement artistique du parc du musée.
L’ensemble des 203 collaborateurs·rices ont pu continuer à travailler malgré des épisodes temporaires de chômage partiel.

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Long Museum

long museum founders

LONG MUSEUM is founded by couple mega-collectors Mr.Liu Yiqian and Mrs. Wang Wei.

It has been nearly twenty years since the couple Liu Yiqian and Wang Wei began their art collection. By acquiring important representative artworks in each historical period, they have gradually established three main subjects of collection, namely Chinese traditional art, Chinese revolutionary art, and modern and contemporary art.

In this June, they were listed in The 2012 ARTnews 200 Top Collectors. This is the first time for collectors from Mainland China to be listed in this authoritative selection.

Long Museum on Wikipedia

Le musée Long est un musée d'art privé dont le siège est situé à Shanghai, en Chine. Son annexe du Bund-Ouest à Shanghai, est le plus grand musée privé de Chine.
 
Adresse : 3398 Longteng Ave, Xuhui District, Shanghai, Chine
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Tel: 8621-33685521
Email: info(at)thelongmuseum.org

Gustave Le Gray, Grande Vague (détail), 1857,  papier albuminé d’après négatif sur plaque de verre au collodion photo © BnF - Département des Estampes et de la photographie
Gustave Le Gray, Grande Vague (détail), 1857,
papier albuminé d’après négatif sur plaque de verre au collodion photo © BnF - Département des Estampes et de la photographie

Noir & Blanc : une esthétique de la photographie.
Collection de la Bibliothèque nationale de France

nouvelles dates : l' exposition est reportée jusqu'à nouvel ordre conformément aux directrices gouvernementales

Grand Palais
Galerie Sud-Est

Exposition coorganisée par la Réunion des musées nationaux – Grand Palais et la Bibliothèque nationale de France.

« Le monde en noir et blanc recèle quelque chose de mystérieux qui ne peut être décrit et qui est formidablement séduisant. Est-ce faux de penser que cela touche nos coeurs d’autant plus fort que nous vivons à une époque où tout peut être photographié en couleurs ? » Shoji Ueda.

Cette exposition présente des chefs-d’oeuvre en noir et blanc des collections photographiques de la Bibliothèque nationale de France (BnF), exceptionnellement réunis pour l’occasion. Nadar, Man Ray, Ansel Adams, Willy Ronis, Helmut Newton, Diane Arbus, Mario Giacomelli, Robert Frank, William Klein, Daido Moriyama, Valérie Belin… Les grands noms de la photographie française et internationale sont réunis dans un parcours qui embrasse 150 ans d’histoire de la photographie noir et blanc, depuis ses origines au XIXe siècle jusqu’à la création contemporaine.

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Auguste Rodin Le Penseur, taille originale, 1880/1882 Bronze (Auguste Griffoul, 1896), 72 x 34 x 53 cm MAH Musée d’Art et d’Histoire, Genève Photo : © MAH, Genève, Photo Flora Bevilacqua
Auguste Rodin
Le Penseur, taille originale, 1880/1882
Bronze (Auguste Griffoul, 1896), 72 x 34 x 53 cm
MAH Musée d’Art et d’Histoire, Genève
Photo : © MAH, Genève, Photo Flora Bevilacqua

Rodin / Arp
13 décembre 2020 – 16 mai 2021

FONDATION BEYELER
Beyeler Museum AG
Baselstrasse 77, CH-4125 Riehen / Basel
T +41 (0)61 645 97 29 / F +41 (0)61 645 99 60
www.fondationbeyeler.ch
Communiqué de presse, 11 décembre 2020

»Et ainsi la vérité de mes figures, au lieu d’être superficielle, sembla s’épanouir du dedans au dehors
comme la vie même.«
Auguste Rodin

»Nous ne voulons pas copier la nature. Nous ne voulons pas reproduire, nous voulons produire. Nous
voulons produire comme une plante qui produit un fruit et ne pas reproduire.«
Hans Arp

Pour la première fois, une exposition muséale fait dialoguer Auguste Rodin (1840–1917) et Hans Arp (1886–1966), mettant face à face l’oeuvre pionnier du grand réformateur de la sculpture du 19ème siècle finissant et l’oeuvre influent d’un des protagonistes majeurs de la sculpture abstraite du 20ème siècle. Les deux artistes possédaient une puissance d’innovation artistique et un goût pour l’expérimentation exceptionnels. Leurs oeuvres ont fortement marqué leur époque et ont conservé toute leur actualité.

Les créations d’Auguste Rodin et de Hans Arp illustrent de manière impressionnante et exemplaire des aspects fondamentaux du développement de la sculpture moderne. Rodin a ainsi introduit des idées et des possibilités artistiques radicalement nouvelles dont Arp s’est saisi plus tard dans ses formes biomorphes, les faisant évoluer, les réinterprétant ou les contrastant. Il n’est à ce jour pas certain que Rodin et Arp se soient jamais rencontrés personnellement, mais leurs oeuvres présentent des liens de parenté artistique et de références communes, tout comme des différences, qui font de la confrontation de leurs créations singulières une expérience visuelle particulièrement éloquente.

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Samuel Richardot Int'ubagu Musée d'art contemporain de la Haute-Vienne

DU 3 octobre au 14 décembre 2020
Musée d'art contemporain de la
Haute-Vienne - Château de Rochechouart
Place du Château
87600 Rochechouart, France
Tél. : 05 55 03 77 77

https://www.musee-rochechouart.com/index.php/fr/

Pour envisager l’œuvre de Samuel Richardot, il faut penser celle-ci comme une traversée, un voyage initiatique, qui prend pour cadre des espaces picturaux où se rejoue le théâtre du monde.

Cela commence par un blanc. Surface rectangulaire où la couleur fait front. Un jeu de cache-cache s’opère sur la toile, un théâtre des opérations dispose les obliques, barrant les plus petits rectangles, vert sur rouge ou rouge sur vert. L’œil soutient difficilement la brillance des teintes, pourtant nettes, dont l’équivalence annule presque la différence à la frontière de la partition de leurs espaces respectifs. Le vibrato coloré, valeur d’ondes lumineuses que la couleur incarne, agit littéralement sur la surface blanche de la toile apprêtée. Une autre ligne, hasardeuse et floue, formée d’une multitude de points, passée sans doute à la bombe, crée un contre-point qui est une sinusoïde. Celle-ci renforce le bord cadre du rectangle dessus et dessous les deux triangles colorés. Plus qu’un flou, la trace crée une ombre arrêtée. Un arrêt sur image, le noir arrête l’image. Et ce faisant, le noir invente des horizons multiples et contrariés sur la surface plus large de la toile. Que dire du jaune latéral, lui aussi ombré par un noir flouté sur les bords ?

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mondrian beyeler

Communiqué de presse 23 septembre 2020
Le Piet Mondrian Conservation Project (2019–2021)

Une initiative de la Fondation Beyeler, avec le soutien de La Prairie

Dans le cadre d’un projet de conservation d’envergure d’une durée de trois ans (2019–2021), la Fondation Beyeler se penche sur sept tableaux de Piet Mondrian (1872–1944). Le projet porte sur l’étude et la conservation de ces oeuvres appartenant à la Collection Beyeler, trois d’entre elles datant des débuts de l’artiste et quatre de réalisation plus tardive. Avec le soutien de La Prairie, dans les mois à venir les quatre oeuvres tardives emblématiques de l’artiste seront étudiées et analysées de manière approfondie. Jusque fin 2021, les visiteurs·ses intéressé·e·s peuvent observer le travail des restaurateurs·rices d’art. La Fondation Beyeler prévoit une importante exposition Piet Mondrian en 2022.

La Fondation Beyeler possède l’une des plus importantes collections de tableaux de Piet Mondrian de Suisse, allant d’oeuvres majeures des débuts de l’artiste néerlandais à des classiques plus tardifs. Ces sept chefs-d’oeuvre de Mondrian ont donné l’impulsion pour le lancement d’un projet de recherche et de conservation d’une durée de trois ans (2019–2021). Si chaque tableau est pris en compte à titre individuel et indépendant, l’objectif est de considérer les sept oeuvres de Mondrian de la Collection Beyeler comme un groupe cohérent en termes de composition et de présentation. Le Piet Mondrian Conservation Project comporte trois axes de recherche principaux qui sont brièvement présentés dans ce qui suit.

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© Ben Vautier, être libre – droits réservés
© Ben Vautier, être libre – droits réservés

galerie eva vautier
Hors les murs

Être libre BEN
Domaine Départemental de Chamarande
Derniers jours
Exposition jusqu'au 11 octobre 2020

Commissariat de l'exposition Eva Vautier

Pour le Domaine départemental de Chamarande, Ben rassemble plus de 400 œuvres, issues pour la plupart de sa collection personnelle, mais aussi de collections particulières.
L'exposition « Être libre » révèle les multiples facettes d'un artiste iconoclaste et provocateur qui récuse la pensée unique depuis plus de 50 ans. Elle permet de découvrir son œuvre dans toute sa complexité et ses contradictions, son ampleur joyeuse et son foisonnement, qui traversent tous les champs de l'art et de la vie.
Une partie historique présente une sélection d'œuvres significatives des années 1958 à 1978.

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Don Mccullin, fishermen playing during their lunch break, Scarborough, Yorkshire 1967 © Don Mccullin
Don Mccullin, fishermen playing during their lunch break, Scarborough, Yorkshire 1967 © Don Mccullin

16 September 2020 – 9 May 2021

TATE LIVERPOOL
Albert Dock, Liverpool L3 4BB, Royaume-Uni
Téléphone : +44 151 702 7400
https://www.tate.org.uk/

This one-way route guides you from the Main entrance and through to the exhibition. There will be access to toilets, our shop and an opportunity to buy food and drink during your visit.

Discover the work of legendary British photographer Don McCullin (b. 1935). See more than 200 iconic photographs captured over the last 60 years. The exhibition includes poignant images of international conflict. These will be shown alongside photographs of the UK, which depict scenes of working-class life in the industrial north and London’s East End. On display will be some of McCullin’s most recent landscape photography taken in the artist’s home county of Somerset.

In addition to the images shown at Tate Britain, there will be a special selection of photographs depicting life and industrial scenes of Liverpool and other northern towns and cities during the 1960s and 70s.

Alongside these photographs, all printed by McCullin himself in his own darkroom, you’ll have the opportunity to see his magazine spreads, contact sheets, helmet and the Nikon camera which took a bullet for him in Cambodia.

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Lee Krasner Combat, 1965 Oil on canvas 179 × 410.4 cm National Gallery of Victoria, Melbourne, Felton Bequest, 1992 (IC1-1992) © The Pollock-Krasner Foundation
Lee Krasner Combat, 1965 Oil on canvas 179 × 410.4 cm
National Gallery of Victoria, Melbourne, Felton Bequest, 1992 (IC1-1992)
© The Pollock-Krasner Foundation

September 18, 2020 - January 10, 2021

Museo Guggenheim Bilbao
Avenida Abandoibarra, 2
48009 Bilbao
https://www.guggenheim-bilbao.eus
Contact us:
contacto(at)guggenheim-bilbao.eus
Telephone:
+34 944 35 90 00
+34 944 35 90 80

Lee Krasner (b. 1908; d. 1984) was a pioneer of Abstract Expressionism, the movement that made New York a thriving center for modern art in the postwar period. Born in Brooklyn, in an Orthodox Jewish, Russian émigré family, she decided to become an artist at 14. She applied to the only school in New York that offered an art course for girls and would later study at the Cooper Union, the National Academy of Design, and the Hans Hofmann School of Fine Arts.

Krasner was one of the first artists in New York to adopt an entirely abstract approach, and in 1942 she was included in the exhibition American and French Paintings at the McMillen Inc., alongside her friends Willem de Kooning and Stuart Davis. The one fellow exhibitor that she had not met before was Jackson Pollock, so she decided to visit his studio. In 1945 they married and moved to Springs, Long Island.

Unlike many of her contemporaries, Krasner refused to develop a 'signature image,' which she considered to be too rigid. Working in cycles, she sought out new means for authentic expression, even during the most tumultuous of times, including Pollock's sudden death in a car crash in 1956. Krasner's formidable spirit is felt throughout the body of work that she created over more than fifty years in the studio.

Lee Krasner Icarus, 1964 Oil on canvas 116.8 x 175.3 cm Thomson Family Collection, New York © The Pollock-Krasner Foundation. Courtesy Kasmin Gallery, New York Photograph by Diego Flores.

Lee Krasner Icarus, 1964 Oil on canvas 116.8 x 175.3 cm
Thomson Family Collection, New York © The Pollock-Krasner Foundation.
Courtesy Kasmin Gallery, New York - Photograph by Diego Flores.

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Journées européennes du Patrimoine

A l'occasion des Journées européennes du Patrimoine, les 19 et 20 septembre 2020, les Archives départementales du Haut-Rhin vous proposent 5 expositions virtuelles sur la thématique "Patrimoine et éducation : Apprendre pour la vie !".

(Re) découvrez des personnalités sous des angles attendus ou surprenants.

Laissez-vous guider par votre curiosité. Picorez, survolez, approfondissez…

Faites-vous plaisir et laissez-vous emporter à travers un voyage temporel plein de surprises et… sans virus ! encore que…

[nb : le encore que s’explique par quelques interviews qui ont eu lieu pendant le confinement ou le sketch de Catherine et Liliane sur la « Maladie X »…]

http://www.archives.haut-rhin.fr/Education/p167/Journees-europeennes-du-patrimoine-2020

Le 17/09/2020 par départementales Archives

Edward Hopper, The Lee Shore, 1941, huile sur toile, 71,7 x 109,2 cm, The Middleton Family Collection; © Heirs of Josephine Hopper / 2019, ProLitteris, Zurich; Photo: © 2019. Photo Art Resource/Scala, Florence
Edward Hopper, The Lee Shore, 1941, huile sur toile, 71,7 x 109,2 cm, The Middleton Family Collection;
© Heirs of Josephine Hopper / 2019, ProLitteris, Zurich; Photo: © 2019. Photo Art Resource/Scala, Florence

Plus que quelques jours: l'exposition «Edward Hopper» à la Fondation Beyeler prend fin le 20 septembre 2020

L'exposition «Edward Hopper», grand succès public à la Fondation Beyeler à Riehen/Bâle, touche à sa fin. Plus de 200'000 visiteurs·ses ont pu voir les œuvres de cet artiste américain majeur, auquel la crise du coronavirus a conféré une actualité inattendue – dans la presse et sur les réseaux sociaux, Hopper s'est vu qualifié fréquemment de «peintre du moment». Ses paysages emblématiques des années 1909 à 1965 sont à voir à la Fondation Beyeler jusqu'au 20 septembre 2020. Pour la dernière soirée de cette exposition plébiscitée par le public, la Fondation Beyeler prévoit dimanche 20 septembre un horaire d'ouverture étendu à 21h, un bar à boissons et de la musique live dans le Pavillon du Berower Park.

Edward Hopper (1882–1967) compte parmi les artistes majeurs du 20ème siècle. Connu en Europe principalement pour ses peintures à l'huile de scènes de la vie urbaine, dont certaines ont acquis une popularité exceptionnelle, jusqu'à présent ses paysages avaient reçu moins d'attention. Étonnamment, aucune exposition importante n'avait encore été consacrée au regard porté par Hopper sur le paysage américain. C'est par ailleurs la première fois qu'une exposition est consacrée à Edward Hopper en Suisse alémanique. Initialement programmée jusqu'au 17 mai et prolongée jusqu'au 20 septembre, la vaste exposition de la Fondation Beyeler présente des peintures de paysage emblématiques de Hopper ainsi qu'une sélection d'aquarelles et de dessins.

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red cross museum2020
Imagine Réflexions sur la paix Reflections on peace 16.9.2020 photo © Gary Knight /
À quoi ressemble la paix, au-delà des images qu’on s’en fait ?

Nous sommes très heureux de vous présenter notre nouvelle exposition temporaire «Imagine. Réflexions sur la paix», qui ouvrira ses portes le mardi 15 septembre 2020.
Conçue en collaboration avec la VII Foundation, l’exposition invite à imaginer l’idéal de paix au-delà des images qui font l’actualité : quelle (s) forme (s) revêt-elle au quotidien dans des pays qui ont déposé les armes, après bien des années de conflits ?

Des grands noms de la photographie retournent sur les lieux où ils ont réalisé, pour certains d’entre eux, leurs premiers reportages, il y a plus de 20 ans, afin d’examiner les conditions et conséquences des processus de paix au Liban, en Irlande du Nord, en Bosnie-Herzégovine, au Rwanda, au Cambodge et en Colombie, pays qui ont connu des conflits de longue durée.

Sorties pour la plupart du contexte brûlant qui les a fait naître et présentées en tableaux parfois denses, ces 160 photographies rendent compte d’un processus fragile, d’une réalité complexe faite de succès, d’échecs, d’espoir et d’hésitations.

Liste des photographes : Stephen Ferry, Ron Haviv, Gary Knight, Don McCullin, Roland Neveu, Gilles Peress, Jack Picone et Nichole Sobecki.

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Vue de l'exposition Kehinde Wiley, Peintre de l'épopée, Centre d'art La Malmaison, à Cannes © Olivier Clavel
Vue de l'exposition Kehinde Wiley, Peintre de l'épopée, Centre d'art La Malmaison, à Cannes © Olivier Clavel

KEHINDE WILEY,
PEINTRE DE L’ÉPOPÉE

10 juillet > 1er novembre 2020

Centre d'Art de la Malmaison, Cannes
47 boulevard de la Croisette
06400 Cannes
Tél : 04 97 06 45 21
E-mail : centredartlamalmaison(at)ville-cannes.fr
http://www.cannes.com/fr/culture/centre-d-art-la-malmaison.html

Du 10 juillet au 1er novembre, le Centre d'Art de la Malmaison sur la Croisette, accueille l’une des stars internationales les plus recherchées d'aujourd'hui, l'américain Kehinde Wiley. À travers plus d’une vingtaine d'œuvres, le Centre d'art la Malmaison dévoile le dessein épique qui anime le travail de l’artiste depuis plus d’une décennie.

Puisant son inspiration dans la peinture classique, du Titien à Gainsborough en passant par Van Dyck ou Ingres, Kehinde Wiley propose une perspective unique, politique et esthétique. En choisissant de rendre visible les invisibles de l’histoire, il interroge les spectateurs sur les questions de perception, de pouvoir et d’origine.

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MACM Musée d'Art Classique de Mougins
Situé dans une ancienne maison du village médiévale de Mougins, le Musée d'Art Classique de Mougins a été fondé en 2011 par Christian Levett, un gestionnaire d'investissement britannique, qui souhaite partager sa passion de l'histoire et de l'art avec le public, en exposant sa collection d'antiquités et d'art classique.
Sur 4 étages, découvrez une collection d’antiquités unique regroupant sculptures, vases, bijoux, et pièces de monnaie, d’origines romaine, grecque et égyptienne, et la plus grande collection privée d’armes et armures gréco-romaines au monde...
Visite avec Leisa Paoli. : Musée d'Art Classique de Mougins 5 rue des muriers Mougins 06250 France Téléphone : 04 93 75 18 22 https://www.mouginsmusee.com/

JEAN COCTEAU & SA MYTHOLOGIE MUSEE D'ART CLASSIQUE DE MOUGINS
Musée d'Art Classique de Mougins
5 rue des Muriers
06250 MOUGINS - France

11 septembre 2020 - 24 janvier 2021
Une exposition MACM en collaboration avec le Musée Jean Cocteau collection Séverin Wunderman de Menton

JEAN COCTEAU & SA MYTHOLOGIE
11th September 2020 - 24th January 2021
An MACM exhibition in collaboration with the
Musée Jean Cocteau collection Séverin Wunderman, Menton
Le MACM invite en ses murs celui qui fut connu comme un esthète, un dandy, une des figures à la mode du Tout-Paris et surtout un immense artiste aux multiples talents: peintre, dessinateur, cinéaste, chorégraphe, auteur dramatique, poète... c'est, bien sûr, de Jean Cocteau qu'il s'agit.

The Musée d'Art Classique de Mougins welcomes within its walls the man who was once known as one of the most fashionable figures in Paris, an aesthete, a Dandy & above all a great artist with multiple talents: a painter, a draftsman, a filmmaker, a choreographer, a playwright, a poet... Jean Cocteau !

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12.09.2020 — 03.01.2021
Gérard Fromanger
Annoncez la couleur !
Musée des Beaux Arts, Caen, France

Le Château
14000 Caen — France
T +2 31 30 47 70

www.mba.caen.fr

Particulièrement attaché à la Normandie où il a grandi, Gérard Fromanger est l’un des plus grands représentants du courant de la Figuration narrative. Depuis les événements de mai 68 auxquels il prend une large part en co-fondant notamment l’Atelier populaire des Beaux-Arts de Paris, il s’affirme comme un artiste engagé, ancré « dans le monde ». « Comme tous les artistes, j’étais sorti de mon atelier et le souffle, la beauté de la rue m’ont saisi. Tout à coup j’ai compris le pouvoir de la rue. Elle peut changer le monde. La rue et les gens sont devenus mes thèmes, ils sont entrés dans mes tableaux. » Depuis un demi-siècle Gérard Fromanger décline une stratégie de la couleur fondée sur la quadrichromie en conjuguant les composants de la photographie avec l’impérieuse nécessité de s’impliquer dans son époque. Il revisite à travers ses séries les grands genres de la peinture – scènes d’histoire, paysages, portraits. L’exposition du musée des Beaux-Arts révèle, à travers une soixantaine d’œuvres créées de 1966 à 2018, à quel point ce peintre de la rue et des passions joyeuses, résolument libre, a su développer un art toujours novateur, à l’écart de tout formalisme.

L’exposition bénéficie du commissariat de Claude Guibert, cinéaste et critique d’art.

Gérard Fromanger Annoncez la couleur ! Musée des Beaux Arts, Caen, France

Pablo Picasso (1881-1973). Susanna and the Elders. Nice, summer 1955. Fundación Almine y Bernard Ruiz-Picasso para el Arte, Madrid. On temporary loan to the Museo Picasso Málaga © FABA photo: Hugard & Vanoverschelde Photography © Sucesión Pablo Picasso, VEGAP, Madrid, 2020
Pablo Picasso (1881-1973). Susanna and the Elders. Nice, summer 1955. Fundación Almine y Bernard Ruiz-Picasso para el Arte,
Madrid. On temporary loan to the Museo Picasso Málaga © FABA photo: Hugard & Vanoverschelde Photography
© Sucesión Pablo Picasso, VEGAP, Madrid, 2020
 

MUSEO PICASSO MÁLAGA
Palacio de Buenavista C/ San Agustín, 8
29015 Málaga, Spain

https://www.museopicassomalaga.org/en

By periodically refreshing, and thus revising, its permanent collection, Museo Picasso Málaga is in a way following in the footsteps of Picasso himself, who innovated constantly with his art throughout his life. With its thematic and chronological layout, this new exhibition narrative in the Palacio de Buenavista will enable visitors to acquire a deeper knowledge of Pablo Picasso’s artistic career by grouping his works together in a way that helps them to understand his artistic processes. This is the sixth transformation of the exhibition rooms of the Palacio de Buenavista since the museum first opened in 2003, thanks to the negotiations that took place to ratify the agreement between the Consejería de Cultura y Patrimonio de la Junta de Andalucía and Fundación Almine y Bernard Ruiz-Picasso para el Arte (FABA), which has been renewed for three more years, during which time a total of 162 works by Picasso will be added to the 233 works MPM holds in its own collection.

The new layout of the exhibition rooms owes its unique features to an innovative scenographic layout in the museum spaces. There are 44 paintings, 49 drawings, 40 graphic works, 10 sculptures, 17 ceramics, 1 tapestry and 1 linocut plate. With the 233 works belonging to Museo Picasso Málaga and these 162 from Fundación Almine y Bernard Ruiz-Picasso para el Arte (FABA), the collection will hold almost four hundred works by Pablo Picasso, dating from between 1894 and 1972, of which 120 will be on display in the Palacio de Buenavista. These works build a story that begins with Picasso’s formative years and continues through the most representative periods of the artist’s career.

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Sophie Taeuber-Arp. Composition of Circles and Overlapping Angles. 1930. Oil on canvas. 19 ½ x 25 ¾” (49.5 x 64.1 cm). The Museum of Modern Art, New York. The Riklis Collection of McCrory Corporation. Photo: The Museum of Modern Art, Department of Imaging and Visual Resources. © 2019 Artists Rights Society (ARS), New York / VG Bild-Kunst, Bonn
Sophie Taeuber-Arp. Composition of Circles and Overlapping Angles. 1930. Oil on canvas. 19 ½ x 25 ¾” (49.5 x 64.1 cm).
The Museum of Modern Art, New York. The Riklis Collection of McCrory Corporation. Photo: The Museum of Modern Art,
Department of Imaging and Visual Resources. © 2019 Artists Rights Society (ARS), New York / VG Bild-Kunst, Bonn

Bringing Together Some 400 Works, the Exhibition Will Open at The Museum of Modern Art, New York, with Subsequent Presentations by Kunstmuseum Basel and Tate Modern, London

NEW YORK, The Museum of Modern Art announces Sophie Taeuber- Arp: Living Abstraction, the first major US exhibition in nearly 40 years to survey this multifaceted abstract artist’s
innovative and wide-ranging body of work. On view November 1, 2020, to February 14, 2021, the exhibition will explore the artist’s interdisciplinary approach to abstraction through some 400 works assembled from over 80 public and private collections in Europe and the US, including textiles, beadwork, polychrome marionettes, architectural and interior designs, stained glass windows, works on paper, paintings, and relief sculptures. Sophie Taeuber-Arp: Living Abstraction is organized by The Museum of Modern Art, Kunstmuseum Basel, and Tate Modern, by Anne Umland, the Blanchette Hooker Rockefeller Senior Curator of Painting and Sculpture, MoMA; Walburga Krupp, independent curator; Eva Reifert, Curator of Nineteenth-Century and Modern Art, Kunstmuseum Basel; and Natalia Sidlina, Curator, International Art, Tate Modern; with Laura Braverman, Curatorial Assistant, Department of Painting and Sculpture, MoMA. Following its presentation at MoMA, the exhibition will be shown at the Kunstmuseum Basel (March 19–June 20, 2021) in Taeuber-Arp’s native Switzerland, and at Tate Modern in London (July 13–October 17, 2021), where it will be the first-ever retrospective of the artist in the United Kingdom.

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Ben Vautier Fondation Linda et Guy Pieters Saint Tropez

 

L'ART EST UN VIRUS - Exposition Ben Vautier du 4 juin - 11 octobre 2020

Fondation Linda et Guy Pieters
28 Boulevard Vasserot
(Places des Lices)
83990 Saint-Tropez
+32 484 133 468
https://www.fondationlgp.com/fr
info(at)fondationlgp.com

Ben, de son vrai nom Benjamin Vautier, est un artiste français d’origine suisse, né le 18 juillet 1935, à Naples (Italie), de mère irlandaise et occitane, et de père suisse francophone. Il est le petit-fils de Marc Louis Benjamin Vautier, peintre suisse du XIXe siècle. Il vit ses cinq premières années à Naples. Après la déclaration de guerre, en 1939, Ben et sa mère vont multiplier les voyages : Suisse, Turquie, Égypte, Italie…, pour enfin s’installer à Nice en 1949. Il étudie à l’école du Parc-Impérial et à la pension du collège Stanislas. Sa mère lui trouve un travail à la librairie Le Nain bleu en tant que garçon de course, puis lui achète une librairie-papeterie.

À la fin des années 1950, il la vend pour ouvrir une petite boutique, dont il transforme la façade en accumulant quantité d’objets et dans laquelle il vend des disques d’occasion. Rapidement, sa boutique devient un lieu de rencontres et d’expositions où se retrouvent les principaux membres de ce qui deviendra l’école de Nice : César, Arman, Martial Raysse, etc. Proche d’Yves Klein et séduit par le Nouveau Réalisme, il est convaincu que « l’art doit être nouveau et apporter un choc ».

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Kandinsky
November 20, 2020 - May 23, 2021 (Dates pending)

Museo Guggenheim Bilbao
Avenida Abandoibarra, 2
48009 Bilbao
https://www.guggenheim-bilbao.eus
Contact us:
contacto(at)guggenheim-bilbao.eus
Telephone:
+34 944 35 90 00
+34 944 35 90 80

As a pioneer of abstraction and a renowned aesthetic theorist, Vasily Kandinsky (b. 1866, Moscow; d. 1944, Neuilly-sur-Seine, France) is among the foremost artistic innovators of the early twentieth century. He endeavored to free painting from its ties to the natural world, and in so doing he discovered a new subject matter based solely on the artist’s “inner necessity” that would occupy him throughout his life. Drawn primarily from the Solomon R. Guggenheim Foundation’s rich holdings, this comprehensive exhibition of paintings and works on paper traces Kandinsky’s aesthetic evolution and spans his entire oeuvre.

After settling in Bavaria in 1908, Kandinsky helped found the Munich-based group Der Blaue Reiter (The Blue Rider), a loose association of artists united around a common interest in the expressive potential of color and the symbolic—often spiritual—resonance of forms. Following a period of great productivity, Kandinsky was forced to leave Germany with the outbreak of World War I and ultimately returned to his native Moscow. There, his pictorial vocabulary began to reflect the utopian experiments of the Russian avant-garde, including emphasizing geometric shapes in an effort to establish a universal aesthetic language. After the war, Kandinsky began teaching at the Bauhaus, a German school of art and applied design that shared his belief in art’s ability to transform self and society. Kandinsky was nonetheless forced to abandon Germany a second time when the Bauhaus was closed under pressure from the Nazis in 1933. He and his wife, Nina, settled in a suburb of Paris, where Kandinsky increasingly experimented with materials, creating imaginative works in which he combined sand with pigment. His compositions from this last chapter resemble miniscule worlds of living organisms, clearly informed by his contact with Surrealism, and an interest in natural sciences, particularly botany, embryology, and zoology.

Vasily Kandinsky Black Lines (Schwarze Linien), December 1913 Oil on canvas 129.4 x 131.1 cm Solomon R. Guggenheim Museum, New York Solomon R. Guggenheim Foundation Collection, By gift © Vasily Kandinsky, VEGAP, Bilbao 2020

Vasily Kandinsky Black Lines (Schwarze Linien), December 1913
Oil on canvas 129.4 x 131.1 cm
Solomon R. Guggenheim Museum, New York
Solomon R. Guggenheim Foundation Collection, By gift
© Vasily Kandinsky, VEGAP, Bilbao 2020
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La Fondation Beyeler rouvre ses portes le lundi 11 mai 2020.

Les expositions «Edward Hopper» et «Voir le silence – Images de quiétude» sont prolongées jusqu'au 26 juillet, l'exposition «Goya» est reportée.

À partir du lundi 11 mai, la Fondation Beyeler sera à nouveau ouverte tous les jours. Les visiteurs pourront y retrouver l'exposition consacrée au grand artiste américain Edward Hopper ainsi que la présentation de la collection «Voir le silence – Images de quiétude». Avec la crise du coronavirus, les deux expositions ont soudainement et dramatiquement gagné en actualité. En raison de l'intérêt du public, elles sont prolongées jusqu'au 26 juillet 2020. Les billets peuvent être réservés en ligne à partir du jeudi 7 mai sur www.fondationbeyeler.ch . La Fondation Beyeler a élaboré un plan de protection complet pour ses visiteurs et ses collaborateurs afin de mettre en œuvre de manière optimale les mesures de l'ordonnance COVID-19 de la Confédération. Ainsi, le nombre de visiteurs sera limité au moyen de billets en ligne à créneau horaire déterminé et la circulation des visiteurs dans le parc et dans le musée est réaménagée, avec des points distincts d'entrée et de sortie. Tous les événements sont annulés jusqu'à nouvel ordre, Les visites guidées se tiendront sous forme réduite en dehors des horaires d'ouverture. La grande exposition «Goya», dont l'ouverture était prévue le 15 mai, est reportée. Une nouvelle date sera communiquée en juin.

 

Edward Hopper, Cape Cod Morning, 1950, huile sur toile, 86,7 x 102,3 cm, Smithsonian American Art Museum, Gift of the Sara Roby Foundation; © Heirs of Josephine Hopper / 2019, ProLitteris, Zurich; Photo: Smithsonian American Art Museum, Gene Young

Edward Hopper, Cape Cod Morning, 1950,
huile sur toile, 86,7 x 102,3 cm,
Smithsonian American Art Museum,
Gift of the Sara Roby Foundation;
© Heirs of Josephine Hopper / 2019, ProLitteris, Zurich;
Photo: Smithsonian American Art Museum, Gene Young
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Cet été à la Fondation Manuel Rivera-Ortiz, nous vous invitons à faire un pas de côté, à changer de point de vue. Nous vous invitons à vous poser la question avec nous : s'il n'y a plus de Terra Incognita ni de « grands explorateurs » ... qui sont les réels Pionniers aujourd'hui ?

Les êtres humains ont parcellisé, surveillé, exploité les espaces terrestres, aériens, maritimes. Exit les Terra Incognita, les cartes sont pleines... il est temps de les rebattre ! Nous voulons donner la voix à des hommes et des femmes assez lucides pour penser en dehors des limites que nos sociétés ont globalement établies sur des considérations anthropocentriques, anthropométriques, mécaniques, puis numériques.

Nous voulons faire entrer en résonance des photographes, vidéastes, designers sonores, des activistes, des individus, des citoyens qui s'engagent pour améliorer nos vies et notre rapport à notre environnement par l'augmentation de notre savoir et l'élargissement de nos univers individuels.

« Ce qui m'intéresse ce n'est pas le bonheur de tous les hommes, c'est celui de chacun. » – Boris Vian

Les 11 expositions que nous vous présentons invitent à questionner nos limites tant physiques que mentales ou spirituelles à travers les travaux de Mathias Benguigui et Agathe Kalfas, Yves Billon, Aline Deschamps, Alberto Giuliani, Yao Jui-Chung et Sandy Lo, Sylvie Léget, Andréa Mantovani, Pablo Ernesto Piovano, Ernest Randriarimalala et Saraya Cortaville, Niina Vatanen et les archives de Boris Vian.

 

Fondation Manuel Rivera-Ortiz
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THE MENIL COLLECTION PRESENTS PHOTOGRAPHY AND THE SURREAL IMAGINATION
ON VIEW NOW THROUGH JUNE 14 - 2020

Events During Houston’s FotoFest Biennial 2020 Include Talks by Artist Allison Janae
Hamilton and Curator Natalie Dupêcher, a Lecture by Author David Campany, and a Special Musical Performance

HOUSTON, TEXAS, February 24, 2020 – Drawn from the Menil Collection’s renowned holdings of Surrealist art and from extraordinary loans from Houston collections, the exhibition Photography and the Surreal Imagination is on view at the Menil Collection now through June 14, 2020.
Presenting 62 works that span the years from Surrealism’s eruption in the 1920s to the present day, the exhibition reveals how photographers during and after the Surrealist movement have explored and distorted the human form, manipulated the photographic surface, and used the camera to transform the familiar into the uncanny. Photography’s inherent tension between documentation and invention emerges in the exhibition as the generative force that has made this medium so productive for artists working in the wake of Surrealism.

Tirée des collections renommées d’art surréaliste de la collection Menil et des prêts extraordinaires des collections de Houston, l’exposition Photography and the Surreal Imagination est à l’affiche à la collection Menil jusqu’au 14 juin 2020. Présentant 62 œuvres qui couvrent les années de l’éruption du surréalisme dans des années 1920 à nos jours, l’exposition révèle comment les photographes pendant et après le mouvement surréaliste ont exploré et déformé la forme humaine, manipulé la surface photographique et utilisé l’appareil photo pour transformer le familier en inquiétant. La tension inhérente à la photographie entre documentation et invention émerge dans l’exposition comme la force génératrice qui a rendu ce médium si productif pour les artistes travaillant dans le sillage du surréalisme.

George Platt Lynes, Untitled, 1941. Gelatin silver print, 9 9/16 × 7 5/8 in. (24.3 × 19.4 cm). The Museum of Fine Arts, Houston, The Allan Chasanoff Photographic Collection, 91.849. © George Platt Lynes Estate

George Platt Lynes, Untitled, 1941. Gelatin silver print,
9 9/16 × 7 5/8 in. (24.3 × 19.4 cm).
The Museum of Fine Arts, Houston,
The Allan Chasanoff Photographic Collection, 91.849.
© George Platt Lynes Estate

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Robert Doisneau27

ROBERT DOISNEAU

La street photography dell’artista parigino dal 27 agosto al 20 settembre 2020 a Bologna

Palazzo Pallavicini è lieto di annunciare un'ulteriore proroga della mostra ROBERT DOISNEAU che resterà aperta fino al 20 settembre 2020. Dopo la pausa estiva dal 10 al 26 agosto, ritorneranno i consueti appuntamenti con Palazzo Pallavicini a orario continuato dalle 11.00 alle 20.00, dal giovedì alla domenica: un'occasione da non perdere per tutti gli appassionati e i curiosi che non hanno avuto l'occasione di scoprire gli scatti del padre della fotografia umanista e per tutti i visitatori che desiderano ripetere l’esperienza.

LA MOSTRA -

L’esposizione dedicata al grande fotografo parigino Robert Doisneau celebre per il suo approccio poetico alla street photography autore di Le baiser de l'hôtel de ville, una delle immagini più famose della storia della fotografia del secondo dopoguerra, è curata dall’Atelier Robert Doisneau (Montrouge, Fr) ed è organizzata da Pallavicini s.r.l. di Chiara Campagnoli, Deborah Petroni e Rubens Fogacci in collaborazione con diChroma photography.

L’ampia retrospettiva è il risultato di un ambizioso progetto del 1986 di Francine Deroudille e della sorella Annette Doisneau che hanno selezionato, da 450mila negativi prodotti in oltre 60 anni di attività del padre, le 143 immagini della mostra che ci raccontano l’appassionante storia autobiografica dell’artista.

I sobborghi grigi delle periferie parigine, le fabbriche, i piccoli negozi, i bambini solitari o ribelli, la guerra dalla parte della Resistenza, il popolo parigino al lavoro o in festa, gli scorci nella campagna francese, gli incontri con artisti e le celebrità dell’epoca, il mondo della moda e i personaggi eccentrici incontrati nei caffè parigini, sono i protagonisti del racconto fotografico di un mondo che “non ha nulla a che fare con la realtà, ma è infinitamente più interessante”. Doisneau non cattura la vita così come si presenta, ma come vuole che sia. Di natura ribelle, il suo lavoro è intriso di momenti di disobbedienza e di rifiuto per le regole stabilite, di immagini giocose e ironiche giustapposizioni di elementi tradizionali e anticonformisti.

Influenzato dall'opera di André Kertész, Eugène Atget e Henri Cartier-Bresson, Doisneau conferisce importanza e dignità alla cultura di strada, con una particolare attenzione per i bambini, di cui     coglie momenti di libertà e di gioco fuori dal controllo dei genitori, trasmettendoci una visione affascinante della fragilità umana.

Le meraviglie della vita quotidiana sono così eccitanti;

nessun regista può ricreare l'inaspettato che trovi per strada.

 Robert Doisneau.

L'EXPOSITION -
L'exposition ROBERT DOISNEAU est organisée par l'Atelier Robert Doisneau (Montrouge, Fr), créé par Francine Deroudille et Annette Doisneau pour préserver et représenter les œuvres du photographe, et est organisé par Pallavicini s.r.l. par Chiara Campagnoli, Deborah Petroni et Rubens Fogacci en collaboration avec diChroma photography.

143 œuvres sont exposées dans les prestigieuses salles de la Via San Felice, toutes de l'Atelier. L'exposition est le résultat d'un ambitieux projet de 1986 de Francine Deroudille et de sa sœur Annette - les filles de Robert Doisneau - qui ont sélectionné parmi 450 000 négatifs produits en plus de 60 ans d'activité de l'artiste, les images de l'exposition qui raconter l'histoire autobiographique passionnante de l'artiste.

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À Marseille, le Mucem s’affirme comme le grand musée consacré à la Méditerranée.

La singularité du Mucem est de retracer, d’analyser et d’éclairer, dans un même élan et un même lieu, les antiques fondations de ce bassin de civilisation, et les tensions qui le traversent jusqu’à l’époque contemporaine. D’être un lieu d’échange autour des enjeux méditerranéens.

Dans ses expositions comme dans sa programmation culturelle, il propose une vision pluridisciplinaire où se conjuguent anthropologie, histoire, archéologie, histoire de l’art et art contemporain, afin de montrer au public les diverses facettes du monde méditerranéen et de son dialogue permanent avec l’Europe.

Ses racines

Premier musée consacré aux cultures de la Méditerranée, le Mucem est un musée inédit. Né de la métamorphose d’un grand musée de société - le Musée des arts et traditions populaires créé en 1937 à Paris, il représente le premier véritable transfert d’un musée national en région. Ouvert à Marseille en juin 2013, le Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (Mucem) est entré dès l’année suivante dans le cercle des 50 musées les plus visités du monde.
Un musée, trois sites

Le Mucem se déploie sur trois sites. Côté mer, à l’entrée du Vieux-Port, le bâtiment J4 (l’emblématique geste architectural de Rudy Ricciotti et Roland Carta), et le fort Saint-Jean (monument historique entièrement restauré) incarnent parfaitement, avec leurs deux passerelles, le projet d’établir un trait d’union entre les deux rives de la Méditerranée. Ils accueillent les grandes expositions et les rendez-vous de la programmation artistique et culturelle. Côté ville, dans le quartier de la Belle de Mai, le Centre de conservation et de ressources (CCR) abrite les collections du musée. Cet ensemble unique permet au Mucem de démultiplier ses propositions culturelles.

2 Mucem 2019 © Photo Cyrille Weiner Mucem

Mucem 2019 © Photo Cyrille Weiner Mucem

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Exhibition Spanning Gerhard Richter’s Prolific Six Decade Career to Open at The Met Breuer
Gerhard Richter

Exhibition Dates: March 4–July 5, 2020
Exhibition Location: The Met Breuer, Floors 3 & 4

The Met Breuer
945 Madison Avenue
New York, NY 10021
Phone: 212-731-1675 web site : https://www.metmuseum.org/

The Met will present a major loan exhibition devoted to the work of one of the most renowned artists of our time: Gerhard Richter (German, born Dresden 1932). On view at The Met Breuer from March 4 through July 5, 2020, Gerhard Richter: Painting After All will consider the entire span of the artist’s career through some 100 works including paintings, glass sculptures, prints, and photographs. Conceived in close collaboration with the artist, the exhibition will reveal Richter’s six decade-long preoccupation with the dual means of representation and abstraction, and his continual exploration of the material, conceptual, and historical implications of painting. This will be the first major U.S. survey on the artist in nearly 20 years.

The exhibition is made possible by the Barrie A. and Deedee Wigmore Foundation.

Corporate sponsorship is provided by Morgan Stanley.

Major support is provided by David S. Winter and the Modern and
Contemporary Art Visiting Committee.

Additional funding is provided by Angela A. Chao and Jim Breyer,
Jane C. Carroll, the Horace W. Goldsmith Foundation, Kenneth and Rosalind Landis, and the Peterson Family Foundation.

Gerhard Richter (German, b. 1932), Birkenau, 2014. Oil on canvas, 260 x 200 cm, Gerhard Richter Archiv, Staatliche Kunstsammlungen Dresden, Dresden, Germany. © Gerhard Richter 2020 
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Watch a video preview of Gerhard Richter: Painting After All, on view at The Met Breuer from March 4 through July 5, 2020. The exhibition, which considers Richter's six-decade-long preoccupation with the dual means of representation and abstraction to explore the material, conceptual and historical implications of painting, spans the entirety of Richter's prolific and innovative career, and presents over one hundred works that focus on his specific commitment to the medium, as well as his related interests in photography, digital reproduction, and sculpture

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Christo et Jeanne-Claude Paris ! - 01 Juillet - 19 Octobre 2020

The Centre Pompidou
75191 Paris cedex 04 / T. 00 33 (0)1 44 78 12 33
Metro: Hôtel de Ville, Rambuteau / RER: Châtelet-Les-Halles

Gallery 2, Level 6

Christo & Jeanne-Claude, Paris!, a major exhibition from March 18 to June 15, 2020 in Gallery 2 of the Centre Pompidou, retraces artists Christo and Jeanne-Claude’s years in Paris together, from 1958 to 1964, and the story of The Pont-Neuf Wrapped, Paris, 1975-1985. This exhibition will also be a prelude to L’Arc de Triomphe, Wrapped (Project for Paris, Place de l’Étoile – Charles de Gaulle) which will be on view from September 19 to October 4, 2020 (see page 5).

The seven years Christo lived in Paris were essential to the development of his work as an artist. Christo broke free from the boundaries of the painting, as he began wrapping everyday objects and creating temporary artworks in public spaces. He also began conceiving works of art in monumental dimension, envisioning numerous temporary projects for the city.

Mur provisoire de tonneaux métalliques –  Le Rideau de fer, rue Visconti, Paris, 27 juin 1962  [Temporary Wall of Oil Barrels – The Iron Curtain,  Rue Visconti, Paris, 27 June 1962] © Christo 1962 Photo © Jean-Dominique Lajoux

Mur provisoire de tonneaux métalliques –
Le Rideau de fer, rue Visconti, Paris, 27 juin 1962
[Temporary Wall of Oil Barrels – The Iron Curtain,
Rue Visconti, Paris, 27 June 1962]
© Christo 1962 Photo © Jean-Dominique Lajoux

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Lygia Clark: Painting as an Experimental Field, 1948–1958
March 6, 2020 - May 24, 2020

Museo Guggenheim Bilbao
Avenida Abandoibarra, 2
48009 Bilbao
https://www.guggenheim-bilbao.eus/en
Telephone: +34 944 35 90 00 & +34 944 35 90 80

A pioneer in abstraction, Lygia Clark (b. 1920, Belo Horizonte, Brazil; d. 1988, Rio de Janeiro, Brazil) was a major artist of the second half of the twentieth century. Lygia Clark: Painting as an Experimental Field, 1948–1958 presents a reexamination of Clark’s crucial formative years from 1948 to 1958, when she was experimenting between figuration and abstraction to articulate the compelling visual language that defined her mature production. Along with a pertinent representation of her early figurative work, this exhibition assembles paintings from major series created during this early period to provide a fundamental overview of the first decade of Clark’s artistic career.

Viewing painting as an “experimental field,” a phrase from a keynote lecture given by the artist in 1956, Clark sought to redefine the medium by pushing the boundaries of traditional painting. Dedicating herself to art without formal training, she embedded herself within the artistic milieu of Rio de Janeiro in the late 1940s and participated in seminal artistic movements, such as Concrete art and geometric abstraction, throughout the 1950s. This focused exhibition traces Clark’s artistic evolution in three structured historical sections: “The Early Years, 1948–1952;” “Geometric Abstraction, 1953–1956;” and “Variation of Form: Modulating Space, 1957–1958.” Each chapter addresses Clark’s most significant ideas and provides an in-depth representation of her artistic development through a concise selection of works.

This presentation of Lygia Clark’s early practice debuts on the centenary anniversary of the artist’s birth, bringing a renewed attention at an international level to a significant postwar Latin American female artist. The museum is thankful to the Lygia Clark Cultural Association, Rio de Janeiro, and the artist’s heirs for their tremendous support of the exhibition.

Curator: Geaninne Gutiérrez-Guimarães

Lygia Clark The Violoncellist (O Violoncelista), 1951 Oil on canvas 105.5 x 81 x 2.7 cm Private collection © Courtesy of “The World of Lygia Clark” Cultural Association X.2017.23

Lygia Clark
The Violoncellist (O Violoncelista), 1951

Oil on canvas 105.5 x 81 x 2.7 cm
Private collection
© Courtesy of “The World of Lygia Clark” Cultural Association
X.2017.23

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Dates: 29 February – 10 May, 2020
Curators: Germano Celant and Manuel Cirauqui, curator of the Guggenheim Museum Bilbao

Museo Guggenheim Bilbao
Avenida Abandoibarra, 2
48009 Bilbao
https://www.guggenheim-bilbao.eus/en 
contacto(at)guggenheim-bilbao.eus
informacion(at)guggenheim-bilbao.eus
Telephon
+34 944 35 90 00
+34 944 35 90 80

Halfway between painting and sculpture, Artschwager develops a unique language using the new domestic materials of his time, always working toward the fusion of figuration and abstraction, artistic innovation and design, and ironically seeks to combine the functional and the useless.

Designed as an open labyrinth, the exhibition features a comprehensive selection of paintings and sculptures dating from the early 1960s to the first decade of this century.

Artschwager represents places, scenes from everyday life, and common objects such as tables, chairs, and dressers, interpreting them in ordinary, standardized industrial materials such as Formica, Celotex, acrylic paint, and rubberized horsehair.

Artschwager’s work continually questions appearance and essence, offering us a delicate and realistic, humorous yet monumental interpretation of the world.

Richard Artschwager  Door } , 1983-84  Acrylic on wood, glass 207.6 x 165.1 x 24.8 cm  Collection Kerstin Hiller and Helmut Schmelzer,  on loan to Neues Museum Nürnberg  © Estate of Richard Artschwager, VEGAP, Bilbao, 2020  Photo: Annette Kradisch

Richard Artschwager Door } , 1983-84
Acrylic on wood, glass 207.6 x 165.1 x 24.8 cm
Collection Kerstin Hiller and Helmut Schmelzer,
on loan to Neues Museum Nürnberg
© Estate of Richard Artschwager, VEGAP, Bilbao, 2020
Photo: Annette Kradisch 

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La Fondation Marguerite et Aimé Maeght rouvre au public le 1er juillet 2020. Les conditions nécessaires pour recevoir les visiteurs en toute sécurité seront mises en place.

L’exposition consacrée à Jacques Monory, initialement prévue du 28 mars au 14 juin, sera présentée au public durant l’été et jusqu’au 22 novembre 2020. La Fondation Maeght a choisi de repenser sa programmation, en présentant cette exposition qui devait ouvrir ses portes au printemps. Cette exposition sera accompagnée d’un choix d’œuvres de la collection de la Fondation Maeght. L’exposition Les Giacometti : une famille de créateurs est reportée à l’été 2021.

Première exposition monographique de Jacques Monory depuis sa disparition en 2018, l’exposition proposée par la Fondation Maeght retrace soixante ans de carrière et revisite l’œuvre d’un artiste majeur de la Figuration Narrative constamment tendu par la modernité et la singularité de ce bleu qui l’a rendu célèbre. Cette exposition propose un parcours non chronologique tentant de faire jouer à plein, d’une salle à une autre, les échos et les écarts de cette œuvre singulière.

Forte d’une collection de 13 000 œuvres, la Fondation Maeght propose également cet été une sélection de quelques œuvres majeures de sa collection pour permettre au public de retrouver les artistes tels que Joan Miró, Alberto Giacometti, Alexander Calder, Marc Chagall, Pierre Bonnard, Fernand Léger, …

JACQUES MONORY
Fondation Maeght (Saint-Paul de Vence)
Guest curator: Laurence d’Ist, art historian, author and exhibition curator.

Commissaire invitée : Laurence d’Ist, historienne de l’art, auteure et commissaire d’expositions.

Simply entitled “Jacques Monory”, the exhibition presents sixty years of his career and revisits the work of this major Figuration Narrative artist, in constant tension between modernity and the singularity of the blue that made him famous.

Intitulée simplement « Jacques Monory », l’exposition présente soixante ans de carrière et revisite l’oeuvre de cette figure majeure de la Figuration narrative, constamment tendu par la modernité et par la singularité de ce bleu qui l’a rendu célèbre.

Out of all the Figuration Narrative painters, Monory was no doubt the only one to be fully narrative. Sometimes hyperrealist, the enigmatic scenes that he painted and juxtaposed to form a sort of haunted diary of a painter who questioned the world’s reality every day. The blue that made him famous, whether monochrome or with other colors
in the spectrum, is the color of this doubt. It acts as a dreamlike veil and establishes a certain distance.

De tous les peintres dits de la Figuration narrative, Monory aura sans doute été le seul à être pleinement narratif. Parfois hyperréalistes, les scènes énigmatiques qu’il peint et qu’il juxtapose forment comme le journal de bord hanté d’un peintre qui chaque jour s’interroge sur la réalité du monde. Le bleu qui l’a rendu célèbre, qu’il soit monochrome,
ou qu’il accueille d’autres couleurs du spectre, est la couleur de ce doute. Il agit comme un voile onirique et comme une mise à distance.

Portrait de Jacques Monory © Photo Jean Larivière.

Portrait de Jacques Monory
© Photo Jean Larivière.

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Fondation Beyeler, Beyeler Museum AG, Baselstrasse 77, CH-4125 Riehen
Horaires d'ouverture de la Fondation Beyeler: tous les jours 10h00–18h00, le mercredi jusqu'à 20h00

www.fondationbeyeler.ch

Du 13 février au 19 avril 2020

La modernité en tant qu'ère du progrès technique se caractérise surtout par le mouvement et la vitesse, qui ont aussi trouvé des manifestations multiples dans le domaine de l'art. En parallèle s'est développé un désir croissant de décélération, qui s'exprime dans des images toujours nouvelles de calme et de quiétude. Par les temps d'accélération toujours plus poussée comme les nôtres, le besoin d'apaisement et de détente semble particulièrement fort.

L'actuelle présentation de la collection de la Fondation Beyeler se concentre ainsi sur des œuvres d'art moderne et contemporain qui ont pour thème le calme et la quiétude. Il est frappant de constater à quel point ces œuvres diffèrent de par leur esthétique, leur contenu, leur forme, leur choix de médium et de matériau. Le musée lui-même apparaît en tant que lieu potentiel de silence et de réflexion. Chaque salle de l'exposition est consacrée à un aspect spécifique de la notion de calme et de quiétude, invitant le spectateur à une contemplation silencieuse: le calme statique et physique, le calme idyllique de la nature, le calme céleste et le calme avant la tempête, le silence et le vide, l'équilibre de la composition, la nature morte, le calme intérieur, se taire, la solitude et la méditation, et enfin le sommeil et le repos éternel sont les motifs autour desquels s'articulent les différents chapitres de l'exposition. Ensemble, les œuvres exposées déploient toute la richesse de la thématique, principalement dans les médias de la peinture et de la sculpture. Il s'y reflète par ailleurs une caractéristique essentielle des œuvres d'Edward Hopper, auquel la Fondation Beyeler consacre au même moment une grande exposition.

Mark Rothko, Untitled (Red-Brown, Black, Green, Red), 1962, huile sur toile, 206,0 x 193,5 cm, Fondation Beyeler, Riehen/Bâle, Collection Beyeler: © 1998 Kate Rothko Prizel & Christopher Rothko / 2019, ProLitteris, Zurich; Photo: Peter Schibli

Mark Rothko, Untitled (Red-Brown, Black, Green, Red), 1962,
huile sur toile, 206,0 x 193,5 cm,
Fondation Beyeler, Riehen/Bâle, Collection Beyeler:
© 1998 Kate Rothko Prizel & Christopher Rothko / 2019,
ProLitteris, Zurich; Photo: Peter Schibli

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Fondation Louis Vuitton
8 Avenue du Mahatma Gandhi,
75116 Paris
https://www.fondationlouisvuitton.fr/fr.html

I. Une rétrospective (1975 – 2020)
II. Crossing views, regards sur un nouveau choix d’oeuvres de La Collection

1er avril – 31 août 2020

I. Une rétrospective (1975– 2020)

Du 1er avril au 31 août 2020, la Fondation présente, sur plus de 1500 m2, la première exposition de Cindy Sherman en France depuis 14 ans : 170 oeuvres - de 1975 à 2020 - soit plus de 300 images articulées par séries parmi lesquelles, Untitled film stills, Rear Screen Projections, Fashion, History Portraits, Disasters, Headshots, Clowns, Society Portraits, Murals, Flappers et une nouvelle série présentant des figures masculines et des couples. Dans une scénographie conçue en étroite collaboration avec Cindy Sherman, cette présentation embrasse l’ensemble de sa carrière, tout en mettant l’accent sur ses travaux réalisés depuis le début des années 2010 jusqu’à un ensemble d’oeuvres très récentes et inédites. La dernière exposition de Cindy Sherman en Europe a eu lieu à la National Portrait Gallery à Londres de juin à septembre 2019.

Cindy Sherman, Untitled #582, 2016 Impression par sublimation thermique sur métal, 137.2 x 178.4 cm Courtesy de l'artiste et Metro Pictures, New York © 2019 Cindy Sherman
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Bernard SABRI expose dans ART CAPITAL au Grand Palais

Bernard Sabri exposera au Grand Palais, Salon des Indépendants, dans le cadre d'ART CAPITAL, sous le parrainage du ministère de la Culture :
Vernissage le 11 février / Exposition du 12 au 16 février 2020.

Bernard est un artiste de la photographie numérique. Il explore la photographie par des techniques modernes afin de faire partager ses émotions de l'univers de l'art numérique, où le virtuel et le réel fusionnent, à travers d'œuvres exprimant sa profonde sensibilité à cette récente forme de l’art contemporain.

À travers 4 de ses photocompositions, Bernard s'est engagé dans la lutte contre le réchauffement climatique et œuvre, à sa manière, pour une transition vers une société bas-carbone. Il est persuadé que malgré les promesses des États lors de la COP21, qui a marqué le début d'une nouvelle ère, c’est l’engagement de la société civile, des citoyens, des collectivités et des entreprises qui jouera un rôle majeur qui permettra ainsi d’enclencher le «virage climatique».

La finalité de son travail est de « vous » faire partager, par ses œuvres, ses émotions de l'univers de l'art numérique.

Voir LE MUSEE PRIVE BERNARD SABRI

 

LE MUSEE PRIVE

Tél: (33) 09 75 80 13 23
Port.: 06 08 06 46 45

 
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