Le Centre des monuments nationaux présente Monument jeu d'enfant
Gustave Caillebotte FONDATION PIERRE GIANADDA MARTIGNY SUISSE
Lucian Freud Tate Liverpool
Journées Juridiques du Patrimoine
Pour cette 21ème édition, les Journées Juridiques du Patrimoine reviennent le 15 novembre 2021 à la Maison du Barreau.Reconnue formation continue obligatoire (FCO), la journée se déroule en deux temps, afin de réaliser une rétrospective de l'année juridique écoulée avant de se concentrer sur un thème précis. Sur chaque sujet interviennent successivement parlementaires, avocats, élus, représentants des administrations et des grandes associations concernées, tout en favorisant des échanges avec la salle. Les conférences du matin seront consacrées à l'actualité législative récente qui touche au patrimoine et au paysage. Seront notamment discutés la loi Climat et résilience et le projet de loi 3DS. De plus, le sujet des éoliennes sera approfondi. Cette année encore, nous organiserons la 5ème édition du prix Pierre-Laurent Frier. Le prix, remis en fin de matinée, vise à récompenser les meilleurs mémoires des étudiants de Master 2 en droit du patrimoine matériel et immatériel, culturel et paysager, évalués par un jury composé d'universitaires. Quant au thème de l'après-midi, nos intervenants essaieront de répondre à la question suivante : « le droit pénal au secours du patrimoine et de l'environnement ? » afin de préciser la manière dont le droit pénal peut être utilisé pour faire respecter le droit du patrimoine et de l'environnement. Nous évoquerons également la question centrale du volontarisme du maire en amont et en aval de la sanction. |
Centenaire de la naissance d’Ernst Beyeler
FONDATION BEYELER EXPOSITION CLOSE-UP
CLOSE-UP Berthe Morisot, Mary Cassatt, Paula Modersohn-Becker, Lotte Laserstein, Frida Kahlo, 19 septembre 2021 – 2 janvier 2022 L’exposition présentera des œuvres de neuf femmes artistes dont l’œuvre occupe une position éminente dans l’histoire de l’art moderne depuis 1870 jusqu’à aujourd’hui. C’est l’époque où, pour la première fois, il devint possible à des femmes en Europe et en Amérique de développer une activité artistique professionnelle sur une large base. Au centre de l’exposition figurent des artistes qui ont en commun leur intérêt pour la représentation d’êtres humains, le portrait dans ses différentes déclinaisons et l’autoportrait. La Française Berthe Morisot et l’Américaine Mary Cassatt, toutes deux actives dans les années 1870 et 1880 à Paris, qui était alors la capitale de la création artistique la plus avancée; l’Allemande Paula Modersohn-Becker de 1900 à 1907 entre la petite ville provinciale de Worpswede, dans le Nord de l’Allemagne, et la métropole parisienne; l’Allemande Lotte Laserstein de 1925 à 1933 dans le Berlin de la République de Weimar; la Mexicaine Frida Kahlo depuis la fin des années 1920 jusque vers 1950, à Mexico City, pendant la période mouvementée de la consolidation de la révolution mexicaine; l’Américaine Alice Neel depuis la fin des années 1920 jusqu’au début des années 1980, d’abord à Cuba, puis à Manhattan, de Greenwich Village au Upper West Side en passant par Spanish Harlem; Marlene Dumas, née en Afrique du Sud, qui a grandi au Cap au plus fort de l'Apartheid, et vit depuis 1976 à Amsterdam; en même temps l’Américaine Cindy Sherman à New York, pôle occidental d’une nouvelle génération d’artistes contemporains; et enfin l’Américaine Elizabeth Peyton depuis les années 1990, entre New York et l’Europe de l’Ouest. |
Centre Pompidou Elles font l'abstraction
Elles font l'abstraction Commissaire générale : L’exposition « Elles font l’abstraction » présentée au Centre Pompidou de la réouverture jusqu'au 23 août 2021, propose une relecture inédite de l’histoire de l’abstraction depuis ses origines jusqu’aux années 1980, articulant les apports spécifiques de près de cent dix « artistes femmes ». La commissaire générale Christine Macel et la commissaire associée pour la photographie, Karolina Lewandowska, revisitent cette histoire, tout en mettant en évidence le processus d’invisibilisation qui a marqué le travail des «artistes femmes», à travers un parcours chronologique mêlant arts plastiques, danse, photographie, film et arts décoratifs. Les artistes y sont présentées, selon les termes choisis pour le titre, comme actrices et cocréatrices à part entière du modernisme et de ses suites. L’exposition présente les tournants décisifs qui ont marqué l’histoire de l’abstraction tout en remettant en cause ses canons esthétiques, sans pour autant en redéfinir un. Il s’agit aussi de dépasser l’idée d’une histoire de l’art conçue comme une succession de pratiques pionnières. En redonnant une place aux « artistes femmes » au sein de cette histoire, l’exposition en démontre la complexité et la diversité. Elle opère tout d’abord une incursion inédite dans le 19e siècle avec la redécouverte de l’oeuvre de Georgiana Houghton datant des années 1860, bouleversant la chronologie des origines de l’abstraction à partir de ses racines spiritualistes. Elle valorise ensuite des figures phares par de mini-monographies mettant en avant des artistes peu montrées en Europe ou injustement éclipsées. Une attention toute particulière est donnée aux contextes spécifiques qui ont entouré, favorisé ou au contraire limité la reconnaissance des « artistes femmes » – des contextes à la fois éducationnels, Reférence Image : Saloua Raouda Choucair, |
La Bourse de Commerce Le nouveau musée de la Collection Pinault
Un nouveau lieu pour faire vivre et partager la collection Nouveau musée parmi le réseau de lieux et d’initiatives développés depuis 2006 par François Pinault, la Bourse de Commerce — Pinault Collection propose un point de vue sur la collection d’œuvres contemporaines qu’il rassemble depuis plus de cinquante ans, à travers un programme d’expositions et d’événements. « À la faveur de l’ouverture d’un nouveau lieu de présentation de ma collection à la Bourse de Commerce, au cœur de Paris, une nouvelle étape est franchie dans la mise en œuvre de mon projet culturel : partager ma passion pour l’art de mon temps avec le plus grand nombre. » François Pinault |
LES GIACOMETTI UNE FAMILLE DE CRÉATEURS FONDATION MAEGHT
1. Alberto Giacometti, Portrait de Marguerite Maeght, 1961. Huile sur toile, 130 x 96,5 cm. Collection Adrien Maeght, Saint-Paul-de-Vence © Succession Giacometti (Fondation Giacometti, Paris et ADAGP, Paris) 2021 2. Alberto Giacometti, Le Chien, 1951. Bronze, 47 x 100 x 15 cm. Collection Fondation Maeght, Saint-Paul-de-Vence © Succession Giacometti (Fondation Giacometti, Paris et ADAGP, Paris) 2021 |
GIOVANNI, AUGUSTO, ALBERTO, DIEGO ET BRUNO Exposition du 3 juillet au 14 novembre 2021 Du 3 juillet au 14 novembre 2021, la Fondation Maeght propose une première mondiale en réunissant les cinq artistes de l'exceptionnelle famille Giacometti originaire du village suisse de Stampa : Giovanni, Augusto, Alberto, Diego et Bruno Giacometti, cinq artistes aux parcours différents mais entremêlés. Sous le commissariat de Peter Knapp, l'exposition « Les Giacometti : une famille de créateurs » invite à découvrir les talents et les influences artistiques de chacun dans leurs domaines de prédilection : peinture, sculpture, design et architecture. « Évidemment, tout le monde connaît Alberto Cette exposition originale permet de découvrir à travers plus de 300 œuvres l'importance de cette famille dans le tournant de la modernité de la première moitié du XXe siècle. Autour d'Alberto Giacometti, le plus connu de la famille pour ses sculptures emblématiques, les visiteurs pourront découvrir le travail de son père Giovanni, dont les peintures recèlent une puissance chromatique extraordinaire et qui compte, avec Ferdinand Hodler, Cuno Amiet et Félix Vallotton, parmi les peintres phares de la modernité suisse. L'exposition met également en lumière l'œuvre d'Augusto, cousin d'Alberto, précurseur de l'art non figuratif, qui amorce avec ses premiers pastels réalisés à Paris au début du XXe un langage personnel abstrait et coloré ; l'œuvre de ses deux frères, Diego son cadet, l'autre « paire de mains » et modèle de prédilection d'Alberto, qui s'illustra notoirement dans la création de pièces d'arts décoratifs et Bruno, le plus jeune, qui exerça le métier d'architecte et dont la vaste production en fit un représentant majeur de la modernité d'après-guerre en Suisse. La relation intime que chacun d'eux entretient avec leur village natal, Stampa, dans le canton des Grisons en Suisse, devenu aujourd'hui un lieu incontournable de l'histoire de l'art moderne, est mise en exergue tout au long de l'exposition. |
Bombas Gens Centre d’Art llega a PHotoESPAÑA con las series de Rautert y Papageorge
Exposition Michel Patrix Une joyeuse liberté de peindre - Mers-les-Bains
Michel Patrix,Une joyeuse liberté de peindre« Pour des artistes tels que Michel Patrix, l'art est une aventure. C'est aussi une expérience vivante. Son activité est désintéressée. Elle se situe sciemment en marge des postulats de l'École de Paris. Elle traduit une volonté de choix qui s'écarte de la norme et une vocation qui échappe totalement à l'emprise de la mode. C'est une activité personnelle et individuelle qui côtoie l'anarchie. Elle n'est concevable que dans un pays libre qui se targue d'ignorer les contraintes esthétiques. Comme la plupart des peintres de sa génération, Michel Patrix subit (ou a subi) la puissante attraction du cubisme, mais il a adopté devant les découvertes de ses prédécesseurs une attitude nouvelle et indisciplinée. » Waldemar George Michel Patrix, Éditions de la Galerie Paul Raffray, 1959. « J'admirais le talent de Michel Patrix, et nous étions nombreux à penser qu'il était le plus doué de nous tous… Il m'épatait beaucoup par sa verve, son éclat, et c'est vrai qu'il était habité par la peinture. » Robert Wogensky - Lettre à Annie Aubrun-Patrix, 6 janvier 1991, extrait des archives de Madame Aubrun-Patrix « Celui qui vécut la peinture comme une aventure compta parmi les jeunes espoirs de l'École de Paris figurative, tout en gardant une totale liberté ancrée dans une vocation qui échappe à l'emprise de toute mode. » Lydia Harambourg - L'École de Paris, 1945-1965 - Dictionnaire des peintres, Éditions Ides et Calendes 1993. Michel Patrix fut défendu par les marchands importants de son temps, Emmanuel David en France et Paul Rosenberg à New York. D’après Emmanuel David[1] qui se reproche d’avoir par inexpérience fait échouer l’opportunité, il aurait d’ailleurs été préféré à Bernard Buffet par Rosenberg. Prix du Salon de la Critique en 50, Prix Opera du Musée des Art décoratifs et Prix de la Ville d’Oran au prix de la jeune peinture en 1949, distingué par la critique dès 43, il est l’ainé du groupe de l’Echelle. Groupe de l’Echelle qu’Eric Mercier[2] présente comme l’emblème d’un mouvement réagissant aux traumatismes de guerre par l’hédonisme et la joie de vivre dans son catalogue de l’exposition « jeune peinture des années 50 » au musée de Clermont Ferrand. Son énergique amour de la liberté et sa volonté délibérée d’incarner sa création, « ma vie et ma peinture sont une seule et même chose, quand le peintre est malade, sa peinture se couche » note-t’il dans son carnet de bord, et son esprit alerte, curieux des avancées scientifiques, philosophiques et sociologiques de son temps a fait de son parcours un phénomène délibérément à part, tout en donnant naissance à une écriture picturale unique. Cette exposition présente son parcours depuis son enfance jusqu’à son décès à Gonneville-sur-Scie en 1973 où lui même, son épouse et de jeunes artisans ont établi le Centre de créativité qui porte son nom avec l’objectif de « promouvoir et diffuser la créativité par l’art ». Ceux qui souhaitent une introduction à cette exposition peuvent s’arrêter là et se reporter aux pages fort bien documentées de Wikipédia et du Musée privé.[1] En regard de l’évolution de notre culture contemporaine, le parcours de l’artiste que fut mon père, indissociable de son époque, de ses amitiés, de ses amours, de ses espérances, de ses tourments, me parait mériter une attention plus soutenue. Cette exposition sera donc l’occasion de publier un témoignage plus complet. Bruxelles, le 18 Mai 2021 Blaise Patrix [1] cliquez sur les liens : https://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Patrix/ et https://www.le-musee-prive.com/207-biographies-artistes-contemporains/670-biographie-michel-patrix.html/ [1] cité par Patrick Reynolds [2] Années 1950, l’alternative figurative Editions un,deux…quatre, 2007 |
La Fundació Per Amor a l’Art adquiere Transversal (2020) de Inma Femenía
La Fundació Per Amor a l’Art Inma Femenía, Vicent Todolí, Sandra Guimaraes y Susana Lloret |
Valéncia a 2 de marzo de 2021.- Inma Femenía produjo ex profeso la exposición “Infraleve” para el centro de arte Bombas Gens de la Fundació Per Amor a l’Art (FPAA). Tras su clausura el pasado 31 de enero, la FPAA ha adquirido la obra Transversal, para cerrar el círculo de su acción de mecenazgo: impulsar, exponer, adquirir. Femenía, por su parte, ha donado a la colección los ocho esbozos, que se presentan en forma de cuadro y que representan las distintas partes de la exposic̶ión: Transversal, Liminal, Hold, Black Mirror y Mehr Licht!. Ambas obras pasan a formar parte de la Colección Per Amor a L’Art. Esta colección privada de fotografía y arte contemporáneo está compuesta por más de 2.250 obras de unos 220 autores, tanto nacionales como internacionales. La colección de la Fundació Per Amor a l’Art recibió en 2018 el premio “A” de coleccionismo de la Fundación ARCO. Transversal (2020) es una instalación hecha con PVC, un material que -debido a su ausencia de color es susceptible de hacer tangibles sus intervenciones y resaltar la forma en que las propiedades luz-materia se relacionan ante una mirada condicionada por lo digital. Esta nueva adquisición se suma a otras ya presentes de la artista en la Colección Per Amor a L’Art y, en palabras de la propia artista: “es una gran satisfacción personal, pues me gusta pensar que en un futuro podrá volver a verse en el lugar que fue concebida o en otros espacios de interés debido a su carácter flexible”. |
La Fondation Beyeler et Nordstern Basel présentent Dixon x Transmoderna
Communiqué de presse, le 26 mars 2021 En collaboration avec l’équipe de Transmoderna, la Fondation Beyeler accueillera Dixon, l’un des plus grands noms de la scène électronique, pour une session de mix unique lors de laquelle le DJ streamera en réalité virtuelle dans les locaux du musée. Cet ambitieux projet audiovisuel sera diffusé le 7 avril à 20 heures en partenariat avec la plateforme musicale Beatport et de Denon DJ. Dixon a choisi comme point de départ de cette expérience virtuelle l’architecture ainsi que le parc du musée, qui ont été, à cette fin, modélisés en 3D. Il prendra la forme d’un avatar aux traits hyperréalistes et mixera un set exclusif d’une heure. Tout spécialement pour cette performance, |
Nice Exposition Libres et égales de Sylvia Galmot
Play a Kandinsky par Antoine Bertin au Centre Pompidou
L’artiste sonore Antoine Bertin poursuit ses expérimentations en ligne et à Paris au Centre Pompidou pour l’hommage “Dans l’intimité de Kandinsky”, en attendant sa résidence à la Diagonale Paris Saclay avec Laboratoire d’Ecologie, Systématique et Evolution (ESE) du CNRS, où il mettra en musique le travail d’archéologie moléculaire du directeur de recherche Juergen Kroymann au mois de septembre prochain. Dans le cadre de l’hommage à Kandinsky du 10 février au 31 décembre 2021 “Dans l’intimité de Kandinsky” au Centre Pompidou, Antoine Bertin et le musicien électronique NSDOS imaginent les possibles interactions entre l’oeuvre de génie abstrait et les disques qu’il écoutait en travaillant. Si son incidence sur l’art abstrait est relativement connu du grand public, l’homme derrière la toile l’est moins. Grâce à la numérisation en haute définition de milliers d’œuvrres et documents d’archives rares (toiles, croquis, esquisses, photographies personnelles, correspondances), cette expérience numérique permet de réunir ses chefs-d’œuvre emblématiques mais aussi de partager ses voyages, découvrir les rencontres qui ont marqué sa vie ou encore approfondir notre connaissance de son don de synesthésie – un phénomène neurologique touchant sa perception sensorielle lui permettant d’associer sons, couleurs et formes. Autant d’éléments fondamentaux pour la compréhension de son œuvre. Cet hommage comporte trois parties. Une monographie en ligne réunit œuvres, photographies, palettes, pinceaux et autres objets lui ayant appartenu. Une « Pocket Gallery » permet de découvrir en réalité augmentée depuis son smartphone ou sa tablette une exposition virtuelle présentant les chefs d’œuvre de Kandinsky. Et “Play a Kandinsky”, cette expérimentation interactive inédite d’Antoine Bertin et NSDOS dont l’ambition est de réinterpréter à l’aune des technologies modernes le don de synesthésie de Kandinsky, en mêlant machine learning et création originale des deux artistes en partenariat avec Google Arts. |
The Metropolitan Museum of Art Exhibition of Magnificent Modern and Contemporary Ceramics
Exhibition of Magnificent Modern and Contemporary Ceramics Celebrates Gift from Shapes from Out of Nowhere: Ceramics from the Robert A. Ellison Jr. Collection celebrates an extraordinary gift to The Met of 125 modern and contemporary ceramics from Robert A. Ellison Jr., given to the Museum in honor of its 150th anniversary. The exhibition will present a selection of over 75 works from this unparalleled collection that charts the evolution of abstraction in clay from the second half of the 20th century through the present. |
La Fondation Maeght rouvre ses espaces extérieurs
La Fondation Maeght est heureuse de pouvoir à nouveau accueillir ses visiteurs dans ses espaces extérieurs : jardins de scultpures, cour Giacometti, labyrinthe Miró. La préfecture des Alpes Maritimes a en effet autorisé cette ouverture dans le strict respect des consignes de sécurité sanitaire. La librairie, où le visiteur pourra trouver catalogues, affiches, foulards et oeuvres originales, est également autorisée à ouvrir. En attendant l'ouverture des salles d'exposition, le visiteur pourra se promener dans un lieu unique et intemporel où art, architecture et nature dialoguent dans une parfaite harmonie et découvrir des oeuvres d'Alexander Calder, Alberto Giacometti, Joan Miró, Marc Chagall, Jean Arp, Eduardo Chillida, Raoul Ubac, Pierre Tal-Coat, Erik Dietman, Barbara Hepworth, Jean Paul Riopelle, Eugène Dodeigne. Informations pratiques Fondation Maeght https://www.fondation-maeght.com/ Horaires : Tarifs pour les jardins : |
Bilan 2020 et perspective 2021 de la Fondation Beyeler
Communiqué de presse, 22 janvier 2021 Bilan 2020 et perspective 2021 de la Fondation Beyeler: Comme pour la plupart des institutions culturelles, l’année 2020 aura été difficile pour la Fondation Beyeler. Le bilan est bien inférieur aux attentes mais aussi nettement supérieur aux craintes. La programmation et le nombre de visiteurs·ses ont été massivement impactés par les fermetures obligatoires du musée, les interdictions de manifestations publiques, les restrictions de voyage et de déplacement et autres mesures administratives rendues nécessaires par la pandémie du coronavirus. |
Long Museum Shanghai Chine
LONG MUSEUM is founded by couple mega-collectors Mr.Liu Yiqian and Mrs. Wang Wei. It has been nearly twenty years since the couple Liu Yiqian and Wang Wei began their art collection. By acquiring important representative artworks in each historical period, they have gradually established three main subjects of collection, namely Chinese traditional art, Chinese revolutionary art, and modern and contemporary art. In this June, they were listed in The 2012 ARTnews 200 Top Collectors. This is the first time for collectors from Mainland China to be listed in this authoritative selection. Le musée Long est un musée d'art privé dont le siège est situé à Shanghai, en Chine. Son annexe du Bund-Ouest à Shanghai, est le plus grand musée privé de Chine.
Adresse : 3398 Longteng Ave, Xuhui District, Shanghai, Chine
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Tel: 8621-33685521 Email: info(at)thelongmuseum.org
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Grand Palais Noir & Blanc : une esthétique de la photographie
Gustave Le Gray, Grande Vague (détail), 1857, papier albuminé d’après négatif sur plaque de verre au collodion photo © BnF - Département des Estampes et de la photographie |
Noir & Blanc : une esthétique de la photographie. nouvelles dates : l' exposition est reportée jusqu'à nouvel ordre conformément aux directrices gouvernementales Grand Palais Exposition coorganisée par la Réunion des musées nationaux – Grand Palais et la Bibliothèque nationale de France. « Le monde en noir et blanc recèle quelque chose de mystérieux qui ne peut être décrit et qui est formidablement séduisant. Est-ce faux de penser que cela touche nos coeurs d’autant plus fort que nous vivons à une époque où tout peut être photographié en couleurs ? » Shoji Ueda. Cette exposition présente des chefs-d’oeuvre en noir et blanc des collections photographiques de la Bibliothèque nationale de France (BnF), exceptionnellement réunis pour l’occasion. Nadar, Man Ray, Ansel Adams, Willy Ronis, Helmut Newton, Diane Arbus, Mario Giacomelli, Robert Frank, William Klein, Daido Moriyama, Valérie Belin… Les grands noms de la photographie française et internationale sont réunis dans un parcours qui embrasse 150 ans d’histoire de la photographie noir et blanc, depuis ses origines au XIXe siècle jusqu’à la création contemporaine. |
Rodin Arp Fondation Beyeler
Auguste Rodin Le Penseur, taille originale, 1880/1882 Bronze (Auguste Griffoul, 1896), 72 x 34 x 53 cm MAH Musée d’Art et d’Histoire, Genève Photo : © MAH, Genève, Photo Flora Bevilacqua |
Rodin / Arp FONDATION BEYELER »Nous ne voulons pas copier la nature. Nous ne voulons pas reproduire, nous voulons produire. Nous Pour la première fois, une exposition muséale fait dialoguer Auguste Rodin (1840–1917) et Hans Arp (1886–1966), mettant face à face l’oeuvre pionnier du grand réformateur de la sculpture du 19ème siècle finissant et l’oeuvre influent d’un des protagonistes majeurs de la sculpture abstraite du 20ème siècle. Les deux artistes possédaient une puissance d’innovation artistique et un goût pour l’expérimentation exceptionnels. Leurs oeuvres ont fortement marqué leur époque et ont conservé toute leur actualité. Les créations d’Auguste Rodin et de Hans Arp illustrent de manière impressionnante et exemplaire des aspects fondamentaux du développement de la sculpture moderne. Rodin a ainsi introduit des idées et des possibilités artistiques radicalement nouvelles dont Arp s’est saisi plus tard dans ses formes biomorphes, les faisant évoluer, les réinterprétant ou les contrastant. Il n’est à ce jour pas certain que Rodin et Arp se soient jamais rencontrés personnellement, mais leurs oeuvres présentent des liens de parenté artistique et de références communes, tout comme des différences, qui font de la confrontation de leurs créations singulières une expérience visuelle particulièrement éloquente. |
Samuel Richardot Int'ubagu Musée d'art contemporain de la Haute-Vienne
DU 3 octobre au 14 décembre 2020 https://www.musee-rochechouart.com/index.php/fr/ Pour envisager l’œuvre de Samuel Richardot, il faut penser celle-ci comme une traversée, un voyage initiatique, qui prend pour cadre des espaces picturaux où se rejoue le théâtre du monde. Cela commence par un blanc. Surface rectangulaire où la couleur fait front. Un jeu de cache-cache s’opère sur la toile, un théâtre des opérations dispose les obliques, barrant les plus petits rectangles, vert sur rouge ou rouge sur vert. L’œil soutient difficilement la brillance des teintes, pourtant nettes, dont l’équivalence annule presque la différence à la frontière de la partition de leurs espaces respectifs. Le vibrato coloré, valeur d’ondes lumineuses que la couleur incarne, agit littéralement sur la surface blanche de la toile apprêtée. Une autre ligne, hasardeuse et floue, formée d’une multitude de points, passée sans doute à la bombe, crée un contre-point qui est une sinusoïde. Celle-ci renforce le bord cadre du rectangle dessus et dessous les deux triangles colorés. Plus qu’un flou, la trace crée une ombre arrêtée. Un arrêt sur image, le noir arrête l’image. Et ce faisant, le noir invente des horizons multiples et contrariés sur la surface plus large de la toile. Que dire du jaune latéral, lui aussi ombré par un noir flouté sur les bords ? |
Fondation Beyeler Le Piet Mondrian Conservation Project (2019–2021)
Communiqué de presse 23 septembre 2020 Une initiative de la Fondation Beyeler, avec le soutien de La Prairie Dans le cadre d’un projet de conservation d’envergure d’une durée de trois ans (2019–2021), la Fondation Beyeler se penche sur sept tableaux de Piet Mondrian (1872–1944). Le projet porte sur l’étude et la conservation de ces oeuvres appartenant à la Collection Beyeler, trois d’entre elles datant des débuts de l’artiste et quatre de réalisation plus tardive. Avec le soutien de La Prairie, dans les mois à venir les quatre oeuvres tardives emblématiques de l’artiste seront étudiées et analysées de manière approfondie. Jusque fin 2021, les visiteurs·ses intéressé·e·s peuvent observer le travail des restaurateurs·rices d’art. La Fondation Beyeler prévoit une importante exposition Piet Mondrian en 2022. La Fondation Beyeler possède l’une des plus importantes collections de tableaux de Piet Mondrian de Suisse, allant d’oeuvres majeures des débuts de l’artiste néerlandais à des classiques plus tardifs. Ces sept chefs-d’oeuvre de Mondrian ont donné l’impulsion pour le lancement d’un projet de recherche et de conservation d’une durée de trois ans (2019–2021). Si chaque tableau est pris en compte à titre individuel et indépendant, l’objectif est de considérer les sept oeuvres de Mondrian de la Collection Beyeler comme un groupe cohérent en termes de composition et de présentation. Le Piet Mondrian Conservation Project comporte trois axes de recherche principaux qui sont brièvement présentés dans ce qui suit. |