Du 4 octobre 2016 au 5 février 2017 Du mardi au vendredi : 10h30 – 18h Musée National Picasso Picasso-giacometti Du 4 octobre 2016 au 5 février 2017, le Musée Picasso présente la toute première exposition consacrée à l'oeuvre de deux des plus grands artistes du XXe siècle : Pablo Picasso (1881-1973) et Alberto Giacometti (1901-1966). Grâce à un prêt exceptionnel de la Fondation Giacometti, cette exposition inédite, qui occupera le rez-de-chaussée et le premier étage de l'hôtel Salé, réunit plus de 200 oeuvres des deux maîtres provenant des riches collections du Musée Picasso et de la Fondation Giacometti, ainsi que des prêts de collections françaises et étrangères. Un important travail de recherche, mené en commun dans les fonds d'archives du Musée Picasso et de la Fondation Giacometti, a permis de révéler des documents inédits, esquisses, carnets et annotations significatives. Ceux-ci éclairent les relations méconnues entre les deux artistes, relations à la fois amicales et formelles, et l'intérêt mutuel qu'ils se sont porté à des moments clefs de leurs carrières, en dépit de vingt ans de différence d'âge. Dotés de tempéraments différents, mais caractérisés tous deux par une grande liberté d'esprit et d'invention, Picasso et Giacometti partagent une fascination pour le lien entre Éros et Thanatos, comme pour le déplacement des limites de la représentation. De leur rencontre au début des années 1930 à leurs dialogues nourris dans l'après-guerre autour des querelles du retour au réalisme, les deux artistes n'ont cessé d'échanger sur leur création. Comme l'exposition le révèle, de nombreuses similitudes formelles et thématiques rapprochent leurs oeuvres de la période surréaliste. À partir de la fin des années 1930, tous deux vont transformer leur pratique et partager des questionnements sur l'art et sa relation au réel, auxquels le peintre-sculpteur et le sculpteur-peintre répondent par des solutions formelles différentes. |
Crédits photos de couverture Dora Maar, Portrait d'Alberto Giacometti, 1936 © Succession Giacometti (Fondation Giacometti + ADAGP) Paris, 2016. Dora Maar, Portrait de Picasso, Paris, studio du 29, rue d'Astorg |
Bernard Buffet Rétrospective Musée d’Art moderne de la Ville de Paris
Bernard Buffet Rétrospective Musée d’Art moderne de la Ville de Paris Le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris organise une rétrospective de l’oeuvre de Bernard Buffet (1928 - 1999), considéré comme l’un des peintres français les plus célèbres du XXème siècle, mais également l’un des plus discutés. À travers une sélection d’une centaine de peintures, l’exposition propose une relecture d’une oeuvre qui a été en réalité très peu vue. Parce que le Musée d’Art moderne est le seul musée public possédant une collection importante d’oeuvres de l’artiste (entrée en 1953 par l’important legs Girardin et en 2012 par la donation Ida et Maurice Garnier), il était légitime de réaliser ce projet qui remonte aux premiers contacts pris avec son marchand historique Maurice Garnier (1920 - 2014), il y a près de dix ans, mais que la dimension restée longtemps polémique de l’oeuvre de Bernard Buffet avait retardé. Aujourd’hui, avec la distance du temps, de nombreux artistes, professionnels et amateurs, reconsidèrent l’oeuvre, ce qu’elle pouvait avoir de déroutant s’étant en partie atténué. En balayant l’ensemble de l’oeuvre dans un parcours rétrospectif, mais très sélectif en raison de la grande productivité de l’artiste, l’exposition montrera la qualité et la variété insoupçonnées de ce qui restera peut-être comme une des oeuvres picturales les plus fascinantes du siècle dernier et dont l’influence sera peut-être une des plus considérables. |
Bernard Buffet |
Bernard Lorjou rétrospective Château de Tours
BERNARD LORJOU 2 Décembre au 12 Février 2017 Sous ce titre bien expressif, la Ville de Tours organise, en collaboration avec l’Association Bernard Lorjou, une grande rétrospective de Bernard Lorjou dans son Château du 25, avenue André Malraux. Elle aura lieu du 2 décembre 2016 au 12 février 2017 en réunissant une cinquantaine de peintures, quinze dessins et douze portraits photographiques de l’artiste. Belle occasion de découvrir et redécouvrir l’œuvre de cet artiste qui fascine le public à la fois par ses thèmes et par son art haut en couleur. |
Bernard Lorjou |
Guggenheim Full Abstraction ING Art Center
ING corporate Guggenheim Full Abstraction Du 19 octobre 2016 au 12 février 2017, l’ING Art Center, à Bruxelles, présentera un impressionnant ensemble d’oeuvres d’art issues des collections Peggy Guggenheim à Venise et Solomon Guggenheim à New York. Parmi celles-ci, de nombreux chefs d’oeuvre représentatifs des courants de l’abstraction expressionniste d’après-guerre américain et européen, datant des années 1940 jusqu’aux années 1960, et surtout bon nombre d’oeuvres d’artistes rarement exposés en Belgique. L’exposition retrace l’évolution de la scène artistique des deux côtés de l’Atlantique pendant trois décennies, des années 1940 aux années 1960, à travers les musées de deux collectionneurs américains, Peggy Guggenheim et Solomon Guggenheim. Placé sous la direction de Luca Massimo Barbero, conservateur adjoint de la Collection Peggy Guggenheim de Venise, l’événement est co-organisé par l’ING Art Center et la Fondation Solomon R. Guggenheim de New York. Elle offrira aux visiteurs une occasion exceptionnelle de voir associées des pièces des musées de Solomon et de sa nièce Peggy, pour une vision transversale sur l’oeuvre de certaines des plus grandes figures de l’art du XXe siècle. |
Robert Motherwell Easter Day 1971 |
THE MUSEUM OF MODERN ART NEW YORK RETROSPECTIVE FRANCIS PICABIA
THE MUSEUM OF MODERN ART EXPLORES THE PROVOCATIVE AND PROLIFIC CAREER OF FRANCIS PICABIA WITH HIS FIRST U.S. RETROSPECTIVE IN NEARLY 50 YEARS
MoMA's First-Ever Monographic Exhibition of Picabia Brings Together Some 200 Works to Advance Understanding of the Artist’s Vital Place in 20th-Century Art
Francis Picabia: Our Heads Are Round so Our Thoughts Can Change Direction November 21, 2016–March 19, 2017 The Joan and Preston Robert Tisch Exhibition Gallery, sixth floor
NEW YORK, November 3, 2016—The Museum of Modern Art’s Francis Picabia: Our Heads Are Round so Our Thoughts Can Change Direction, on view November 21, 2016–March 19, 2017, is the first major exhibition of the artist’s work in the US in nearly half a century, and the first ever to chart the full range of Picabia’s audacious, irreverent, and profoundly influential career. “Our heads are round so our thoughts can change direction” is an aphorism coined by Picabia in 1922, and it aptly encapsulates the nonlinear, circular character of his artistic practice. This exhibition presents approximately 200 works in an array of mediums in order to advance understanding of Picabia’s unruly genius and its vital place within the history of modern art. Francis Picabia is organized by MoMA and the Kunsthaus Zürich. The curators are Anne Umland, The Blanchette Hooker Rockefeller Curator of Painting and Sculpture at MoMA; and Cathérine Hug, Curator at the Kunsthaus Zürich; with Talia Kwartler, Curatorial Assistant, MoMA. Prior to its presentation in New York, the exhibition was on view at the Kunsthaus Zürich. |
Francis Picabia. Aello. 1930. Oil on canvas, |
Abstract Expressionism Royal Academy of Arts London
Abstract Expressionism Main Galleries Royal Academy of Arts,
The selection aims to re-evaluate Abstract Expressionism, recognising that though the subject is often perceived to be unified, in reality it was a highly complex, fluid and many-sided phenomenon. Likewise, it revises the notion of Abstract Expressionism as based solely in New York City by addressing such figures on the West Coast as Sam Francis, Mark Tobey and Minor White. |
Clyfford Still, PH-950, 1950. Oil on canvas, 233.7 x 177.8 cm. Clyfford Still Museum, Denver © City and County of Denver / DACS 2016. Photo courtesy the Clyfford Still Museum, Denver, CO; |
LA FONDATION LOUIS VUITTON PRESENTE ICONES DE L'ART MODERNE LA COLLECTION CHTCHOUKINE
EXPOSITION 22 octobre 2016 – 20 février 2017 FONDATION LOUIS VUITTON 8, Avenue du Mahatma Gandhi I— Communiqué de presse La Fondation Louis Vuitton présente l’exposition « ICÔNES DE L’ART MODERNE. L’exposition rend hommage à l’un des plus grands mécènes du début du 20 ème siècle, C’est à partir de 1898 que Sergueï Chtchoukine, grand industriel moscovite, entre en contact avec les marchands Paul Durand-Ruel, Ambroise Vollard, Berthe Weill, puis Georges Bernheim et Daniel Henry-Kahnweiler. Les relations affinitaires qu’il entretient avec les artistes comme Matisse, influencent fortement la formation de sa collection exemplaire de l’art le plus radical de son temps. |
Paul Gauguin (1848-1903, France) |
René Magritte Centre Pompidou Paris
René Magritte 21 septembre 2016 - 23 janvier 2017 L’exposition Magritte. La trahison des images propose une approche à ce jour inédite de l’œuvre de l’artiste belge René Magritte. Rassemblant les œuvres emblématiques, comme d'autres peu connues de l’artiste, provenant des plus importantes collections publiques et privées, l’exposition offre une lecture renouvelée de l’une des figures magistrales de l’art moderne. Une centaine de tableaux, de dessins, et des documents d’archives, sont réunis pour offrir au public cette approche qui s’inscrit dans la ligne des monographies que le Centre Pompidou a consacré aux figures majeures de l‘art du 20e siècle : « Edward Munch. L’œil moderne », « Matisse. Paires et séries » et « Marcel Duchamp. La peinture, même ». L’exposition Magritte. La trahison des images explore un intérêt du peintre pour la philosophie, qui culmine, en 1973, avec Ceci n’est pas une pipe que publie Michel Foucault, fruit de ses échanges avec l’artiste. Dans une conférence qu’il donne en 1936, Magritte déclare que Les affinités électives, qu’il peint en 1932, marque un tournant dans son œuvre. Ce tableau signe son renoncement à l'automatisme, à l’arbitraire du premier surréalisme. L’œuvre, qui montre un œuf enfermé dans une cage, est la première de ses peintures vouée à la résolution de ce qu’il nomme : un « problème ». Au hasard ou à la « rencontre fortuite des machines à coudre et des parapluies », succède une méthode implacable et logique, une solution apportée aux « problèmes » de la femme, de la chaise, des souliers, de la pluie… Les recherches appliquées à ces « problèmes », qui marquent le tournant « raisonnant » de l’œuvre de Magritte, ouvrent l’exposition. L’exposition sera présentée dans un format restreint à la Schirn Kunsthalle Frankfurt, en Allemagne du 10 février au 5 juin 2017. Commissaire : Mnam/Cci, Didier Ottinger |
René Magritte (1898 - 1967) "Les vacances de Hegel", 1958 |
The Metropolitan Museum of Art New-York Max Beckmann
Max Beckmann in New York, Opening at The Met on Exhibition Dates: The Metropolitan Museum of Art Opening October 19, 2016, the exhibition Max Beckmann in New York at The Metropolitan Museum of Art will put a spotlight on the artist's special connection with New York City. It will feature 14 paintings that Beckmann created while living in New York from 1949 to 1950, as well as 25 works, dating from 1920 to 1948, from New York collections. The exhibition assembles several groups of iconic works, including self-portraits; mythical, expressionist interiors; robust, colorful portraits of women and performers; landscapes; and triptychs. The exhibition is made possible by The Isaacson-Draper Foundation. It is supported by an Indemnity from the Federal Council on the Arts and the Humanities. In late December 1950, Beckmann set out from his apartment on the Upper West Side of New York to see his Self-Portrait in Blue Jacket (1950), which was on view at The Metropolitan Museum of Art in the exhibition American Painting Today. However, on the corner of 69th Street and Central Park West, the 66-year-old artist suffered a fatal heart attack and never made it to the Museum. The poignant circumstance of the artist's death served as the inspiration for the exhibition. |
Max Beckmann (German, Leipzig 1884-1950 New York). Self-Portrait in Blue Jacket, 1950. Oil on canvas. Saint Louis Art Museum, Bequest of Morton D. May. SL.9.2016.24.1, © 2016 Artists Rights Society (ARS), New York / VG Bild-Kunst, Bonn |
Ernest Pignon-Ernest Bibliothèque Louis Nucéra Nice
Ernest Pignon-Ernest Bibliothèque Louis Nucéra Par une exposition rassemblant la série des 19 portraits de poètes dont les reproductions orneront le livre d’André Velter, Ceux de la poésie vécue, des ouvrages de bibliophilie ainsi que les livres de et sur l’artiste, en particulier ceux illustrant tous ses combats depuis les années 70 et dont Ernest Pignon-Ernest a composé la couverture. |
Kandinsky Marc & Der Blaue Reiter Fondation Beyeler
Kandinsky, Marc & Der Blaue Reiter Fondation Beyeler, Pour la première fois depuis 30 ans, la Suisse consacre une vaste exposition à l’un des chapitres les plus fascinants de l’art moderne, entré dans l’histoire sous l’appellation de Der Blaue Reiter, « Le Cavalier bleu ». L’exposition munichoise de 1911 et le mouvement d’artistes du même nom ont été à l’origine d’une expérience artistique d’une nouveauté révolutionnaire. À partir des oeuvres de Wassily Kandinsky appartenant à la Collection Beyeler, le public peut découvrir la création d’un groupe d’artistes d’avant-garde, marqué par des principes d’ouverture d’esprit et d’internationalité auxquels la Première Guerre mondiale est venue mettre un terme.
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Wassily Kandinsky und Franz Marc (Hrsg.) Almanach Der Blaue Reiter, Munich, 1914 29,5 x 23 x 2,5 cm ahlers collection © Thomas Ganzenmüller, Hannover |
Les Insoumis de l’Art Moderne MUSÉE MENDJISKY
MUSÉE MENDJISKY Présente Paris, les années 50 12 octobre - 31 décembre 2016 15 Square de Vergennes - Paris XV Contact presse Hermine Parmentier : 01 47 07 98 31 À travers une soixantaine d’oeuvres maîtresses, l’exposition présente des artistes tels que Bernard Buffet, Bernard Lorjou, André Minaux ou encore Paul Rebeyrolle qui ont réaffirmé une vision de l’art faite de chair et de terre et nous montrent combien la seconde partie du XXe siècle n’est pas celle du vide mais celle de la figure réinventée. Dans les années 50, ces jeunes peintres français, se sont battus tout comme Francis Bacon, Balthus, Lucian Freud, Edward Hopper ou Giorgio Morandi pour imposer une figuration que la modernité voulait à jamais dissoudre. |
Francis Bacon de Picasso à Vélasquez Musée Guggenheim Bilbao
Dates : du 30 septembre 2016 au 8 janvier 2017 Avenida Abandoibarra, 2 48009 Bilbao • Portraits, nus, paysages, tauromachie… l’exposition porte un regard neuf sur l’oeuvre de Bacon en l’abordant sous l’angle de l’influence des cultures française et espagnole sur son travail. • Bacon a créé un nouvel univers d’images à partir de la littérature, du cinéma, de l’art et de sa propre vie, en adoptant un langage absolument singulier qui reflète la vulnérabilité humaine avec une grande crudité. • Dans les nus de Bacon prédominent les personnages isolés saisis dans des postures quotidiennes, que le peintre transforme en déformant leur corps d’une façon presque animale, réinventant ainsi le portrait. • Transgresseur dans sa vie et dans son oeuvre, Bacon a franchi plusieurs frontières jusqu’alors difficiles à briser et situé l’être humain face à un miroir où il peut se contempler dans toute sa crudité et sa violence. Le Musée Guggenheim Bilbao présente Francis Bacon : de Picasso à Vélasquez, une exposition de près de 80 toiles qui réunit quelques-unes des peintures les plus marquantes et les moins connues de l’artiste britannique né en Irlande, en regard de l’oeuvre de grands maîtres français et |
Francis Bacon |
Fantaisies brésiliennes Musée International d’Art Naïf Anatole Jakovsky Nice
Fantaisies brésiliennes Inauguration de cette exposition en présence de Maître Gérard Baudoux, Adjoint au Maire de Nice, délégué aux musées et à l’art moderne et contemporain représentant Christian Estrosi, Président de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, Maire de Nice, En partenariat avec le Ministère de la Culture de Sao Paulo, la Ville de Nice accueille, du 10 juin au 3 octobre 2016, au Musée International d’Art Naïf Anatole Jakovsky, « Fantaisies brésiliennes », une exposition témoignant de l’originalité de l’Art Naïf brésilien issu d’un savant mélange ethnique, d’un syncrétisme religieux, d’un besoin impérieux de braver la dureté de la vie et de lui substituer les couleurs de l’espoir. |
Légende et crédit de la photo |
Ernest Pignon-Ernest MAMAC Nice
VERNISSAGE de l'exposition En présence de l'artiste Vernissage de l'exposition à l'église Abbatiale de Saint-Pons le lundi 27 juin 2016 à 17h00 La Ville de Nice accueille cet été une grande exposition rétrospective d'Ernest Pignon-Ernest au MAMAC. L'artiste investira également l'église abbatiale de Saint-Pons avec la présentation des "Extases". Initiateur de l'art urbain en France, Ernest Pignon-Ernest est né à Nice en 1942. Du plateau d'Albion à Certaldo, de Charleville à Paris, de Naples à Alger, de Nice à Soweto, du Chili à la Palestine, depuis 1966, Ernest Pignon-Ernest change les rues du monde en oeuvre d'art éphémère. Il a ainsi préfiguré nombre d'expériences artistiques qui sollicitent l'espace public. Considéré comme le précurseur de l'art urbain, il est aujourd'hui une figure incontournable et populaire de la scène artistique. Unique par sa tenue éthique et esthétique, son parcours quelque soit les thèmes abordés, a réussi le rare prodige de concilier un engagement sans concession ni reniement avec une expression artistique d'une extrême exigence, au point que certaines de ses images, notamment les fusillés de la Commune, ou son Rimbaud vagabond reproduit à des milliers d'exemplaires, sont devenues de véritables icônes des temps modernes.
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Ernest Pignon-Ernest, Parcours Jean Genet, |
La Maison de la Photographie Robert Doisneau
MUSEE DU QUAI BRANLY JACQUES CHIRAC ou le dialogue des cultures
MUSEE DU QUAI BRANLY Du 21 juin au 9 octobre 2016 Galerie Est AVANT-PROPOS DE STÉPHANE MARTIN, PRÉSIDENT DU MUSEE DU QUAI BRANLY Imaginer "un lieu qui manifeste un autre regard sur le génie des peuples et des civilisations d’Afrique, d’Asie, d’Océanie et des Amériques 1" telle fut l’ambition de Jacques Chirac. Ce désir a germé il y a près de trente ans, à une époque où il paraissait inconcevable qu’en l’espace d’une décennie, plus de 15 millions de personnes viendraient admirer des oeuvres longtemps oubliées. Depuis maintenant 10 ans, le musée du quai Branly poursuit le rêve de son fondateur et propose de faire découvrir, à travers la richesse de ses collections et de sa programmation, l’infinie diversité des cultures. Termes employés par Jacques Chirac dans son discours prononcé lors de l’inauguration du musée du quai Branly le 20 juin 2006. |
Musée du quai Branly. Affiche de l'exposition "JACQUES CHIRAC ou le dialogues de cultures". Du 21 juin au 9 octobre 2016. |
Zao Wou-Ki Musée Cernuschi une donation exceptionnelle
ZAO WOU-KI MUSEE CERNUSCHI L’entrée dans la collection du musée Cernuschi de la donation de Madame Françoise Marquet-Zao est historique. Tout d’abord, elle rappelle que, dès 1946, les oeuvres de Zao Wou-ki avaient été présentées pour la première fois en France au Musée Cernuschi. Vadime Elisseeff, alors conservateur au musée, avait eu le discernement et l’audace de présenter au public parisien cet artiste à la fois jeune et inconnu ! La presse de l’époque avait tout de suite reconnu le talent de Zao Wou-ki. Deux ans plus tard, le jeune peintre chinois arrivait à Paris, une ville qui allait demeurer l’espace privilégié de sa création. Les oeuvres de la donation évoquent justement cette période clé au cours de laquelle Zao Wou-ki multiplie les expériences techniques et chemine de la figuration vers l’abstraction. Ainsi pour le seul travail sur papier, l’artiste pratique le fusain, l’aquarelle, la gouache et bien sûr l’encre. Il réalise quelques portraits d’un trait sûr aux accents matissiens, s’inspire aussi bien de modèles vivants nus que de gravures et d’estampages chinois antiques. Après quelques années de rupture, il retrouvera la voie de l’encre à partir des années 1970 et ne la quittera plus. La série de compositions abstraites datées des décennies 1970 à 2000, illustre avec précision les multiples facettes de cette recherche. |
Couverture © Petit Oeuvres de |
Jacques Henri LARTIGUE Théâtre de la Photographie et de l’Image Charles Nègre Nice
Jacques Henri LARTIGUE Vernissage > Jeudi 16 juin 2016 à 19 heures En présence de Maître Gérard Baudoux, Adjoint au Maire de Nice, délégué aux musées et à l’Art moderne et contemporain THEATRE DE LA PHOTOGRAPHIE ET DE L'IMAGE Tous les jours sauf le lundi, le 1er janvier, Jacques Henri Lartigue est né à Courbevoie le 13 juin 1894. Il meurt à Nice le 12 septembre 1986. Peintre et photographe, il devient célèbre grâce à ses clichés évoquant sa vie familiale et la société mondaine de la Belle Epoque. Il est considéré au XXe siècle comme un génie du noir et blanc. Curieux, il essaie toutes les nouvelles techniques photographiques ; clichés de sujets en mouvement, ses images représentent aussi bien les membres de sa famille que les premiers temps de l’aviation, les manifestations sportives, les « belles dames » du bois de Boulogne, et les photographies de la Riviera où il fait de nombreux séjours de 1908 à 1986. |
Emile Savitry Musée Mendjisky
MUSÉE MENDJISKY ÉCOLES DE PARIS Présente 15 Square de Vergennes - Paris XV Contact presse : 01 47 07 98 31 info(at)fmep.fr www.fmep.fr ÉMILE SAVITRY Un photographe de Montparnasse 8 juin - 5 octobre 2016 Réunies pour la première fois dans un seul lieu, deux expositions de photographies d’Émile Savitry (1903-1967), l’une monographique, l’autre thématique sont présentées au Musée Mendjisky- Écoles de Paris du 8 juin au 5 octobre 2016. Elles dévoilent les différentes facettes de l’oeuvre de ce photographe au regard de peintre, proche des surréalistes, ami de Brassaï et de Prévert, amateur de jazz qui suivit toute sa vie une route buissonnière. |
Photo Emile Savitry Nu de l'Académie de la Grande Chaumière à Montparnasse, Paris, 1950-1951 Courtesy Sophie Malexis |
Le Vitra Design Museum ouvre le Schaudepot
Guggenheim Bilbao L’École de Paris 1900–1945
Le Musée Guggenheim Bilbao présente le 22 avril au 23 octobre 2016 Musée Guggenheim Bilbao • Première exposition d’oeuvres provenant de la Collection du Musée Guggenheim de New York depuis le renouvellement de l’Accord de Gestion du Musée Guggenheim Bilbao souscrit avec la Solomon R. Guggenheim Foundation en décembre 2014 • Commissaire : Lauren Hinkson, conservatrice adjointe des Collections du Solomon R. Guggenheim Museum de New York • L’accrochage approfondit la connaissance des principaux mouvements de l’art moderne, du Cubisme à l’Orphisme et au Surréalisme, ainsi que des artistes inscrits dans la mouvance appelée École de Paris. • C’est à Paris que Picasso et Braque ont bouleversé les conventions en peinture, que Delaunay a transposé ses visions en couleurs harmonieuses, que Kandinsky a ouvert de nouvelles voies à l’abstraction et que Brancusi a réinventé la façon de présenter la sculpture dans l’espace. • L’exposition présente quelques-unes des peintures et des sculptures les plus influentes du siècle dernier, oeuvres de créateurs comme Brancusi, Braque, Delaunay, Modigliani ou Picasso. |
Juan Gris |
Performance en direct de Miquel Barceló et Josef Nadj
Danse et argile – « Paso Doble », une performance en direct De son vivant, Jean Dubuffet a réalisé pour ses œuvres plastiques des notices consignant minutieusement les matériaux utilisés pour ses travaux. Au-delà des observations personnelles que contiennent ces « recettes », elles constituent une passionnante documentation sur les curieux ingrédients de ses œuvres, parmi lesquels du sable, de l'argile, de la cendre et de la terre glaise. Miquel Barceló a décrit en ces termes le rapport qu'il entretient avec Dubuffet : « Ces formules magiques qui se lisent comme si elles étaient composées pour la confection de plats bizarres, raffinés et brutaux, m'ont durablement influencé. » Une autre source d'inspiration que partagent Miquel Barceló et Jean Dubuffet est l'« Art brut », les créations d'artistes autodidactes. « Paso Doble » offre une illustration absolument remarquable des liens étroits qui unissent l'artiste français à l'artiste espagnol. |
Performance en direct de Miquel Barceló et Josef Nadj |
Petite main chez Henri Matisse Jacqueline Duhême
Exposition dossier : Musée Matisse A travers cet ouvrage, Jacqueline Duhême nous fait partager son expérience unique auprès de Matisse, avec qui elle a entretenu une grande complicité, et nous permet d’entrer dans l’intimité de la vie du Maître, en livrant des détails enrichissants sur sa pratique artistique et sa rigueur dans le travail. |
Couverture du livre Petite main chez Henri Matisse |
Alexander Calder & Fischli/Weiss Fondation Beyeler
Alexander Calder & Fischli/Weiss
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Alexander Calder, Apple Monster, 1938, Calder Foundation, New York donation d'Alexander S.C. Rower à la mémoire de Mary Calder Rower, 2015, © 2016 Calder Foundation, New York / ProLitteris, Zurich; Photo: Calder Foundation, New York / Art Resource, New York |