Exhibition Dates:
September 18, 2018–January 6, 2019
Exhibition Location: The Met Breuer, Floor 4


For the last 50 years, artists have explored the hidden operations of power and the symbiotic suspicion between the government and its citizens. Opening at The Met Breuer on September 18, Everything Is Connected: Art and Conspiracy will be the first major exhibition to tackle this perennially provocative topic. Covering the period from 1969 to 2016 and featuring 70 works by 30 artists working in a range of media—from painting and sculpture to photography, video, and installation art—Everything Is Connected will present an alternate history of postwar and contemporary art that is also an archaeology of our troubled times.

The exhibition is made possible by Andrea Krantz and Harvey Sawikin.

Additional support is provided by James and Vivian Zelter.

There are incontrovertible aspects of the postwar period that created a fertile ground for the figure of conspiracy to loom so large. Foremost among these is the dramatic expansion in size and complexity of Western democracies and their attendant bureaucracies. Accordingly, the exhibition will focus on conspiracy in the West and stops short of the 2016 U.S. presidential election.

Tracing the simultaneous development of two kinds of art about conspiracy that form two sides of the same coin, the exhibition will be divided into two parts. The first is comprised of works by artists who hew strictly to the public record, uncovering hidden webs of deceit—from the shell corporations of New York’s then largest private landlord to the vast, interconnected networks encompassing politicians, businessmen, and arms dealers. The second part will feature artists who dive headlong into the fever dreams of the disaffected, creating fantastical works that nevertheless uncover uncomfortable truths in an age of information overload and weakened trust in institutions.

Lutz Bacher. The Lee Harvey Oswald Interview (detail), 1976. Collage in 18 parts. The Metropolitan Museum of Art, New York, Purchase, The Horace W. Goldsmith Foundation Gift, through Joyce and Robert Menschel and Anonymous Gift, 1999. Courtesy of the artist and Greene Naftali, New York
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THE FIRST MAJOR U.S. MUSEUM EXHIBITION OF TARSILA DO AMARAL
CELEBRATES THE ARTIST’S PIONEERING WORK AND LASTING INFLUENCE

Tarsila do Amaral: Inventing Modern Art in Brazil
February 11–June 3, 2018
Floor 2, The Paul J. Sachs Galleries
The Museum of Modern Art
11 West 53 Street,
New York, NY 10019

With Tarsila do Amaral: Inventing Modern Art in Brazil, The Museum of Modern Art presents the first monographic exhibition in the United States exclusively devoted to the pioneering work of Tarsila do Amaral (Brazilian, 1886–1973), a founding figure of Brazilian modernism. On view February 11 through June 3, 2018, the exhibition focuses on the artist’s production from the 1920s, tracing the path of her
groundbreaking contributions through approximately 120 works, including paintings, drawings, sketchbooks, and photographs drawn from collections across the US, Latin America, and Europe. Tarsila do Amaral: Inventing Modern Art in Brazil is organized by The Museum of Modern Art and the Art Institute of Chicago, by Luis Pérez-Oramas, former Estrellita Brodsky Curator of Latin American Art, The Museum of Modern Art, and Stephanie D’Alessandro, former Gary C. and Frances Comer Curator of International Modern Art, the Art Institute of Chicago; with Karen Grimson, Curatorial Assistant, Department of Drawings and Prints, The Museum of Modern Art. Prior to its presentation in New York, the exhibition was on view at the Art Institute of Chicago from October 8, 2017, through January 7, 2018.
Tarsila do Amaral: Inventing Modern Art in Brazil explores the radical vision of an artist who profoundly shaped modernist practice in Brazil, and was a key figure for subsequent generations of Brazilian artists working across media, from literature and theater to fashion and music. A long-overdue introduction to this major Brazilian modernist for North American audiences, the exhibition will survey Tarsila’s career from her earliest Parisian works to the emblematic modernist paintings produced upon her return to Brazil, ending with her large-scale, socially driven works of the early 1930s. Central to the exhibition is the reunion of three landmark paintings: The Black Woman (1923), Abaporu (1928), and Anthropophagy (1929), a transformational series of works that were last exhibited jointly in North America as part of the MoMA exhibition Latin American Artists of the Twentieth Century in 1993.

Tarsila do Amaral. Abaporu, 1928. Oil on canvas.  33 7/16 x 28 3/4 in. (85 x 73 cm). Collection MALBA,  Museo de Arte Latinoamericano de Buenos Aires.  © Tarsila do Amaral Licenciamentos.

Tarsila do Amaral. Abaporu, 1928. Oil on canvas.
33 7/16 x 28 3/4 in. (85 x 73 cm). Collection MALBA,
Museo de Arte Latinoamericano de Buenos Aires.
© Tarsila do Amaral Licenciamentos.

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Pendant Art Basel, la Fondation Beyeler présente sa grande exposition estivale «Bacon – Giacometti», qui propose une densité impressionnante de chefs-d'œuvre de ces deux artistes d'exception. La nouvelle présentation de la collection placée sous le thème «Nature + Abstraction» s'accompagne d'un important groupe d'œuvres de l'artiste américain Brice Marden issu de la Daros Collection. Certaines acquisitions d'artistes plus jeunes, comme par exemple un grand dessin sur tableau de Tacita Dean ou un ensemble d'œuvres de l'artiste brésilien Lucas Arruda, sont montrées au musée pour la première fois. Le parc de la Fondation Beyeler accueille quant à lui «This You» de Tino Sehgal, œuvre appartenant à la collection du musée.

Vendredi 15 juin, Hans Ulrich Obrist parlera avec Ernesto Neto de son installation monumentale GaiaMotherTree, présentée du 30 juin au 29 juillet 2018 à la gare centrale de Zurich. Ce projet dans l'espace public organisé par la Fondation Beyeler est accompagné d'une programmation riche et variée pour adultes et pour enfants comprenant musique, ateliers, visites et conférences. Au musée, l'artiste montre une sélection d'œuvres des années 1980 et 1990 ainsi que la sculpture Altar for a Plant (2017), conçue spécialement pour le Pavillon de la Fondation Beyeler.

Samedi 16 juin de 13h00 à 14h00, dans le cadre du lancement du livre «Psychoanalytikerin trifft Marina Abramović», l'auteur et psychanalyste Jeannette Fischer s'entretiendra avec Marina Abramović, figure clé du performance art. Cet événement est déjà complet.

Le Young Art Club de la Fondation Beyeler propose un programme éclectique «Art Basel Special», avec des visites guidées exclusives des différentes foires annexes d'Art Basel et une participation à divers événements associés. Rencontrer des artistes, visiter des foires, faire des découvertes en matière d'art et de design: le Young Art Club de la Fondation Beyeler propose tout ce qui constitue une parfaite semaine Art Basel. Pour en savoir plus: www.fondationbeyeler.ch/blog/young-art-club 

Vue d'installation «Bacon – Giacometti», Fondation Beyeler, Riehen/Bâle, 2018; © The Estate of Francis Bacon. Tous droits réservés / Succession Alberto Giacometti / 2018, ProLitteris, Zurich Photo Mark Niedermann
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La Fondation Beyeler a déposé le projet de construction pour son projet d'extension «Musée du nouveau parc» auprès de l'Inspection des constructions et de la restauration du canton de Bâle-Ville. L'extension conçue par l'Atelier Peter Zumthor comprend trois bâtiments dont la construction est prévue dans la partie sud du site: la Maison de l'art, un bâtiment abritant l'administration et les services, et un pavillon destiné à accueillir les manifestations. Avec le dépôt du projet de construction, c'est encore une étape qui est franchie dans la réalisation du projet d'extension. Cette extension fera voir le jour à un ensemble exceptionnel de bâtiments de musée et la surface de parc ouverte au public sera presque multipliée par deux. Musée d'art le plus visité de Suisse, la Fondation Beyeler souhaite continuer à l'avenir à répondre aux attentes des visiteurs et des habitants de la région envers un musée du 21ème siècle.

Le projet de construction a été remis à la commune de Riehen fin avril et le Conseil municipal l'a approuvé. La publication et la mise à disposition des plans s'effectueront à l'Inspection des constructions et de la restauration du canton de Bâle-Ville à partir du 30 mai 2018. La demande de construction en droit de superficie doit être transmise du Conseil municipal au Parlement communal de Riehen d'ici la fin de l'année 2018. Dans les meilleurs délais, la demande de permis de construire pourrait être déposée au plus tôt en 2019.

Le projet conçu par le célèbre architecte suisse Peter Zumthor s'adapte au caractère villageois de Riehen et s'intègre harmonieusement dans la nature environnante. Le parc Iselin-Weber, jusqu'alors privé, se transforme en nouveau parc public au cœur de Riehen. Cet écrin idyllique hébergera la nouvelle Maison de l'art, le bâtiment de musée à proprement parler. De vastes fenêtres panoramiques ouvrent la perspective sur les deux parcs, en direction Wiesenaue et vers le bâtiment de Renzo Piano. Le bâtiment de services, de dimensions plus modestes et destiné à l'administration et aux livraisons, se situe au début du Bachtelenweg et sera relié à la maison de l'art par un souterrain. Situé dans le parc Berower, au centre de l'ensemble, le pavillon de plain-pied dédié aux manifestations fait figure de pivot entre la nouvelle Maison de l'art, les bâtiments historiques du domaine Berower et le musée de Renzo Piano. Baigné de lumière, de jour il invite les visiteurs à un moment de détente, tandis que le soir il offre des conditions idéales pour des entretiens d'artistes, des concerts, des conférences, des projections de film et autres. Le projet d'extension comprend également une petite remise destinée aux bennes d'enlèvement et de recyclage des déchets, qui se situera à l'arrière des actuels bâtiments d'atelier. Parallèlement aux activités générales d'exposition, les manifestations culturelles et la médiation artistique font aujourd'hui partie des missions essentielles d'un musée attentif à ses visiteurs. Dans son projet, Peter Zumthor a mis en œuvre de manière idéale ces désirs et ces exigences de la maîtrise d'ouvrage. Dès le début, son projet a convaincu le public et les experts. Au cours de l'année passée, le projet a été approfondi et affiné.

Sam Keller, directeur de la Fondation Beyeler, commente: «Le projet a été accueilli par le public avec enthousiasme. Au terme de plus d'une année de révision avec la commune de Riehen et les autres autorités compétentes, et après avoir activement cherché le dialogue avec les riverains immédiats, nous espérons obtenir le feu vert pour la réalisation du projet d'extension, qui représentera un atout majeur pour la population de Riehen et toute la région de Bâle.»

Peter Zumthor

Projet Fondation Beyeler
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Le jeune PICASSO – période bleue et rose
Février à juin 2019

Dans ce qui sera à ce jour sa plus prestigieuse exposition, la Fondation Beyeler se consacre au jeune Picasso et à ses peintures et sculptures des périodes bleue et rose de 1901 à 1907. Les chefs-d'œuvre les plus splendides et les plus précieux de ces deux phases majeures, qui débouchèrent sur le cubisme, n'avaient jamais encore été présentés ensemble en Europe, et il est fort probable qu'un événement d'une telle envergure ne sera pas amené à se répéter.
 
Depuis des décennies, d'innombrables expositions sondent et mettent en lumière la vie et l'œuvre de Pablo Picasso. Il est incontestablement considéré comme l'un des artistes les plus fascinants du 20ème siècle. Ses compositions cubistes l'ont rendu immortel. Mais quel fut son cheminement artistique avant le cubisme? Qu'est-ce qui l'animait, qu'est-ce qui le marquait?
 
Fruit de nombreuses années de préparation, il s'agit à ce jour du projet d'exposition le plus complexe et le plus coûteux de l'histoire de la Fondation Beyeler et de l'un des points forts culturels de l'année 2019 en Europe. L'exposition est réalisée en coopération avec le Musée national Picasso et le Musée d'Orsay à Paris. La billetterie ouvrira en novembre 2018.
 
Sam Keller, directeur de la Fondation Beyeler, et Raphaël Bouvier, commissaire d'exposition à la Fondation Beyeler, vous invitent à en apprendre davantage sur l'exposition à venir et sur le jeune Picasso, grand artiste en devenir. Invitée d'honneur, Diana Widmaier Picasso, petite-fille de l'artiste, évoquera des souvenirs personnels de la vie de son grand-père, esquissant ainsi un portrait authentique et vivant de cette période précoce.
Première conférence de presse en compagnie de la petite-fille de l'artiste, Diana Widmaier Picasso.

Pablo Picasso, Acrobate et jeune arlequin, 1905, gouache sur carton, 105 x 76 cm, collection privée, © Succession Picasso / ProLitteris, Zürich 2018

Pablo Picasso, Acrobate et jeune arlequin, 1905, gouache sur carton, 105 x 76 cm, collection privée, © Succession Picasso / ProLitteris, Zürich 2018

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The EY Exhibition Picasso 1932 – Love, Fame, Tragedy
8 March – 9 September 2018
TATE MODERN
Bankside, London SE1 9TG, Royaume-Uni

http://www.tate.org.uk/

In March 2018 Tate Modern will stage its first ever solo exhibition of Pablo Picasso’s work, one of the most significant shows the gallery has ever staged. The EY Exhibition: Picasso 1932 – Love, Fame, Tragedy will take visitors on a month-by-month journey through 1932, a time so pivotal in Picasso’s life and work that it has been called his ‘year of wonders’. More than 100 outstanding paintings, sculptures and works on paper will demonstrate his prolific and restlessly inventive character. They will strip away common myths to reveal the man and the artist in his full complexity and richness.

1932 was an extraordinary year for Picasso, even by his own standards. His paintings reached a new level of sensuality and he cemented his celebrity status as the most influential artist of the early 20th century. Over the course of this year he created some of his best loved works, including Nude Woman in a Red Armchair, an anchor point of Tate’s collection, confident colour-saturated portraits and Surrealist experiments, including thirteen seminal ink drawings of the Crucifixion. His virtuoso paintings also riffed on the voluptuous sculptures he had produced some months before at his new country estate.

In his personal life, throughout 1932, Picasso kept a delicate balance between tending to his wife Olga Khokhlova and their 11-year-old son Paulo, and his passionate love affair with Marie-Thérèse Walter, 28 years his junior. The exhibition will bring these complex artistic and personal dynamics to life with an unprecedented range of loans from collections around the world, including many record-breaking works held in private hands. Highlights will include Girl before a Mirror, a signature painting that rarely leaves The Museum of Modern Art, and the legendary The Dream, a virtuoso masterpiece depicting the artist’s muse in dreamy abandon, which has never been exhibited in the UK before.

Pablo Picasso The Dream (Le Rêve) 1932,  Private Collection © Succession Picasso/DACS, London 2018

Pablo Picasso The Dream (Le Rêve) 1932,
Private Collection
© Succession Picasso/DACS, London 2018

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La Fondation Guillaume Corneille

a le plaisir de vous informer de la prochaine grande rétrospective consacrée au groupe Cobra au Musée de Pont-Aven (France)
du 10 mars 2018 au 10 juin 2018
Cobra, la couleur spontanée

Musée de Pont-Aven
Place Julia
29930 Pont-Aven
Tél : 02.98.06.14.43
museepontaven(at)cca.bzh
www.museepontaven.fr 
www.facebook.com/museedepontaven 
Twitter : @museepontaven

L'exposition, Cobra, la couleur spontanée, réunit la plupart des membres danois, néerlandais, belges, français, islandais, anglais et américains qui ont pris part aux activités du groupe Cobra qui fut une véritable explosion artistique et poétique au cœur du XXème siècle.
 
À Pont-Aven, le cri de couleur et de liberté de Cobra entre en résonance avec l'héritage de Paul Gauguin. En déclarant qu'il fallait tout oser et qu'il était à la fois « un enfant et un sauvage », Paul Gauguin apparaît pour certains des jeunes peintres de Cobra comme un véritable modèle à l'instar de Corneille et Theo Wolvecamp se rendent en 1950 à Pont-Aven et à Concarneau. Les formes simples et les aplats de tons purs des œuvres de Paul Gauguin ouvrent ainsi la voie aux couleurs libres et spontanées des peintres de Cobra.

Rétrospective Cobra Musée de Pont Aven
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Jean-Pierre Schosteck, Maire de Châtillon
Thierry Braconnier, Adjoint au Maire délégué à la Culture et à la Vie associative
Caroline Quaghebeur, Directrice de la Maison des Arts sont heureux de vous inviter au vernissage de l'exposition

MÂKHI XENAKIS Catharsis

le mercredi 16 mai 2018 de 19h à 21h

Réalisées au crayon, au pastel, à l'aquarelle ou à l'encre, les œuvres de Mâkhi Xenakis laissent apparaître les étapes d'une vie faite de doutes et de prises de risque, oscillant entre peurs et apaisements.
Des Petites bonnes femmes de 1987 marquant la renaissance d'une jeune artiste en quête d'elle-même, nous cheminons dans un monde en constante métamorphose. Les arachnées succédant aux gouffres avant de glisser vers un univers marin. Ces passages suivent un mécanisme interne, personnel et, au moment de leur création, inconscient.
L'écrivain Mâkhi Xenakis s'intéresse depuis longtemps au processus créatif. Publiés chez Actes Sud, les livres qu'elle consacre à son père, le compositeur, architecte et mathématicien Iannis Xenakis, ainsi qu'à l'artiste franco-américaine Louise Bourgeois, en traitent des multiples facettes.
A travers les recherches et réflexions menées autour de ces deux figures tutélaires, c'est également son propre parcours d'artiste que révèlent ses écrits et dont témoigne, pour la première fois ici, la réunion d'une trentaine d'œuvres graphiques mais aussi de sculptures.
Avec cette conviction que l'art sauve de la folie, Mâkhi Xenakis nous entraîne dans son histoire, côtoyant sans cesse les grandes figures mythiques qui ont nourri son enfance. Jamais néanmoins ce travail ne l'isole de l'autre, dont elle se fait la voix lorsqu'elle en ressent la nécessité, se faisant alors miroir d'autres histoires.
Ce projet a été sélectionné par la commission mécénat de la Fondation Nationale des Arts Graphiques et Plastiques qui lui a apporté son soutien.

Maison des Arts
11 rue de Bagneux - 92320 Châtillon
01 40 84 97 11

http://maisondesarts-chatillon.fr/

Exposition ouverte du mardi au dimanche, de 14h à 18h
jusqu'au 24 juin 2018
Entrée libre

Accès: métro ligne 13 - arrêt "Châtillon/Montrouge" puis bus n°388 arrêt "Mairie de Châtillon"

Mâkhi Xenakis, Les rencontres impossibles, 2018, ciment teinté, acier, 2m (détail).

Mâkhi Xenakis, Les rencontres impossibles, 2018, ciment teinté, acier, 2m (détail).

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VIALLAT - HAAS - ERBELDING - COSKUN exposition SIGNES SENSIBLES

Fascination contemporaine pour l'art pariétal
au Château du Val Fleury

vernissage de l'exposition sur invitation
SIGNES SENSIBLES
le jeudi 17 mai 2018 à 19h
en présence des artistes
Claude Viallat - Michel Haas - Patricia Erbelding - Coskun

Visite commentée par , commissaire de l'exposition Laurence d'Ist Un catalogue est édité pour l'occasion
Exposition du 15 mai au 8 juillet 2018
Du mardi au samedi de 14h à 18h
Dimanche de 14h à 18h30
Ouverture le dimanche 20 mai 2018
Entrée libre


Château du Val Fleury
Allée du Val FLeury
91190 Gif-sur-Yvette (Essonne)

Renseignements : 01 70 56 52 60 culturel(at)mairie-gif.fr
Programme détaillé : www.ville-gif.fr

VIALLAT - HAAS - ERBELDING - COSKUN - SIGNES SENSIBLES
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CÉSAR LA RÉTROSPECTIVE 13 DÉCEMBRE 2017 – 26 MARS 2018 GALERIE 1, NIVEAU 6

La rétrospective de l’oeuvre de César présentée par le Centre Pompidou coïncide avec le vingtième anniversaire de la mort de l’artiste. Illustre dès l’âge de 25 ans, César a vécu plus de cinquante années de création. Il est la dernière figure majeure du Nouveau Réalisme dont l’oeuvre n’a pas encore fait l’objet d’une rétrospective au Centre Pompidou. À travers une centaine d’oeuvres présentées dans la plus vaste de ses galeries d’expositions, le Centre Pompidou propose de découvrir, dans toute son intégrité et sa richesse, le parcours de l’un des plus grands sculpteurs de son temps. Avec les oeuvres majeures les plus célèbres, comme à travers certains cycles plus méconnus, cette rétrospective présente un ensemble inédit à ce jour.

Né à Marseille en 1921, César commence un apprentissage qui le conduit à Paris à l'École nationale supérieure des Beaux-arts. À Paris, il croise entre autres, Alberto Giacometti, Germaine Richier, Pablo Picasso et se mêle à la scène artistique d'alors, côtoyant les artistes de Saint-Germain-des-Prés et de Montparnasse. Très tôt, il se fait remarquer par une technique qui lui est propre et lui apporte la célébrité : ce sont les « Fers soudés », les figures humaines et autres « Vénus » ainsi que le bestiaire qu'il invente, peuplé d'insectes et d'animaux de toutes sortes qui l'amènent à sa première exposition personnelle, galerie Lucien Durand en 1954. Bientôt célèbre, son oeuvre est exposée de Londres à New York.

CESAR Blu Francia 490 1998 Compression d’automobile, tôle peinte 170 × 84 × 80 cm Collection particulière © SBJ / Adagp, Paris 2017 Photo © ASP Alex Soto Photo

CESAR Blu Francia 490, 1998
Compression d’automobile, tôle peinte
170 × 84 × 80 cm
Collection particulière
© SBJ / Adagp, Paris 2017
Photo © ASP Alex Soto Photo

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EXPOSITION

Tatiana Wolska – Habitat potentiel pour une artiste  
24 février – 10 juin 2018

Galerie de la Marine
59, quai des Etats-Unis – Nice
Tous les jours de 11h à 18h, sauf le lundi
04 93 91 92 91 ou 93


Du 24 février au 10 juin 2018, la Ville de Nice invite l’artiste Tatiana Wolska à présenter son exposition « Habitat potentiel pour une artiste » à la Galerie de la Marine, une installation monumentale constituée de chutes de bois et de mobilier voué au rebut. Entre architecture et sculpture habitable, cette œuvre inédite constitue pour l’artiste une nouvelle manière de construire. Le vernissage de l’exposition a lieu ce vendredi 23 février à 19 heures.

Tatiana Wolska développe depuis 10 ans des projets de sculpture en grand format, toujours liés aux lieux qui l’invitent. L’artiste fabrique de la sculpture en jouant avec toutes sortes de matériaux de récupération : chutes de bois, plastique thermoformé, métaux et objets abandonnés qu’elle découpe, décortique, réordonne et assemble à nouveau.

L’exposition propose une expérience physique et cognitive d'une architecture spécifique, à la fois vivante, organique et relationnelle. En se penchant sur l’architecture temporaire qui peut revêtir plusieurs rôles (culturel, évènementiel, social), l’exposition recouvre une diversité de potentiels. Elle est autant l’expression d’une liberté que celle d’une nécessaire survie car bien souvent, le temporaire rime avec l’urgence. Elle pose aussi la question de l’inscription potentiellement durable de ces structures dans la fabrique de la ville.

Tatiana Wolska est née en 1977 en Pologne. Elle est diplômée de l’ENSA de la Villa Arson en 2007. Elle vit et travaille à Bruxelles. Elle est représentée par les galeries Claudine Papillon, Paris, Catherine Issert, Saint-Paul de Vence et Irène Laub, Bruxelles. Elle est lauréate en 2014 du Grand Prix du 59e Salon de Montrouge consacré à la jeune création émergente.

Tatiana Wolska Nomadisme, FRAC CORSE, 2016, crédit photo David Raffini

Tatiana Wolska Nomadisme, FRAC CORSE, 2016,
crédit photo David Raffini

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Jim DINE - Paris : Reconnaissance
du 14 févr. au 23 avr. 2018
Centre Pompidou
Rue Saint-Martin
75004 Paris

www.centrepompidou.fr 

Artiste et poète américain de renommée mondiale, Jim Dine, né en 1935, rejoint New York en 1958. Il délaisse alors le happening pour la peinture, ses sujets mêlant expressionnisme abstrait et pop, sans se réclamer du mouvement. À l’occasion de l’importante donation faite par l’artiste au Musée national d’art moderne, le Centre Pompidou consacre une exposition inédite à son œuvre.
À travers la peinture et la sculpture sous toutes leurs formes, développant une iconographie puissamment personnelle, l’artiste fait entendre depuis soixante ans sa voix singulière.

Jeudi 15 mars à 19h : House of Words, lecture performance par Jim Dine dans le cadre du cycle In Vivo (Cinéma 2)

Commissaire : Mnam/Cci, Bernard Blistène, Annalisa Rimmaudo
[ in Code Couleur, n°30, janvier-avril 2018, pp. 32-33 ]

Jim DINE A Child in Winter Sings, 2011-2012 Diptyque, Acrylique et sable sur bois 244 x 244 cm  Collection Centre Pompidou Musée National d'Art Moderne Photo Copyright Kerry Ryan McFate Copyright ADAGP, Paris 2018

Jim DINE A Child in Winter Sings, 2011-2012
Diptyque, Acrylique et sable sur bois
244 x 244 cm
Collection Centre Pompidou
Musée National d'Art Moderne
Photo Copyright Kerry Ryan McFate
Copyright ADAGP, Paris 2018

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Jean-Pierre Schosteck, Maire de Châtillon
Thierry Braconnier, Adjoint au Maire délégué à la Culture et à la Vie associative
Caroline Quaghebeur, Directrice de la Maison des Arts

sont heureux de vous inviter à visiter l'exposition
JAN VOSS - Remue-ménage
du JEUDI 18 janvier de 19h à 21h jusqu'au 3 mars 2018

Habité par un mouvement perpétuel, l'œuvre de Jan Voss, né en Allemagne en 1936 et installé en France depuis 1960, possède une hardiesse et une inventivité rare.

Ainsi, avoue-t-il : Les lignes sont les mouvements d'un tableau, son activité. L'activité d'un tableau est souvent extrêmement déconcertante, on voudrait bien comprendre où elle veut en venir avec tous ces parcours, ses sauts et ses arrêts subits. Mais parfois les lignes, en perte de vitesse, languissent, il faut les secouer sérieusement pour qu'elles ne s'endorment pas. Surtout ne jamais concéder de repos à la ligne !

Les caractéristiques les plus reconnaissables des œuvres évoquées sont des signes proches du graffiti, des éléments biomorphes, des compositions en cases ou en bandes. Mais Jan Voss n'en reste pas là. Maître de son langage, il en décline la grammaire, y mêlant des collages ou autres assemblages complexes.

L'opposition figuration / abstraction n'a pas de sens ici. Les formes, traits, couleurs et textures étant chargés de déclencher l'imagination, puis, pourquoi pas, la narration.

L'exposition rassemble des œuvres sur toile et sur papier de ces dix dernières années ainsi que des sculptures des années 1980/1990 dans lesquels l'artiste explore - toujours très librement - le volume.

Une plongée dans l'esprit Voss.

Exposition organisée avec la collaboration de Galerie Lelong & Co, Paris

Maison des Arts
11 rue de Bagneux - 92320 Châtillon
01 40 84 97 11

http://maisondesarts-chatillon.fr/ 

Exposition ouverte du mardi au dimanche, de 14h à 18h
jusqu'au 03 mars 2018.

 

Jan Voss, Sur la bonne voie, 2010,  Acrylique sur toile, 71 x 60 cm  ADAGP © Jan Voss / Courtesy Galerie Lelong

Jan Voss, Sur la bonne voie, 2010,
Acrylique sur toile, 71 x 60 cm
ADAGP © Jan Voss / Courtesy Galerie Lelong

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Paul Klee – La dimension abstraite
1er octobre 2017 – 21 janvier 2018
Fondation Beyeler,
Beyeler Museum AG,
Baselstrasse 77, CH-4125 Riehen
www.fondationbeyeler.ch 

Du 1er octobre 2017 jusqu’au 21 janvier 2018, la Fondation Beyeler présentera une exposition complète sur l’artiste Paul Klee, l’un des peintres les plus importants du XXe siècle. Pour la première fois dans le cadre d’une exposition sera mise en lumière la relation de l’artiste à l’abstraction, exploit majeur de la peinture moderne.

Comme bien d’autres artistes européens, Paul Klee releva le défi de l’abstraction. Sa riche production compte de magnifiques exemples de renoncement à la figuration jusqu’à l’élaboration d’univers iconographiques abstraits, aussi bien dans ses travaux de jeunesse que ses oeuvres tardives. Nature, architecture, musique et signes graphiques sont, chez lui, des thèmes majeurs et récurrents. À travers les 110 oeuvres issues de 12 pays, l’exposition se concentre sur cet aspect du travail de Klee, jusqu’alors ignoré.

L’exposition rétrospective présente divers groupes d’oeuvres chronologiques à partir de 1912, permettant de suivre les étapes déterminantes du développement de l’artiste: l’exposition se déploie sur sept salles et s’ouvre sur les débuts de Klee en tant que peintre dans les années 1910 à Munich puis sur son célèbre voyage à Tunis en 1914, aborde ensuite le thème de la Première Guerre mondiale et s’intéresse à la décennie du Bauhaus de 1921 à 1931 avec ses célèbres compositions en damiers, aquarelles en couches ainsi que des oeuvres qui font référence à l’abstraction géométrique, thème dominant des années 1930. Les peintures réalisées suite aux voyages en Italie et en Égypte à la fin des années 1920 et au début des années 1930 préfigurent les signes picturaux présents dans les travaux tardifs du peintre ainsi que ses conceptions picturales qui mèneront à l’art de l’après-guerre.

Paul Klee Park bei Lu, 1938, 129 Parc près de Lu Huile et peinture à la colle sur papier journal sur jute, 100 x 70 cm Centre Paul Klee, Berne, Courtesy Fondation Beyeler

Paul Klee Park bei Lu, 1938, 129
Parc près de Lu
Huile et peinture à la colle
sur papier journal sur jute,
100 x 70 cm
Centre Paul Klee, Berne,
Courtesy Fondation Beyeler
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Prochaine exposition : « Est-ce ainsi que les hommes vivent ? » Collection de la Fondation Maeght

16 décembre 2017 - 11 mars 2018

Riche d’une collection figurant parmi les plus importantes d’Europe, la Fondation Maeght réunit un ensemble extraordinaire d’œuvres d’art moderne et contemporain. Après les expositions « 50 artistes, une collection », « Face à l’œuvre » et « Espace, Espaces ! », la Fondation Maeght 1, cet hiver, en proposera une nouvelle lecture, enrichissant, à la suite des artistes A.R. Penck et Eduardo Arroyo, la question de l’humanité et de ses représentations. Son titre « Est-ce ainsi que les hommes vivent ? » est emprunté aux fameux vers de Louis Aragon, mis en musique par Léo Ferré, « … Est-ce ainsi que les hommes vivent Et leurs baisers au loin les suivent … » 2. Plus de 100 œuvres – peintures, sculptures, dessins ou estampes – seront présentées du 16 décembre 2017 au 11 mars 2018 dans un nouvel accrochage d’œuvres construit autour de la dimension humaniste de la collection. Il s’agit donc de l’existence et de l’être humain, de ce que les anglais appellent le « human being », avec ses contradictions, ses combats, ses espérances.

1 Par ailleurs, la collection de la Fondation Maeght a fait l’objet de présentations extramuros, notamment avec les expositions « Les Messagers » et « Vivantes natures » au Château de Biron et « La passion de créer » à l’Art Pavilion de Zagreb.

2 in Louis Aragon, Le Roman inachevé. Collection Poésie / Gallimard. éd. 1966. p. 73. Première édition en 1956.

Marc CHAGALL, L'Opéra, 1954. Lithographie originale en couleurs sur Arches, 39 cm x 28,5 cm. © Adagp, Paris 2017-2018 CHAGALL ®. Photo Archives Fondation Maeght.
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Alors que les éditions Skira publient un catalogue raisonné de l’oeuvre gravé d’Antoni Clavé, la Bibliothèque nationale de France expose,
du 9 janvier au 25 février 2018, un ensemble d’estampes de l’artiste, témoins de la grande richesse technique et stylistique de son oeuvre.
Peintre-graveur majeur du XXe siècle, Antoni Clavé trouve dans l’estampe une pratique complémentaire indispensable à sa peinture.
La publication de Skira ainsi que l’exposition de la Bibliothèque nationale de France invitent le public à découvrir ou redécouvrir cet artiste singulier qui occupe une place à part dans l’histoire de l’art français, espagnol et catalan de la seconde moitié du XXe siècle.

Organisée à l’occasion de la donation de 92 estampes consentie par les petits-enfants de l’artiste, l’exposition que propose la Bibliothèque nationale de France offre un panorama de l’oeuvre gravé d’Antoni Clavé. Une cinquantaine d’oeuvres de 1955 à 1995 retracent quarante ans d’un parcours d’une grande richesse technique et stylistique. Lithographies, eaux-fortes, aquatintes, gravures au carborundum, gaufrages, collages et kraft lithographié permettent d’appréhender une facette de l’oeuvre de ce créateur inclassable.

 

Affiche Antoni Clave BnF
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LINO VENTURA UNE GUEULE DE CINÉMA
sous le parrainage de Jean Dujardin
Du 12 octobre 2017 au 21 janvier 2018

Commissaire d’exposition : Emmanuelle Le Bail, Directrice du musée des Avelines, du Patrimoine culturel et des
Archives municipales
Commissariat scientifique : Nicolas Cabos, Auteur et professeur de cinéma
Assistés d’Anaïs Eveno, chargée d’études documentaires et de Maëlys Delvolvé, chargée d’exposition

Musée des Avelines - Musée d’Art et d’Histoire de Saint-Cloud
Jardin des Avelines - 60, rue Gounod - 92210 Saint-Cloud
www.musee-saintcloud.fr 

QUELQUES MOTS D'INTRODUCTION...

Le musée des Avelines, musée d'art et d'histoire de la ville de Saint-Cloud, est heureux d'annoncer l'exposition Lino Ventura - Une gueule de cinéma du 12 octobre 2017 au 21 janvier 2018.

Le comédien, né le 14 juillet 1919 en Italie, a vécu près de trois décennies à Saint-Cloud et c'est dans cette ville qu'il est décédé le 22 octobre 1987 ; il était donc tout naturel que le musée des Avelines lui rende un hommage appuyé à l'occasion du trentième anniversaire de sa disparition.

Affiches, photographies, documents d'archives, témoignages, musiques de films, objets, scénarios, projections d'extraits... composent le parcours de l'exposition évoquant la carrière de ce monstre sacré du cinéma français.

Différentes salles du musée sont consacrées à ses amitiés avec des comédiens (Gabin notamment), et les réalisateurs avec lesquels il a tourné, de Becker à Verneuil, de Miller à Lelouch, de Pinoteau à Melville, de Malle à Lautner, de Deray à Hossein, ou encore de Sautet à La Patellière... passant ainsi du polar à la comédie pure, du film d'aventures au drame.

Est ainsi retracée la carrière de Lino Ventura, acteur populaire et pudique, qui a joué dans plus de 70 films, dont nombre de chefs d'oeuvre et d'immenses succès publics.

Photo prise sur le tournage d'Adieu poulet, 1975 Saint-Cloud, Musée des Avelines © Étienne George

LINO VENTURA UNE GUEULE DE CINÉMA
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Louvre Abu Dhabi La Plazza

Abu Dhabi, 6 Septembre 2017 : Le Louvre Abu Dhabi ouvrira ses portes au public le 11 novembre 2017. Il s’agit du premier musée du monde arabe conçu comme un musée universel, ayant vocation à refléter l’histoire commune de l’humanité à travers différentes cultures et civilisations.

Un programme de festivités publiques, comprenant des représentations de spectacles vivants, de danse, de concerts, projections, conférences et événements, donnés par des artistes contemporains et classiques de renom, accompagnera cet évènement.

Situé à Abu Dhabi, la capitale des Émirats Arabes Unis (EAU), le bâtiment a été conçu par l’architecte français Jean Nouvel, lauréat du prix Pritzker, comme une ville-musée (médina) recouverte d’un vaste dôme argenté. Les visiteurs pourront déambuler dans les espaces de promenade surplombant la mer, et sous le dôme de 180 mètres de diamètre composé de près de 8 000 étoiles en métal entrelacées pour former un savant dessin géométrique. Les rayons du soleil traversant le dôme créent un effet saisissant de « pluie de lumière », inspiré des palmeraies des  oasis des Emirats Arabes Unis.

Le musée présentera sa riche collection d’œuvres d’art ainsi que des prêts des plus grands musées français. La collection couvre tous les pans de la création artistique des origines de l’art à nos jours, depuis la Préhistoire aux commandes faites à des artistes contemporains. Le musée offre une présentation muséographique inédite mettant en lumière les thèmes universels et les influences communes entre les civilisations. Cette approche distingue le musée de la plupart des institutions muséales dont le parcours propose un classement par styles ou civilisations. Le Louvre Abu Dhabi comprend, en plus des galeries permanentes, un espace d’exposition temporaire, un musée des enfants, un auditorium, un restaurant, une boutique et un café.

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Altesse ; Majesté ;

Messieurs les Présidents ;

Mesdames et Messieurs les Ministres ;

Mesdames et Messieurs.

Au moment d'inaugurer le Louvre Abu Dhabi aux côtés de mon ami le Prince héritier Mohamed BIN ZAYED, que je remercie très chaleureusement pour son invitation, une phrase me revient qui semble définir ce qui nous unit aujourd'hui. Cette phrase n’est ni de votre culture ni tout à fait de la mienne, c'est la phrase prononcée par le personnage d'un roman russe, un personnage de Dostoïevski qui dit « la beauté sauvera le monde ». Et il serait naturel que je vous parle de culture, d'éducation, de civilisation mais un mot s'impose d'abord à nous ce soir qui sommes réunis, c'est précisément celui de beauté.

Elle est le cœur et le fondement de la culture. Elle est la raison d'être de l'Education. Elle connaît plusieurs formes, plusieurs expressions, elle s'est parfois alliée au bon de manière indéfectible. Elle est une recherche permanente, une poursuite. Elle a ceci de commun que nous la reconnaissons quand nous la voyons. Elle nous frappe en plein cœur quand nous la croisons.

Alors aujourd'hui ce qui nous réunit ici, ce qui, quelles que soient les vicissitudes du temps présent qui est le nôtre et quel que soit l'ampleur de nos défis, ce qui me rend optimiste, c'est que nous sommes au milieu de cette beauté qui sauvera le monde.

Aujourd’hui en ces lieux, c'est elle qui nous accueille. D'abord parce que Jean NOUVEL et son équipe ont conçu ici un lieu qui va rayonner vers le monde entier. Cette ville-musée abritée par un dôme monumental qui multiplie les jeux de lumière, cette ville qui est aussi une île où l'eau miroite et se reflète, ce musée composé de petites maisons rappelant les villages émiriens ; tout cela, cet entrelacs du dedans et du dehors, du lieu clos et toujours ouvert ; tout cela constitue un ensemble où l'œil à chaque détour s'émerveille parce que cette complexité infinie, ce chef d'œuvre d'architecture réveillent des émotions profondes, parce qu'il y a là quelque chose qui rappelle les édifices sacrés du monde entier. Vous avez construit, cher Jean NOUVEL, un temple pour la beauté, ici.

Ce lieu si sophistiqué et si simple à la fois accueille des œuvres d'exception. C'est le génie de l'humanité qui converge ici à travers ses plus grands artistes ; et pour un pays comme la France - je dois vous l'avouer - cher Prince héritier, cher ami, pour un pays comme la France se séparer - même sous forme de prêt - de quelques une de ses plus belles œuvres ne va pas de soi. C'est une forme de torture, et vous l'avez compris tout au long du périple que nous venons de partager, pour les conservateurs qui ont contribué à ce projet, pour les ministres, et je dois bien le dire aussi, pour le président.

Photo du Président de la République Emmanuel Macron

Photo du Président de la République Emmanuel Macron
Courtesy Présidence de la République
Source site http://www.elysee.fr

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françoise ForgeritLe Président de la République française, Emmanuel Macron a inauguré en grande pompe le musée Le Louvre Abu Dhabi, conçu par un architecte français Jean Nouvel. Et au lieu de s'écrier, en bombant le torse, " la France est de retour " ou en manifestant son amertume, " que va-t-on faire là bas ? ", tournons-nous pour comprendre vers les collections de notre premier musée national depuis 1793 .
Que nous dit Le Louvre, musée d'art et d'antiquités ?
Pouvons- nous y admirer La Dame de Brassempouy, vieille de 25 000 ans ou Le cratère de Vix du 5ème siècle avant Jésus Christ?
Non, aucune œuvre d'art provenant de notre préhistoire ou histoire ancienne sur notre sol. Notre lointain passé est donné à voir dans d'autres musées, peu connus du grand public. Curieux, pour un pays où la question des racines, de l'identité, des origines fait régulièrement débat.
Pour ce même lointain passé, le Louvre s'enorgueillit du Scribe accroupi et du Palais de Sargon, de la Vénus de Milo et de la Victoire de Samothrace. Et chacun reconnaît la Joconde comme l'œuvre phare, non seulement de l'ensemble des peintures italiennes mais encore de tout le musée.
Délibérément, la France a fait le choix, grâce à l'art et pour l'art, de s'ouvrir sur le monde, d'admirer l'esthétique et la beauté des autres cultures, et bien avant que les politiques ne s'emparent de cette notion, elle a prôné, par l'intermédiaire de son musée emblématique, le dialogue des cultures. Ainsi n'est-il pas étonnant que l'étape suivante soit celle de la création d'un nouveau Louvre à Abu Dhabi, initié par Jacques Chirac, dans un esprit et dans un lieu à la croisée des routes de l'Orient, l'Occident et l'Afrique. Dans le temps long, il s'inscrit comme une évidence.
Emmanuel Macron peut exprimer, au nom du Louvre et de la France, cette même idée :
" C'est toute la fresque des civilisations qui se compose sous nos yeux ; c'est alors que la beauté devient une clé vers l'universel, un lien spécial qui se tisse en nous, parce que nous élevons l'humanité vers ce qu'elle a de meilleur. "
Par cette inauguration , le Louvre reste fidèle à lui-même et à la France de Paris à Abu Dhabi, car c'est appartenir à la même Histoire, l'histoire de l'art et l'histoire du monde.
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