Jacques Henri LARTIGUE Vernissage > Jeudi 16 juin 2016 à 19 heures En présence de Maître Gérard Baudoux, Adjoint au Maire de Nice, délégué aux musées et à l’Art moderne et contemporain THEATRE DE LA PHOTOGRAPHIE ET DE L'IMAGE Tous les jours sauf le lundi, le 1er janvier, Jacques Henri Lartigue est né à Courbevoie le 13 juin 1894. Il meurt à Nice le 12 septembre 1986. Peintre et photographe, il devient célèbre grâce à ses clichés évoquant sa vie familiale et la société mondaine de la Belle Epoque. Il est considéré au XXe siècle comme un génie du noir et blanc. Curieux, il essaie toutes les nouvelles techniques photographiques ; clichés de sujets en mouvement, ses images représentent aussi bien les membres de sa famille que les premiers temps de l’aviation, les manifestations sportives, les « belles dames » du bois de Boulogne, et les photographies de la Riviera où il fait de nombreux séjours de 1908 à 1986. |
Le Musée Prive - Art Magazine
Emile Savitry Musée Mendjisky
MUSÉE MENDJISKY ÉCOLES DE PARIS Présente 15 Square de Vergennes - Paris XV Contact presse : 01 47 07 98 31 info(at)fmep.fr www.fmep.fr ÉMILE SAVITRY Un photographe de Montparnasse 8 juin - 5 octobre 2016 Réunies pour la première fois dans un seul lieu, deux expositions de photographies d’Émile Savitry (1903-1967), l’une monographique, l’autre thématique sont présentées au Musée Mendjisky- Écoles de Paris du 8 juin au 5 octobre 2016. Elles dévoilent les différentes facettes de l’oeuvre de ce photographe au regard de peintre, proche des surréalistes, ami de Brassaï et de Prévert, amateur de jazz qui suivit toute sa vie une route buissonnière. |
Emile Savitry Nu de l'Académie de la Grande Chaumière |
Supports Surfaces Galerie Eva Vautier
S U P P O R T S / S U R F A C E André Pierre Arnal – Vincent Bioulès – Louis Cane – Marc Devade – Daniel Dezeuze – Noël Dolla –Toni Grand – Bernard Pagès – Jean-Pierre Pincemin – Patrick Saytour – André Valensi – Claude Viallat |
Jean-Pierre Pincemin «Sans titre» |
Georges Hugnet Ubu Gallery New-York
Georges Hugnet Huit jours à Trébaumec UBU GALLERY Ubu Gallery is pleased to announce an in-depth exhibition exploring the richness of Georges Hugnet's Surrealist masterpiece, Huit jours à Trébaumec. Published in 1969 by Henri Mercher, the renowned bookbinder, the book appears as a Guide Rose Micheline, a clever parody of the popular Baedeker, Guide Michelin Rouge. In Hugnet's satire, it is not a Michelin man, but a Michelin woman serving as a tour guide leading us through the fictional "Trébaumec" or as Hugnet called it, "the little lost town in Brittany, paradise regained." In 1947, Hugnet (1906-1974) traveled along the coast of Brittany photographing his excursions and popular tourist attractions. |
Georges Hugnet, Sur les conseils de son docteur, circa 1933-36. |
Dado Galerie Jeanne Bucher Jaeger Paris
DADO signature du recueil d’entretiens de l’artiste, Peindre Debout, T. +33 (0)1 42 72 60 42 Cette exposition présente des peintures, collages, dessins et estampes de Dado des années 70. Miodrag Djuric, dit DADO (1933-2010), établi en France à partir de 1956, est très tôt repéré par Jean Dubuffet et Daniel Cordier, son premier marchand. Arrivé à la galerie grâce à François Mathey et aux amis collectionneurs Boulois, Dado est présenté à quatre reprises entre 1971 et 1975. |
Dado, Boukoko triptyque, 1975. Huile sur toile, 162 × 454 cm. |
Jean-Charles Blais Galerie Catherine Issert
Jean-Charles Blais Galerie Catherine Issert La galerie Catherine Issert est heureuse de présenter du 20 mai au 2 juillet 2016 une sélection d'oeuvres récentes et inédites de Jean Charles Blais. Représenté par la galerie Catherine Issert depuis 1983, cet artiste né en 1956 s'est fait connaître dans les années quatre-vingt pour ses peintures sur affiches arrachées. Investissant l'atelier comme un laboratoire, Jean Charles Blais conduit ses recherches en se laissant guider par les médiums et les procédés, avec au centre de ses préoccupations le corps et sa représentation, la fragmentation, le renversement, le positif et le négatif, l'absence. |
MUSEES DE LA VILLE DE NICE PROGRAMMATION DES EXPOSITIONS ANNEE 2016
MAMAC & GALERIE DES PONCHETTES MAMAC Promenade des Arts - Nice 1er étage du MAMAC Ernest Pignon-Ernest // 18 juin – 27 novembre 2016 Galerie contemporaine du MAMAC
77 quai des Etats-Unis - Nice Didier Demozay // 23 janvier – 17 mars 2016 Jacques Martinez // 17 avril – 12 juin 2016 Eté 2016 : projet mis en œuvre par la Mission Promenade des Anglais |
MAMAC Nice Parvis Crédit Ville de Nice Galerie des Ponchettes |
Masters Urban & Street Art Galerie Laurent Strouk
Les artistes d'Urban et de Street Art quittent la rue pour s'exposer à la Galerie Laurent Strouk du 1er juin au 15 juillet 2016. GALERIE LAURENT STROUK |
RAMMELLZEE - Tower of Panzerism - Spray marker on canvas |
Exposition Chuang Che Galerie Hervé Courtaigne
EXPOSITION Sabine VAZIEUX et à la Galerie Hervé Courtaigne Du 24 mars au 30 avril 2016 Vernissage : Spécialisés dans la peinture abstraite de l'après-guerre, Sabine Vazieux et Hervé Courtaigne consacrent, pour la première fois en Europe, un solo show à l’artiste chinois : Chuang Che. Né en 1934, il est considéré comme l’un des pionniers de l’abstraction chinoise. À l’instar de Zao Wou ki et Chu Teh Chun, il découvre et s’inspire de l’abstraction occidentale dès les années 50. |
Chuang Che |
Emmanuel David marchand de tableaux
Hommage à Emmanuel DAVID licencié en Droit, diplômé Notaire, Chevalier de la Légion d'honneur (1953), ancien combattant des deux guerres, (engagé volontaire en 1918) naquit à Aix-en-Provence le 25 décembre 1900. Laissant à DROUANT le département « Commerce d'œuvres de maîtres contemporains consacrés », Emmanuel DAVID s'adonna avec une ardeur inlassable à ses vraies aspirations, la découverte de peintres jeunes, méconnus, ou oubliés, leur apportant l'aide nécessaire au plein épanouissement de leur talent ainsi que la mise en valeur de leurs oeuvres. Dès 1943, il s'était attaché par contrat d'exclusivité, CARZOU, jeune inconnu qui devait faire une belle carrière, GOERG et GEN PAUL, des aînés oubliés ou mal aimés dont les œuvres hautement cotées aujourd'hui sont les valeurs sûres de demain. |
La Fondation Beyeler fête les 100 ans de la toile Carré noir de Kasimir Malevitch
Riehen/Bâle. Voici exactement un siècle que le 19 décembre 1915, la galeriste Nadejda Dobytchina inaugurait dans son appartement privé de Saint-Pétersbourg (alors, Petrograd) « La dernière exposition futuriste de tableaux 0,10 ». Cent ans plus tard, la Fondation Beyeler rend hommage à la naissance du Carré noir de Kasimir Malevitch, qui était au coeur de cette présentation. La « Joconde de l’art non figuratif » de Malevitch est encore présente jusqu’au 10 janvier à la Fondation Beyeler, où elle constitue le centre de la reconstitution critique « À la recherche de 0,10 », consacrée aux artistes de l’avant-garde russe. Le samedi 19 décembre 2015, le musée célèbrera entre 10 et 18 heures les cent ans de la présentation originelle de l’énigmatique tableau de Malevitch. Des visites guidées thématiques en plusieurs langues, un atelier de maquillage suprématiste, des lectures de poèmes futuristes russes, des romances musicales russes et un bar à vodka avec DJ font partie du programme festif du centenaire du Carré noir de Kasimir Malevitch. Cette date marque en effet l’inauguration de l’exposition de 1915 et la toute première présentation du Carré noir. |
Illustration : Photographie d’Olga Rozanova, Xénia Bogouslavskaïa et Kasimir Malevitch à l’exposition « 0,10 », Petrograd, 1915. Archives nationales russes de littérature et d’art, Moscou. |
Exposition Philippe Hiquily Galerie Laurent Strouk
Philippe HIQUILY Galerie Laurent STROUK HIQUILY intègre l’Ecole nationale supérieure des Beaux Arts de Paris en 1953. |
Il fréquente rapidement l’atelier de CESAR mais développe une approche personnelle de la sculpture : il utilise la tôle, moins chère que le bronze, et la soude par la technique du métal direct. Sa rencontre avec l’artiste Germaine RICHIER est déterminante : elle le conseille, l’encourage et lui commande même des socles et des sellettes pour ses propres sculptures. HIQUILY fait rapidement partie des jeunes artistes qui font les beaux jours de Saint germain des Prés et après deux expositions dans les galerie Palmes et galerie du Dragon, il est contacté par la galerie newyorkaise The Contemporaries. L’exposition, organisée en 1959, est un succès. Toutes les œuvres sont vendues et l’une d’entre elles est acquise par le musée Guggenheim. Son succès a des échos en France et, la même année, sa sculpture « Jérémie » obtient le prix de la critique lors de la première biennale de Paris. Au début des années 60 il est repéré par le décorateur Henri SAMUEL et devient rapidement une référence incontournable du milieu de la décoration. Cette activité lucrative lui permet de continuer à faire des sculptures. |