Jean Dubuffet, Les prestations, 6 juillet 1979, acrylique sur papier entoilé (avec 6 pièces rapportées collées), 51 x 70 cm   Coll. Fondation Dubuffet, Paris © ADAGP, Paris, 2024

Jean Dubuffet, Les prestations, 6 juillet 1979, acrylique sur papier entoilé (avec 6 pièces rapportées collées), 51 x 70 cm

Coll. Fondation Dubuffet, Paris © ADAGP, Paris, 2024

Avoir été choisie pour être l’invitée de la présente édition du Salon du dessin touche particulièrement la Fondation Dubuffet, qui, durant toute l’année 2024, célèbre ses 50 ans d’existence. Créée par l’artiste lui-même, la fondation a été reconnue d’utilité publique par décret en 1974. L’exposition présentée par la Fondation au Salon du dessin est l’un des premiers événements organisés pour cet anniversaire. Elle prend la suite des prestigieuses institutions muséales, invitées jusqu’à présent, qui avaient choisi de présenter les plus belles « feuilles » de leurs collections. Le terme en usage de « feuille » a une résonnance conventionnelle que Jean Dubuffet aurait sans doute rejetée, lui qui n’a eu de cesse de s’opposer aux valeurs académiques.

Riche d’une collection de plus de 1 300 oeuvres sur papier, dons de l’artiste de son vivant ou acquisitions plus récentes, la Fondation a sélectionné 55 oeuvres réalisées entre 1935 et 1985 qui témoignent de la diversité des techniques employées par Jean Dubuffet et de l'usage inventif qu'il en fait.

Artiste majeur de la seconde moitié du XXe siècle, Jean Dubuffet (1901-1985) s’engage, en 1942, dans une vaste entreprise de déstabilisation de l’institution culturelle. Ainsi, à ceux qui défendent le parti du bien dessiner, il leur oppose celui du mal dessiner. Dans un entretien où il est tout à la fois l’interviewé et l’intervieweur, il explique : « On appelle couramment bien dessiner le faire de manière à s’approcher avec exactitude d’une prise de vue photographique et c’est ce qui m’apparaît à moi mal dessiner, ou plutôt ne pas dessiner du tout. À toute production d’art, si humble soit-elle, on demande en tout cas qu’elle soit créative. »

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Les institutions culturelles s'engagent aujourd'hui résolument vers le bien-être des visiteurs en faisant appel à la mise en place d'expérience Mindful Art® pour transformer les espaces culturels en lieu de vie, propice à l'introspection et au ressourcement. Nouvelle manière d'aborder ou de découvrir une œuvre d'art, Mindful Art® propose une expérience unique de méditation pleine conscience, de neuroscience et de poésie. Plus que prendre le temps et de ralentir le pas dans les musées, Mindful Art® Experience permet aux participants de regarder les œuvres autrement, d'établir un lien personnel, intime et direct avec l'œuvre. En 2024, la créatrice de la méthode, Marjan Abadie, propose une riche programmation avec, entre autres, l'ouverture d'un espace dédié à la médiation guidée au Palais des Beaux de Lille, l'inauguration de capsules sonores et des ateliers performance à travers toute la France et la Belgique.

Mindful Art

Mise en place d'une capsule sonore au Musée des Beaux-Arts d'Orléans

À partir du 23 mars 2024

Le Musée des Beaux-Arts d'Orléans et Mindful Art collaborent depuis 4 ans pour le bien-être de tous les publics. Dans la continuité logique de cette collaboration, le Musée des Beaux-Arts d'Orléans, profondément engagé dans l'inclusion et le bien-être, va mettre en place une création sonore méditative Mindful Art. Cette création propose à tous les visiteurs un temps de pause au cours de leur parcours de visite. La capsule sonore sera inaugurée le 9 mars. Chaque visiteur pourra s'accorder une pause au pied de Saint Sébastien, soigné par Irène, d'après Georges de La Tour et poursuivre sa visite de manière plus immersive et sensible. Il s'agit d'une transition entre "faire le musée" et "être avec les œuvres d'art au musée", offrant ainsi une expérience enrichissante et plus intime à chacun.

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logo chatillonKevin Lucbert
De l'autre côté du miroir
Exposition Du 5 avril au 25 juin 2024
Maison des Arts
11 rue de Bagneux
92320 Châtillon
01 40 84 97 11
Maisondesarts(at)chatillon92.fr
https://www.maisondesarts-chatillon.fr/
Entrée libre, du mardi au dimanche de 14h à 18h
Kevin Lucbert De l'autre côté du miroir

 

Né en 1985 à Paris. Vit et travaille entre Berlin et Paris.

Kevin Lucbert est diplômé en 2008 de l'Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris. Lors de ses études il se lie d'amitié avec Yann Bagot et Nathanaël Mikles. Ensemble ils créent le collectif artistique Ensaders et participent régulièrement à des performances, expositions et conduit des workshops de dessin. En parallèle il travaille pour The New York Times, Télérama, Les Échos, le groupe de presse Mondadori ou encore Starbucks, Hermès ou BIC, qui a récemment acquis quelques un de ses dessins pour leur collection d'art contemporain. En 2018, les œuvres de la collection BIC sont exposées au 104 à Paris, parmi lesquelles, celles de Lucbert.

Inspiré par de multiples sources, Maurits Cornelis Escher, Alfred Kubin, Philippe Mohlitz ou Les Cités Obscures de Schuitten et Peeters, Lucbert a développé une création unique dans laquelle il explore un monde parallèle, un univers absurde qui lui est propre. Dans sa série Blue Lines réalisée au stylo BIC bleu, il explore des paysages surréalistes et des compositions frontales et imaginaires. Ses œuvres traduisent un monde spatial et rêveur.

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 29/09/2023 - 14/01/2024

Picasso Escultor - Picasson SculpteurPablo Picasso (1881-1973) a travaillé sur la sculpture pratiquement dès le début de sa longue carrière. Pour l'artiste de Malaga, il ne s'agissait pas d'un médium de moindre rang, mais plutôt d'une forme d'expression comparable à la peinture, au dessin ou à la gravure. Dans sa pratique, il n’y avait pas d’arts majeurs et mineurs, mais plutôt des langages et des matériaux différents qui lui permettaient de transmettre divers aspects de sa création. Le corps, objectif ultime de la représentation et instrument principal de Picasso tout au long de sa carrière, est le pilier fondamental de cette exposition qui s'inscrit dans le cadre des commémorations du 50e anniversaire de sa mort.

Pablo Picasso (1881–1973) trabajó la escultura prácticamente desde los inicios de su dilatada trayectoria. Para el artista malagueño, no se trataba de un medio de un rango menor, sino de una forma de expresión equiparable a la pintura, el dibujo o el grabado. En su práctica, no existían artes mayores y menores, sino diferentes lenguajes y materiales que le permitían transmitir aspectos diversos de su creación. El cuerpo, objetivo último de la representación e instrumento principal de Picasso a lo largo de su carrera, es el pilar fundamental de esta exposición, que se enmarca dentro de los actos de conmemoración del 50º aniversario de su fallecimiento.

Monographie dédiée à l'artiste, avec des essais de Carmen Giménez, Diana Widmaier-Ruiz-Picasso et Pepe Karmel sur l'œuvre sculpturale de Picasso . Le volume est illustré d'images des œuvres présentes dans l'exposition, tant actuelles qu'historiques réalisées par Brassaï.

 

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Nicolas de Staël Musée d’Art Moderne de ParisNicolas de Staël Musée d’Art Moderne de Paris

15 septembre 2023 – 21 janvier 2024

Le Musée d’Art Moderne de Paris consacre une grande rétrospective à Nicolas de Staël (1914-1955), figure incontournable de la scène artistique française d’après guerre. Vingt ans après celle organisée par le Centre Pompidou en 2003, l’exposition propose un nouveau regard sur le travail de l’artiste, en tirant parti d’expositions thématiques plus récentes ayant mis en lumière certains aspects méconnus de sa carrière (Antibes en 2014, Le Havre en 2014, Aix-en-Provence en 2018

La rétrospective rassemble une sélection d’environ 200 tableaux, dessins, gravures et carnets venus de nombreuses collections publiques et privées, en Europe et aux Etats-Unis. À côté de chefs-d’œuvre emblématiques tels que le Parc des Princes, elle présente un ensemble important d’œuvres rarement, sinon jamais, exposées, dont une cinquantaine montrées pour la première fois dans un musée français.

Organisée de manière chronologique, l’exposition retrace les évolutions successives de l’artiste, depuis ses premiers pas figuratifs et ses toiles sombres et matiérées des années 1940, jusqu’à ses tableaux peints à la veille de sa mort prématurée en 1955. Si l’essentiel de son travail tient en une douzaine d’années, Staël ne cesse de se renouveler et d’explorer de nouvelles voies : son « inévitable besoin de tout casser quand la machine semble tourner trop rond » le conduit à produire une œuvre remarquablement riche et complexe, « sans esthétique a priori ». Insensible aux modes comme aux querelles de son temps, son travail bouleverse délibérément la distinction entre abstraction et figuration, et apparaît comme la poursuite, menée dans l’urgence, d’un art toujours plus dense et concis : « c’est si triste sans tableaux la vie que je fonce tant que je peux », écrivait-il.

La rétrospective permet de suivre pas à pas cette quête picturale d’une rare intensité, en commençant par ses voyages de jeunesse et ses premières années parisiennes, puis en évoquant son installation dans le Vaucluse, son fameux voyage en Sicile en 1953, et enfin ses derniers mois à Antibes, dans un atelier face à la mer.

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transidentite

En prenant appui sur deux projets phares autour de la transidentité et de la photographie, Transgalatique et Casa Suzanna, nous aborderons avec nos invité·es l'artiste chercheur SMITH et les commissaires d'exposition Nadège Piton et Isabelle Bonnet, la question du genre et ses mutations par le prisme de la photographie et des livres de photographie.

Rencontre animée par Véronique Prugnaud - The Eyes : https://www.institut-photo.com/event/photographie-transidentite/

https://www.instagram.com/theeyespublishing/ 

Crédits : Mark Rothko, No. 14, 1960 - Huile sur toile, 289.6 x 266.7 cm San Francisco Museum of Modern Art  Helen Crocker Russell Fund purchase © 1998 Kate Rothko Prizel & Christopher Rothko - Adagp, Paris, 2023MARK ROTHKO

Du 18 octobre 2023 au 2 avril 2024

Première rétrospective en France consacrée à Mark Rothko (1903-1970) depuis celle du musée d’Art moderne de la Ville de Paris en 1999, l’exposition présentée à la Fondation Louis Vuitton à partir du 18 octobre 2023 réunit quelque 115 œuvres provenant des plus grandes collections institutionnelles et privées internationales, notamment de la National Gallery of Art de Washington, de la famille de l’artiste et de la Tate de Londres. Se déployant dans la totalité des espaces de la Fondation, selon un parcours chronologique, elle retrace l’ensemble de la carrière de l’artiste depuis ses premières peintures figuratives jusqu’à l’abstraction qui définit aujourd’hui son œuvre.

“Je ne m’intéresse qu’à l’expression des émotions humaines fondamentales...”

Mark Rothko

L’exposition s’ouvre sur des scènes intimistes et des paysages urbains – telles les scènes du métro new-yorkais –, qui dominent dans les années 1930, avant de céder la place à un répertoire inspiré des mythes antiques et du surréalisme à travers lesquels s’exprime, pendant la guerre, la dimension tragique de la condition humaine.  

À partir de 1946, Rothko opère un tournant décisif vers l’abstraction dont la première phase est celle des Multiformes, où des masses chromatiques en suspension tendent à s’équilibrer. Progressivement, leur nombre diminue et l’organisation spatiale de sa peinture évolue rapidement vers ses œuvres dites « classiques » des années 1950 où se superposent des formes rectangulaires suivant un rythme binaire ou ternaire, caractérisées par des tons jaunes, rouges, ocre, orange, mais aussi bleus, blancs...  

En 1958, Rothko reçoit la commande d’un ensemble de peintures murales destinées au restaurant Four Seasons conçu par Philip Johnson pour le Seagram Building – dont Ludwig Mies van der Rohe dirige la construction à New York. Rothko renonce finalement à livrer la commande et conserve l’intégralité de la série. Onze ans plus tard, en 1969, l’artiste fera don à la Tate Gallery de neuf de ces peintures qui se distinguent des précédentes par leurs teintes d’un rouge profond, constituant une salle exclusivement dédiée à son travail au sein des collections. Cet ensemble est présenté exceptionnellement dans l’exposition.

Crédits : Mark Rothko, No. 14, 1960 - Huile sur toile, 289.6 x 266.7 cm
San Francisco Museum of Modern Art Helen Crocker Russell Fund purchase
© 1998 Kate Rothko Prizel & Christopher Rothko - Adagp, Paris, 2023

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Self Portrait,1990 © Viviane Sassen and Stevenson (Johannesburg / Cape Town / Amsterdam)La MEP présente du 18 octobre 2023 – 11 février 2024 la première rétrospective en France de l’artiste néerlandaise Viviane Sassen Phosphor – Art & Fashion (1990-2023)

MEP – Maison Européenne de la Photographie
5/7 rue de Fourcy 75004 Paris
01 44 78 75 00

www.mep-fr.org 

Cette exposition réunit plus de 200 créations et retrace 30 ans de production d’une œuvre où la photographie côtoie le collage, la peinture et la vidéo.

Cette exposition réunit ses séries iconiques, parmi lesquelles « Umbra », « Parasomnia », « Flamboya » ou « Roxane », des archives inédites, ses œuvres aux techniques mixtes mêlant tirages photographiques, peintures, collages et vidéos ainsi qu’une sélection de ses photographies de mode. L’exposition ambitionne d’éclairer le processus créatif de Viviane Sassen en suivant deux grands axes : la recherche constante de renouvellement des formes photographiques et l’importance de la sphère intime dans son œuvre. Chez Sassen, la photographie n’est pas une simple surface mais un lieu ouvert où elle fait cohabiter ses rêves, ses désirs et ses craintes avec la réalité tangible du monde.

Après quelques années passées à étudier la mode, Viviane Sassen se tourne rapidement vers la photographie où elle se forme à la Utrecht School of the Arts (HKU). Dès la fin de ses études, elle alterne entre projets personnels et commandes commerciales. Son style photographique – aux couleurs intenses, aux jeux graphiques sur l’ombre et la lumière ainsi que le regard singulier qu’elle porte sur les corps – est rapidement plébiscité. Sassen acquiert une renommée internationale, aussi bien dans la sphère de la mode qu’au sein des institutions culturelles.

A l’occasion de cette exposition sera édité un ouvrage de plus de 400 pages aux éditions Prestel et en collaboration avec la MEP. La conception du livre est assurée par la graphiste néerlandaise Irma Boom

Commissaire de l’exposition :Clothilde Morette, responsable de la programmation, MEP assistée par Aden Vincendeau, assistante d’exposition, MEP et Elisa Monteillet, chargée de production, MEP

Photo : Self Portrait,1990 © Viviane Sassen and Stevenson (Johannesburg / Cape Town / Amsterdam)

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VOL - LA PEINTURE FIGURATIVE DE JUDIT REIGL MUSÉE DE KISCELL BUDAPEST HONGRIEVOL - LA PEINTURE FIGURATIVE DE JUDIT REIGL

MUSÉE DE KISCELL, BUDAPEST, HONGRIE

23 AOÛT - 27 OCTOBRE 2023

Plusieurs musées européens et hongrois célèbrent le centenaire de la naissance de Judit Reigl au travers d'expositions consacrées à l'artiste. Les œuvres présentées au Musée Kiscell - Galerie Municipale de Budapest permettent de faire le pont entre l'exposition de la Neue Nationalgalerie de Berlin et celle organisée par le Musée des Beaux-Arts de Budapest. En effet, la première couvre la période la plus célèbre de l'artiste, ses peintures abstraites et figuratives des années 1950 aux années 1980, tandis que la seconde propose une sélection d'œuvres datant des dernières années de la carrière de Judit Reigl. L'exposition au Musée Kiscell se concentre quant à elle sur l'intervalle entre ces deux périodes et révèle pour la première fois l'importance occupée par la représentation de l'homme dans l'œuvre de Judit Reigl.

Dans l'espace monumental de la chapelle du Musée Kiscell (qui était un lieu important pour Reigl) ces figures humaines flottantes et volantes trouvent un contexte particulier. L'exposition est organisée en collaboration avec le Fonds de dotation Judit Reigl, la fondation parisienne chargée de préserver l'héritage de l'artiste et détenant les droits d'auteur de son œuvre.

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 John Singer Sargent (1856–1925)

On view October 8, 2023–January 15, 2024

BOSTON (August 9, 2023) - John Singer Sargent (1856–1925) brought his sitters to life, but he did much more than simply record what appeared before him. He pinned and draped, he changed or ignored decorative details, and sometimes he simply made it up. Organized by the Museum of Fine Arts, Boston (MFA), and Tate Britain, Fashioned by Sargent explores the artist’s influence over his sitters’ images by illuminating the liberties he took with sartorial choices to express distinctive personalities, social positions, professions, gender identities and nationalities. The exhibition features approximately 50 paintings by Sargent—including major loans from museums and private collections around the world—along with more than a dozen dresses and accessories. Several of these garments are reunited for the first time with Sargent’s portraits of the sitters who once wore them. Through the lens of dress, Fashioned by Sargent presents exciting new scholarship and offers a new perspective on the artist’s creative practice.

Fashioned by Sargent is sponsored by Bank of America. Generously supported by the Terra Foundation for American Art, and Tom and Bonnie Rosse. Additional support from Lynn Dale and Frank Wisneski, the Barbara M. Eagle Exhibition Fund, the MFA Associates / MFA Senior Associates Exhibition Endowment Fund, the Dr. Lawrence H. and Roberta Cohn Fund for Exhibitions, and the Alexander M. Levine and Dr. Rosemarie D. Bria-Levine Exhibition Fund. Fashioned by Sargent is co-organized by the Museum of Fine Arts, Boston, and the Tate Britain, London.

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 Mohamed Melehi Untitled 1983 © Mohamed Melehi Estate

Mohamed Melehi Untitled 1983 © Mohamed Melehi Estate

UNTIL 14 JANUARY 2024

A major exhibition about the artists of the renowned Casablanca Art School

Tate St Ives will be the first museum in the UK to explore the intense period of artistic rebirth that followed Morocco’s independence, forged by the experimental teaching methods of the Casablanca Art School in the 1960s and 1970s.

Led by Farid Belkahia alongside Mohammed ChabâaMohamed Melehi and others, this pioneering school paved the way for a new generation of socially engaged modern artists who formed an influential avant-garde network.

Works by 22 artists will be brought together to demonstrate the wide variety of the Moroccan ‘new wave’, from vibrant abstract paintings and urban murals to applied arts, typography, graphics and interior design.

The exhibition will also include a selection of rarely-seen print archives, vintage journals, documentary photographs and films.

This exhibition is a collaboration between Tate St Ives and Sharjah Art Foundation, where it will open in February 2024. It is also part of a key moment of international research into the Casablanca Art School, which includes a collaborative project initiated in 2020 between KW Institute for Contemporary Art and Sharjah Art Foundation, in partnership with Goethe-Institut Marokko, ThinkArt and Zamân Books & Curating.

Tate St Ives Porthmeor Beach St Ives Cornwall TR26 1TG

https://www.tate.org.uk/

A Brief Guide to the Casablanca Art School | Tate

Over The River, Project for Arkansas River, State of Colorado - 1998 - 38 x 165 cm & 106,6 x 165 cm - collage in 2 partsOver The River, Project for Arkansas River, State of Colorado - 1998 - 38 x 165 cm & 106,6 x 165 cm - collage in 2 parts

Linda et Guy Pieters ont le plaisir de vous convier à l'exposition Christo and Jeanne-Claude
du 5 septembre au 5 novembre 2023
Fondation Linda et Guy Pieters
Place des Lices - 28 Boulevard Vasserot – 83990 Saint-Tropez
www.fondationlgp.com  - info(at)fondationlgp.com
+33 4 22 84 01 89
Ouvert tous les jours
de 10h à 13h30 et de 14h30 à 18h
Fermé dimanche et lundi

A l'occasion d'une exposition d'oeuvres préparatoires de l'artiste Christo dans la galerie Guy Pieters dans les années 2010, Patrick Reynolds, Directeur du Musée Privé, et Sébastien Lecca, plasticien et performer, ont eu l'opportunité de poser quelques questions à l'un des artistes les plus monumentaux et influents de notre époque.
Compte-rendu en images...https://www.dailymotion.com/video/xg2c4y 

Une interview réalisée et préparée par André-Charles Idier / andrecharles.idier(at)gmail.com

Remerciements à Christo, Guy Pieters et Isabelle Lelievre.

Their Majesties The King and Queen with Barbara Hepworth’s Four-Square (Walk Through) at the Barbara Hepworth Museum and Sculpture Garden in St Ives, Cornwall. Photo © Guy Martin / Tate
 Their Majesties The King and Queen with Barbara Hepworth’s Four-Square (Walk Through) at the Barbara Hepworth Museum and Sculpture Garden in St Ives, Cornwall. Photo © Guy Martin / Tate

To celebrate the 30th anniversary of Tate St Ives, Their Majesties The King and Queen visited the Barbara Hepworth Museum and Sculpture Garden today. They were given a tour of Hepworth’s studio and garden, which is cared for by Tate St Ives, and were introduced to several people who have played important roles in Tate St Ives’s success over the past 30 years.

The visit was hosted by Anne Barlow (Director of Tate St Ives) and Roland Rudd (Chair of Tate). Their Majesties began their visit in Hepworth’s beautiful studio space, filled with some of the artist’s most famous works in wood, bronze, marble and plaster. Dr Sophie Bowness (Barbara Hepworth’s granddaughter) introduced the history of the building, alongside Dame Jayne-Anne Gadhia (Trustee of Tate) and Sir Anthony Salz (Chair of Tate St Ives Advisory Council).

The King and Queen then had a tour of Hepworth’s garden and the many sculptures on display there. Head Gardener Jodi Dickinson, who began his career in horticulture thanks to the support of The Prince’s Trust, described how he has worked to restore the garden to its former glory. Together they planted a penstemon shrub to celebrate the royal visit, and Their Majesties were presented with a gift of some rare seeds from a cineraria which was originally planted by Hepworth herself.
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Foto: Pablo Asenjo © Museo Picasso Málaga

Foto: Pablo Asenjo © Museo Picasso Málaga

THE MUSEO PICASSO MAGAGA COLLECTION IN DIALOGUE WITH THE EXHIBITION PICASSO SCULPTOR. MATTER AND BODY (28/04/2023)

Two of the galleries housing the collection of the Museo Picasso Málaga have been transformed for the upcoming opening of the Picasso Sculptor. Matter and Body exhibition. From this week onwards rooms IX and X will present Perpetual Metamorphosis, a selection of works by Picasso that establish a subtle dialogue with the exhibition. This display will remain in place until the show ends.

Devised by Michael FitzGerald, a professor of Fine Art at Trinity College in Hartford (United States), Perpetual Metamorphosis complements the Picasso Sculptor. Matter and Body exhibition due to open at the Museo Picasso Málaga on May 9 as part of the Picasso Celebration. 1973–2023 commemoration.

Rooms IX and X of the Palacio de Bellavista will display works illustrating the broad variety of forms in which Picasso explored the female body using a wide range of media: sculpture, painting, drawing and ceramics. For Picasso, the ancient rivalry between painting and sculpture was meaningless. The constant evolution of his ideas exploded traditional differences between media, as his art was in perpetual motion across painting, sculpture, drawing, and printmaking.

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CARMELO ARDEN QUIN CENTRO CULTURAL LA MONEDAGiovedi 6 luglio 2023, alle ore 19,00,

nella Hall Central - Sala Andes - Nivel -3 

del CENTRO CULTURAL LA MONEDA, 

plaza de la Ciudadania 26, Santiago del Cile

(metrò La Moneda), 

sarà inaugurata la mostra MADI: 

CARMELO ARDEN QUIN 

en la trama del Arte Constructivo

L'esposizione, a cura di Maria Cristina Rossi, dottoressa, professoressa 

e studiosa dell'arte latino-americana, è organizzata dal 

MUSEO NACIONAL de BELLAS ARTES dell'ARGENTINA di Buenos Aires

in collaborazione con il CENTRO CULTURAL de LA MONEDA di Santiago del Cile.

La mostra sarà preceduta alle ore 12,00 nella SALA DELLE DECINE /Nivel-2 da un DIALOGO

tra la storica dell'arte MAGDALENA DARDEL e la professoressa MARIA CRISTINA ROSSI sul tema:

CARMELO ARDEN QUIN E LA RELAZIONE CON IL CILE: l'ARTE COSTRUTTIVA e la POESIA.

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LE MACM ANNONCE UNE NOUVELLE ORIENTATION ARTISTIQUE PROMETTEUSE
À compter du printemps 2024, le musée sera dédié à des expositions d'art moderne & contemporain.
Le Musée d'Art Classique de Mougins deviendra
LE MUSÉE D'ART CONTEMPORAIN DE MOUGINS
MACM ANNOUNCES EXCITING
NEW ARTISTIC DIRECTION
Starting Spring 2024: The MACM will become a dedicated venue for Modern & Contemporary Art Exhibitions & the Musée d'Art Classique will become
THE MUSÉE D'ART CONTEMPORAIN DE MOUGINS
 Le Musée d'art classique de Mougins MACN est un musée privé

Christian Levett, l'homme derrière le Musée d'Art Classique de Mougins, va donner à son musée une nouvelle impulsion. En ce sens, ce dernier va fermer ses portes en tant que musée d'art classique le 31 août 2023 pour rouvrir au printemps 2024 en tant que musée dédié à la présentation d'expositions d'art moderne & contemporain thématiques & temporaires.

« Avoir eu la possibilité de créer ce musée & partager mes collections avec le public a été un véritable honneur pour moi en tant que collectionneur», déclare Christian Levett. « Je tiens à remercier les Amis du MACM, les Mouginois, l'équipe du musée & tous nos visiteurs grâce à qui le MACM a rencontré un si grand succès. Cela fait un quart de siècle que je collectionne des oeuvres diverses, & comme mes goûts ont évolué, je pense qu'il est temps que le musée évolue aussi. Je suis impatient d'ouvrir notre nouveau musée, qui, j'en suis certain, deviendra rapidement une destination incontournable pour les amateurs d'art, les connaisseurs & les collectionneurs dans le Sud de la France & au-delà. »

Christian Levett, the founder & owner of the Mougins Museum of Classical Art, is to give the museum a complete facelift, closing it as a classical art museum on 31st August 2023, & reopening as an exhibition museum in spring 2024, displaying rotating shows of modern & contemporary art.


"Creating this museum & sharing it with the public has been an incredibly exciting experience for me as a collector," Christian Levett said. "I want to thank the Friends of the MACM, the people of Mougins, our dedicated staff, & all of our visitors for making this such a success. I have been a passionate collector for over a quarter century now, & as my collecting & art research interests matured over the years, I believe that it is now time for the museum to evolve as well. I cannot wait to reopen as a new exhibition museum, which I am certain will quickly become a vibrant destination for connoisseurs, collectors, & art lovers in the South of France & globally."

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Hermann Nitsch (1938-2022), Sans titre, 2020, acrylique sur toile, 200 x 300 cm Galerie RX Paris, Paris - New York © Hermann Nitsch, ADAGP, 2023, Paris / Photo : Jorit AustHERMANN NITSCH HOMMAGE

 MUSÉE DE L'ORANGERIE

11 Octobre 2023 - 29 Janvier 2024

La Galerie RX est heureuse de vous annoncer la prochaine exposition ( https://www.galerierx.com/fr )

d'Hermann Nitsch au Musée de l'Orangerie.

Galerie RX is delighted to announce Hermann Nitsch's forthcoming exhibition at the Musée de l'Orangerie.

Exposition du 11 Octobre 2023 au 29 janvier 2024 -  Exhibition from October 11, 2023 to January 29, 2024

Contrepoint #11 - Counterpoint #11

Considéré comme un artiste majeur du mouvement de l'Actionnisme viennois dont il fut l'un des fondateurs, Hermann Nitsch, né en 1938 à Vienne, est décédé en avril 2022 à Mistelbach (Autriche), où il vivait et travaillait. Reconnu internationalement comme le maître de la performance autrichienne, l'artiste a développé un œuvre puissamment expressif, empruntant à la dramaturgie religieuse pour développer un art total culminant chaque année depuis les années 1950 dans ses « Orgien Mysterien Theater », où il invitait amis et publics à six jours de festivités et de performances ininterrompues.

Durant les dernières années de sa carrière, Hermann Nitsch a développé une peinture d'une grande vitalité, de plus en plus colorée, toujours étroitement liée à ses actes performatifs et aux lieux dans lesquels elle intervient. Fasciné par les Nymphéas de Monet, auxquels il rendait hommage au musée de l'Orangerie lors chacun de ses séjours à Paris, l'artiste viennois a été invité avant sa mort à venir dialoguer avec ce chef d'œuvre de l'impressionnisme, dont il a souligné la proximité qu'il y voyait avec les enjeux de sa propre pratique : « dans mes performances, ma peinture expressive et religieuse est devenue un drame achevé, une dramaturgie analytique.

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Mohamed Melehi 1983hTate St Ives Exhibition
Tate St Ives
Porthmeor Beach
St Ives
Cornwall TR26 1TG
The Casablanca Art School

27 May 2023 – 14 January 2024

A major exhibition about the artists of the renowned Casablanca Art School

Tate St Ives will be the first museum in the UK to explore the intense period of artistic rebirth that followed Morocco’s independence, forged by the experimental teaching methods of the Casablanca Art School in the 1960s and 1970s.

Led by Farid Belkahia alongside Mohammed Chabâa, Mohamed Melehi and others, this pioneering school paved the way for a new generation of socially engaged modern artists who formed an influential avant-garde network.

Works by 22 artists will be brought together to demonstrate the wide variety of the Moroccan ‘new wave’, from vibrant abstract paintings and urban murals to applied arts, typography, graphics and interior design.

The exhibition will also include a selection of rarely-seen print archives, vintage journals, documentary photographs and films.

This exhibition is a collaboration between Tate St Ives and Sharjah Art Foundation, where it will open in February 2024. It is also part of a key moment of international research into the Casablanca Art School, which includes a collaborative project initiated in 2020 between KW Institute for Contemporary Art and Sharjah Art Foundation, in partnership with Goethe-Institut Marokko, ThinkArt and Zamân Books & Curating.

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MUSEU DE ARTE MODERNALogo após sua fundação, em 1948, o MAM Rio assumiu como tarefa principal acolher e dar acesso à arte do seu tempo – a arte moderna –, contribuindo com seus processos de criação. Isso se traduz na relação com movimentos internacionais norte-americanos e principalmente europeus, simultânea à atenção ao modernismo brasileiro. 

Em seguida, acontece a primeira exposição na sede temporária – no Banco Boavista –, dedicada à pintura europeia contemporânea (1949).

A segunda sede foi no Palácio Gustavo Capanema, em 1952, e somente em 1953 o arquiteto Affonso Eduardo Reidy começaria a projetar um museu integrado ao entorno, um “espaço fluente” que não comprometesse a relação das pessoas com a paisagem à volta.

O resultado é uma construção sem paredes internas e com paredes externas, em sua maior parte de vidro, que se tornou um ícone internacional do modernismo. O edifício foi construído em terreno aterrado junto à Baía de Guanabara, doado pela prefeitura ao MAM Rio, antes mesmo da criação do Parque do Flamengo.

O Bloco Escola foi o primeiro a ficar pronto, em 1958, e serviu como espaço misto de educação e exposições até 1967, quando o Bloco de Exposições foi finalizado
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George Segal - Girl on a Green Kitchen Chair - 1964 - plaster with painted woodLinda et Guy Pieters ont le plaisir de vous annoncer l'exposition
GEORGE SEGAL - WIM DELVOYE - BARBARA DE PAUW du 21 mai - 27 juin 2023
Si vous souhaitez assister au venissage samedi 20 mai de 11h à 14h contactez la Fondation

Fondation Linda et Guy Pieters
Place des Lices - 28 Boulevard Vasserot – 83990 Saint-Tropez
www.fondationlgp.com  - info(at)fondationlgp.com
+33 4 22 84 01 89

Ouvert tous les jours
de 10h à 13h30 et de 14h30 à 18h
Fermé dimanche et lundi

Lien vers : https://www.guypietersgallery.com/en/home

Image : George Segal - Girl on a Green Kitchen Chair - 1964 - plaster with painted wood

Hokusai Inspiration and Influence MFA BOSTONAnn and Graham Gund Gallery (Gallery LG31)
through July 23, 2023

Thanks to the popularity of the instantly recognizable Great Wave—cited everywhere from book covers and Lego sets to anime and emoji—Katsushika Hokusai (1760–1849) has become one of the most famous and influential artists in the world. This major exhibition takes a new approach to the work of the versatile master, pairing more than 100 of his woodblock prints, paintings, and illustrated books from the MFA’s renowned collection with more than 200 works by his teachers, students, rivals, and admirers. These unique juxtapositions demonstrate Hokusai’s impact through the centuries and around the globe—seen in works by, among others, his daughter Katsushika Ōi, his contemporaries Utagawa Hiroshige and Utagawa Kuniyoshi, the 19th-century French Japonistes, and modern and contemporary artists including Loïs Mailou Jones, John Cederquist and Yoshitomo Nara.

“Hokusai: Inspiration and Influence” is sponsored by UNIQLO USA. Generously supported by the MFA Associates / MFA Senior Associates. Additional support from the Jean S. and Frederic A. Sharf Exhibition Fund, the Museum Council Artist in Residency Program Fund, the Dr. Terry Satsuki Milhaupt Fund for Japanese Textiles, the MFA Associates / MFA Senior Associates Exhibition Endowment Fund, the Patricia B. Jacoby Exhibition Fund, and the Alexander M. Levine and Dr. Rosemarie D. Bria-Levine Exhibition Fund.

 

 

Museum of Fine Arts, Boston
465 Huntington Avenue
Boston, MA 02115
617-267-9300
March 26–July 16, 2023

https://www.mfa.org/

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Crédits : MICHAEL HALSBAND — Andy Warhol & Jean-Michel Basquiat #143 New York City, July 10 1985 (détail) — © Michael Halsband, 2023À la Fondation LOUIS VUITTON
BASQUIAT X WARHOL, À QUATRE MAINS
Du 5 avril au 28 août 2023

En 2018, La Fondation Louis Vuitton présentait l’exposition « Jean-Michel Basquiat » qui remporta un succès considérable, avec près de 700 000 visiteurs.
En 2023, du 5 avril au 28 août, la Fondation poursuit son exploration de l’oeuvre de Jean-Michel Basquiat, révélant cette fois sa collaboration avec Andy Warhol.

De 1984 à 1985, Jean-Michel Basquiat (1960-1988) et Andy Warhol (1928-1987) réalisent environ 160 toiles ensemble, « à quatre mains », dont certaines parmi les plus grandes de leurs carrières respectives. Témoin de leur amitié et de cette production commune, Keith Haring (1958-1990) parlera d’une « conversation advenant par la peinture, à la place des mots », et de deux esprits fusionnant pour en créer un « troisième, séparé et unique ».

La Fondation Louis Vuitton présente « Basquiat x Warhol, à quatre mains », l’exposition la plus importante jamais consacrée à cette oeuvre singulière. Sous le commissariat de Dieter Buchhart et Anna Karina Hofbauer, en association avec Olivier Michelon, conservateur à la Fondation Louis Vuitton, l’exposition regroupera plus de trois cent oeuvres et documents dont quatre-vingts toiles signées conjointement.

Seront aussi exposées des oeuvres individuelles de chaque artiste, ainsi qu’un ensemble de travaux d’autres personnalités (Michael Halsband, Keith Haring, Jenny Holzer, Kenny Scharf...), afin de restituer la scène artistique du Downtown new-yorkais des années 1980. A noter que des photographies, dont la célèbre série aux gants de boxe réalisée par Michael Halsband pour le poster de l’exposition de Jean-Michel Basquiat et Andy Warhol en 1985 dans la Galerie Tony Shafrazi, enrichiront le parcours.

L’exposition s’ouvre sur une série de portraits croisés, Basquiat par Warhol, Warhol par Basquiat. Elle se poursuit avec les premières collaborations. Initiées par le galeriste des deux artistes, Bruno Bischofberger, ces oeuvres profitent de la participation du peintre italien Francesco Clemente (né en 1952). Après cette quinzaine d’oeuvres à trois, Basquiat et Warhol poursuivent leur collaboration avec enthousiasme et complicité, à un rythme presque quotidien. L’énergie et la force de leurs échanges incessants conduiront les visiteurs tout au long du parcours dans la totalité des galeries de la Fondation rythmé par des oeuvres capitales telles que Ten Punching Bags (Last Supper) ou la toile de 10 mètres African Mask.

Basquiat admire Warhol comme un aîné, un personnage clé du monde de l’art, initiateur d’un langage inédit et d’un rapport original à la culture populaire. En retour, Warhol trouve avec Basquiat un intérêt renouvelé pour la peinture. Avec lui, il se remet à peindre manuellement, à très grande échelle. Les sujets de Warhol (titres de presse, logos de General Electric, de la Paramount, des Jeux Olympiques) servent de structure à de véritables séries qui scandent le parcours.

« Andy commençait la plupart des peintures. Il mettait quelque chose de très reconnaissable, le logo d’une marque, et d’une certaine façon je le défigurais. Ensuite, j’essayais de le faire revenir, je voulais qu’il peigne encore », expliquait Basquiat. « Je dessine d’abord, et ensuite je peins comme Jean-Michel. Je pense que les peintures que nous faisons ensemble sont meilleures quand on ne sait pas qui a fait quoi », estimait Warhol.

L’exposition montre ces allers-retours, un dialogue de styles et de formes qui traite aussi de sujets cruciaux comme l’insertion de la communauté africaine-américaine dans le récit états-unien, un pays dont Warhol a été un des grands fabricants d’icônes.

Crédits : MICHAEL HALSBAND — Andy Warhol & Jean-Michel Basquiat #143 New York City, July 10 1985 (détail) — © Michael Halsband, 2023

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 «Dali, Why do you paint? -Because I love art», 1954 © Philippe Halsman Estate 2023, Image rights of Salvador Dalí reserved, Fundació Gala- Salvador Dalí
 «Dali, Why do you paint? -Because I love art», 1954 © Philippe Halsman Estate 2023, Image rights of Salvador Dalí reserved, Fundació Gala-
Salvador Dalí

La peinture religieuse illustre les épisodes « transactionnels » de la Bible (L’adoration des Rois Mages, Le Denier de César, les 30 deniers de Judas, …), et y apparaissent les thèmes de l’avarice, de la charité, du « bon et du mauvais riche » et les injonctions morales (Vanités, memento mori). Dans les pays convertis à la Réforme protestante, à partir du XVIe siècle, se multiplient les représentations de transactions monétaires, du commerce en plein développement et des métiers d’argent.

La naissance de l’impressionnisme représente un basculement historique avec de nouveaux modes économiques qui se dessinent dans le champ du commerce de l’art. C’est en effet à partir de la seconde moitié du XIXe siècle qu’une rupture esthétique avec l’Académie ébranle les liens entre la valeur travail, la valeur d’usage et la valeur d’échange. Une dérégulation de la mainmise de l’État sur l’art au travers de l’Académie s’opère, avec comme résultat une valeur des oeuvres fixée par le jugement critique au détriment des critères académiques.

À partir du XXe siècle, l’artiste ne se contente plus de représenter les thèmes traditionnels liés à l’argent ; il engage une réflexion sur ses mécanismes, dès lors que ces derniers sont immanents à l’oeuvre d’art.

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PICASSO. Artiste et modèle – Derniers tableaux
19 février – 1er mai 2023

Pablo Picasso  Le peintre et son modèle, 28.3.1963  Huile sur toile, 130 x 162 cm  Nahmad Collection  © Succession Picasso/2023, ProLitteris, ZurichDans le cadre des commémorations internationales du 50ème anniversaire de la disparition de Pablo Picasso (1881–1973), la Fondation Beyeler présente du 19 février au 1er mai 2023 une sélection concentrée de dix toiles tardives de l’artiste en provenance de la Collection Beyeler, de l’Anthax Collection Marx et d’autres collections privées.

Au cours de la dernière décennie de sa vie, alors qu’il est déjà âgé de plus de 80 ans, l’artiste espagnol poursuit de manière hautement productive son oeuvre audacieux. Avec une énergie irrépressible, au cours de cette ultime période il produit souvent plusieurs oeuvres par jour, faisant preuve d’une saisissante puissance créatrice, comme s’il cherchait à combattre l’âge et la diminution attenante de ses capacités de création artistiques et corporelles. Parmi les nombreux travaux des années 1960 et du début des années 1970 figure un important groupe d’oeuvres dans lesquelles Picasso se consacre au sujet de l’artiste et du modèle. Dans ces oeuvres hautement expressives, il explore d’une part l’image (de soi) de l’artiste et d’autre part l’acte et le processus de création.

Oscillant entre autoportrait, cliché et caricature, certains des tableaux donnent à voir l’artiste en chemise rayée, convoquant ainsi aussi l’image déjà élevée au rang de mythe de Picasso. Cependant, comme une forme de contre-image à son apparence personnelle, il représente souvent l’artiste sous les traits d’un homme barbu. Par ailleurs, Picasso présente le plus souvent l’artiste peignant directement devant le modèle, à l’encontre de sa propre pratique de travail – il peignait toujours de mémoire. Dans cette constellation, le modèle féminin nu, dont la représentation oscille également entre idéalisation et caricature, est exposé au regard de l’artiste. Avec ces oeuvres, la question reste ainsi ouverte de savoir dans quelle mesure Picasso exalte ou ironise sa fixation sur le nu féminin et l’appropriation visuelle du corps féminin. Son impressionnante série d’images du peintre et de son modèle soulève ainsi aussi des questions concernant le traitement personnel et artistique du corps féminin par l’homme et la possibilité de représenter ce corps dans le contexte actuel.

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Jean Paul Riopelle, Tyuk, 1971, Acrylique sur lithographies marouflées sur toile, collection privée

Jean Paul Riopelle, Tyuk, 1971, Acrylique sur lithographies marouflées sur toile, collection privée

Exposition du 1er juillet au 5 novembre 2023
Dans le cadre de « Riopelle 100 »,
année du centenaire de la naissance de l'artiste
Commissaire invitée : Yseult Riopelle

À l'été 2023, la Fondation Marguerite et Aimé Maeght proposera une exposition monographique consacrée à Jean Paul Riopelle (1923-2002), artiste canadien qui a profondément marqué l'histoire de l'art. Du 1er juillet au 5 novembre 2023, l'exposition « Jean Paul Riopelle - Parfums d'ateliers » explorera l'Œuvre de l'artiste comme il n'a jamais été vu grâce au commissariat de sa fille, Yseult Riopelle, et à de nombreux prêts exclusifs publics et privés.

Quand il arrive à Paris en 1947, Riopelle découvre le travail d'artistes internationaux tous avides comme lui de liberté et d'expérimentation. Rapidement, ses œuvres sont exposées à Paris, Londres, New York, Ottawa, Montréal et Québec. En 1962, Riopelle représente le Canada à la Biennale de Venise et reçoit un des trois prix de l'UNESCO. Dès lors, sa renommée internationale est immense pour un artiste aussi jeune. Pendant quarante ans, entre ses ateliers au Québec, à Paris, Vétheuil, Meudon, Saint-Cyr-en-Arthies, ou dans le Sud de la France et son retour au Canada en 1990, Riopelle, toujours débordant d'idées et ouvert à toutes les techniques, s'avérera un artiste unique.

Après deux expositions monographiques consacrées à Riopelle en 1970 et 1990, la Fondation Maeght propose avec « Jean Paul Riopelle - Parfums d'ateliers » une approche nouvelle, un voyage au cœur des œuvres de l'artiste, réalisées au sein des différents ateliers qu'il occupa des deux côtés de l'Atlantique. L'exposition présentera ainsi plus de 180 œuvres de Riopelle, des travaux phares aussi bien qu'inédits, proposant un cheminement à travers les techniques utilisées par l'artiste.

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Dagyde Photographies et épingles - Eric Vassal d'après double indemnity 1944Maison des Arts
11 rue de Bagneux
92320 Châtillon
01 40 84 97 11
maisondesarts(at)chatillon92.fr

Exposition
Du 13 janvier au 26 mars 2023
À découvrir de 14h à 18h,
tous les jours sauf le lundi

Eric Vassal
Storyboard

Depuis la fin des années 90, le travail d’Eric Vassal s’est développé à travers un échange constant entre la sculpture, la peinture, l’estampe, la photographie et la vidéo. Ces différents médiums lui permettent de traiter d’un sujet constant : le lien que l’œuvre d’art entretient avec l’histoire de l’art et le patrimoine.

Cinéphile de la première heure, Eric Vassal présentera à la Maison des Arts de Châtillon une exposition de photographies plasticiennes autour du septième art.

La série « Agnosis » revisite le patrimoine cinématographique en mettant en évidence une vision structuraliste du discours image / langage. Cette série traite du langage d’un point de vue esthétique et sémantique. 

Pour les œuvres de la série « Dagyde », Eric Vassal a recours à des captures d’écran de scènes de cinéma. Ces extraits Eric Vassald’œuvres sont réécrites par un travail direct sur la photographie. Des épingles sont plantées afin de mettre en évidence certains éléments de la scène. La photographie passe alors de deux dimensions à trois dimensions, procédé inverse du cinéma. 

Enfin, Eric Vassal présentera une récente série d'œuvres intitulée « Story-board » à travers laquelle l’artiste interroge la notion de temps en déstructurant des scènes cinématographiques.

Ref image : Dagyde Photographies et épingles - Eric Vassal d'après double indemnity 1944

Série "Dagyde" d'après Attack of the 50 ft woman (1958) -  Photographie et épingles

https://www.maisondesarts-chatillon.fr/

Exposition ouverte au public du mardi au dimanche, de 14h à 18h
du 13 janvier au 26 mars 2023
Entrée libre 

Accès: métro ligne 13 - arrêt "Châtillon/Montrouge" puis bus n°388 arrêt "Mairie de Châtillon"

Vue d’installation de l’exposition “Rétrospective Joan Mitchell” © The Estate of Joan Mitchell © Fondation Louis Vuitton / Marc Domage

Vue d’installation de l’exposition “Rétrospective Joan Mitchell”
© The Estate of Joan Mitchell
© Fondation Louis Vuitton / Marc Domage

Vue d’installation de l’exposition “Le dialogue Claude Monet – Joan Mitchell” © The Estate of Joan Mitchell © Fondation Louis Vuitton / Marc Domage

Vue d’installation de l’exposition “Le dialogue Claude Monet – Joan Mitchell”
© The Estate of Joan Mitchell
© Fondation Louis Vuitton / Marc Domage

 

Claude Monet, La maison de l’artiste vue du jardin aux roses, 1922-1924 Huile sur toile, 81 x 92 cm Musée Marmottan Monet, Paris

MONET - MITCHELL
Du 5 octobre 2022 au 27 février 2023
L’exposition « Monet - Mitchell » constitue l’événement de l’automne 2022 à la Fondation Louis Vuitton.
Pour la première fois, l’exposition « Monet -Mitchell » met en scène un dialogue sensible entre les œuvres de deux artistes exceptionnels, Claude Monet (1840-1926) avec les Nymphéas et Joan Mitchell (1925-1992), qui marquèrent de leur empreinte non seulement leur temps mais des générations de peintres.
L’exposition « Monet - Mitchell » est complétée d’une rétrospective sur Joan Mitchell qui permettra la découverte de son œuvre par le public français et européen.
« Monet - Mitchell » et la « Rétrospective Joan Mitchell » donnent à voir leurs sensations singulières face au paysage et à la nature, exprimées dans des formats souvent immersifs.
Le dernier Monet, celui des Nymphéas, restitue à l’atelier désormais, la persistance visuelle de motifs longuement observés devant les nymphéas de Giverny ; Joan Mitchell qui s’installe définitivement à Vétheuil en 1968, explore ses « feelings » - perceptions vives par-delà l’espace et le temps - à travers le filtre de ses mémoires croisées.

Joan Mitchell, Two Pianos, 1980 Huile sur toile, 279,4 × 360,7 cm Collection particulière © The Estate of Joan Mitchell  Photo : © Patrice Schmidt DIALOGUE MONET - MITCHELL
Galerie 4 à Galerie 11
Cet automne 2022, la Fondation Louis Vuitton, a le privilège d’annoncer le partenariat avec le Musée Marmottan Monet pour l’exposition « Monet - Mitchell », consacrée au dialogue entre la dernière période de Claude Monet (1914-1926), les Nymphéas, et l’œuvre de l’artiste américaine Joan Mitchell. Unique par son ampleur et sa force poétique, l’exposition « Monet - Mitchell » est présentée à la Fondation Louis Vuitton du 5 octobre 2022 au 27 février 2023 dans sept galeries, du rez-de-chaussée à tous les niveaux supérieurs, en écho à une rétrospective, permettant de découvrir l’œuvre de Joan Mitchell, présentée, quant à elle, en rez-de-bassin, dans la partie basse du bâtiment
de Les Nymphéas de Claude Monet trouvent une consécration dès les années 1950 aux États-Unis, où ils sont perçus comme précurseurs de l’abstraction par les peintres de l’Expressionnisme abstrait.
Après André Masson, Clément Greenberg, le célèbre critique américain, prend position pour défendre leur modernité : « Le principe que [Monet] a finalement trouvé (...) est plus large : il ne résidait pas dans la nature comme il pensait, mais dans l’essence même de l’art, dans sa faculté d’ « abstraction »1. Dans ce contexte du « Monet Revival », Mitchell participe en 1957 et 1958 à des expositions consacrées à la notion d’ « impressionnisme abstrait », terme inventé par son amie Elaine de Kooning. Le rapprochement des deux artistes est affermi par l’installation de Joan Mitchell en 1968, à Vétheuil, dans une propriété, proche de celle où vécut Monet de 1878 à 1881. L’artiste a toutefois revendiqué une totale indépendance artistique.

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Domenica 20 novembre 2022, 
al MUSEO NACIONAL de BELLAS ARTES, 
Av. Del Libertador, 1473 – Buenos Aires - Argentina 
si concluderà la grande esposizione
"CARMELO ARDEN QUIN
en LA TRAMA DEL ARTE CONSTRUCTIVO"
arden quin4h

La mostra, a cura della Prof.ssa Cristina Rossi, e con il patrocinio del Ministero della Cultura Argentina è stata presentata con 100 opere di Arden Quin, messe in dialogo con 63 opere realizzate dai seguenti artisti :

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Photography Exhibition, Linda Troeller: Self Power | Self Play to Open at Museum of Sex

Museum of Sex, Photography September 28, 2022 Linda Troeller, Photography

 Linda Troller, Floating, 2017. Image courtesy of the Museum

Linda Troller, Floating, 2017. Image courtesy of the Museum

The Museum of Sex is pleased to announce Self Power | Self Play: 50 years of Erotic Portraiture by Linda Troeller. For half a century, artist Linda Troeller (b. 1949) has used the camera as a tool for sensual empowerment. The first museum retrospective of Troeller’s work in New York City, Self Power | Self Play will feature over sixty erotic photographs on loan from the artist’s studio and Bryn Mawr College Special Collections which highlight her radical and playful photographic practice. The museum will host a private opening reception on the evening of Monday, October 17th and the exhibition will be open to the public on Wednesday, October 19th.

Self Power | Self Play demonstrates Troeller’s early commitment to challenge social taboos and explore uninhibited sexual identity. Since 1973, when she first took a self-portrait, Troeller has strategically utilized her photographic practice to embolden female intimacy, pleasure, masturbation, and orgasm. Now in her 70s, she continues to take subversive and erotic self-portraits.

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 MFA Boston Obama portraits

September 3–October 30, 2022

Multi-City Tour Organized by the Smithsonian’s National Portrait Gallery

The MFA to Offer Free Admission to the Exhibition on September 5, September 19, October 10 and October 30

BOSTON (June 9, 2022)—The Museum of Fine Arts, Boston (MFA), presents the portraits of former President Barack Obama and Mrs. Michelle Obama by artists Kehinde Wiley and Amy Sherald, respectively, as part of The Obama Portraits Tour organized by the Smithsonian’s National Portrait Gallery. The paintings will be on view in the Lois B. and Michael K. Torf Gallery from September 3 through October 30, 2022. To celebrate the portraits’ debut at the MFA, the Museum will engage community partners on a collaborative art-making project that will be presented in conjunction with the exhibition—creating a unique moment for Boston audiences to respond to these captivating paintings of the former President and First Lady, and explore the evolving dynamics of leadership.

“Kehinde Wiley and Amy Sherald are visionary artists whose paintings both pay homage to and reimagine the centuries-old tradition of American portraiture, which has strong roots in Boston. It is an honor for us to host their Obama portraits at the MFA and to offer New England audiences a chance to experience these powerful works of art,” said Matthew Teitelbaum, Ann and Graham Gund Director.

The Obama Portraits Tour is an opportunity to bring the power of portraiture to different audiences across the nation,” said Kim Sajet, director of the National Portrait Gallery. “Portraiture is incomplete without the viewer and these paintings have elicited responses that range from deep contemplation to pure joy. We are delighted to be able to extend this experience to San Francisco and Boston for a tour spanning eight cities with the nation’s capital included.”

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Plus de 65 000 visiteurs cet été à la Fondation Maeght et encore un mois d'exposition pour « Au cœur de l'abstraction » 

Depuis son ouverture au public le 2 juillet, l'exposition « Au cœur de l'abstraction » présentant plus de 100 œuvres majeures issues de la Fondation Gandur pour l'art et proposant une immersion passionnante dans l'abstraction des années 1950 à 1980 rencontre un vif succès, à la hauteur de cette collection extraordinaire. L'exposition, présentée jusqu'au 23 octobre, a déjà attiré plus de 65 000 visiteurs en trois mois : une fréquentation conséquente et diversifiée venue également découvrir la programmation estivale proposée par la Fondation Maeght ainsi que le nouveau restaurant Sous les pins, repris en juin par Les Agitateurs, au coeur des jardins de la Fondation.

Vue de l'exposition Au cœur de l'abstraction - Collection de la Fondation Gandur pour l'art © Roland Michaud
Vue de l'exposition Au cœur de l'abstraction - Collection de la Fondation Gandur pour l'art © Roland Michaud

Riche d'une collection de plus de 13 000 œuvres, la Fondation Maeght est toujours curieuse et honorée de présenter d'autres collections, parfois peu accessibles au public, comme elle l'a régulièrement fait par le passé. Depuis le 2 juillet et jusqu'au 23 octobre, elle présente ainsi plus de 100 œuvres issues de la Fondation Gandur pour l'art et propose une immersion passionnante dans l'abstraction des années 1950 à 1980. Sous le commissariat de Yan Schubert, conservateur de la Fondation Gandur pour l'art, l'exposition retrace les différentes formes que revêt l'abstraction au sortir de la Seconde Guerre mondiale, alors que Paris redevient une place forte de la création et reprend sa place de capitale culturelle mondiale. Les œuvres de Hans Hartung, de Martin Barré, de Simon Hantaï ou de Pierre Soulages montrent ainsi l'évolution de l'art non-figuratif sur quatre décennies. Dans un parcours thématique et chronologique, l'exposition propose notamment de découvrir l'abstraction lyrique et gestuelle de Georges Mathieu, l'expressionnisme abstrait de Sam Francis ou Joan Mitchell, l'abstraction géométrique de Victor Vasarely, les œuvres cinétiques d'Alexander Calder et de Jean Tinguely, jusqu'à la remise en question de la peinture par le groupe Supports/Surfaces. Les œuvres des années 1980 témoignent par ailleurs du renouvellement que connaît l'art abstrait à cette époque, poursuivant les expérimentations intenses des années précédentes.

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Images: (1) David Hockney, A Year in Normandie (detail), composite iPad painting, © David Hockney  (2) Tapisserie de Bayeux, XIème siècle © Bayeux MuseumArtist David Hockney presents “his” Normandy at the Bayeux Tapestry Museum
Exhibition - A Year in Normandie

From 22 September 2022 to 23 April 2023
(Winter closure in January 2023)

When British artist David Hockney arrived in Normandy in 2019, he became fascinated by the unfolding scenes of the Bayeux Tapestry, and resolved to draw from this inspiration in order to create a large scale narrative, depicting the cycle of seasons. As the world stood still during the successive lockdowns, Hockney depicted in the manner of the Impressionists the effects of light in the Norman skies and the arrival of spring around him. Confined in his typical half-timbered house of the Pays d’Auge, he captured the blossoming of nature and painted its variations with bright and colourful hues using the digital brushes of his IPad – a technology he has been using for the past twelve decade.

An exhibition of David Hockney’s famous work “A Year in Normandie” will begin at the Bayeux Tapestry Museum this autumn. The original work, recently presented in the main gallery of the Musée de l’Orangerie in Paris, takes the form of a 90 meter long frieze celebrating the arrival of spring in the Normandy countryside. Painted on an IPad, it was greatly inspired by the thousand-year-old narrative embroidery. From September, the Bayeux exhibition will bring Hockney’s frieze and its muse together in an unprecedented face-à-face, in the form of half scale reproductions of the monumental works shown on the second floor of the museum.

This dialogue between the famous embroidery (11th century) and David Hockney’s imposing frieze will allow visitors to immerse themselves in the two narratives simultaneously. Visitors will thus be able to observe and compare the stylised representations of trees in the Tapestry with the fruit trees in the artist’s orchard. “If you look closely, the two masterpieces, with admittedly very different artistic techniques, immortalise a specific moment in time. Both freeze-frame a conquest: that of a Norman Duke in England in the 11th century for one, and that of nature in Normandy and its constant renewal regardless of human turmoil for the other,” explains Antoine Verney, curator of the Museums of Bayeux.

Images: (1) David Hockney, A Year in Normandie (detail), composite iPad painting, © David Hockney (2) Tapisserie de Bayeux, XIème siècle © Bayeux Museum

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LE MACM FAIT SA RENTRÉE !Après une saison estivale rythmée par les vacanciers, nous nous tournons vers les enseignants & les enfants qui reprennent le chemin de l'école.

Le MACM, de par son concept novateur qui mêle objets des civilisations égyptiennes, grecques & romaines & oeuvres d'artistes majeurs du XVIIème siècle à nos jours, offre un environnement idéal où questionner le monde & appréhender l'histoire des arts.

Notre équipe, toujours à l'écoute de vos projets, se réjouit de vous proposer de toutes nouvelles ressources pédagogiques & de vous assister dans la mise en place de nouveaux moments d'échanges & de partage.

Pour discuter de votre programme & planifier votre visite, merci de contacter Victoria sur victoriadelgado(at)mouginsmusee.com

UN MUSÉE ACCESSIBLE À TOUS

Les visites de musées constituent une sortie culturelle conviviale & le MACM s'applique à vous accueillir dans les meilleures conditions possibles. En visites libres ou guidées, les visiteurs de 60 ans & + bénéficient d'un tarif préférentiel & sont invités à profiter d'un moment d'évasion exceptionnel au coeur des civilisations antiques. Histoire, mythologies égyptiennes, grecques & romaines, oeuvres d'art par les artistes les plus illustres sont au coeur de ce parcours accessible à tous.

L'offre du pittoresque village de Mougins où il fait bon se promener & déjeuner vous offre de surcroît l'opportunité de prolonger ce moment de bien-être.

Stationnement gratuit à l'entrée du village de Mougins.

Et si vous ne pouvez pas venir au MACM, alors le MACM vient à votre rencontre !

Bénédicte Montain, Directrice Adjointe du MACM & Géraldine Crevat, conférencière & conceptrice d'une méthode d'accompagnement de développement personnel illustrée par les concepts de la pensée antique, joignent leurs sensibilités pour vous proposer des rencontres à la porté de tous au sein de vos clubs seniors & résidences retraite.

Visites virtuelles des collections, mythologies, philosophie & intrigues de la Grèce antique prendront vie dans ces présentations passionnées, dynamiques & interactives.

Pour tous renseignements complémentaires, n'hésitez pas à contacter Bénédicte Montain sur benedictemontain(at)mouginsmusee.com

https://mouginsmusee.com/fr

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Brigitte Bardot par Jacques HéripretLinda et Guy Pieters ont le plaisir de vous annoncer l'exposition

JACQUES HÉRIPRET
B.B. ET BREL DANS MON OBJECTIF

dimanche 4 septembre de 11h à 14h
5 septembre – 18 septembre 2022

Fondation Linda et Guy Pieters
Place des Lices - 28 Boulevard Vasserot – 83990 Saint-Tropez
www.fondationlgp.com  - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
+33 4 22 84 01 89

Ouvert tous les jours
de 10h à 13h30 et de 14h30 à 18h
Fermé lundi et mardi

Brigitte Bardot Photo de Jacques Héripret

musee gevaudan logo1Ouverture du Musée du Gévaudan
le 18 octobre 2022

Une fenêtre sur l'histoire de la Lozère

Après deux ans de travaux, le musée du Gévaudan ouvrira ses portes le mardi 18 octobre 2022 à Mende, en région Occitanie. Son accès sera gratuit. Doté d'un fonds de plus de 16 000 pièces, le musée du Gévaudan retrace l'histoire de la Lozère, ancienne province royale du Gévaudan, des premiers témoignages de vie jusqu'à nos jours. Lieu patrimonial inscrit au titre des Monuments historiques, labellisé Musée de France, le musée a été pensé comme un espace de vie, de découverte, de partage, d'échange et de convivialité, ouvert sur le territoire et accessible à tous.

Musée du Gévaudan © Ville de Mende
Musée du Gévaudan © Ville de Mende
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17 set 2022 – 26 fev 2023
Curadoria: Beatriz Lemos, Keyna Eleison, Pablo Lafuente e Thiago de Paula Souza

 Vem aí Atos de revolta: outros imaginários sobre independência, a nova exposição do Museu de Arte Moderna do Rio de Janeiro.

Vem aí Atos de revolta: outros imaginários sobre independência, a nova exposição do Museu de Arte Moderna do Rio de Janeiro.

O bicentenário da Independência do Brasil oportuniza repensar esse processo histórico. Atos de revolta foca em uma série de levantes, motins e insurreições que antecederam aquele momento ou que ocorreram nas décadas subsequentes, durante o Primeiro e o Segundo Reinado e o período regencial. 

Com o objetivo de abordar os diversos imaginários de país então esboçados, a mostra faz referência à Guerra Guaranítica (1753-56), à Inconfidência Mineira (1789), à Revolução Pernambucana (1817), à Independência da Bahia (1822), à Cabanagem (1835-40), à Revolução Farroupilha (1835-45), à Revolta de Vassouras (1839) e à Balaiada (1838-41), entre outras. 

Artistas brasileiros, de gerações e geografias diversas, foram convidados a pensar sobre essas narrativas. Ao abordar os conflitos do sistema colonial, a exposição revela as contradições da historiografia brasileira, que produziu apagamentos de personagens determinantes, sobretudo de populações negras, indígenas e mulheres.

Os trabalhos apresentados respondem a cinco eixos conceituais que oferecem chaves de leitura para determinados acontecimentos: a figura do herói e a posição de liderança política;

as construções simbólicas (bandeiras, hinos, brasões); os modos de organização e sua relação com sistemas de direitos, a definição de territórios e os processos de produção e circulação de valor.

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Oskar Kokoschka Autoportrait / Selbstbildnis, 1917 Huile sur toile 79 x 63 cm Von der Heydt-Museum, Wuppertal  Photo Patrick Schwarz © Fondation Oskar Kokoschka / Adagp, Paris 2022  Oskar Kokoschka
Un fauve à Vienne

Exposition : 23 septembre 2022 - 12 février 2023

Le Musée d’Art Moderne de Paris présente la première rétrospective parisienne consacrée à l’artiste autrichien Oskar Kokoschka (1886-1980). Retraçant sept décennies de création picturale, l’exposition rend compte de l'originalité dont fait preuve l’artiste et nous permet de traverser à ses côtés le XXe européen.

Peintre, mais aussi écrivain, dramaturge et poète, Oskar Kokoschka apparaît comme un artiste engagé, porté par les bouleversements artistiques et intellectuels de la Vienne du début du XXe siècle. Par sa volonté d’exprimer l’intensité des états d’âmes de son époque, et un talent certain pour la provocation, il devient pour la critique l’enfant terrible de Vienne à partir de 1908 où soutenu par Gustav Klimt et Adolf Loos, il inspire une nouvelle génération d’artistes, parmi lesquels Egon Schiele. Portraitiste de la société viennoise, Kokoschka parvient à mettre en lumière l'intériorité de ses modèles avec une efficacité inégalée.

Ébranlé par sa rupture avec la compositrice Alma Mahler avec qui il entretient une relation tumultueuse entre 1912 et 1914, Kokoschka s’engage dans l’armée au déclenchement de la Première Guerre mondiale. Il sera gravement blessé à deux reprises. Il enseigne ensuite à l’Académie des Beaux-Arts de Dresde, où il recherche de nouvelles formes d’expressions picturales, en contrepoint des mouvements contemporains tels que l’expressionnisme, la Nouvelle Objectivité et l'abstraction.

Voyageur infatigable, il entreprend dans les années 1920 d’incessants périples en Europe, en Afrique du Nord et au Moyen Orient. Sa fragilité financière l’oblige à revenir à Vienne, qui connaît dès le début des années 1930 d’importants troubles politiques, le contraignant à partir pour Prague en 1934. Qualifié par les nazis d’artiste « dégénéré », ses oeuvres sont retirées des musées allemands. Kokoschka s’engage alors pleinement pour la défense de la liberté face au fascisme. Contraint à l’exil, il parvient à fuir en Grande-Bretagne en 1938 où il prend part à la résistance internationale.

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ART PRIZE PALLAVICINI

Venerdì 9 settembre 2022 ore 11.00 Palazzo Pallavicini, nel salone delle feste, inaugura la stagione autunnale con l'apertura al pubblico e la conferenza stampa della prima edizione del Premio APP

ART PRIZE PALLAVICINI a cura di Claudia Andreotta e Francesca Bogliolo in collaborazione con Pallavicini srl.

La mostra

App in questa prima edizione ha ricevuto moltissime candidature di Artisti provenienti da tutto il mondo, tra i quali si sono contraddistinti gli Artisti vincitori che esporranno le proprie opere dal 9 al 18 settembre.

Il tema

"la vita intesa nella sua dimensione intima e collettiva, in relazione allo spazio e al tempo"

L'esperienza delle avanguardie storiche in Europa non solo ha trasformato completamente i linguaggi espressivi, ma ha anche abbattuto in modo definitivo la rigida distinzione tra l'arte intesa come puro fenomeno estetico, cristallizzato in canoni ideali, e la vita. Da quel momento, infatti, qualsiasi corrente artistica si pone non solo come innovatrice nel contesto di accademie e musei, ma come portatrice di una volontà di intervento globale: non si "riveste" il reale con uno "stile", ma si procede secondo una Weltanschauung (concezione della vita) che da visione diventa metodo per rifondare l'urbanistica, l'industria, l'istruzione, la moda, persino l'alimentazione, qualunque aspetto della società. L'estetica si unisce all'etica, l'arte alla vita.

Poiché il dibattito artistico odierno è ancora innegabilmente debitore della rivoluzione delle avanguardie, il tema proposto dalla prima edizione del premio APP Art Prize Pallavicini risulta ancora di stringente attualità, tanto da aver richiamato numerosi artisti italiani e internazionali: la Vita e come l'Arte la influenzi e ne sia influenzata con l'invito a  misurare la vita intesa nella sua dimensione intima e collettiva, in relazione allo spazio e al tempo, nelle sue diverse forme ed espressioni, dove quello che conta è il percorso dell'opera e dell'Artista che l'ha concepita. In un caleidoscopio di soluzioni linguistiche (dalla nitida narrativa alle strutture aniconiche, all'iperrealismo) e tecniche (pittura, arazzo, fotografia, assemblaggio...) le opere selezionate  affrontano ogni possibile aspetto del vivere, rappresentando  l'uomo e i  suoi stati d'animo (dolore, inquietudine, serenità...), il suo guardare alla realtà con ironia, con senso di attesa  o con la volontà di andare anche oltre tramite un anelito spirituale; per molti artisti  la vita trascorre attraverso gli oggetti del quotidiano,  che da banali strumenti d'uso si fanno portatori della lirica dell'esistere. Ricorre frequentemente anche la ricerca sul rapporto consapevole con la natura e con l'ambiente, sull'intervento in essi dell'uomo (dalle armonie dell'architettura, all'invadenza dell'industria e della tecnologia), sulla città come luogo privilegiato dell'aggregazione. Non manca tuttavia l'eterno incanto per le bellezze naturali, ritratte nella loro delicata opulenza e indagate sia nelle microscopiche evoluzioni formali della loro costituzione chimico-matematica sia nell'incalcolabile grandezza dell'universo. Un infinito che l'uomo ha tentato di imbrigliare con la geometria, di trasformare con l'ingegneria, di armonizzare con la musica (tutte discipline variamente raffigurate): ma il reale evolve costantemente e l'unico modo per fermare in un attimo infinitesimale questo inarrestabile fluire è l'arte con la sua essenza di doppia riflessione dinamica. Non si tratta solo infatti di un pensiero temporaneo dell'artista fissato in un'opera, ma di tutto il flusso di idee, interrogativi, scoperte che essa può generare nell'osservatore, dell'incontro tra l'arte e la vita e di come (citando nuovamente il testo del bando del premio) l'Arte la influenzi e ne sia influenzata.

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Agnès Varda deux expositions à Cannes 
PLAGES, CABANES ET COQUILLAGES
8 juillet – 20 novembre 2022
Le Centre d’art La Malmaison, Cannes

8 juillet – 18 septembre 2022
La Villa Domergue, Cannes

Cet été, la Mairie de Cannes présente dans deux espaces de son Pôle d’Art Contemporain une exposition consacrée à celle qui fut tour à tour cinéaste, photographe et plasticienne :
Agnès Varda.
Du 8 juillet au 20 novembre 2022 au Centre d’art la Malmaison et du 8 juillet au 18 septembre à la Villa Domergue, Rosalie Varda, directrice artistique et co-commissaire de l’exposition avec Hanna Baudet, directrice du Pôle d’Art Contemporain de Cannes, met à l’honneur l’univers d’Agnès Varda, dans la ville même qui l’a célébrée pour sa filmographie foisonnante, à travers une exposition estivale autour de la mer, de la plage et des cabanes, thèmes récurrents dans son travail de cinéaste et d’artiste plasticienne.
Agnès Varda sur le tournage du film Les Créatures (1965). Photographie : Marilù Parolini © ciné-tamaris
Agnès Varda sur le tournage du film Les Créatures (1965). Photographie : Marilù Parolini © ciné-tamaris
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Hans Hartung, T 1987-H3, T 1987-H4, 10 mars 1987 (1)
Hans Hartung, T 1987-H3, T 1987-H4, 10 mars 1987 (1) 

Au cœur de l'abstraction
Collection de la Fondation Gandur pour l'Art

Exposition du 2 juillet au 20 novembre 2022

Riche d'une collection de plus de 13 000 œuvres, la Fondation Maeght est toujours curieuse et honorée de présenter d'autres collections, parfois peu accessibles au public, comme elle l'a régulièrement fait par le passé. En cet été 2022, elle dévoile du 2 juillet au 20 novembre près de 120 œuvres de la Fondation Gandur pour l'Art (Genève) et propose une immersion passionnante dans l'abstraction des années 1950 à 1980.

Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, alors que nombre d'artistes européens exilés aux États-Unis reprennent le chemin de la France, Paris redevient une place forte de la création et reprend sa place de capitale culturelle mondiale. Une soif de liberté vissée au corps ainsi qu'un besoin impérieux de repenser la peinture après les années de guerre, des artistes du monde entier retrouvent leurs ateliers abandonnés durant l'occupation allemande et participent à une période d'effervescence créatrice, qu'elle soit artistique, littéraire ou cinématographique. Si les brèches ouvertes par les avant-gardes de la première moitié du XXe siècle restent un ferment important après-guerre, l'art abstrait se renouvelle, de l'expression la plus gestuelle aux questionnements sur la matière, les supports et les techniques.

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MHAB-Musée d'Histoire et d'Art de BormesLe musée Arts et Histoire

Une magnifique bâtisse en pierres de Bormes qui abrite une collection d'oeuvres de qualité et des expositions évènementielles

Installé depuis 1985 dans une magnifique bâtisse du 17ème siècle au cœur du village medieval, le musée Arts & Histoire créé en 1926 par le peintre Emmanuel-Charles Bénézit est aujourd’hui géré par le service culturel de la municipalité et bénéficie du label Musées de France.

Le musée abrite une très belle collection de peintures et sculptures des 19ème et 20ème siècles parmi lesquelles les œuvres de Bénézit, Cross, Van Rysselberghe, Peské, Rivière… 

Des expositions temporaires de peintures, sculptures et photos y sont organisées d’avril à octobre. Le musée participe chaque année à la Nuit Européenne des Musées.

Conçu en pierre du pays, l’édifice inscrit à l’inventaire des sites se distingue par son impressionnant plafond à caissons. Appartenant auparavant à l’Avocat Général de la Molle, il était devenu en 1754 la Maison commune qui abritait en même temps l’école de garçons, les séances du Conseil municipal, la prison et le tribunal avant de devenir maison particulière au début du 19ème siècle. Le bâtiment  a été rénové avec la participation de l’association « Sauvegarde du Vieux-Bormes » créée par le peintre Georges-Henri Pescadère.

Le 22 octobre 2022, le MHAB - Musée d’Histoire et d’Art de Bormes Les Mimosas a rouvert ses portes et dévoilé sa nouvelle expérience unique et spectaculaire en réalité augmentée qui vous plongera dans 2400 ans d’histoire de la ville et dans les collections de Bormes les Mimosas !

Au MHAB-Musée d'Histoire et d'Art de Bormes les Mimosas, la réalité augmentée est mise au service de l'Histoire. Pour la première fois, un musée de France propose une exposition permanente entièrement conçue autour de ses collections et de la réalité augmentée. Garant d'une collection d'art datant de la fin du XIXe à nos jours et d'un fonds historique local, le musée de Bormes propose un voyage immersif au cœur des 2400 ans d'histoire de la ville.

À l'aide de la tablette HistoPad, voyagez à travers les époques et découvrez les reconstitutions au réalisme saisissant, réalisées par l'entreprise Histovery. L'Histopad, tablette tactile, est remis à chaque visiteur dès l'entrée pour parcourir l'exposition permanente, présentée dans les niveaux supérieurs du musée. Chaque station est une véritable fenêtre sur  un événement passé et est mis en parallèle de notre collection.

A ne pas manquer également, les expositions temporaires du musée, son jardin intimiste et sa terrasse panoramique !

Horaires:

   - Le MHAB est ouvert toute l'année : www.musee-bormes.com

   - HORAIRES D'HIVER (du 1er octobre au 30 avril) : du mercredi au dimanche de 11h à 18h. Vacances scolaires toutes zones : du mardi au dimanche de 10h à 18h.

   - HORAIRES D'ÉTÉ (du 1er mai au 30 septembre) : du mardi au dimanche de 10h à 19h.

   - Le musée est ouvert durant les jours fériés, même ceux tombant un lundi ou mardi (sauf le 1er janvier, le 1er mai et le 25 décembre)

 
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Fondation Hartung-Bergman
 

Fondation Hartung-BergmanCréée en 1994 à Antibes dans la villa-atelier d’Hans Hartung et Anna-Eva Bergman, figures incontournables de l’art moderne, la Fondation Hartung-Bergman sera inaugurée en mai 2022 après deux ans de chantiers de construction et d’aménagement. Ceux-ci ont permis d’inventer des modalités de visites dans ses espaces et d’ouvrir enfin au public cet ensemble architectural remarquable inscrit au patrimoine du 20e siècle.

Ces nouveaux espaces de visite comprennent désormais un bâtiment d’accueil avec boutique et restauration rapide, un parc d’oliviers, des terrasses, des galeries d’expositions, des ateliers réhabilités, des salles de projection. Le 7 mai 2022 sera inaugurée dans ce cadre la première exposition in situ « Les archives de la création ».

En quelques chiffres, ce sont désormais 1500 mètres carrés de jardin, 500 mètres carrés de terrasse, et 600 mètres carrés de surfaces d’exposition, médiation et d’atelier qui sont accessibles et offrent une immersion dans un lieu extraordinaire par la variété de ses patrimoines : ses bâtiments, sa végétation, ses oeuvres, ses archives. Le tout a été adapté en vue de pouvoir accueillir au mieux le public PMR.

Mais la Fondation inaugure aussi en 2022 son centre de recherche dans la partie « villa ». Il conduira des programmes par cycle de deux ans. Le premier sera consacré à la thématique « sciences et abstractions » ; il permettra aux chercheurs de bénéficier de conditions de travail exceptionnelles inspirées par les institutions les plus soucieuses d’une réception idéale, sinon « utopique », comme le Getty Center ou la Villa Médicis qui ont servi de sources d’inspiration.

La Fondation qui n’ouvrait ses portes au public que de manière exceptionnelle, exclusivement sur réservation et sous forme de visite guidée, et qui travaillait surtout à la promotion de ses artistes hors-les-murs, connaît ainsi, après 28 ans d’innombrables projets, une toute nouvelle phase de son existence.

Ainsi, grâce à la construction d’un nouveau bâtiment d’accueil conçu par l’architecte Cristiano Isnardi et ces abondants travaux, la Fondation pourra présenter chaque année une grande exposition temporaire consacrée à la vie et l’oeuvre d’Anna-Eva Bergman et de Hans Hartung.
Du 11 mai au 30 septembre 2022, l’exposition inaugurale « Les archives de la création » constitue une plongée dans les secrets de leur production.

Enfin, la Fondation est soucieuse de son implantation locale et, à ce titre, proposera un kiosque « Chez Marcelle » tenu par celle qui est depuis 1973 cuisinière dans les lieux, d’abord auprès de Hartung et Bergman et aujourd’hui pour le compte de la Fondation. Elle servira sa spécialité de la région faite maison : la fameuse pissaladière.

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Ruth Gurvich Aux lisières Exposition Maison des Arts Châtillon

Nadège AZZAZ, La Maire de Châtillon
Martine GOURIET L'Adjointe à Madame la Maire, déléguée à la culture et au patrimoine
Caroline QUAGHEBEUR, La Directrice de la Maison des Arts
sont heureuses de vous inviter à l' exposition du 13 Mai 2022 au 26 juin 202
À découvrir de 14h à 18h, tous les jours sauf le lundi
Ruth Gurvich Aux lisières Exposition

Maison des Arts
11 rue de Bagneux
92320 Châtillon
01 40 84 97 11
Pour assister au vernissage demander une invitation à la Maison des Arts
maisondesarts(at)chatillon92.f

Par un savant truchement de nos sens, Ruth Gurvich entreprend à chacune de ses pièces d’interroger notre rapport aux objets et à la culture.

On entre dans l’une de ses expositions comme dans un lieu connu et habité d’éléments maintes fois observés, admirés. A y regarder de plus près, un hiatus surgit : cette tasse que l’on pensait en porcelaine fine n’est que papier, cette moulure florale que l’on croyait entourer le grand miroir du salon longe le sol pour mieux rejoindre le jardin.

Née en Argentine dans une famille russo-polonaise, Ruth Gurvich commence des études d’architecture pour ensuite se tourner vers les beaux-arts, qui la conduiront jusqu’à Paris. Précision, netteté et géométrie sont mis au service d’une réflexion sur la tradition et la permanence des choses. L’étude des arts appliqués en est le prétexte.

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Jean-Claude GandurLa Fondation Gandur pour l'Art a été créée en 2010 par Jean Claude Gandur afin de rendre accessible à un large public ses collections d'envergure internationale. Basée à Genève (Suisse) et reconnue d'utilité publique, la Fondation s'emploie à préserver, documenter, enrichir et exposer ses collections dans des institutions de renom en Suisse et à l'étranger.
La Fondation Gandur pour l'Art est membre de l'ICOM (Conseil International des Musées) depuis 2013 ainsi que de l'AMS (Association des musées suisses) depuis 2019.

Jean Claude Gandur

« Issu d'une famille sensible à l’art, j’ai eu la chance de le côtoyer depuis l’enfance et ainsi de me familiariser aux cultures européennes, orientales ou sud-américaines.

La démarche, suivie tout au long de ma vie, et celle désormais de la Fondation, est nourrie par trois motivations : le goût de l’art, l’envie de développer des collections et le désir de les partager. Y a-t-il plus belle perspective que celle de soumettre ses choix à l’appréciation des autres, de permettre à tous de voir et d’admirer des œuvres uniques, réunies dans une quête esthétique et intellectuelle constante ?
L’art n’est pas seulement la cristallisation d’un moment de l’histoire, mais également un vecteur de dialogue entre les civilisations et un témoignage du génie humain. Ce langage universel ouvre sur la tolérance et la compréhension entre les peuples. Si ces collections permettent à des personnes d’origines différentes de se reconnaître à l’aune de leur tradition et contribuent à les faire vivre en harmonie, alors l’effort consenti n’aura pas été vain.
Je remercie tous ceux qui m’entourent — famille et collaborateurs — de m’aider à poursuivre ce but. »

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L’âme primitive s’expose au Musée ZadkineMusée Zadkine, Exposition du 29 septembre 2021 au 27 février 2022

Ce n’est pas la première fois qu’un musée se penche sur la question du primitivisme dans l’art et le musée Zadkine remet la question à l’ordre du jour. Le sujet est judicieusement abordé non seulement au regard des oeuvres de Zadkine et de quelques uns de ses contemporains mais aussi des jeunes artistes émergents dont les oeuvres prennent place au fil d’un joli parcours, auprès de sculptures choisies du maître des lieux. C’est donc une mise en écho entre des artistes d’époques différentes et, par conséquent, au vocabulaire plastique riche et varié, qui tente de répondre aux interrogations et nous conduit vers une réflexion sur le monde au travers de l’art. Pour la plupart des artistes exposés, qu’ils soient d’hier ou d’aujourd’hui, le constat tourne autour d’une vision tragique et généralement critique du monde contemporain. De ce fait, tous ou presque remettent en question la direction que prend la société au regard de leur présent et de ce qu’ils pressentent être le futur. Ils se positionnent du point de vue sociétal autant que du point de vue de l’art et leur création est clairement définie comme un moyen d’expression puissant, destiné à comprendre le monde et lui faire prendre une direction moins tragique.

Mais l’art peut il changer le monde?

Depuis le Contrat social de Rousseau jusqu’aux réflexions les plus récentes, le primitivisme, si on le considère comme un retour aux sources, a souvent été considéré par les artistes comme un bon compromis pour tout reconstruire. Née d’une forme de pragmatisme, l’idée qui en ressort est qu’il convient de se retourner vers les leçons du passé pour construire un art nouveau, plus apte à exprimer les préoccupations de chaque époque. Non dénuées d’une certaine audace, les avant gardes du XXème siècle vont suggérer un idéal artistique simple, tant dans le sujet que dans le processus de création, et un retour aux sources de l’art, une approche primitiviste qui va s’avérer constituer un élément essentiel pour créer l’art moderne en symbiose avec le monde moderne. Il faut prendre garde à ne pas trop rapidement associer le terme ‘’primitif ‘’ à ce que l’on nommait abusivement les sociétés non évoluées. D’ailleurs, qu’est ce qu’une société évoluée? Par rapport à qui? A quoi? Nous laisserons ces interrogations aux philosophes, sociologues et anthropologues et nous nous focaliserons, quant à nous, au primitivisme tel qu’il a été abordé du point de vue de l’art.

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NIKI DE SAINT PHALLE Fondation Linda et Guy PietersLinda et Guy Pieters ont le plaisir de vous inviter à visiter l'exposition

NIKI DE SAINT PHALLE

18 décembre 2021 - 6 mars 2022

Fondation Linda et Guy Pieters
Place des Lices - 28 Boulevard Vasserot – 83990 Saint-Tropez
www.fondationlgp.com  -
Fondation Linda et Guy Pieters <info(at)fondationlgp.com>
+33 4 22 84 01 89

ouvert tous les jours de 11h à 17h
dimanche de 11h à 13h30
fermé le dimanche après-midi et lundi

Jeff Koons Puppy 1992 Stainless steel, soil, and flowering plants Dimensions 1240 x 1240 x 820 cm Guggenheim Bilbao MuseoaJeff Koons rose to prominence in the mid-1980s as part of a generation of artists who explored the meaning of art in a media-saturated era and the attendant crisis of representation. Drawing on the visual language of advertising, marketing, and the entertainment industry and with the stated intent to "communicate with the masses," Koons tested the boundaries between popular and elite culture. His sculptural menagerie includes Plexiglas-encased Hoover vacuum cleaners, basketballs suspended in glass aquariums, porcelain homages to Michael Jackson and the Pink Panther, and glass depictions of himself coupled with his then-wife Ilona Staller, also known as La Cicciolina (a former adult-film star and member of the Italian parliament). Extending the legacy of Marcel Duchamp's readymades, and integrating references to Minimalism and Pop, Koons presents art as a commodity that cannot be placed within the hierarchy of conventional aesthetics.

With Puppy, Koons engaged both past and present, employing sophisticated computer modeling to create a work that references the 18th-century formal European garden. A behemoth West Highland terrier carpeted in bedding plants, Puppy employs the most saccharine of iconography—flowers and puppies—in a monument to the sentimental. Imposing in scale, its size both tightly contained and seemingly out of control (it is both literally and figuratively still growing), and juxtaposing elite and mass-cultural references (topiary and dog breeding, Chia Pets and Hallmark greeting cards), the work may be read as an allegory of contemporary culture. Koons designed this public sculpture to relentlessly entice, to create optimism, and to instill, in his own words, "confidence and security." Dignified and stalwart as it stands guard at the museum, Puppy fills viewers with awe, and even joy.

Sponsored by: Seguros Bilbao

https://www.guggenheim-bilbao.eus/en/

Bombas Gens 20_07_2021 foto Eva Ripoll 016Artist Thomas Hirschhorn starts his critical workshop Energy = Yes! Quality = No!” at Bombas Gens Centre dArt

From October the 27th to November the 21st, everyone, not only art enthusiasts, are welcome to participate in the critical workshop attending one of the two daily sessions conducted from Wednesday to Sunday.

The workshop, open to the public and free of charge, is a work of art in itself and it will constitute a unique and unrepeatable experience.

Under the artistic direction of Sandra Guimarães, it is the first project from the series Presence and Productionthat the artist does in Spain.

Valencia, 28th October 2021. After visiting more than 50 organisations with social, cultural, educational and neighbourhood-oriented purpose throughout three Fieldworks, and inviting the residents of the city of Valencia to participate, artist Thomas Hirschhorn will start his critical workshop “Energy = Yes! Quality = No!” at Bombas Gens Centre d’Art. It will take place from October the 27th to November the 21st, from Wednesdays to Sundays, having the chance of choose between two daily sessions in the morning and in the evening. 

Curated by Sandra Guimarães, it is the first project from the series Presence and Production that the artist does in Spain. In this action, considered as a universal and inclusive artwork, each one of the participants will contribute to the workshop individually with a work made by them (a text, a song, a sculpture, a drawing, etc). Apart from this main requirement, the attendees will have to commit themselves to participate actively throughout the 3 hours that the session will last. This way, each one will be able to create something and be ready to be judged and trust their criterion. Each participant’s contribution is discussed collectively and equally. The work will be judged through questions and debates such as “Is there implication?”, “Is it an event?”, “Are there encounters?”, “Does it create a new term in the arts?”. The critical workshop will have a translator, therefore, all the sessions will be conducted both in English and Spanish.

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jeu d enfant1hUn week-end d'activités et de jeux
23 & 24 octobre 2021

À l'occasion de la 23e édition de "Monument jeu d'enfant", le Centre des monuments nationaux (CMN) convie enfants et parents à célébrer les monuments en famille, les 23 & 24 octobre prochains, lors d'un week-end d'activités ludiques et pédagogiques.

UN RENDEZ-VOUS AVEC LES MONUMENTS

Les 23 et 24 octobre prochains, petits et grands sont attendus dans 52 monuments du Centre des monuments nationaux partout en France. Palais, châteaux, sites archéologiques et abbayes se découvriront sous un nouveau regard, entre apprentissage et émerveillement. À l'occasion de "Monument jeu d'enfant", durant deux jours, des formes inédites et ludiques d'appropriation des monuments seront proposées aux enfants de 5 à 12 ans et leurs familles : jeux de pistes, enquêtes, ateliers d'arts plastiques, de musique, de danse, lectures de contes ou encore parcours multisensoriels.

UNE PROGRAMMATION RICHE ET VARIÉE À DESTINATION DU JEUNE PUBLIC

Déambulation dans les jardins, jeux d'adresse, parcours contés ou encore concerts et jeux coopératifs : l'ensemble des monuments participant à la nouvelle édition de "Monument jeu d'enfant" concoctent aux petits et aux plus grands, un week-end riche en festivités ! Les enfants et leurs familles sont invités à se parer de leurs plus beaux atours au grand bal du château d'Aulteribe, à mener l'enquête sur l'incroyable disparition des joyaux de la Couronne à travers un jeu de piste sonore et visuel à l'Hôtel de la Marine, à fêter le 400e anniversaire de Jean de la Fontaine en faisant revivre ses personnages les plus célèbres au château de Maisons à Maisons-Laffitte. Ils pourront également s'initier aux techniques de fouilles archéologiques au château d'Angers, à la création de céramique à l'abbaye de Cluny et participeront à une oeuvre collective à l'abbaye du Mont-Saint-Michel : autant d'invitations à découvrir les monuments, en s'amusant !

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Affiche Gustave Caillebotte FONDATION PIERRE GIANADDA MARTIGNY SUISSEGustave Caillebotte,
impressionniste et moderne
18 juin 2021 – 21 novembre 2021
Tous les jours de 9h00 à 19h00

L’exposition à laquelle nous invitent la Fondation Pierre Gianadda et Daniel Marchesseau, commissaire, a été reportée d’un an en raison de la pandémie qui nous a tous frappés. Elle sera présentée du 18 juin au 21 novembre 2021.

La Fondation Pierre Gianadda consacre sa grande exposition d’été au peintre trop mal connu, Gustave Caillebotte (1848-1894). Organisée avec Daniel Marchesseau, conservateur général honoraire du
Patrimoine, elle clôt le cycle consacré à l’impressionnisme commencé à Martigny en 1993 sous la direction du professeur Ronald Pickvance (1930-2017) avec Edgar Degas.

Cet hommage à Gustave Caillebotte, en forme de rétrospective, réunit quelque 90 toiles peintes entre 1870 et 1894 : un ensemble rare révélé au public grâce aux prêts essentiels consentis par plusieurs
musée européens : le Musée d’Orsay, Paris, le musée Marmottan Monet, Paris, le musée des Beaux-Arts, Rennes, le musée des Beaux-Arts, Rouen, le Petit Palais, Genève, la Fondation de l’Hermitage, Lausanne, le musée Van Gogh, Amsterdam, et le Museum Barberini, Potsdam ainsi que d’importantes collections privées européennes. Cette sélection souligne l’audace et la dualité picturale de l’impressionniste parisien le plus secret, disparu prématurément à l’âge de 45 ans en laissant un corpus d’oeuvres de moins de cinq cents toiles.

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LE MUSEE PRIVE

Tél: (33) 09 75 80 13 23
Port.: 06 08 06 46 45

 
Patrick Reynolds
 

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Directeur de publication

 

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