Cette exposition est organisée par la Réunion des musées nationaux-Grand Palais.
3 octobre 2018 - 4 février 2019
Grand Palais 
Galeries nationales
entrée Square Jean Perrin
Dans cette rétrospective dédiée au grand maître catalan Joan Miró (1893-1983), près de 150 oeuvres essentielles sont réunies afin de donner à cette oeuvre unique et majeur toute la place qui lui revient dans la modernité. Cette exposition intervient quarante-quatre ans après celle qu’avait organisée Jean Leymarie et Jacques Dupin dans ce même lieu en 1974. Des prêts exceptionnels, provenant de grands musées internationaux, européens et américains, ainsi que de grandes collections particulières mettent l’accent sur les périodes charnières de Miró qui déclarait : « Les gens comprendront de mieux en mieux que j’ouvrais des portes sur un autre avenir, contre toutes les idées fausses, tous les fanatismes ». La création de cet artiste d’exception irrigue l’art de tout le XXe siècle, irradiant de sa puissance et de sa poésie près de sept décennies avec une générosité et une originalité inégalées.

This retrospective on the great Catalan master Joan Miró (1893-1983) brings together nearly 150 key pieces to give this unique and important body of work its rightful place in modernity. This exhibition takes place forty-four years after the one organised by Jean Leymarie and Jacques Dupin at the same venue in 1974. Exceptional loans from some of the most important museums in Europe, America and across the globe, as well as major private collections, place the emphasis on the pivotal periods for Miró, who once declared: “People will understand more and more that I opened the doors to another future, that runs against all falsehood, all fanaticism.” The work of this exceptional artist shaped art throughout the 20th century, radiating its power and poetry for almost seven decades with unrivalled generosity and originality.

Affiche de l'exposition MIRO Succession Miro/Adagp, Paris 2018 Photo Calder Foundation, New York/ Art Resource, NY Design c-album/adaptation Alain Bourdon
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Solomon R. Guggenheim Museum
1071 Fifth Avenue
New York, NY 10128-0173
212 423 3500
https://www.guggenheim.org 

(NEW YORK, NY— November 20, 2018)—The Solomon R. Guggenheim Museum will extend its hours until 8 pm during the holiday season, providing an additional opportunity for audiences to experience exhibitions on view, such as the groundbreaking Hilma af Klint: Paintings for the Future. From December 26, 2018, to January 6, 2019, the museum will be open every day from 10 am to 8 pm, with the exception of New Year’s Day, Tuesday, January 1, when the museum will open at 11 am. On Christmas Eve, Monday, December 24, museum hours will be from 10 am to 4 pm, and the museum will be closed on Christmas Day, Tuesday, December 25. The Guggenheim Store will be open for an additional half hour before and after museum hours. From December 26, 2018, to January 6, 2019, The Wright restaurant will be open from 11 am to 3:30 pm and will open at 11:30 am on Christmas Eve and New Year’s Day. For more information, visit guggenheim.org/plan-your-visit.

Visitors to the Guggenheim may also view new paintings by contemporary artist R. H. Quaytman in the exhibition R. H. Quaytman: + x, Chapter 34, presented in conjunction with Hilma af Klint: Paintings for the Future, as well as modern masterpieces from the Guggenheim’s collection in the Thannhauser Collection galleries, and sculptures by Constantin Brancusi on Tower Level 2.

Installation view: Hilma af Klint: Paintings for the Future, Solomon R. Guggenheim Museum, New York, October 12, 2018–February 3, 2019. Photo: David Heald
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Du mercredi 17 octobre 2018 au lundi 25 février 2019
Centre Georges-Pompidou
Place Georges-Pompidou 75004 Paris 4e
Métro : Rambuteau (11)
RER : Chatelet - Les Halles (A/B/D)
Réservation : 01.44.78.12.33
Site web : www.centrepompidou.fr

Le Centre Pompidou propose une traversée inédite et un panorama complet de l’un des mouvements fondateurs de l’histoire de l’art moderne : le cubisme (1907-1917).
Première exposition consacrée au cubisme en France depuis 1953, le projet trouve son originalité dans la volonté de renouveler et d’élargir à d’autres artistes la vision traditionnellement concentrée sur ses deux inventeurs, Georges Braque et Pablo Picasso. Ces pionniers, bientôt suivis par Fernand Léger et Juan Gris, réservaient leurs créations expérimentales et novatrices à la très confidentielle galerie d’un jeune marchand alors inconnu, Daniel-Henry Kahnweiler, quand des artistes tels Albert Gleizes, Jean Metzinger, Francis Picabia, Marcel Duchamp, Robert et Sonia Delaunay assuraient à l’époque la diffusion du mouvement auprès de la critique et du public en participant aux Salons parisiens. L’exposition met ainsi en valeur la richesse, l’inventivité et le foisonnement de ce mouvement qui ne se limite pas uniquement à la géométrisation des formes et au rejet de la représentation classique mais dont les recherches radicales et l’énergie créatrice de ses membres sont aux sources de l’art moderne.

Riche de 300 oeuvres et de documents significatifs du rayonnement du cubisme, l'exposition est articulée chronologiquement en quatorze chapitres. S'en détachent des chefs-d’oeuvre, comme le Portrait de Gertrude Stein (1906) ou ceux d'Ambroise Vollard (1909) et Daniel-Henry Kahnweiler (1910) par Picasso ainsi que des ensembles de peintures et de sculptures jamais réunies. Le parcours de l'exposition vise à mettre en valeur l’évolution à rebondissements du cubisme en remontant aux sources primitivistes et à la fascination des cubistes pour Gauguin et Cézanne. Il reflète la progression formelle du mouvement, d’une première étape cézannienne - illustrée par la présence de l’exceptionnelle nature morte de Picasso Pains et compotier sur une table (1909) - vers une transcription analytique hermétique (1910-1912) puis transformée en version plus synthétique (1913-1917), qui marque ainsi le retour de la représentation et de la couleur.

Juan Gris Le Petit Déjeuner, octobre 1915 Huile et fusain sur toile, 92 x 73 cm Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris © Centre Pompidou, MNAM-CCI/ Philippe Migeat/Dist. RMN-GP
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La Vie, le chef-d’œuvre iconique de la période bleue de Picasso, sera exposé à la Fondation Beyeler à partir de février 2019

Bâle accueillera bientôt La Vie (1903), chef-d'œuvre grandiose de la période bleue de Pablo Picasso prêtée par le Cleveland Museum of Art, Ohio. A partir du 3 février, la Fondation Beyeler, le musée d'art le plus visité de Suisse, présentera le tableau dans ses espaces baignés de lumière dans le cadre de sa grande exposition de printemps « Le jeune PICASSO – Périodes bleue et rose ». Les abonnés de la Newsletter Picasso ont la possibilité de remporter deux billets d'entrée pour le prix d'un.

Raphaël Bouvier, commissaire de l'exposition, est particulièrement heureux de ce prêt accordé par le Cleveland Museum of Art: « Avec La Vie de Picasso, c'est une œuvre clé de l'art du 20ème siècle et l'un des tableaux les plus saisissants de l'art moderne qui sera présentée à la Fondation Beyeler. Il s'agit probablement du premier grand chef-d'œuvre de Picasso. C'est pour nous une joie immense de pouvoir inclure dans notre exposition cette toile si importante et si rarement prêtée. »

La Vie est une véritable icône de l'art moderne et marque le point culminant de la fameuse période bleue de Picasso, qui couvre les années 1901 à 1904. Dans les tableaux profondément émouvants de cette période, caractérisés par leurs tonalités bleutées, Picasso se consacre aux questions universelles de l'existence humaine.

Pablo Picasso, La Vie, 1903, Huile sur toile, 197 x 127,3 cm, The Cleveland Museum of Art, Donation Hanna Fund 1945.24, © Succession Picasso / ProLitteris, Zurich 2018, © The Cleveland Museum of Art
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Rétrospective du 19 octobre 2018 au 24 février 2019
Musée Guggenheim Bilbao
Avenida Abandoibarra, 2
48009 Bilbao
Téléphone :   +34 944 35 90 00  (horaire bureaux)   
+34 944 35 90 80  (horaire d’ouverture Musée)  
http://www.guggenheim-bilbao.es/ 
https://www.guggenheim-bilbao.eus/fr/  en français
Email: informacion(at)guggenheim-bilbao.es  

Apporter le soutien d’IBERDROLA à l’exceptionnelle exposition Alberto Giacometti. Rétrospective que le Musée Guggenheim Bilbao consacre à l’un des plus grands sculpteurs de l’histoire et un des artistes majeurs du XXe siècle est pour nous l’objet d’une très grande fierté.

Nous invitons donc le public à venir découvrir dans les salles du Musée un parcours illustrant 40 ans de la carrière de l’artiste au travers d’une sélection de 200 pièces —sculptures, peintures et oeuvres sur papier—, lesquelles viennent rendre hommage à l’esprit créateur de Giacometti et à témoigner de son inextinguible quête de vérité.

Cette rétrospective rend fidèlement compte des évolutions constantes de l’artiste, depuis ses premiers travaux influencés par le cubisme et le surréalisme – au fort contenu symbolique et d’une facture très abstraite – jusqu’à ses célèbres figures stylisées qui se distinguent par leur matière brute et leurs échelles multiples.

Alberto Giacometti s’est toujours démarqué par la profondeur de sa démarche et de sa réflexion. Il a cultivé l’amitié de nombreux intellectuels et écrivains comme Simone de Beauvoir — dont l’effigie est ici présente à travers deux bustes —, Jean Genet — dont on retrouve un portrait à l’huile dans l’exposition — ou encore Jean-Paul Sartre – qui définissait Giacometti comme l’artiste “existentialiste” par excellence –.

Alberto Giacometti Homme qui marche I, 1960 Bronze 180,5 x 27,0 x 97,0 cm Fondation Giacometti, Paris © Succession Alberto Giacometti ,VEGAP, Bilbao, 2018

Alberto Giacometti
Homme qui marche I, 1960
Bronze
180,5 x 27,0 x 97,0 cm
Fondation Giacometti, Paris
© Succession Alberto Giacometti ,VEGAP, Bilbao, 2018

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Exposition Balthus
2 septembre 2018 – 1er janvier 2019

FONDATION BEYELER
Baselstrasse 101
CH-4125 Riehen/Basel
Tél. +41 61 645 97 00
Fax +41 61 645 97 19
https://www.fondationbeyeler.ch/fr/ 
E-Mail: info(at)fondationbeyeler.ch

Avec l’exposition Balthus, la Fondation Beyeler présente l’un des derniers grands maîtres de l’art du 20ème siècle, également l’un des artistes les plus singuliers et les plus controversés de l’art moderne.
Cette présentation d’envergure, dont la planification a débuté en milieu d’année 2016, prend pour point de départ l’oeuvre majeure Passage du Commerce-Saint-André (1952–1954), qui se trouve à la Fondation Beyeler depuis de nombreuses années en tant que prêt permanent d’une importante collection privée Suisse.

Dans son travail aux facettes et aux lectures multiples, vénéré par certains et rejeté par d’autres, Balthus, de son vrai nom Balthasar Klossowski de Rola (1908–2001), trace une voie artistique alternative, voire opposée aux courants des avant-gardes modernes et des représentations que l’on peut s’en faire. Dans cette voie solitaire, le peintre excentrique se réfère à un large éventail de prédécesseurs et de traditions artistiques allant de Piero della Francesca à Poussin, Füssli, Courbet et Cézanne. Mais un examen plus attentif révèle aussi les impulsions de certains courants artistiques modernes, notamment la Nouvelle Objectivité ou le Surréalisme, qui offrent un contexte aux stratégies parfois provocatrices de mise en scène picturale de Balthus et aux dimensions abyssales et insondables de son art. Sa distanciation fondamentale du modernisme, démarche que l’on peut presque qualifier de postmoderne, mène pourtant Balthus à développer une forme toute personnelle d’avant-garde, qui apparaît d’autant plus pertinente aujourd’hui.
Balthus s’affirme en effet comme l’artiste de la contradiction et du trouble, dont les oeuvres à la fois sereines et fébriles font se rencontrer des contraires qui mêlent de manière unique la réalité et le rêve, l’érotisme et la candeur, l’objectivité et le mystère, le familier et l’étrange. Dans ce jeu de contrastes, Balthus combine des motifs de la tradition artistique à des éléments empruntés aux illustrations populaires de livres pour enfants du 19ème siècle. Ses tableaux sont empreints d’ironie tant implicite qu’explicite, réfléchissant et s’interrogeant par là sur les possibilités et les impossibilités figuratives et esthétiques de l’art du 20ème siècle et au-delà. Les paradoxes s’étendent aussi à la personne de Balthus, qui dans un geste de modestie tenait à être considéré comme un « artisan » tout en adoptant la posture et le statut de l’aristocrate intellectuel cultivant des liens étroits avec de grands philosophes, écrivains, gens de théâtre et cinéastes de son temps. Sa longue vie, qui a coïncidé avec la quasi-totalité du 20ème siècle, a ainsi oscillé constamment entre ascèse et mondanité.

BALTHUS, THÉRÈSE, 1938  Huile sur carton sur bois, 100.3 x 81.3 cm The Metropolitan Museum of Art, New York, Légué par Mr. et Mrs. Allan D. Emil, en l’honneur de William S. Lieberman, 1987 © Balthus, Photo: The Metropolitan Museum of Art/Art Resource/Scala, Florence

BALTHUS, THÉRÈSE, 1938
Huile sur carton sur bois, 100.3 x 81.3 cm
The Metropolitan Museum of Art, New York, Légué par Mr. et Mrs. Allan D. Emil, en l’honneur de William S. Lieberman, 1987
© Balthus, Photo: The Metropolitan Museum of Art/Art Resource/Scala, Florence 

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DECONSTRUCTING MARCUS JANSEN
November 16. 2018 - September 15. 2019
Kemper Museum of Contemporary Art
4420 Warwick Boulevard
Kansas City, Missouri MO 64111
Tel 816.753.5784
https://www.kemperart.org/ 
Kemper Museum of Contemporary Art presents 8–12 exhibitions per year in the Charlotte Crosby Kemper Gallery, the Barbara & Paul Uhlmann Gallery, and the Kemper East Gallery. The Museum curates exhibitions from its Permanent Collection and of the work of emerging, midcareer, and established artists.

Marcus Jansen (American, b. 1968) finds inspiration in the world around him. Regarded as a pioneer of "urban landscape painting," Jansen uses his upbringing in both the United States and Germany, and places he was stationed during his time in the army, as influence for his paintings. Drawing inspiration from New York Abstract Expressionism as well as graffiti, Pop art, and Surrealism, Jansen employs practices from these art forms to create paintings that make social commentary. This exhibition places the techniques and themes in Jansen's work in dialogue with other paintings, photographs, and prints from the Kemper Museum Permanent Collection.

Marcus Jansen, Streets, 2008, oil, enamel, collage on canvas, 36 x 48 inches. Kemper Museum of Contemporary Art, Kansas City, Missouri, Bebe and Crosby Kemper Collection, Gift of the R. C. Kemper Charitable Trust, 2009.27. © 2018 Marcus A. Jansen/Artists Rights Society (ARS), New York/VG Bild-Kunst, Bonn. Photo: UNIT A Studio and Residency, Expressive Culture LLC.
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Exposition Berenice ABBOTT - Topographies
19 octobre 2018 – 27 janvier 2019

Vernissage > Jeudi 18 octobre 2018 à 19 heures

En présence de Robert Roux, Conseiller municipal délégué au Cinéma, aux Arts dans l’Espace Public, au Pôle de Culture Contemporaine « Le 109 », Subdélégué aux Musées et aux Musiques Actuelles, représentant Christian Estrosi, Maire de Nice, Président de la Métropole Nice Côte d’Azur, Président délégué de la Région SUD-Provence-Alpes-Côte d’Azur

Musée de la Photographie Charles Nègre
1, Place Pierre Gautier – Nice
Du 19 octobre 2018 au 27 janvier 2019, la Ville de Nice vous invite à découvrir l’exposition « Berenice ABBOTT – Topographies » au Musée de la Photographie Charles Nègre. Le vernissage de l’exposition se tiendra le jeudi 18 octobre à 19heures.

L’œuvre de Berenice Abbott (Springfield, USA, 1898 - Monson, USA, 1991) a été décisive et déterminante dans l’Histoire de la Photographie puisqu’elle contribuera à définir une nouvelle conception de ce langage. Autonome parce que délestée de toute référence à la peinture, elle existe alors strictement de et par ses propres spécificités intrinsèques.

Venue à Paris au début des années 1920, formée par Man Ray (Philadelphie, USA, 1890 - Paris, 1976) avant d’ouvrir son propre studio, Berenice Abbott entame avec succès une carrière de portraitiste. Connue, dans les cénacles de l’avant-garde de Paris et New York, des années 20 et 30, pour être une fervente militante en faveur de la reconnaissance de la photographie documentaire comme un art, elle n’aura de cesse de questionner dans son travail, les aspects de réalisme et modernisme. Son œuvre phare et manifeste, représentative de ces préceptes et engagements sera Changing New York (1935 – 1939), vaste entreprise « d’interprétation documentaire » des mutations architecturales auxquelles sera soumise New York dans les années 1930.

Par ailleurs, la figure de Berenice Abbott apparaît à nouveau dans l’Histoire de la Photographie indissociable, et réciproquement d’ailleurs, de celle d’Eugène Atget (Libourne, France, 1857 – Paris, 1927) dont elle aura activement contribué à la reconnaissance de l’œuvre en Europe et aux États-Unis.

Atget, photographe français, rendra compte dès 1890 d’un Paris qui disparaît après la mise en place des grands chantiers Haussmanniens dès la deuxième moitié du XIXe siècle, visant à faire de Paris une ville moderne à l’image de Londres. Atget restera une figure emblématique et de référence pour Berenice Abbott. Son œuvre, qui la précède en est l’amorce, celle d’Abbott, sa résonance.

Dans son ensemble et de manière panoramique, l’œuvre de Berenice Abbott revêt des aspects protéiformes. Il n’en demeure pas moins que les déplacements de ses problématiques et intérêts tout au long de sa carrière depuis la photographie de portrait, puis d’architecture et enfin scientifique, s’effectuent avec logique et cohésion. Elle s’attachera à examiner le langage photographique à travers un prisme, lui donnant une autre dimension et profondeur.

Avec une présentation d’une centaine de photographies et documents, le Musée de la Photographie Charles Nègre offre aux visiteurs un aperçu de l'œuvre de cette artiste majeure.
Cette exposition est réalisée en collaboration avec diChroma Photography, Madrid 

Flatiron Building, Madison Square, New York, 1938 ©Berenice Abbott/ Getty Images Courtesy of Howard Greenberg Gallery New York

Flatiron Building, Madison Square, New York, 1938
©Berenice Abbott/ Getty Images.
Courtesy of Howard Greenberg Gallery, New York

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lvmh rome
 

ROME BY MILES HYMAN

Hyman spent his days in the city with eyes turned towards the Roman sky, focused on an architectural detail, on a face, a door in Trastevere or on the dome of a church in Piazza Navona, with the aim of depicting Rome for the Louis Vuitton Travel Book: Rome by Miles Hyman. The result is an invitation towards the real and virtual journey, enriched by intellectual stimulations and intense moments, which gives the readers an unprecedented image of the city.
Rome responds to Hyman’s approach by offering its own beauty without filters, becoming lively and vibrant, charged with ephemeral beauty, joyful, full of poetic elements in its everyday life.
“The Roman palette inspires me a great deal!” states Miles Hyman. “Its light, in the first place, but also its special colours, have set a gradual spell upon me: the facades, with their shades of ochre, golden yellow, blue and turquoise, not to mention the wide range of reds, each richer than the next”. Bright and deep colours that influence the artist in an unmistakable way. “Rome is part of those cities that you have to live with for a while before you can understand its charm. But beware, once you start to love, understand and finally capture the unique spirit of these cities, you’re already in love, and you will love them passionately forever”. Rome as depicted by Hyman has the features of a woman, elusive and mysterious, that you can meet on the corner of a street, in the shade of a terrace or on a balcony. Look away for a moment and you lose sight of her. This is Rome. The city’s inhabitants prevail over the monuments “I realise that this work about Rome could have been called Travel Book of the Romans. I absolutely wanted to capture the daily life of the inhabitants of this enchanting city with honesty and admiration — I am tempted to say ‘tenderness’.
Why did I want to stress the human element of the city? Because, for me, the key to the city is the striking contrast between its ephemeral life and the eternal”. The Istituto Centrale per la Grafica hosted the exhibition inside its Palazzo Poli, an iconic place in Rome, because the Trevi Fountain is its façade. The Institute promotes contemporary graphics in all its expressions, from Graphic Design of great masters to experimental experiences, from Graphic Novel to design, in the founding spirit of the unification of antique drawing and printing collections (Gabinetto Nazionale delle Stampe), to the activity, uninterruptedly in progress since the first decades of the 19th century, of the National Calcography and its Stamperia.
LOUIS VUITTON PAYS TRIBUTE TO ROME WITH AN EXHIBITION RECOUNTING, THROUGH THE FASCINATING ILLUSTRATIONS OF ARTIST MILES HYMAN CREATED FOR THE LOUIS VUITTON TRAVEL BOOK COLLECTION, THE MONUMENTS, THE ATMOSPHERE AND THE DAILY LIFE OF THE ETERNAL CITY. FROM OCTOBER 5TH TO NOVEMBER 11TH, THE ISTITUTO CENTRALE PER LA GRAFICA WILL HOST OVER 100 ORIGINAL DRAWINGS BY THE AMERICAN ARTIST, COMMISSIONED BY LOUIS VUITTON, AND SOME ESPECIALLY MADE FOR THE EXHIBITION IN ROME.

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GIACOMETTI-CHADWICK, FACING FEAR
22 septembre 2018 - 6 janvier 2019
Museum de Fundatie, Zwolle

Du 22 septembre 2018 au 6 janvier 2019, le musée néerlandais Museum De Fundatie organise l’exposition Giacometti-Chadwick, Facing Fear. Les sculptures d’Alberto Giacometti (1901-1966) et de Lynn Chadwick (1914-2003) incarnent la désillusion et l’angoisse qui ont profondément marqué l’Europe pendant la période de la Guerre Froide.
Grâce à ces deux artistes, l’art de la sculpture européenne s’est définitivement détourné du romantisme et de l’esthétique d’avant-guerre pour atterrir de plain-pied dans la réalité crue. Alors que Giacometti réduisait l’homme à son apparition la plus lapidaire et dépouillée, Chadwick créait ses représentations primitives et puissantes de l’Homme et de l’Animal. L’exposition au Museum de Fundatie comprend plus de 150 oeuvres et offre pour la première fois une occasion unique de comparer l’art de Giacometti à celui de Chadwick.

GIACOMETTI-CHADWICK, FACING FEAR
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The Foundation Guillaume Corneille is pleased to announce the retrospective exhibition devoted to Corneille
Schiedam Museum
September 23rd 2018 until February 3rd 2019

CORNEILLE, HIS WORLD

Seventy years after CoBrA was created, the Stedelijk Museum Schiedam honours one of the prominent founders of this international art movement: Corneille Guillaume Beverloo, best known by his first name. This extensive retrospective shows the colourful work that gained Corneille (1922–2010) international recognition, together with his sources of inspiration, the way he was influenced by other artists, his passion for long journeys and his love of African ethnographics. In short, this presentation takes you on a journey into his world, the universe of this important post-war artist.  

Compelling

During his CoBrA period Corneille made expressive and spontaneous drawings and paintings, which betray a strong joie de vivre and desire for freedom. After 1953 this style gave way to more abstracted landscapes. In his late, more figurative work paradisaical scenes and the relationship between man and nature are central. Women are surrounded by birds amidst colourful vegetation. Corneille, his world comprises almost 60 paintings, some 15 gouaches / water colours and about 25 ethnographic objects, and demonstrates that his work has remained fresh and compelling to this very day.    

Bird

To Corneille, the bird was the symbol of freedom par excellence. He said: "The bird – and the same is true of me – is the one who is always on a quest, who has to find 'food' and fly constantly, destined to keep moving." Coincidence or not, but the literal meaning of the name Corneille is 'crow'.

Le Musée Privé Contemporary Art Magazine particularly appreciates this quality artist who has marked the history of art

Corneille Schiedam Museum  September 23rd 2018 until February 3rd 2019
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Picasso - Chefs-d'Oeuvre
du 04 sept. au 13 jan. 2019

Musée Picasso
5 rue de Thorigny
75003 Paris
www.museepicassoparis.fr 

Quel sens a la notion de chef-d’œuvre pour Pablo Picasso ? L’exposition « Picasso. Chefs-d’œuvre ! » répond à cette question en réunissant des œuvres maîtresses, pour certaines présentées à Paris pour la première fois. Grâce à des prêts exceptionnels, des chefs-d’œuvre du monde entier dialogueront avec ceux du Musée national Picasso-Paris.
L’ensemble réuni propose une nouvelle lecture de la création picassienne, grâce à une attention particulière portée à la réception critique. Le parcours revient ainsi sur les expositions, les revues et les ouvrages qui ont accompagné chaque œuvre et qui ont contribué, au fil des années, à forger leur statut de chefs-d’œuvre. Les archives du Musée national Picasso-Paris occupent une place essentielle dans ce récit.


HALL
À la suite de l’exposition « Guernica », le Musée national Picasso-Paris consacre l’année 2018 à la célébration de chefs-d’œuvre de Pablo Picasso. L’exposition « Picasso. Chefs-d’œuvre ! » réunit des icônes venues du monde entier, dont certaines sont présentées à Paris pour la première fois. Collaborations exceptionnelles, campagnes de restauration inédites ou prêts d’institutions amies : les chefsd’œuvre exposés font écho aux événements et aux partenariats qui rythment la vie du Musée national Picasso-Paris.

1. LE CHEF-D'OE UVRE INCONNU
Atteindre la beauté idéale, le chef-d'oeuvre absolu : voici le rêve que le peintre Frenhofer, héros du Chef-d'oeuvre inconnu d'Honoré de Balzac, poursuit en vain. Publié pour la première fois en 1831, l'ouvrage est illustré un siècle plus tard par Pablo Picasso, à la demande du marchand Ambroise Vollard. Le thème du peintre et son modèle auquel l'artiste se consacre alors illustre la quête d'un idéal qui mènera Frenhofer à la mort : faire du portrait l'expression d'une âme, accéder à la perfection à travers l'oeuvre d'art. La mise en scène de l'artiste au travail traverse tout l'oeuvre de Picasso. Ses nombreux autoportraits, seul ou en compagnie du modèle, constituent autant de réflexions sur la création. Artiste parmi les plus prolifiques du XXe siècle, toujours à la recherche de nouveaux modes d'expression, Picasso consacre sa vie à une quête proche de celle de Frenhofer. À travers une sélection d'oeuvres essentielles, jalons de la création picassienne, l'exposition « Picasso. Chefs-d'oeuvre ! » revient sur cette histoire. Des conditions de la création jusqu'à l'influence de la réception critique, le parcours met en lumière les événements qui ont contribué à ériger chaque oeuvre au rang d'icône. Tout au long du XXe siècle, de la tradition académique aux révolutions modernes, les quêtes obstinées de l'artiste espagnol ont radicalement redéfini les contours de la notion de chef-d'oeuvre.

Affiche icasso chefs doeuvre © Musée national Picasso-Paris
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Bacon – Giacometti

29 avril – 2 septembre 2018
Fondation BEYELER
Baselstrasse 101
4125 Basel
Suisse
https://www.fondationbeyeler.ch/fr/ 

Avec Alberto Giacometti et Francis Bacon, la Fondation Beyeler présente à partir du 29 avril 2018 deux protagonistes d’exception de l’art moderne, tant amis que rivaux, dont la vision a fortement influencé l’art de la deuxième moitié du 20ème siècle à aujourd’hui. C’est la toute première fois qu’un musée consacre une exposition conjointe à ces deux artistes, éclairant leurs rapports et leurs relations. Aussi différentes que leurs oeuvres puissent sembler à première vue, ce face-à-face inattendu fait apparaître des correspondances surprenantes. L’exposition comprend des oeuvres célèbres des deux artistes, complétées par des oeuvres rarement exposées. A noter plus particulièrement, une série de plâtres originaux en provenance de la succession de Giacometti jamais encore dévoilés au grand public, ainsi que quatre grands triptyques de Bacon. Une salle multimédia propose des aperçus spectaculaires des ateliers des deux artistes. L’exposition est organisée par la Fondation Beyeler en collaboration avec la Fondation Giacometti, Paris.

Le peintre britannique et le sculpteur suisse se sont rencontrés au début des années 1960 au travers d’une amie commune, l’artiste Isabel Rawsthorne. En 1965, leur relation était déjà telle que Bacon avait rendu visite à Giacometti à la Tate Gallery à Londres lorsque ce dernier y installait son exposition. Une série de clichés du photographe anglais Graham Keen documente cette rencontre, montrant les deux artistes en intense conversation. Plus d’un demi-siècle plus tard, les deux artistes sont réunis à la Fondation Beyeler et ce double portrait photographique ouvre l’exposition.

Alberto Giacometti und Francis Bacon, 1965 Tirage gélatino-argentique © Graham Keen

Alberto Giacometti und Francis Bacon, 1965 Tirage gélatino-argentique © Graham Keen

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Le Pinceau ivre Lassaâd Metoui
11 avril - 30 septembre 2018
Institut du monde arabe
1, rue des Fossés-Saint-Bernard
Place Mohammed V
75236 Paris Cedex 05
www.imarabe.org 

Du 11 avril au 30 septembre prochain, l’Institut du monde arabe donne carte blanche à l’artiste franco-tunisien, Lassaâd Metoui. Formé très jeune à la calligraphie, Lassaâd Metoui est devenu dans cette discipline traditionnelle un artiste majeur, tout en faisant évoluer son art de plasticien vers une modernité qui transcende les cultures. Il s’inspire tout autant de la peinture occidentale (de Matisse à Paul Klee ou à Soulages) que de l’art d’Extrême-Orient, notamment japonais.

Riche de 135 oeuvres, l’exposition « Le Pinceau ivre » proposée par l’Institut du monde arabeoffre au visiteur un magnifique parcours dans l’oeuvre actuelle de Lassaâd Metoui. Ce beau panorama distribué en 4 séquences (« L’oeil écoute », « La Genese des formes », « La Passion de l’esthétisme », « L’Aventure du geste »), est significatif d’un art toujours empli d’allégresse, animé d’une sorte d’« ivresse poétique », curieux et admiratif des maîtres tant occidentaux qu’arabo-musulmans et tant d’hier que d’aujourd’hui.

Le travail de Lassaâd Metoui a une place légitime dans les espaces du musée, à la fois par la pratique que l’artiste a d’une calligraphie sans cesse repensée, et par le lien qu’il entretient avec le langage, grâce à sa complicité avec le linguiste et lexicographe Alain Rey.

Lassaâd Metoui, Accessible, 2014, Papier kozo, encre  japonaise, pigments naturels, 140x74 cm © Emmanuel Denort

Lassaâd Metoui, Accessible, 2014, Papier kozo, encre
japonaise, pigments naturels, 140x74 cm © Emmanuel Denort

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Exhibition Dates:
September 18, 2018–January 6, 2019
Exhibition Location: The Met Breuer, Floor 4


For the last 50 years, artists have explored the hidden operations of power and the symbiotic suspicion between the government and its citizens. Opening at The Met Breuer on September 18, Everything Is Connected: Art and Conspiracy will be the first major exhibition to tackle this perennially provocative topic. Covering the period from 1969 to 2016 and featuring 70 works by 30 artists working in a range of media—from painting and sculpture to photography, video, and installation art—Everything Is Connected will present an alternate history of postwar and contemporary art that is also an archaeology of our troubled times.

The exhibition is made possible by Andrea Krantz and Harvey Sawikin.

Additional support is provided by James and Vivian Zelter.

There are incontrovertible aspects of the postwar period that created a fertile ground for the figure of conspiracy to loom so large. Foremost among these is the dramatic expansion in size and complexity of Western democracies and their attendant bureaucracies. Accordingly, the exhibition will focus on conspiracy in the West and stops short of the 2016 U.S. presidential election.

Tracing the simultaneous development of two kinds of art about conspiracy that form two sides of the same coin, the exhibition will be divided into two parts. The first is comprised of works by artists who hew strictly to the public record, uncovering hidden webs of deceit—from the shell corporations of New York’s then largest private landlord to the vast, interconnected networks encompassing politicians, businessmen, and arms dealers. The second part will feature artists who dive headlong into the fever dreams of the disaffected, creating fantastical works that nevertheless uncover uncomfortable truths in an age of information overload and weakened trust in institutions.

Lutz Bacher. The Lee Harvey Oswald Interview (detail), 1976. Collage in 18 parts. The Metropolitan Museum of Art, New York, Purchase, The Horace W. Goldsmith Foundation Gift, through Joyce and Robert Menschel and Anonymous Gift, 1999. Courtesy of the artist and Greene Naftali, New York
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THE FIRST MAJOR U.S. MUSEUM EXHIBITION OF TARSILA DO AMARAL
CELEBRATES THE ARTIST’S PIONEERING WORK AND LASTING INFLUENCE

Tarsila do Amaral: Inventing Modern Art in Brazil
February 11–June 3, 2018
Floor 2, The Paul J. Sachs Galleries
The Museum of Modern Art
11 West 53 Street,
New York, NY 10019

With Tarsila do Amaral: Inventing Modern Art in Brazil, The Museum of Modern Art presents the first monographic exhibition in the United States exclusively devoted to the pioneering work of Tarsila do Amaral (Brazilian, 1886–1973), a founding figure of Brazilian modernism. On view February 11 through June 3, 2018, the exhibition focuses on the artist’s production from the 1920s, tracing the path of her
groundbreaking contributions through approximately 120 works, including paintings, drawings, sketchbooks, and photographs drawn from collections across the US, Latin America, and Europe. Tarsila do Amaral: Inventing Modern Art in Brazil is organized by The Museum of Modern Art and the Art Institute of Chicago, by Luis Pérez-Oramas, former Estrellita Brodsky Curator of Latin American Art, The Museum of Modern Art, and Stephanie D’Alessandro, former Gary C. and Frances Comer Curator of International Modern Art, the Art Institute of Chicago; with Karen Grimson, Curatorial Assistant, Department of Drawings and Prints, The Museum of Modern Art. Prior to its presentation in New York, the exhibition was on view at the Art Institute of Chicago from October 8, 2017, through January 7, 2018.
Tarsila do Amaral: Inventing Modern Art in Brazil explores the radical vision of an artist who profoundly shaped modernist practice in Brazil, and was a key figure for subsequent generations of Brazilian artists working across media, from literature and theater to fashion and music. A long-overdue introduction to this major Brazilian modernist for North American audiences, the exhibition will survey Tarsila’s career from her earliest Parisian works to the emblematic modernist paintings produced upon her return to Brazil, ending with her large-scale, socially driven works of the early 1930s. Central to the exhibition is the reunion of three landmark paintings: The Black Woman (1923), Abaporu (1928), and Anthropophagy (1929), a transformational series of works that were last exhibited jointly in North America as part of the MoMA exhibition Latin American Artists of the Twentieth Century in 1993.

Tarsila do Amaral. Abaporu, 1928. Oil on canvas.  33 7/16 x 28 3/4 in. (85 x 73 cm). Collection MALBA,  Museo de Arte Latinoamericano de Buenos Aires.  © Tarsila do Amaral Licenciamentos.

Tarsila do Amaral. Abaporu, 1928. Oil on canvas.
33 7/16 x 28 3/4 in. (85 x 73 cm). Collection MALBA,
Museo de Arte Latinoamericano de Buenos Aires.
© Tarsila do Amaral Licenciamentos.

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Pendant Art Basel, la Fondation Beyeler présente sa grande exposition estivale «Bacon – Giacometti», qui propose une densité impressionnante de chefs-d'œuvre de ces deux artistes d'exception. La nouvelle présentation de la collection placée sous le thème «Nature + Abstraction» s'accompagne d'un important groupe d'œuvres de l'artiste américain Brice Marden issu de la Daros Collection. Certaines acquisitions d'artistes plus jeunes, comme par exemple un grand dessin sur tableau de Tacita Dean ou un ensemble d'œuvres de l'artiste brésilien Lucas Arruda, sont montrées au musée pour la première fois. Le parc de la Fondation Beyeler accueille quant à lui «This You» de Tino Sehgal, œuvre appartenant à la collection du musée.

Vendredi 15 juin, Hans Ulrich Obrist parlera avec Ernesto Neto de son installation monumentale GaiaMotherTree, présentée du 30 juin au 29 juillet 2018 à la gare centrale de Zurich. Ce projet dans l'espace public organisé par la Fondation Beyeler est accompagné d'une programmation riche et variée pour adultes et pour enfants comprenant musique, ateliers, visites et conférences. Au musée, l'artiste montre une sélection d'œuvres des années 1980 et 1990 ainsi que la sculpture Altar for a Plant (2017), conçue spécialement pour le Pavillon de la Fondation Beyeler.

Samedi 16 juin de 13h00 à 14h00, dans le cadre du lancement du livre «Psychoanalytikerin trifft Marina Abramović», l'auteur et psychanalyste Jeannette Fischer s'entretiendra avec Marina Abramović, figure clé du performance art. Cet événement est déjà complet.

Le Young Art Club de la Fondation Beyeler propose un programme éclectique «Art Basel Special», avec des visites guidées exclusives des différentes foires annexes d'Art Basel et une participation à divers événements associés. Rencontrer des artistes, visiter des foires, faire des découvertes en matière d'art et de design: le Young Art Club de la Fondation Beyeler propose tout ce qui constitue une parfaite semaine Art Basel. Pour en savoir plus: www.fondationbeyeler.ch/blog/young-art-club 

Vue d'installation «Bacon – Giacometti», Fondation Beyeler, Riehen/Bâle, 2018; © The Estate of Francis Bacon. Tous droits réservés / Succession Alberto Giacometti / 2018, ProLitteris, Zurich Photo Mark Niedermann
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La Fondation Beyeler a déposé le projet de construction pour son projet d'extension «Musée du nouveau parc» auprès de l'Inspection des constructions et de la restauration du canton de Bâle-Ville. L'extension conçue par l'Atelier Peter Zumthor comprend trois bâtiments dont la construction est prévue dans la partie sud du site: la Maison de l'art, un bâtiment abritant l'administration et les services, et un pavillon destiné à accueillir les manifestations. Avec le dépôt du projet de construction, c'est encore une étape qui est franchie dans la réalisation du projet d'extension. Cette extension fera voir le jour à un ensemble exceptionnel de bâtiments de musée et la surface de parc ouverte au public sera presque multipliée par deux. Musée d'art le plus visité de Suisse, la Fondation Beyeler souhaite continuer à l'avenir à répondre aux attentes des visiteurs et des habitants de la région envers un musée du 21ème siècle.

Le projet de construction a été remis à la commune de Riehen fin avril et le Conseil municipal l'a approuvé. La publication et la mise à disposition des plans s'effectueront à l'Inspection des constructions et de la restauration du canton de Bâle-Ville à partir du 30 mai 2018. La demande de construction en droit de superficie doit être transmise du Conseil municipal au Parlement communal de Riehen d'ici la fin de l'année 2018. Dans les meilleurs délais, la demande de permis de construire pourrait être déposée au plus tôt en 2019.

Le projet conçu par le célèbre architecte suisse Peter Zumthor s'adapte au caractère villageois de Riehen et s'intègre harmonieusement dans la nature environnante. Le parc Iselin-Weber, jusqu'alors privé, se transforme en nouveau parc public au cœur de Riehen. Cet écrin idyllique hébergera la nouvelle Maison de l'art, le bâtiment de musée à proprement parler. De vastes fenêtres panoramiques ouvrent la perspective sur les deux parcs, en direction Wiesenaue et vers le bâtiment de Renzo Piano. Le bâtiment de services, de dimensions plus modestes et destiné à l'administration et aux livraisons, se situe au début du Bachtelenweg et sera relié à la maison de l'art par un souterrain. Situé dans le parc Berower, au centre de l'ensemble, le pavillon de plain-pied dédié aux manifestations fait figure de pivot entre la nouvelle Maison de l'art, les bâtiments historiques du domaine Berower et le musée de Renzo Piano. Baigné de lumière, de jour il invite les visiteurs à un moment de détente, tandis que le soir il offre des conditions idéales pour des entretiens d'artistes, des concerts, des conférences, des projections de film et autres. Le projet d'extension comprend également une petite remise destinée aux bennes d'enlèvement et de recyclage des déchets, qui se situera à l'arrière des actuels bâtiments d'atelier. Parallèlement aux activités générales d'exposition, les manifestations culturelles et la médiation artistique font aujourd'hui partie des missions essentielles d'un musée attentif à ses visiteurs. Dans son projet, Peter Zumthor a mis en œuvre de manière idéale ces désirs et ces exigences de la maîtrise d'ouvrage. Dès le début, son projet a convaincu le public et les experts. Au cours de l'année passée, le projet a été approfondi et affiné.

Sam Keller, directeur de la Fondation Beyeler, commente: «Le projet a été accueilli par le public avec enthousiasme. Au terme de plus d'une année de révision avec la commune de Riehen et les autres autorités compétentes, et après avoir activement cherché le dialogue avec les riverains immédiats, nous espérons obtenir le feu vert pour la réalisation du projet d'extension, qui représentera un atout majeur pour la population de Riehen et toute la région de Bâle.»

Peter Zumthor

Projet Fondation Beyeler
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Le jeune PICASSO – période bleue et rose
Février à juin 2019

Dans ce qui sera à ce jour sa plus prestigieuse exposition, la Fondation Beyeler se consacre au jeune Picasso et à ses peintures et sculptures des périodes bleue et rose de 1901 à 1907. Les chefs-d'œuvre les plus splendides et les plus précieux de ces deux phases majeures, qui débouchèrent sur le cubisme, n'avaient jamais encore été présentés ensemble en Europe, et il est fort probable qu'un événement d'une telle envergure ne sera pas amené à se répéter.
 
Depuis des décennies, d'innombrables expositions sondent et mettent en lumière la vie et l'œuvre de Pablo Picasso. Il est incontestablement considéré comme l'un des artistes les plus fascinants du 20ème siècle. Ses compositions cubistes l'ont rendu immortel. Mais quel fut son cheminement artistique avant le cubisme? Qu'est-ce qui l'animait, qu'est-ce qui le marquait?
 
Fruit de nombreuses années de préparation, il s'agit à ce jour du projet d'exposition le plus complexe et le plus coûteux de l'histoire de la Fondation Beyeler et de l'un des points forts culturels de l'année 2019 en Europe. L'exposition est réalisée en coopération avec le Musée national Picasso et le Musée d'Orsay à Paris. La billetterie ouvrira en novembre 2018.
 
Sam Keller, directeur de la Fondation Beyeler, et Raphaël Bouvier, commissaire d'exposition à la Fondation Beyeler, vous invitent à en apprendre davantage sur l'exposition à venir et sur le jeune Picasso, grand artiste en devenir. Invitée d'honneur, Diana Widmaier Picasso, petite-fille de l'artiste, évoquera des souvenirs personnels de la vie de son grand-père, esquissant ainsi un portrait authentique et vivant de cette période précoce.
Première conférence de presse en compagnie de la petite-fille de l'artiste, Diana Widmaier Picasso.

Pablo Picasso, Acrobate et jeune arlequin, 1905, gouache sur carton, 105 x 76 cm, collection privée, © Succession Picasso / ProLitteris, Zürich 2018

Pablo Picasso, Acrobate et jeune arlequin, 1905, gouache sur carton, 105 x 76 cm, collection privée, © Succession Picasso / ProLitteris, Zürich 2018

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The EY Exhibition Picasso 1932 – Love, Fame, Tragedy
8 March – 9 September 2018
TATE MODERN
Bankside, London SE1 9TG, Royaume-Uni

http://www.tate.org.uk/

In March 2018 Tate Modern will stage its first ever solo exhibition of Pablo Picasso’s work, one of the most significant shows the gallery has ever staged. The EY Exhibition: Picasso 1932 – Love, Fame, Tragedy will take visitors on a month-by-month journey through 1932, a time so pivotal in Picasso’s life and work that it has been called his ‘year of wonders’. More than 100 outstanding paintings, sculptures and works on paper will demonstrate his prolific and restlessly inventive character. They will strip away common myths to reveal the man and the artist in his full complexity and richness.

1932 was an extraordinary year for Picasso, even by his own standards. His paintings reached a new level of sensuality and he cemented his celebrity status as the most influential artist of the early 20th century. Over the course of this year he created some of his best loved works, including Nude Woman in a Red Armchair, an anchor point of Tate’s collection, confident colour-saturated portraits and Surrealist experiments, including thirteen seminal ink drawings of the Crucifixion. His virtuoso paintings also riffed on the voluptuous sculptures he had produced some months before at his new country estate.

In his personal life, throughout 1932, Picasso kept a delicate balance between tending to his wife Olga Khokhlova and their 11-year-old son Paulo, and his passionate love affair with Marie-Thérèse Walter, 28 years his junior. The exhibition will bring these complex artistic and personal dynamics to life with an unprecedented range of loans from collections around the world, including many record-breaking works held in private hands. Highlights will include Girl before a Mirror, a signature painting that rarely leaves The Museum of Modern Art, and the legendary The Dream, a virtuoso masterpiece depicting the artist’s muse in dreamy abandon, which has never been exhibited in the UK before.

Pablo Picasso The Dream (Le Rêve) 1932,  Private Collection © Succession Picasso/DACS, London 2018

Pablo Picasso The Dream (Le Rêve) 1932,
Private Collection
© Succession Picasso/DACS, London 2018

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La Fondation Guillaume Corneille

a le plaisir de vous informer de la prochaine grande rétrospective consacrée au groupe Cobra au Musée de Pont-Aven (France)
du 10 mars 2018 au 10 juin 2018
Cobra, la couleur spontanée

Musée de Pont-Aven
Place Julia
29930 Pont-Aven
Tél : 02.98.06.14.43
museepontaven(at)cca.bzh
www.museepontaven.fr 
www.facebook.com/museedepontaven 
Twitter : @museepontaven

L'exposition, Cobra, la couleur spontanée, réunit la plupart des membres danois, néerlandais, belges, français, islandais, anglais et américains qui ont pris part aux activités du groupe Cobra qui fut une véritable explosion artistique et poétique au cœur du XXème siècle.
 
À Pont-Aven, le cri de couleur et de liberté de Cobra entre en résonance avec l'héritage de Paul Gauguin. En déclarant qu'il fallait tout oser et qu'il était à la fois « un enfant et un sauvage », Paul Gauguin apparaît pour certains des jeunes peintres de Cobra comme un véritable modèle à l'instar de Corneille et Theo Wolvecamp se rendent en 1950 à Pont-Aven et à Concarneau. Les formes simples et les aplats de tons purs des œuvres de Paul Gauguin ouvrent ainsi la voie aux couleurs libres et spontanées des peintres de Cobra.

Rétrospective Cobra Musée de Pont Aven
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Jean-Pierre Schosteck, Maire de Châtillon
Thierry Braconnier, Adjoint au Maire délégué à la Culture et à la Vie associative
Caroline Quaghebeur, Directrice de la Maison des Arts sont heureux de vous inviter au vernissage de l'exposition

MÂKHI XENAKIS Catharsis

le mercredi 16 mai 2018 de 19h à 21h

Réalisées au crayon, au pastel, à l'aquarelle ou à l'encre, les œuvres de Mâkhi Xenakis laissent apparaître les étapes d'une vie faite de doutes et de prises de risque, oscillant entre peurs et apaisements.
Des Petites bonnes femmes de 1987 marquant la renaissance d'une jeune artiste en quête d'elle-même, nous cheminons dans un monde en constante métamorphose. Les arachnées succédant aux gouffres avant de glisser vers un univers marin. Ces passages suivent un mécanisme interne, personnel et, au moment de leur création, inconscient.
L'écrivain Mâkhi Xenakis s'intéresse depuis longtemps au processus créatif. Publiés chez Actes Sud, les livres qu'elle consacre à son père, le compositeur, architecte et mathématicien Iannis Xenakis, ainsi qu'à l'artiste franco-américaine Louise Bourgeois, en traitent des multiples facettes.
A travers les recherches et réflexions menées autour de ces deux figures tutélaires, c'est également son propre parcours d'artiste que révèlent ses écrits et dont témoigne, pour la première fois ici, la réunion d'une trentaine d'œuvres graphiques mais aussi de sculptures.
Avec cette conviction que l'art sauve de la folie, Mâkhi Xenakis nous entraîne dans son histoire, côtoyant sans cesse les grandes figures mythiques qui ont nourri son enfance. Jamais néanmoins ce travail ne l'isole de l'autre, dont elle se fait la voix lorsqu'elle en ressent la nécessité, se faisant alors miroir d'autres histoires.
Ce projet a été sélectionné par la commission mécénat de la Fondation Nationale des Arts Graphiques et Plastiques qui lui a apporté son soutien.

Maison des Arts
11 rue de Bagneux - 92320 Châtillon
01 40 84 97 11

http://maisondesarts-chatillon.fr/

Exposition ouverte du mardi au dimanche, de 14h à 18h
jusqu'au 24 juin 2018
Entrée libre

Accès: métro ligne 13 - arrêt "Châtillon/Montrouge" puis bus n°388 arrêt "Mairie de Châtillon"

Mâkhi Xenakis, Les rencontres impossibles, 2018, ciment teinté, acier, 2m (détail).

Mâkhi Xenakis, Les rencontres impossibles, 2018, ciment teinté, acier, 2m (détail).

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VIALLAT - HAAS - ERBELDING - COSKUN exposition SIGNES SENSIBLES

Fascination contemporaine pour l'art pariétal
au Château du Val Fleury

vernissage de l'exposition sur invitation
SIGNES SENSIBLES
le jeudi 17 mai 2018 à 19h
en présence des artistes
Claude Viallat - Michel Haas - Patricia Erbelding - Coskun

Visite commentée par , commissaire de l'exposition Laurence d'Ist Un catalogue est édité pour l'occasion
Exposition du 15 mai au 8 juillet 2018
Du mardi au samedi de 14h à 18h
Dimanche de 14h à 18h30
Ouverture le dimanche 20 mai 2018
Entrée libre


Château du Val Fleury
Allée du Val FLeury
91190 Gif-sur-Yvette (Essonne)

Renseignements : 01 70 56 52 60 culturel(at)mairie-gif.fr
Programme détaillé : www.ville-gif.fr

VIALLAT - HAAS - ERBELDING - COSKUN - SIGNES SENSIBLES
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CÉSAR LA RÉTROSPECTIVE 13 DÉCEMBRE 2017 – 26 MARS 2018 GALERIE 1, NIVEAU 6

La rétrospective de l’oeuvre de César présentée par le Centre Pompidou coïncide avec le vingtième anniversaire de la mort de l’artiste. Illustre dès l’âge de 25 ans, César a vécu plus de cinquante années de création. Il est la dernière figure majeure du Nouveau Réalisme dont l’oeuvre n’a pas encore fait l’objet d’une rétrospective au Centre Pompidou. À travers une centaine d’oeuvres présentées dans la plus vaste de ses galeries d’expositions, le Centre Pompidou propose de découvrir, dans toute son intégrité et sa richesse, le parcours de l’un des plus grands sculpteurs de son temps. Avec les oeuvres majeures les plus célèbres, comme à travers certains cycles plus méconnus, cette rétrospective présente un ensemble inédit à ce jour.

Né à Marseille en 1921, César commence un apprentissage qui le conduit à Paris à l'École nationale supérieure des Beaux-arts. À Paris, il croise entre autres, Alberto Giacometti, Germaine Richier, Pablo Picasso et se mêle à la scène artistique d'alors, côtoyant les artistes de Saint-Germain-des-Prés et de Montparnasse. Très tôt, il se fait remarquer par une technique qui lui est propre et lui apporte la célébrité : ce sont les « Fers soudés », les figures humaines et autres « Vénus » ainsi que le bestiaire qu'il invente, peuplé d'insectes et d'animaux de toutes sortes qui l'amènent à sa première exposition personnelle, galerie Lucien Durand en 1954. Bientôt célèbre, son oeuvre est exposée de Londres à New York.

CESAR Blu Francia 490 1998 Compression d’automobile, tôle peinte 170 × 84 × 80 cm Collection particulière © SBJ / Adagp, Paris 2017 Photo © ASP Alex Soto Photo

CESAR Blu Francia 490, 1998
Compression d’automobile, tôle peinte
170 × 84 × 80 cm
Collection particulière
© SBJ / Adagp, Paris 2017
Photo © ASP Alex Soto Photo

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EXPOSITION

Tatiana Wolska – Habitat potentiel pour une artiste  
24 février – 10 juin 2018

Galerie de la Marine
59, quai des Etats-Unis – Nice
Tous les jours de 11h à 18h, sauf le lundi
04 93 91 92 91 ou 93


Du 24 février au 10 juin 2018, la Ville de Nice invite l’artiste Tatiana Wolska à présenter son exposition « Habitat potentiel pour une artiste » à la Galerie de la Marine, une installation monumentale constituée de chutes de bois et de mobilier voué au rebut. Entre architecture et sculpture habitable, cette œuvre inédite constitue pour l’artiste une nouvelle manière de construire. Le vernissage de l’exposition a lieu ce vendredi 23 février à 19 heures.

Tatiana Wolska développe depuis 10 ans des projets de sculpture en grand format, toujours liés aux lieux qui l’invitent. L’artiste fabrique de la sculpture en jouant avec toutes sortes de matériaux de récupération : chutes de bois, plastique thermoformé, métaux et objets abandonnés qu’elle découpe, décortique, réordonne et assemble à nouveau.

L’exposition propose une expérience physique et cognitive d'une architecture spécifique, à la fois vivante, organique et relationnelle. En se penchant sur l’architecture temporaire qui peut revêtir plusieurs rôles (culturel, évènementiel, social), l’exposition recouvre une diversité de potentiels. Elle est autant l’expression d’une liberté que celle d’une nécessaire survie car bien souvent, le temporaire rime avec l’urgence. Elle pose aussi la question de l’inscription potentiellement durable de ces structures dans la fabrique de la ville.

Tatiana Wolska est née en 1977 en Pologne. Elle est diplômée de l’ENSA de la Villa Arson en 2007. Elle vit et travaille à Bruxelles. Elle est représentée par les galeries Claudine Papillon, Paris, Catherine Issert, Saint-Paul de Vence et Irène Laub, Bruxelles. Elle est lauréate en 2014 du Grand Prix du 59e Salon de Montrouge consacré à la jeune création émergente.

Tatiana Wolska Nomadisme, FRAC CORSE, 2016, crédit photo David Raffini

Tatiana Wolska Nomadisme, FRAC CORSE, 2016,
crédit photo David Raffini

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LE MUSEE PRIVE

Tél: (33) 09 75 80 13 23
Port.: 06 08 06 46 45

 
Patrick Reynolds
 

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Directeur de publication

 

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