PICASSO. Artiste et modèle – Derniers tableaux
19 février – 1er mai 2023

Pablo Picasso  Le peintre et son modèle, 28.3.1963  Huile sur toile, 130 x 162 cm  Nahmad Collection  © Succession Picasso/2023, ProLitteris, ZurichDans le cadre des commémorations internationales du 50ème anniversaire de la disparition de Pablo Picasso (1881–1973), la Fondation Beyeler présente du 19 février au 1er mai 2023 une sélection concentrée de dix toiles tardives de l’artiste en provenance de la Collection Beyeler, de l’Anthax Collection Marx et d’autres collections privées.

Au cours de la dernière décennie de sa vie, alors qu’il est déjà âgé de plus de 80 ans, l’artiste espagnol poursuit de manière hautement productive son oeuvre audacieux. Avec une énergie irrépressible, au cours de cette ultime période il produit souvent plusieurs oeuvres par jour, faisant preuve d’une saisissante puissance créatrice, comme s’il cherchait à combattre l’âge et la diminution attenante de ses capacités de création artistiques et corporelles. Parmi les nombreux travaux des années 1960 et du début des années 1970 figure un important groupe d’oeuvres dans lesquelles Picasso se consacre au sujet de l’artiste et du modèle. Dans ces oeuvres hautement expressives, il explore d’une part l’image (de soi) de l’artiste et d’autre part l’acte et le processus de création.

Oscillant entre autoportrait, cliché et caricature, certains des tableaux donnent à voir l’artiste en chemise rayée, convoquant ainsi aussi l’image déjà élevée au rang de mythe de Picasso. Cependant, comme une forme de contre-image à son apparence personnelle, il représente souvent l’artiste sous les traits d’un homme barbu. Par ailleurs, Picasso présente le plus souvent l’artiste peignant directement devant le modèle, à l’encontre de sa propre pratique de travail – il peignait toujours de mémoire. Dans cette constellation, le modèle féminin nu, dont la représentation oscille également entre idéalisation et caricature, est exposé au regard de l’artiste. Avec ces oeuvres, la question reste ainsi ouverte de savoir dans quelle mesure Picasso exalte ou ironise sa fixation sur le nu féminin et l’appropriation visuelle du corps féminin. Son impressionnante série d’images du peintre et de son modèle soulève ainsi aussi des questions concernant le traitement personnel et artistique du corps féminin par l’homme et la possibilité de représenter ce corps dans le contexte actuel.

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Jean Paul Riopelle, Tyuk, 1971, Acrylique sur lithographies marouflées sur toile, collection privée

Jean Paul Riopelle, Tyuk, 1971, Acrylique sur lithographies marouflées sur toile, collection privée

Exposition du 1er juillet au 5 novembre 2023
Dans le cadre de « Riopelle 100 »,
année du centenaire de la naissance de l'artiste
Commissaire invitée : Yseult Riopelle

À l'été 2023, la Fondation Marguerite et Aimé Maeght proposera une exposition monographique consacrée à Jean Paul Riopelle (1923-2002), artiste canadien qui a profondément marqué l'histoire de l'art. Du 1er juillet au 5 novembre 2023, l'exposition « Jean Paul Riopelle - Parfums d'ateliers » explorera l'Œuvre de l'artiste comme il n'a jamais été vu grâce au commissariat de sa fille, Yseult Riopelle, et à de nombreux prêts exclusifs publics et privés.

Quand il arrive à Paris en 1947, Riopelle découvre le travail d'artistes internationaux tous avides comme lui de liberté et d'expérimentation. Rapidement, ses œuvres sont exposées à Paris, Londres, New York, Ottawa, Montréal et Québec. En 1962, Riopelle représente le Canada à la Biennale de Venise et reçoit un des trois prix de l'UNESCO. Dès lors, sa renommée internationale est immense pour un artiste aussi jeune. Pendant quarante ans, entre ses ateliers au Québec, à Paris, Vétheuil, Meudon, Saint-Cyr-en-Arthies, ou dans le Sud de la France et son retour au Canada en 1990, Riopelle, toujours débordant d'idées et ouvert à toutes les techniques, s'avérera un artiste unique.

Après deux expositions monographiques consacrées à Riopelle en 1970 et 1990, la Fondation Maeght propose avec « Jean Paul Riopelle - Parfums d'ateliers » une approche nouvelle, un voyage au cœur des œuvres de l'artiste, réalisées au sein des différents ateliers qu'il occupa des deux côtés de l'Atlantique. L'exposition présentera ainsi plus de 180 œuvres de Riopelle, des travaux phares aussi bien qu'inédits, proposant un cheminement à travers les techniques utilisées par l'artiste.

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Dagyde Photographies et épingles - Eric Vassal d'après double indemnity 1944Maison des Arts
11 rue de Bagneux
92320 Châtillon
01 40 84 97 11
maisondesarts(at)chatillon92.fr

Exposition
Du 13 janvier au 26 mars 2023
À découvrir de 14h à 18h,
tous les jours sauf le lundi

Eric Vassal
Storyboard

Depuis la fin des années 90, le travail d’Eric Vassal s’est développé à travers un échange constant entre la sculpture, la peinture, l’estampe, la photographie et la vidéo. Ces différents médiums lui permettent de traiter d’un sujet constant : le lien que l’œuvre d’art entretient avec l’histoire de l’art et le patrimoine.

Cinéphile de la première heure, Eric Vassal présentera à la Maison des Arts de Châtillon une exposition de photographies plasticiennes autour du septième art.

La série « Agnosis » revisite le patrimoine cinématographique en mettant en évidence une vision structuraliste du discours image / langage. Cette série traite du langage d’un point de vue esthétique et sémantique. 

Pour les œuvres de la série « Dagyde », Eric Vassal a recours à des captures d’écran de scènes de cinéma. Ces extraits Eric Vassald’œuvres sont réécrites par un travail direct sur la photographie. Des épingles sont plantées afin de mettre en évidence certains éléments de la scène. La photographie passe alors de deux dimensions à trois dimensions, procédé inverse du cinéma. 

Enfin, Eric Vassal présentera une récente série d'œuvres intitulée « Story-board » à travers laquelle l’artiste interroge la notion de temps en déstructurant des scènes cinématographiques.

Ref image : Dagyde Photographies et épingles - Eric Vassal d'après double indemnity 1944

Série "Dagyde" d'après Attack of the 50 ft woman (1958) -  Photographie et épingles

https://www.maisondesarts-chatillon.fr/

Exposition ouverte au public du mardi au dimanche, de 14h à 18h
du 13 janvier au 26 mars 2023
Entrée libre 

Accès: métro ligne 13 - arrêt "Châtillon/Montrouge" puis bus n°388 arrêt "Mairie de Châtillon"

Vue d’installation de l’exposition “Rétrospective Joan Mitchell” © The Estate of Joan Mitchell © Fondation Louis Vuitton / Marc Domage

Vue d’installation de l’exposition “Rétrospective Joan Mitchell”
© The Estate of Joan Mitchell
© Fondation Louis Vuitton / Marc Domage

Vue d’installation de l’exposition “Le dialogue Claude Monet – Joan Mitchell” © The Estate of Joan Mitchell © Fondation Louis Vuitton / Marc Domage

Vue d’installation de l’exposition “Le dialogue Claude Monet – Joan Mitchell”
© The Estate of Joan Mitchell
© Fondation Louis Vuitton / Marc Domage

 

Claude Monet, La maison de l’artiste vue du jardin aux roses, 1922-1924 Huile sur toile, 81 x 92 cm Musée Marmottan Monet, Paris

MONET - MITCHELL
Du 5 octobre 2022 au 27 février 2023
L’exposition « Monet - Mitchell » constitue l’événement de l’automne 2022 à la Fondation Louis Vuitton.
Pour la première fois, l’exposition « Monet -Mitchell » met en scène un dialogue sensible entre les œuvres de deux artistes exceptionnels, Claude Monet (1840-1926) avec les Nymphéas et Joan Mitchell (1925-1992), qui marquèrent de leur empreinte non seulement leur temps mais des générations de peintres.
L’exposition « Monet - Mitchell » est complétée d’une rétrospective sur Joan Mitchell qui permettra la découverte de son œuvre par le public français et européen.
« Monet - Mitchell » et la « Rétrospective Joan Mitchell » donnent à voir leurs sensations singulières face au paysage et à la nature, exprimées dans des formats souvent immersifs.
Le dernier Monet, celui des Nymphéas, restitue à l’atelier désormais, la persistance visuelle de motifs longuement observés devant les nymphéas de Giverny ; Joan Mitchell qui s’installe définitivement à Vétheuil en 1968, explore ses « feelings » - perceptions vives par-delà l’espace et le temps - à travers le filtre de ses mémoires croisées.

Joan Mitchell, Two Pianos, 1980 Huile sur toile, 279,4 × 360,7 cm Collection particulière © The Estate of Joan Mitchell  Photo : © Patrice Schmidt DIALOGUE MONET - MITCHELL
Galerie 4 à Galerie 11
Cet automne 2022, la Fondation Louis Vuitton, a le privilège d’annoncer le partenariat avec le Musée Marmottan Monet pour l’exposition « Monet - Mitchell », consacrée au dialogue entre la dernière période de Claude Monet (1914-1926), les Nymphéas, et l’œuvre de l’artiste américaine Joan Mitchell. Unique par son ampleur et sa force poétique, l’exposition « Monet - Mitchell » est présentée à la Fondation Louis Vuitton du 5 octobre 2022 au 27 février 2023 dans sept galeries, du rez-de-chaussée à tous les niveaux supérieurs, en écho à une rétrospective, permettant de découvrir l’œuvre de Joan Mitchell, présentée, quant à elle, en rez-de-bassin, dans la partie basse du bâtiment
de Les Nymphéas de Claude Monet trouvent une consécration dès les années 1950 aux États-Unis, où ils sont perçus comme précurseurs de l’abstraction par les peintres de l’Expressionnisme abstrait.
Après André Masson, Clément Greenberg, le célèbre critique américain, prend position pour défendre leur modernité : « Le principe que [Monet] a finalement trouvé (...) est plus large : il ne résidait pas dans la nature comme il pensait, mais dans l’essence même de l’art, dans sa faculté d’ « abstraction »1. Dans ce contexte du « Monet Revival », Mitchell participe en 1957 et 1958 à des expositions consacrées à la notion d’ « impressionnisme abstrait », terme inventé par son amie Elaine de Kooning. Le rapprochement des deux artistes est affermi par l’installation de Joan Mitchell en 1968, à Vétheuil, dans une propriété, proche de celle où vécut Monet de 1878 à 1881. L’artiste a toutefois revendiqué une totale indépendance artistique.

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Domenica 20 novembre 2022, 
al MUSEO NACIONAL de BELLAS ARTES, 
Av. Del Libertador, 1473 – Buenos Aires - Argentina 
si concluderà la grande esposizione
"CARMELO ARDEN QUIN
en LA TRAMA DEL ARTE CONSTRUCTIVO"
arden quin4h

La mostra, a cura della Prof.ssa Cristina Rossi, e con il patrocinio del Ministero della Cultura Argentina è stata presentata con 100 opere di Arden Quin, messe in dialogo con 63 opere realizzate dai seguenti artisti :

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Photography Exhibition, Linda Troeller: Self Power | Self Play to Open at Museum of Sex

Museum of Sex, Photography September 28, 2022 Linda Troeller, Photography

 Linda Troller, Floating, 2017. Image courtesy of the Museum

Linda Troller, Floating, 2017. Image courtesy of the Museum

The Museum of Sex is pleased to announce Self Power | Self Play: 50 years of Erotic Portraiture by Linda Troeller. For half a century, artist Linda Troeller (b. 1949) has used the camera as a tool for sensual empowerment. The first museum retrospective of Troeller’s work in New York City, Self Power | Self Play will feature over sixty erotic photographs on loan from the artist’s studio and Bryn Mawr College Special Collections which highlight her radical and playful photographic practice. The museum will host a private opening reception on the evening of Monday, October 17th and the exhibition will be open to the public on Wednesday, October 19th.

Self Power | Self Play demonstrates Troeller’s early commitment to challenge social taboos and explore uninhibited sexual identity. Since 1973, when she first took a self-portrait, Troeller has strategically utilized her photographic practice to embolden female intimacy, pleasure, masturbation, and orgasm. Now in her 70s, she continues to take subversive and erotic self-portraits.

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 MFA Boston Obama portraits

September 3–October 30, 2022

Multi-City Tour Organized by the Smithsonian’s National Portrait Gallery

The MFA to Offer Free Admission to the Exhibition on September 5, September 19, October 10 and October 30

BOSTON (June 9, 2022)—The Museum of Fine Arts, Boston (MFA), presents the portraits of former President Barack Obama and Mrs. Michelle Obama by artists Kehinde Wiley and Amy Sherald, respectively, as part of The Obama Portraits Tour organized by the Smithsonian’s National Portrait Gallery. The paintings will be on view in the Lois B. and Michael K. Torf Gallery from September 3 through October 30, 2022. To celebrate the portraits’ debut at the MFA, the Museum will engage community partners on a collaborative art-making project that will be presented in conjunction with the exhibition—creating a unique moment for Boston audiences to respond to these captivating paintings of the former President and First Lady, and explore the evolving dynamics of leadership.

“Kehinde Wiley and Amy Sherald are visionary artists whose paintings both pay homage to and reimagine the centuries-old tradition of American portraiture, which has strong roots in Boston. It is an honor for us to host their Obama portraits at the MFA and to offer New England audiences a chance to experience these powerful works of art,” said Matthew Teitelbaum, Ann and Graham Gund Director.

The Obama Portraits Tour is an opportunity to bring the power of portraiture to different audiences across the nation,” said Kim Sajet, director of the National Portrait Gallery. “Portraiture is incomplete without the viewer and these paintings have elicited responses that range from deep contemplation to pure joy. We are delighted to be able to extend this experience to San Francisco and Boston for a tour spanning eight cities with the nation’s capital included.”

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Plus de 65 000 visiteurs cet été à la Fondation Maeght et encore un mois d'exposition pour « Au cœur de l'abstraction » 

Depuis son ouverture au public le 2 juillet, l'exposition « Au cœur de l'abstraction » présentant plus de 100 œuvres majeures issues de la Fondation Gandur pour l'art et proposant une immersion passionnante dans l'abstraction des années 1950 à 1980 rencontre un vif succès, à la hauteur de cette collection extraordinaire. L'exposition, présentée jusqu'au 23 octobre, a déjà attiré plus de 65 000 visiteurs en trois mois : une fréquentation conséquente et diversifiée venue également découvrir la programmation estivale proposée par la Fondation Maeght ainsi que le nouveau restaurant Sous les pins, repris en juin par Les Agitateurs, au coeur des jardins de la Fondation.

Vue de l'exposition Au cœur de l'abstraction - Collection de la Fondation Gandur pour l'art © Roland Michaud
Vue de l'exposition Au cœur de l'abstraction - Collection de la Fondation Gandur pour l'art © Roland Michaud

Riche d'une collection de plus de 13 000 œuvres, la Fondation Maeght est toujours curieuse et honorée de présenter d'autres collections, parfois peu accessibles au public, comme elle l'a régulièrement fait par le passé. Depuis le 2 juillet et jusqu'au 23 octobre, elle présente ainsi plus de 100 œuvres issues de la Fondation Gandur pour l'art et propose une immersion passionnante dans l'abstraction des années 1950 à 1980. Sous le commissariat de Yan Schubert, conservateur de la Fondation Gandur pour l'art, l'exposition retrace les différentes formes que revêt l'abstraction au sortir de la Seconde Guerre mondiale, alors que Paris redevient une place forte de la création et reprend sa place de capitale culturelle mondiale. Les œuvres de Hans Hartung, de Martin Barré, de Simon Hantaï ou de Pierre Soulages montrent ainsi l'évolution de l'art non-figuratif sur quatre décennies. Dans un parcours thématique et chronologique, l'exposition propose notamment de découvrir l'abstraction lyrique et gestuelle de Georges Mathieu, l'expressionnisme abstrait de Sam Francis ou Joan Mitchell, l'abstraction géométrique de Victor Vasarely, les œuvres cinétiques d'Alexander Calder et de Jean Tinguely, jusqu'à la remise en question de la peinture par le groupe Supports/Surfaces. Les œuvres des années 1980 témoignent par ailleurs du renouvellement que connaît l'art abstrait à cette époque, poursuivant les expérimentations intenses des années précédentes.

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Images: (1) David Hockney, A Year in Normandie (detail), composite iPad painting, © David Hockney  (2) Tapisserie de Bayeux, XIème siècle © Bayeux MuseumArtist David Hockney presents “his” Normandy at the Bayeux Tapestry Museum
Exhibition - A Year in Normandie

From 22 September 2022 to 23 April 2023
(Winter closure in January 2023)

When British artist David Hockney arrived in Normandy in 2019, he became fascinated by the unfolding scenes of the Bayeux Tapestry, and resolved to draw from this inspiration in order to create a large scale narrative, depicting the cycle of seasons. As the world stood still during the successive lockdowns, Hockney depicted in the manner of the Impressionists the effects of light in the Norman skies and the arrival of spring around him. Confined in his typical half-timbered house of the Pays d’Auge, he captured the blossoming of nature and painted its variations with bright and colourful hues using the digital brushes of his IPad – a technology he has been using for the past twelve decade.

An exhibition of David Hockney’s famous work “A Year in Normandie” will begin at the Bayeux Tapestry Museum this autumn. The original work, recently presented in the main gallery of the Musée de l’Orangerie in Paris, takes the form of a 90 meter long frieze celebrating the arrival of spring in the Normandy countryside. Painted on an IPad, it was greatly inspired by the thousand-year-old narrative embroidery. From September, the Bayeux exhibition will bring Hockney’s frieze and its muse together in an unprecedented face-à-face, in the form of half scale reproductions of the monumental works shown on the second floor of the museum.

This dialogue between the famous embroidery (11th century) and David Hockney’s imposing frieze will allow visitors to immerse themselves in the two narratives simultaneously. Visitors will thus be able to observe and compare the stylised representations of trees in the Tapestry with the fruit trees in the artist’s orchard. “If you look closely, the two masterpieces, with admittedly very different artistic techniques, immortalise a specific moment in time. Both freeze-frame a conquest: that of a Norman Duke in England in the 11th century for one, and that of nature in Normandy and its constant renewal regardless of human turmoil for the other,” explains Antoine Verney, curator of the Museums of Bayeux.

Images: (1) David Hockney, A Year in Normandie (detail), composite iPad painting, © David Hockney (2) Tapisserie de Bayeux, XIème siècle © Bayeux Museum

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LE MACM FAIT SA RENTRÉE !Après une saison estivale rythmée par les vacanciers, nous nous tournons vers les enseignants & les enfants qui reprennent le chemin de l'école.

Le MACM, de par son concept novateur qui mêle objets des civilisations égyptiennes, grecques & romaines & oeuvres d'artistes majeurs du XVIIème siècle à nos jours, offre un environnement idéal où questionner le monde & appréhender l'histoire des arts.

Notre équipe, toujours à l'écoute de vos projets, se réjouit de vous proposer de toutes nouvelles ressources pédagogiques & de vous assister dans la mise en place de nouveaux moments d'échanges & de partage.

Pour discuter de votre programme & planifier votre visite, merci de contacter Victoria sur victoriadelgado(at)mouginsmusee.com

UN MUSÉE ACCESSIBLE À TOUS

Les visites de musées constituent une sortie culturelle conviviale & le MACM s'applique à vous accueillir dans les meilleures conditions possibles. En visites libres ou guidées, les visiteurs de 60 ans & + bénéficient d'un tarif préférentiel & sont invités à profiter d'un moment d'évasion exceptionnel au coeur des civilisations antiques. Histoire, mythologies égyptiennes, grecques & romaines, oeuvres d'art par les artistes les plus illustres sont au coeur de ce parcours accessible à tous.

L'offre du pittoresque village de Mougins où il fait bon se promener & déjeuner vous offre de surcroît l'opportunité de prolonger ce moment de bien-être.

Stationnement gratuit à l'entrée du village de Mougins.

Et si vous ne pouvez pas venir au MACM, alors le MACM vient à votre rencontre !

Bénédicte Montain, Directrice Adjointe du MACM & Géraldine Crevat, conférencière & conceptrice d'une méthode d'accompagnement de développement personnel illustrée par les concepts de la pensée antique, joignent leurs sensibilités pour vous proposer des rencontres à la porté de tous au sein de vos clubs seniors & résidences retraite.

Visites virtuelles des collections, mythologies, philosophie & intrigues de la Grèce antique prendront vie dans ces présentations passionnées, dynamiques & interactives.

Pour tous renseignements complémentaires, n'hésitez pas à contacter Bénédicte Montain sur benedictemontain(at)mouginsmusee.com

https://mouginsmusee.com/fr

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Brigitte Bardot par Jacques HéripretLinda et Guy Pieters ont le plaisir de vous annoncer l'exposition

JACQUES HÉRIPRET
B.B. ET BREL DANS MON OBJECTIF

dimanche 4 septembre de 11h à 14h
5 septembre – 18 septembre 2022

Fondation Linda et Guy Pieters
Place des Lices - 28 Boulevard Vasserot – 83990 Saint-Tropez
www.fondationlgp.com  - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
+33 4 22 84 01 89

Ouvert tous les jours
de 10h à 13h30 et de 14h30 à 18h
Fermé lundi et mardi

Brigitte Bardot Photo de Jacques Héripret

musee gevaudan logo1Ouverture du Musée du Gévaudan
le 18 octobre 2022

Une fenêtre sur l'histoire de la Lozère

Après deux ans de travaux, le musée du Gévaudan ouvrira ses portes le mardi 18 octobre 2022 à Mende, en région Occitanie. Son accès sera gratuit. Doté d'un fonds de plus de 16 000 pièces, le musée du Gévaudan retrace l'histoire de la Lozère, ancienne province royale du Gévaudan, des premiers témoignages de vie jusqu'à nos jours. Lieu patrimonial inscrit au titre des Monuments historiques, labellisé Musée de France, le musée a été pensé comme un espace de vie, de découverte, de partage, d'échange et de convivialité, ouvert sur le territoire et accessible à tous.

Musée du Gévaudan © Ville de Mende
Musée du Gévaudan © Ville de Mende
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17 set 2022 – 26 fev 2023
Curadoria: Beatriz Lemos, Keyna Eleison, Pablo Lafuente e Thiago de Paula Souza

 Vem aí Atos de revolta: outros imaginários sobre independência, a nova exposição do Museu de Arte Moderna do Rio de Janeiro.

Vem aí Atos de revolta: outros imaginários sobre independência, a nova exposição do Museu de Arte Moderna do Rio de Janeiro.

O bicentenário da Independência do Brasil oportuniza repensar esse processo histórico. Atos de revolta foca em uma série de levantes, motins e insurreições que antecederam aquele momento ou que ocorreram nas décadas subsequentes, durante o Primeiro e o Segundo Reinado e o período regencial. 

Com o objetivo de abordar os diversos imaginários de país então esboçados, a mostra faz referência à Guerra Guaranítica (1753-56), à Inconfidência Mineira (1789), à Revolução Pernambucana (1817), à Independência da Bahia (1822), à Cabanagem (1835-40), à Revolução Farroupilha (1835-45), à Revolta de Vassouras (1839) e à Balaiada (1838-41), entre outras. 

Artistas brasileiros, de gerações e geografias diversas, foram convidados a pensar sobre essas narrativas. Ao abordar os conflitos do sistema colonial, a exposição revela as contradições da historiografia brasileira, que produziu apagamentos de personagens determinantes, sobretudo de populações negras, indígenas e mulheres.

Os trabalhos apresentados respondem a cinco eixos conceituais que oferecem chaves de leitura para determinados acontecimentos: a figura do herói e a posição de liderança política;

as construções simbólicas (bandeiras, hinos, brasões); os modos de organização e sua relação com sistemas de direitos, a definição de territórios e os processos de produção e circulação de valor.

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Oskar Kokoschka Autoportrait / Selbstbildnis, 1917 Huile sur toile 79 x 63 cm Von der Heydt-Museum, Wuppertal  Photo Patrick Schwarz © Fondation Oskar Kokoschka / Adagp, Paris 2022  Oskar Kokoschka
Un fauve à Vienne

Exposition : 23 septembre 2022 - 12 février 2023

Le Musée d’Art Moderne de Paris présente la première rétrospective parisienne consacrée à l’artiste autrichien Oskar Kokoschka (1886-1980). Retraçant sept décennies de création picturale, l’exposition rend compte de l'originalité dont fait preuve l’artiste et nous permet de traverser à ses côtés le XXe européen.

Peintre, mais aussi écrivain, dramaturge et poète, Oskar Kokoschka apparaît comme un artiste engagé, porté par les bouleversements artistiques et intellectuels de la Vienne du début du XXe siècle. Par sa volonté d’exprimer l’intensité des états d’âmes de son époque, et un talent certain pour la provocation, il devient pour la critique l’enfant terrible de Vienne à partir de 1908 où soutenu par Gustav Klimt et Adolf Loos, il inspire une nouvelle génération d’artistes, parmi lesquels Egon Schiele. Portraitiste de la société viennoise, Kokoschka parvient à mettre en lumière l'intériorité de ses modèles avec une efficacité inégalée.

Ébranlé par sa rupture avec la compositrice Alma Mahler avec qui il entretient une relation tumultueuse entre 1912 et 1914, Kokoschka s’engage dans l’armée au déclenchement de la Première Guerre mondiale. Il sera gravement blessé à deux reprises. Il enseigne ensuite à l’Académie des Beaux-Arts de Dresde, où il recherche de nouvelles formes d’expressions picturales, en contrepoint des mouvements contemporains tels que l’expressionnisme, la Nouvelle Objectivité et l'abstraction.

Voyageur infatigable, il entreprend dans les années 1920 d’incessants périples en Europe, en Afrique du Nord et au Moyen Orient. Sa fragilité financière l’oblige à revenir à Vienne, qui connaît dès le début des années 1930 d’importants troubles politiques, le contraignant à partir pour Prague en 1934. Qualifié par les nazis d’artiste « dégénéré », ses oeuvres sont retirées des musées allemands. Kokoschka s’engage alors pleinement pour la défense de la liberté face au fascisme. Contraint à l’exil, il parvient à fuir en Grande-Bretagne en 1938 où il prend part à la résistance internationale.

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ART PRIZE PALLAVICINI

Venerdì 9 settembre 2022 ore 11.00 Palazzo Pallavicini, nel salone delle feste, inaugura la stagione autunnale con l'apertura al pubblico e la conferenza stampa della prima edizione del Premio APP

ART PRIZE PALLAVICINI a cura di Claudia Andreotta e Francesca Bogliolo in collaborazione con Pallavicini srl.

La mostra

App in questa prima edizione ha ricevuto moltissime candidature di Artisti provenienti da tutto il mondo, tra i quali si sono contraddistinti gli Artisti vincitori che esporranno le proprie opere dal 9 al 18 settembre.

Il tema

"la vita intesa nella sua dimensione intima e collettiva, in relazione allo spazio e al tempo"

L'esperienza delle avanguardie storiche in Europa non solo ha trasformato completamente i linguaggi espressivi, ma ha anche abbattuto in modo definitivo la rigida distinzione tra l'arte intesa come puro fenomeno estetico, cristallizzato in canoni ideali, e la vita. Da quel momento, infatti, qualsiasi corrente artistica si pone non solo come innovatrice nel contesto di accademie e musei, ma come portatrice di una volontà di intervento globale: non si "riveste" il reale con uno "stile", ma si procede secondo una Weltanschauung (concezione della vita) che da visione diventa metodo per rifondare l'urbanistica, l'industria, l'istruzione, la moda, persino l'alimentazione, qualunque aspetto della società. L'estetica si unisce all'etica, l'arte alla vita.

Poiché il dibattito artistico odierno è ancora innegabilmente debitore della rivoluzione delle avanguardie, il tema proposto dalla prima edizione del premio APP Art Prize Pallavicini risulta ancora di stringente attualità, tanto da aver richiamato numerosi artisti italiani e internazionali: la Vita e come l'Arte la influenzi e ne sia influenzata con l'invito a  misurare la vita intesa nella sua dimensione intima e collettiva, in relazione allo spazio e al tempo, nelle sue diverse forme ed espressioni, dove quello che conta è il percorso dell'opera e dell'Artista che l'ha concepita. In un caleidoscopio di soluzioni linguistiche (dalla nitida narrativa alle strutture aniconiche, all'iperrealismo) e tecniche (pittura, arazzo, fotografia, assemblaggio...) le opere selezionate  affrontano ogni possibile aspetto del vivere, rappresentando  l'uomo e i  suoi stati d'animo (dolore, inquietudine, serenità...), il suo guardare alla realtà con ironia, con senso di attesa  o con la volontà di andare anche oltre tramite un anelito spirituale; per molti artisti  la vita trascorre attraverso gli oggetti del quotidiano,  che da banali strumenti d'uso si fanno portatori della lirica dell'esistere. Ricorre frequentemente anche la ricerca sul rapporto consapevole con la natura e con l'ambiente, sull'intervento in essi dell'uomo (dalle armonie dell'architettura, all'invadenza dell'industria e della tecnologia), sulla città come luogo privilegiato dell'aggregazione. Non manca tuttavia l'eterno incanto per le bellezze naturali, ritratte nella loro delicata opulenza e indagate sia nelle microscopiche evoluzioni formali della loro costituzione chimico-matematica sia nell'incalcolabile grandezza dell'universo. Un infinito che l'uomo ha tentato di imbrigliare con la geometria, di trasformare con l'ingegneria, di armonizzare con la musica (tutte discipline variamente raffigurate): ma il reale evolve costantemente e l'unico modo per fermare in un attimo infinitesimale questo inarrestabile fluire è l'arte con la sua essenza di doppia riflessione dinamica. Non si tratta solo infatti di un pensiero temporaneo dell'artista fissato in un'opera, ma di tutto il flusso di idee, interrogativi, scoperte che essa può generare nell'osservatore, dell'incontro tra l'arte e la vita e di come (citando nuovamente il testo del bando del premio) l'Arte la influenzi e ne sia influenzata.

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Agnès Varda deux expositions à Cannes 
PLAGES, CABANES ET COQUILLAGES
8 juillet – 20 novembre 2022
Le Centre d’art La Malmaison, Cannes

8 juillet – 18 septembre 2022
La Villa Domergue, Cannes

Cet été, la Mairie de Cannes présente dans deux espaces de son Pôle d’Art Contemporain une exposition consacrée à celle qui fut tour à tour cinéaste, photographe et plasticienne :
Agnès Varda.
Du 8 juillet au 20 novembre 2022 au Centre d’art la Malmaison et du 8 juillet au 18 septembre à la Villa Domergue, Rosalie Varda, directrice artistique et co-commissaire de l’exposition avec Hanna Baudet, directrice du Pôle d’Art Contemporain de Cannes, met à l’honneur l’univers d’Agnès Varda, dans la ville même qui l’a célébrée pour sa filmographie foisonnante, à travers une exposition estivale autour de la mer, de la plage et des cabanes, thèmes récurrents dans son travail de cinéaste et d’artiste plasticienne.
Agnès Varda sur le tournage du film Les Créatures (1965). Photographie : Marilù Parolini © ciné-tamaris
Agnès Varda sur le tournage du film Les Créatures (1965). Photographie : Marilù Parolini © ciné-tamaris
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Hans Hartung, T 1987-H3, T 1987-H4, 10 mars 1987 (1)
Hans Hartung, T 1987-H3, T 1987-H4, 10 mars 1987 (1) 

Au cœur de l'abstraction
Collection de la Fondation Gandur pour l'Art

Exposition du 2 juillet au 20 novembre 2022

Riche d'une collection de plus de 13 000 œuvres, la Fondation Maeght est toujours curieuse et honorée de présenter d'autres collections, parfois peu accessibles au public, comme elle l'a régulièrement fait par le passé. En cet été 2022, elle dévoile du 2 juillet au 20 novembre près de 120 œuvres de la Fondation Gandur pour l'Art (Genève) et propose une immersion passionnante dans l'abstraction des années 1950 à 1980.

Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, alors que nombre d'artistes européens exilés aux États-Unis reprennent le chemin de la France, Paris redevient une place forte de la création et reprend sa place de capitale culturelle mondiale. Une soif de liberté vissée au corps ainsi qu'un besoin impérieux de repenser la peinture après les années de guerre, des artistes du monde entier retrouvent leurs ateliers abandonnés durant l'occupation allemande et participent à une période d'effervescence créatrice, qu'elle soit artistique, littéraire ou cinématographique. Si les brèches ouvertes par les avant-gardes de la première moitié du XXe siècle restent un ferment important après-guerre, l'art abstrait se renouvelle, de l'expression la plus gestuelle aux questionnements sur la matière, les supports et les techniques.

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MHAB-Musée d'Histoire et d'Art de BormesLe musée Arts et Histoire

Une magnifique bâtisse en pierres de Bormes qui abrite une collection d'oeuvres de qualité et des expositions évènementielles

Installé depuis 1985 dans une magnifique bâtisse du 17ème siècle au cœur du village medieval, le musée Arts & Histoire créé en 1926 par le peintre Emmanuel-Charles Bénézit est aujourd’hui géré par le service culturel de la municipalité et bénéficie du label Musées de France.

Le musée abrite une très belle collection de peintures et sculptures des 19ème et 20ème siècles parmi lesquelles les œuvres de Bénézit, Cross, Van Rysselberghe, Peské, Rivière… 

Des expositions temporaires de peintures, sculptures et photos y sont organisées d’avril à octobre. Le musée participe chaque année à la Nuit Européenne des Musées.

Conçu en pierre du pays, l’édifice inscrit à l’inventaire des sites se distingue par son impressionnant plafond à caissons. Appartenant auparavant à l’Avocat Général de la Molle, il était devenu en 1754 la Maison commune qui abritait en même temps l’école de garçons, les séances du Conseil municipal, la prison et le tribunal avant de devenir maison particulière au début du 19ème siècle. Le bâtiment  a été rénové avec la participation de l’association « Sauvegarde du Vieux-Bormes » créée par le peintre Georges-Henri Pescadère.

Le 22 octobre 2022, le MHAB - Musée d’Histoire et d’Art de Bormes Les Mimosas a rouvert ses portes et dévoilé sa nouvelle expérience unique et spectaculaire en réalité augmentée qui vous plongera dans 2400 ans d’histoire de la ville et dans les collections de Bormes les Mimosas !

Au MHAB-Musée d'Histoire et d'Art de Bormes les Mimosas, la réalité augmentée est mise au service de l'Histoire. Pour la première fois, un musée de France propose une exposition permanente entièrement conçue autour de ses collections et de la réalité augmentée. Garant d'une collection d'art datant de la fin du XIXe à nos jours et d'un fonds historique local, le musée de Bormes propose un voyage immersif au cœur des 2400 ans d'histoire de la ville.

À l'aide de la tablette HistoPad, voyagez à travers les époques et découvrez les reconstitutions au réalisme saisissant, réalisées par l'entreprise Histovery. L'Histopad, tablette tactile, est remis à chaque visiteur dès l'entrée pour parcourir l'exposition permanente, présentée dans les niveaux supérieurs du musée. Chaque station est une véritable fenêtre sur  un événement passé et est mis en parallèle de notre collection.

A ne pas manquer également, les expositions temporaires du musée, son jardin intimiste et sa terrasse panoramique !

Horaires:

   - Le MHAB est ouvert toute l'année : www.musee-bormes.com

   - HORAIRES D'HIVER (du 1er octobre au 30 avril) : du mercredi au dimanche de 11h à 18h. Vacances scolaires toutes zones : du mardi au dimanche de 10h à 18h.

   - HORAIRES D'ÉTÉ (du 1er mai au 30 septembre) : du mardi au dimanche de 10h à 19h.

   - Le musée est ouvert durant les jours fériés, même ceux tombant un lundi ou mardi (sauf le 1er janvier, le 1er mai et le 25 décembre)

 
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Fondation Hartung-Bergman
 

Fondation Hartung-BergmanCréée en 1994 à Antibes dans la villa-atelier d’Hans Hartung et Anna-Eva Bergman, figures incontournables de l’art moderne, la Fondation Hartung-Bergman sera inaugurée en mai 2022 après deux ans de chantiers de construction et d’aménagement. Ceux-ci ont permis d’inventer des modalités de visites dans ses espaces et d’ouvrir enfin au public cet ensemble architectural remarquable inscrit au patrimoine du 20e siècle.

Ces nouveaux espaces de visite comprennent désormais un bâtiment d’accueil avec boutique et restauration rapide, un parc d’oliviers, des terrasses, des galeries d’expositions, des ateliers réhabilités, des salles de projection. Le 7 mai 2022 sera inaugurée dans ce cadre la première exposition in situ « Les archives de la création ».

En quelques chiffres, ce sont désormais 1500 mètres carrés de jardin, 500 mètres carrés de terrasse, et 600 mètres carrés de surfaces d’exposition, médiation et d’atelier qui sont accessibles et offrent une immersion dans un lieu extraordinaire par la variété de ses patrimoines : ses bâtiments, sa végétation, ses oeuvres, ses archives. Le tout a été adapté en vue de pouvoir accueillir au mieux le public PMR.

Mais la Fondation inaugure aussi en 2022 son centre de recherche dans la partie « villa ». Il conduira des programmes par cycle de deux ans. Le premier sera consacré à la thématique « sciences et abstractions » ; il permettra aux chercheurs de bénéficier de conditions de travail exceptionnelles inspirées par les institutions les plus soucieuses d’une réception idéale, sinon « utopique », comme le Getty Center ou la Villa Médicis qui ont servi de sources d’inspiration.

La Fondation qui n’ouvrait ses portes au public que de manière exceptionnelle, exclusivement sur réservation et sous forme de visite guidée, et qui travaillait surtout à la promotion de ses artistes hors-les-murs, connaît ainsi, après 28 ans d’innombrables projets, une toute nouvelle phase de son existence.

Ainsi, grâce à la construction d’un nouveau bâtiment d’accueil conçu par l’architecte Cristiano Isnardi et ces abondants travaux, la Fondation pourra présenter chaque année une grande exposition temporaire consacrée à la vie et l’oeuvre d’Anna-Eva Bergman et de Hans Hartung.
Du 11 mai au 30 septembre 2022, l’exposition inaugurale « Les archives de la création » constitue une plongée dans les secrets de leur production.

Enfin, la Fondation est soucieuse de son implantation locale et, à ce titre, proposera un kiosque « Chez Marcelle » tenu par celle qui est depuis 1973 cuisinière dans les lieux, d’abord auprès de Hartung et Bergman et aujourd’hui pour le compte de la Fondation. Elle servira sa spécialité de la région faite maison : la fameuse pissaladière.

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Ruth Gurvich Aux lisières Exposition Maison des Arts Châtillon

Nadège AZZAZ, La Maire de Châtillon
Martine GOURIET L'Adjointe à Madame la Maire, déléguée à la culture et au patrimoine
Caroline QUAGHEBEUR, La Directrice de la Maison des Arts
sont heureuses de vous inviter à l' exposition du 13 Mai 2022 au 26 juin 202
À découvrir de 14h à 18h, tous les jours sauf le lundi
Ruth Gurvich Aux lisières Exposition

Maison des Arts
11 rue de Bagneux
92320 Châtillon
01 40 84 97 11
Pour assister au vernissage demander une invitation à la Maison des Arts
maisondesarts(at)chatillon92.f

Par un savant truchement de nos sens, Ruth Gurvich entreprend à chacune de ses pièces d’interroger notre rapport aux objets et à la culture.

On entre dans l’une de ses expositions comme dans un lieu connu et habité d’éléments maintes fois observés, admirés. A y regarder de plus près, un hiatus surgit : cette tasse que l’on pensait en porcelaine fine n’est que papier, cette moulure florale que l’on croyait entourer le grand miroir du salon longe le sol pour mieux rejoindre le jardin.

Née en Argentine dans une famille russo-polonaise, Ruth Gurvich commence des études d’architecture pour ensuite se tourner vers les beaux-arts, qui la conduiront jusqu’à Paris. Précision, netteté et géométrie sont mis au service d’une réflexion sur la tradition et la permanence des choses. L’étude des arts appliqués en est le prétexte.

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Jean-Claude GandurLa Fondation Gandur pour l'Art a été créée en 2010 par Jean Claude Gandur afin de rendre accessible à un large public ses collections d'envergure internationale. Basée à Genève (Suisse) et reconnue d'utilité publique, la Fondation s'emploie à préserver, documenter, enrichir et exposer ses collections dans des institutions de renom en Suisse et à l'étranger.
La Fondation Gandur pour l'Art est membre de l'ICOM (Conseil International des Musées) depuis 2013 ainsi que de l'AMS (Association des musées suisses) depuis 2019.

Jean Claude Gandur

« Issu d'une famille sensible à l’art, j’ai eu la chance de le côtoyer depuis l’enfance et ainsi de me familiariser aux cultures européennes, orientales ou sud-américaines.

La démarche, suivie tout au long de ma vie, et celle désormais de la Fondation, est nourrie par trois motivations : le goût de l’art, l’envie de développer des collections et le désir de les partager. Y a-t-il plus belle perspective que celle de soumettre ses choix à l’appréciation des autres, de permettre à tous de voir et d’admirer des œuvres uniques, réunies dans une quête esthétique et intellectuelle constante ?
L’art n’est pas seulement la cristallisation d’un moment de l’histoire, mais également un vecteur de dialogue entre les civilisations et un témoignage du génie humain. Ce langage universel ouvre sur la tolérance et la compréhension entre les peuples. Si ces collections permettent à des personnes d’origines différentes de se reconnaître à l’aune de leur tradition et contribuent à les faire vivre en harmonie, alors l’effort consenti n’aura pas été vain.
Je remercie tous ceux qui m’entourent — famille et collaborateurs — de m’aider à poursuivre ce but. »

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L’âme primitive s’expose au Musée ZadkineMusée Zadkine, Exposition du 29 septembre 2021 au 27 février 2022

Ce n’est pas la première fois qu’un musée se penche sur la question du primitivisme dans l’art et le musée Zadkine remet la question à l’ordre du jour. Le sujet est judicieusement abordé non seulement au regard des oeuvres de Zadkine et de quelques uns de ses contemporains mais aussi des jeunes artistes émergents dont les oeuvres prennent place au fil d’un joli parcours, auprès de sculptures choisies du maître des lieux. C’est donc une mise en écho entre des artistes d’époques différentes et, par conséquent, au vocabulaire plastique riche et varié, qui tente de répondre aux interrogations et nous conduit vers une réflexion sur le monde au travers de l’art. Pour la plupart des artistes exposés, qu’ils soient d’hier ou d’aujourd’hui, le constat tourne autour d’une vision tragique et généralement critique du monde contemporain. De ce fait, tous ou presque remettent en question la direction que prend la société au regard de leur présent et de ce qu’ils pressentent être le futur. Ils se positionnent du point de vue sociétal autant que du point de vue de l’art et leur création est clairement définie comme un moyen d’expression puissant, destiné à comprendre le monde et lui faire prendre une direction moins tragique.

Mais l’art peut il changer le monde?

Depuis le Contrat social de Rousseau jusqu’aux réflexions les plus récentes, le primitivisme, si on le considère comme un retour aux sources, a souvent été considéré par les artistes comme un bon compromis pour tout reconstruire. Née d’une forme de pragmatisme, l’idée qui en ressort est qu’il convient de se retourner vers les leçons du passé pour construire un art nouveau, plus apte à exprimer les préoccupations de chaque époque. Non dénuées d’une certaine audace, les avant gardes du XXème siècle vont suggérer un idéal artistique simple, tant dans le sujet que dans le processus de création, et un retour aux sources de l’art, une approche primitiviste qui va s’avérer constituer un élément essentiel pour créer l’art moderne en symbiose avec le monde moderne. Il faut prendre garde à ne pas trop rapidement associer le terme ‘’primitif ‘’ à ce que l’on nommait abusivement les sociétés non évoluées. D’ailleurs, qu’est ce qu’une société évoluée? Par rapport à qui? A quoi? Nous laisserons ces interrogations aux philosophes, sociologues et anthropologues et nous nous focaliserons, quant à nous, au primitivisme tel qu’il a été abordé du point de vue de l’art.

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NIKI DE SAINT PHALLE Fondation Linda et Guy PietersLinda et Guy Pieters ont le plaisir de vous inviter à visiter l'exposition

NIKI DE SAINT PHALLE

18 décembre 2021 - 6 mars 2022

Fondation Linda et Guy Pieters
Place des Lices - 28 Boulevard Vasserot – 83990 Saint-Tropez
www.fondationlgp.com  -
Fondation Linda et Guy Pieters <info(at)fondationlgp.com>
+33 4 22 84 01 89

ouvert tous les jours de 11h à 17h
dimanche de 11h à 13h30
fermé le dimanche après-midi et lundi

Jeff Koons Puppy 1992 Stainless steel, soil, and flowering plants Dimensions 1240 x 1240 x 820 cm Guggenheim Bilbao MuseoaJeff Koons rose to prominence in the mid-1980s as part of a generation of artists who explored the meaning of art in a media-saturated era and the attendant crisis of representation. Drawing on the visual language of advertising, marketing, and the entertainment industry and with the stated intent to "communicate with the masses," Koons tested the boundaries between popular and elite culture. His sculptural menagerie includes Plexiglas-encased Hoover vacuum cleaners, basketballs suspended in glass aquariums, porcelain homages to Michael Jackson and the Pink Panther, and glass depictions of himself coupled with his then-wife Ilona Staller, also known as La Cicciolina (a former adult-film star and member of the Italian parliament). Extending the legacy of Marcel Duchamp's readymades, and integrating references to Minimalism and Pop, Koons presents art as a commodity that cannot be placed within the hierarchy of conventional aesthetics.

With Puppy, Koons engaged both past and present, employing sophisticated computer modeling to create a work that references the 18th-century formal European garden. A behemoth West Highland terrier carpeted in bedding plants, Puppy employs the most saccharine of iconography—flowers and puppies—in a monument to the sentimental. Imposing in scale, its size both tightly contained and seemingly out of control (it is both literally and figuratively still growing), and juxtaposing elite and mass-cultural references (topiary and dog breeding, Chia Pets and Hallmark greeting cards), the work may be read as an allegory of contemporary culture. Koons designed this public sculpture to relentlessly entice, to create optimism, and to instill, in his own words, "confidence and security." Dignified and stalwart as it stands guard at the museum, Puppy fills viewers with awe, and even joy.

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https://www.guggenheim-bilbao.eus/en/

 

LE MUSEE PRIVE

Tél: (33) 09 75 80 13 23
Port.: 06 08 06 46 45

 
Patrick Reynolds
 

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Directeur de publication

 

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